Le Pont-de-Claix

commune française du département de l'Isère

Le Pont-de-Claix
Le Pont-de-Claix
Hôtel de ville du Pont-de-Claix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Christophe Ferrari
2020-2026
Code postal 38800
Code commune 38317
Démographie
Gentilé Pontois
Population
municipale
10 805 hab. (2021 en diminution de 0,12 % par rapport à 2015)
Densité 1 929 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 44″ nord, 5° 41′ 56″ est
Altitude Min. 227 m
Max. 391 m
Superficie 5,6 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Pont-de-Claix
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Pont-de-Claix
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Pont-de-Claix
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Le Pont-de-Claix
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Le Pont-de-Claix
Liens
Site web Site officiel

Le Pont-de-Claix (nommée également Pont-de-Claix non officiellement) est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Pontois[1].

Géographie modifier

Situation et description modifier

Le Pont-de-Claix est une ville du sud-est de la France et se trouve dans l'agglomération grenobloise, au carrefour des routes du sud. Elle se présente sous la forme d'un ensemble architectural assez hétéroclite, composé essentiellement de villas de taille modeste ainsi que de nombreuses barres d'immeubles à la dimension et à la hauteur plus ou moins variées.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes du Pont-de-Claix
Seyssins (quadripoint) Échirolles Échirolles
Claix   Champagnier
Claix Varces-Allières-et-Risset Champagnier

Géologie et relief modifier

Hydrographie modifier

Le Drac, principal affluent de l'Isère sur sa rive droite, longe la partie orientale de la commune sur toute la longueur du territoire. Cette rivière, parfois qualifiée de torrent, naît dans le Champsaur, dans le département des Hautes-Alpes à un peu plus de 2 000 mètres d'altitude et finit par se jeter dans l'Isère, à la limite nord du territoire de la commune[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 090 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 8,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 270,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par l'autoroute A480

  •   7 : Pont-de-Claix, Échirolles
 
La gare du Pont-de-Claix.

Depuis Grenoble, la voie dénommée Cours Saint-André qui part de La Bastille (Cours Jean Jaurès et Cours de la Libération-et-du-Général-de-Gaulle) et conduit au Pont-de-Claix sur 8 km de ligne droite est réputée être l'une des plus longues d'Europe.

La Ligne A du tramway qui part de Fontaine (agglomération grenobloise) atteint son terminus à Pont-de-Claix L'Étoile depuis le .

La ligne de Bus Semitag C2 dessert l'axe principal qui traverse la ville, la ligne no 16 y a son terminus (Gendarmerie). Les lignes TransIsère 4100 et 4110 ainsi que l'express Voreppe-Vizille y ont des points d'arrêt.

Le train TER GrenobleVeynes - Dévoluy / Gap s'arrête à la gare du Pont-de-Claix : pour faire le trajet de Grenoble à Pont-de-Claix et inversement, le ticket de bus de la Semitag est valable.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Pont-de-Claix est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[12] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (75,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (50,6 %), zones urbanisées (24,8 %), forêts (10,7 %), eaux continentales[Note 3] (9,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques modifier

Risques sismiques modifier

Le territoire du Pont-de-Claix est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des territoires des communes de l'agglomération grenobloise[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques naturels modifier

Le Pont-de-Claix est une des trente-sept communes du département de l'Isère classée pour le risque incendie de forêt[20].

Toponymie modifier

Histoire modifier

 
Le Pont de Claix
 
Station de tramway dans l'Entre-deux-guerres

Préhistoire modifier

Une épée du Bronze moyen (XIVe siècle av. J.-C.) a été retrouvée sur le sol de la commune au lieu-dit du Saute du moine. Elle est conservée au musée de Gap[21].

Le XVIe siècle modifier

Après plusieurs échecs, François de Bonne (le futur Duc de Lesdiguières) s'empare finalement de Grenoble en décembre 1590. Il va alors initier plusieurs travaux de modernisation de la région grenobloise. Parmi eux, la construction entre 1608 et 1611 sur le Drac du Pont de Claix ou Pont Lesdiguières.

Ce petit bijou d’architecture répond directement à la demande des maraîchers des plaines fertiles de Claix qui avaient besoin à l’époque de traverser le Drac pour aller vendre leurs produits à Grenoble.

Le XIXe siècle modifier

En 1871, Le Pont-de-Claix devient commune indépendante[21].

Plus de deux siècles après la construction du Pont Lesdiguières, un nouveau pont plus large et surtout moins raide est construit en aval du Vieux Pont Lesdiguières. Dans le même temps, l'industriel papetier qui a installé son usine aux abords du Drac obtient un petit hameau à proximité du Pont. Le hameau en question, qui voit le nombre de ses habitants grossir avec l'arrivée des ouvriers papetiers, deviendra Pont de Claix par une loi du , promulguée au journal officiel le suivant[22].

