Lacapelle-Biron

commune française du département de Lot-et-Garonne

Lacapelle-Biron
Lacapelle-Biron
Place du monument aux morts.
Blason de Lacapelle-Biron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes Fumel Vallée du Lot
Maire
Mandat
Nadine Lafon
2020-2026
Code postal 47150
Code commune 47123
Démographie
Gentilé Capelains et capelaines
Population
municipale
406 hab. (2021 en diminution de 8,14 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 04″ nord, 0° 53′ 48″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 243 m
Superficie 13,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Fumélois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lacapelle-Biron
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Lacapelle-Biron
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Lacapelle-Biron

Lacapelle-Biron est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Les habitants sont les capelains et capelaines.

Géographie modifier

Localisation modifier

Située dans la vallée de la Lède en limite du département de la Dordogne.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Soulaures, Biron, Blanquefort-sur-Briolance et Gavaudun.

Communes limitrophes de Lacapelle-Biron[1]
Biron
(Dordogne)
Soulaures
(Dordogne)
  Blanquefort-sur-Briolance
Gavaudun

Hameaux et lieux-dits modifier

Saint-Avit (village natal de Bernard Palissy[2]) hameau situé dans la vallée sur la Lède en limite de Gavaudun. Maisons à colombages, et en pierre, patrimoine historique. Chaque été, exposition de céramistes au musée Bernard Palissy.

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 13 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 880 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1986 à 2008 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LACAPELLE-BIRON-PAILLOLES (47) - alt : 195 m 44° 36′ 18″ N, 0° 54′ 42″ E
Statistiques établies sur la période 1986-2008 - Records établis sur la période du 01-02-1986 au 31-12-2008
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,7 5,5 9,3 12,1 13,8 13,9 10,9 8,9 4,1 2,2 7,3
Température moyenne (°C) 5,5 6,4 9,2 11,2 15,6 18,6 20,5 20,7 17,3 14 8,4 6 12,8
Température maximale moyenne (°C) 9,5 11,1 14,8 16,9 21,8 25 27,3 27,6 23,7 19,1 12,7 9,8 18,3
Record de froid (°C)
date du record
−17,9
17.01.1987
−12,6
10.02.1986
−12,6
01.03.05
−5
07.04.08
−1
06.05.02
3,5
01.06.06
5,5
22.07.08
3,5
30.08.1986
2
25.09.08
−4,8
25.10.03
−10,4
17.11.07
−12,5
30.12.1996
−17,9
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
18,4
28.01.02
23
15.02.1998
26
20.03.05
30,5
30.04.05
34,1
30.05.01
39
22.06.03
38
27.07.05
40,5
05.08.03
37,5
03.09.05
31
04.10.04
23
03.11.05
18,9
16.12.1989
40,5
2003
Précipitations (mm) 70,9 70,5 66,5 95,8 80 73,4 60,4 63,8 74,9 87,7 81,3 78,4 903,6
Source : « Fiche 47123001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lacapelle-Biron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,2 %), zones agricoles hétérogènes (30,7 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Lacapelle-Biron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Lède. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2009[18],[16].

Lacapelle-Biron est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lacapelle-Biron.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 94,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Le 21 mai 1944, lors d'une opération contre le Maquis engagée sur un front allant de Villeneuve-sur-Lot à Frayssinet-le-Gélat, des éléments de la 2e division SS Das Reich raflent 54 hommes[25]. 49 seront déportés dans les camps de concentration de Dachau et Mauthausen[26], 23 n'en reviendront jamais. D'autres rafles et épisodes sanglants ont lieu à Dévillac, Vergt-de-Biron, Frayssinet-le-Gélat, Salles, Fumel, Monsempron-Libos, Montagnac-sur-Lède, le même jour[27].

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à trois bandes d'argent chargées de neuf boulets de charbon de sable, 2, 5 et 2.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
 
Alias du blason de Lacapelle-Biron
D'argent semé de charbons ardents de gueules, à trois bandes d'azur[28].

Politique et administration modifier

 
Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1988 mai 2020 Christian Saint-Béat PS Médecin
mai 2020 En cours Nadine Lafon[29]    

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 406 habitants[Note 6], en diminution de 8,14 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7838138328689701 0691 1071 1211 027
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0859971 013962942951946912828
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
710642600556546529510408432
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
407396369382433429441443455
2017 2021 - - - - - - -
423406-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Lieux et monuments modifier

  • Monument départemental de la déportation : érigé sur la place du village en souvenir de la rafle du [34].
  • Église Saint-Avit au village de Saint-Avit. Église des XIIIe et XVe siècles, classé monument historique en 1954[35].
  • Église Notre-Dame de Lacapelle-Biron.
  • Musée Bernard-Palissy au village de Saint-Avit.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Bernard Palissy (~1510-1590), potier, émailleur, peintre, verrier, écrivain et savant français, serait né, selon certains, vers 1510 au hameau de Saint-Avit, près de Lacapelle-Biron[36].
  • Le docteur Samuel Kessel, père de Joseph Kessel s’est installé pour quelque temps à Lacapelle-Biron avec sa famille en [37]

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Louis Audiat, le fait naître au lieu-dit Saint-Avit près de Lacapelle-Biron [lire en ligne (page consultée le 1er février 2012)].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 47123001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lacapelle-Biron », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lacapelle-Biron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Nicolas Espitalier, « Le jus de groseille », Sud-Ouest Mag, no 509,‎ , p. 1 (ISSN 1760-6454).
  26. Koscielniak (Jean-Pierre), Lacapelle-Biron, 21 mai 1944. Histoire et mémoire d'une rafle de la division Das Reich, Le Passage, MRLG, 2013.
  27. L'affaire de Vergt-de-Biron et Lacapelle-Biron.
  28. Armorial de France.
  29. Michel Deblard« La première maire de la commune », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Pierre Bardou, « Mémoires d'Aquitaine - C4667 - Monument départemental aux déportés durant la guerre 1939-1945 à Lacapelle-Biron. », sur crdp.ac-bordeaux.fr (consulté le ).
  35. « Eglise Saint-Avit », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  36. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 724.
  37. « Sur les traces de Kessel », La Dépêche du Midi, 25 décembre 2011.