Le XXe siècle modifier

 
Plate-forme chimique de Pont-de-Claix

Trois ans plus tard, la gare est mise en service afin de desservir la ligne des Alpes. Il faudra attendre 1911 pour qu’une mairie soit édifiée à l'extrémité du cours Saint-André, à la cote 246 mètres.

Sous l’impulsion de la Première Guerre mondiale, une usine de chlore destiné à la fabrication de gaz de combat est construite à Pont-de-Claix. Par la suite, le site deviendra la plate-forme chimique du Pont-de-Claix, abritant notamment l’entité Rhône-Poulenc, du nom du groupe chimique et pharmaceutique français créé en 1928. La plate-forme chimique du Pont-de-Claix compte aujourd'hui près de 800 salariés dont 550 employés par la société Vencorex, les autres se répartissent entre les sociétés Extracthive, Seqens, Solvay, Air Liquide et Suez.

Les premières HLM sont construites en 1953, notamment avec les quartiers Olympiades et Îles de Mars, aujourd'hui classés prioritaires avec près de 2 000 habitants[23]. En 1954, la ville compte 3 500 habitants, trois fois plus qu'au début du siècle. La population atteint son pic lors du recensement établi en 1975 avec 12 746 habitants.

Héraldique modifier

Pont-de-Claix
  Blason
D'azur au pont courbe d'une arche d'or posé sur un pont droit d'une arche du même, sur une rivière d'argent mouvant de la pointe, lesdits ponts brochant sur trois éclairs aussi d'argent en bande, en pal et en barre, pointant sur la surface de la rivière et, en chef, sur trois tourteaux de gueules cerclés, chacun, d'un engrenage aussi d'or, mal ordonnés[24].
Détails
  Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1873 1878 Paul Breton   1er maire de la commune, Papetier à Claix
1878 1884 Antoine Girard    
1884 1886 Camille Breton    
1886 1891 Regis Farconnet    
1891 1897 Germain David    
1897 1899 Charles Carron    
1899 1900 Maurice Gatel    
1900 1911 Joseph Gatel    
1911 1912 Léon Magnat Simon    
1912 1919 Henri Sombardier    
1919 1920 Pierre Girard    
1920 1920 Désiré Brun    
1920 1925 Pierre Sombardier    
1925 1929 Auguste Marion    
1929 1930 Louis Buchs    
1930 1935 Auguste Borel    
1935 1941 Charles Raffin Caboisse   Révoqué par le gouvernement de Vichy
1941 1944 Dr Gilbert Rolland   Nommé par arrêté préfectoral
1944 1946 Charles Raffin Caboisse   Réintégré par le Comité Local de la libération
1946 1947 Ferdinand Chapuy    
1947 1951 Charles Raffin Caboisse    
1951 1973 Joseph Thevier SFIO puis PS Conseiller général du Canton de Vif (1965-1973)
1973 1977 Pierre Chastan    
1977 1999 Michel Couëtoux PCF Professeur
Conseiller général du Canton de Vif (1973-1989)
1999 2008 Michel Blonde PCF  
2008 En cours Christophe Ferrari PS puis DVG Professeur des universités,
Président de la communauté d'agglomération de Grenoble (2014-2015)
Président de Grenoble Alpes Métropole (depuis 2014)

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune de Pont-de-Claix dépend du tribunal de grande instance de Grenoble.

Deux brigades de gendarmerie sont présentes sur son territoire :

Politique environnementale modifier

Jumelages modifier

La commune du Pont-de-Claix est jumelée avec :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 10 805 habitants[Note 5], en diminution de 0,12 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1 0321 1411 1309799039361 1051 0211 558
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
1 7652 5562 4402 5503 4684 9149 79012 74611 787
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
11 87111 61211 57311 15210 69810 805---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Le Pont-de-Claix est située dans l'académie de Grenoble.

La ville administre 7 écoles maternelles et 4 écoles élémentaires communales.

Le département gère 1 collège (un des deux collèges de Pont-de-Claix a été fermé en ).

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Médias modifier

Presse écrite modifier

Le site web de la ville peut être consulté pour son agenda « au jour le jour », son annuaire express ou ses différentes informations sur la vie municipale. www.ville-pontdeclaix.fr ; pour suivre au plus près l'activité du maire et des élus, on peut participer au réseau social. On peut également y trouver en téléchargement toutes les publications de la ville dont le magazine municipal d'information Sur le Pont qui parait toutes les huit semaines.

Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble-Isère Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

Il existe également Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné le journal d'annonces légales diffusé de façon hebdomadaire dans le département de l'Isère et dont le siège est situé à Grenoble, ainsi que Le Postillon une publication bimestrielle concernant la ville et l'agglomération grenobloise. Indépendant et à tendance critique (présentant également des caricatures). Créé en 1885, puis épisodiquement disparu, sa version moderne, en version papier autant que numérique, date de 2009[29].

Presse audiovisuelle modifier

Cultes modifier

  • Église Saint-Étienne, avenue des Maquis-de-l'Oisans (route de Vizille)
  • Salle de culte Musulman, quartier des Olympiades

Économie modifier

La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[30],[31].

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

  • La principale industrie de la commune est la chimie avec Rhône Poulenc, ex PROGIL (PROduits GILLet), site industriel classé Seveso. Jusqu'à la fin des années 1960, existait un fabricant d'appareils de radio et télévision : Célard.
  • Il existe une activité de recherche en hydraulique avec le Centre d'études et de recherche de Grenoble créé en 2007.
  • L'entreprise américaine Medtronic possède sur la commune une usine d'aiguilles chirurgicales[32].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monuments religieux modifier

 
Église Saint-Étienne.

Pour le culte catholique, l'église Saint-Étienne, édifiée au XIXe siècle avant même que la commune existe, a été remplacée dans les années 1960 par l'église de la Résurrection. La religion musulmane se pratique dans une salle de prière. La commune n'accueille ni temple ni synagogue.

Monument civil modifier

 
Tramway de la SGTE traversant le pont du Drac au début du XXe siècle.
Le pont de Pont-de-Claix, ou pont de Lesdiguières, est cité parmi les sept merveilles du Dauphiné.
D'allure encore médiévale avec sa chaussée en dos d'âne, son unique arche d'une portée de 46 mètres et de 16 mètres de haut représentait à l'époque une véritable prouesse technique. À l’origine, on pouvait lire gravé dans la roche deux inscriptions latines : UNUS DISTANCIA JUNGO (Unique par ma longueur, je réunis) et ROMANA MOLES PUDORE SUFFUNDO (Je fais rougir de honte les constructions romaines). Il est classé monument historique par arrêté du [33],[34].
  • Château d'eau
Le château d'eau, qui depuis des décennies domine la ville du haut de son promontoire, a été mis en lumière et décoré pour le , quand la ville a fêté son 140e anniversaire.
  • maison forte de Marcelline
La maison forte de Marcelline, aujourd'hui transformée en exploitation agricole sur la voie des Collines, est cité dans l'inventaire du 1339[21].

Patrimoine culturel modifier

 
Histobus Dauphinois.

Les Grands moulins de Villancourt modifier

À la limite avec la commune d'Échirolles, s'élevaient les anciens moulins de Villancourt jusqu'à (environ) 2020[Quand ?].

C'est au tout début des années 1870 que les frères Abel et Louis Dorel, négociants en grains à Grenoble, font construire un moulin pour transformer le blé. Bâti sur un canal de dérivation de la Romanche, détruit par un incendie en 1871, il est aussitôt reconstruit et agrandi en minoterie industrielle, et devient la base d'une concentration industrielle et commerciale[35]. L’ancienne minoterie abrite depuis 1982 le conservatoire de musique à vocation intercommunale Jean Wiener et une salle d'exposition. En 2017-2018, la partie encore en friche du site passe sous la responsabilité de Grenoble Alpes Métropole, où est créé, et bâti, un centre de culture scientifique, appelé Cosmocité. Cette infrastructure culturelle est officiellement inaugurée le .

Le Pont-de-Claix et la littérature modifier

En 2000, paraît aux éditions Albin Michel Jeunesse, un nouvel épisode de la collection « Le Furet enquête » intitulé « Menace sur la ville ». Ce roman écrit par Frank Pavloff raconte l'enquête de Yannick Lerufet, jeune homme nomade, pour démasquer les assassins d'un homme retrouvé mort dans un canal près de Vizille. Son investigation le mènera alors sur la plate-forme chimique du Pont-de-Claix...

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 22/07/2008.
  2. Site de la ville de Fontaine / page sur le Drac.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Pont-de-Claix et Villard-de-Lans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Villard-de-Lans », sur la commune de Villard-de-Lans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  20. Site isere.gouv.fr page sur les arrêtés préfectoraux du 02 juillet 2007.
  21. a b et c Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 394-397.
  22. Photo du bulletin des lois No 140 créant la commune.
  23. Quartier Prioritaire : Iles De Mars Olympiades sur sig.ville.gouv.fr
  24. La banque du blason « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  25. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site web du journal.
  30. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  31. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  32. « Medtronic s’aiguille vers une extension de son usine de Pont-de-Claix (Isère) - Quotidien des Usines », sur usinenouvelle.com/, (consulté le ).
  33. « Vieux pont sur le Drac (également sur commune de Claix) », notice no PA00117241, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Vieux pont sur le Drac », notice no PA38000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Les Grands Moulins de Villancourt : hier, aujourd'hui, demain ... », Echosciences Grenoble,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Annexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier