Gosselies

section de Charleroi, Wallonie (Belgique)

Gosselies
Gosselies
Tours de l'église Saint-Jean-Baptiste et de l'ancien château.
Blason de Gosselies
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Commune Charleroi
Code postal 6041
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Gosselien(ne)[1]
Population 10 774 hab. (1/1/2022[2])
Densité 890 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 55″ nord, 4° 25′ 40″ est
Superficie 1 211 ha = 12,11 km2
Localisation
Localisation de Gosselies
Localisation de Gosselies dans la commune de Charleroi
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Gosselies
Liens
Site officiel www.gosselies.be

Gosselies (en wallon Gochliye) est une section de la ville belge de Charleroi située en Wallonie dans la province de Hainaut. C'était une commune à part entière et une ville avant la fusion des communes de 1977.

Étymologie modifier

L'étymologie de Gosselies prête encore à controverse.

Selon certains, elle viendrait d'un nom de personne romanisé lié à l'existence d'une villa gallo-romaine. Gossilius serait dans ce cas à l'origine de Gosselies[3].

Selon d'autres sources, le nom de Gosselies proviendrait de Gossiniacas constitué de Gossin (ou Goswin) nom d'origine germanique et du suffixe -acus d'origine celtique[4].

Géographie et hydrologie modifier

Topographie modifier

Morphologie urbaine modifier

Quartiers modifier

  • Sart-les-Moines. Ce hameau tire son nom du prieuré bénédictin que la comtesse Pétronille de Gosselies y établit dans sa propriété d'Avelinsart, vers l'an 1110, en tous cas avant 1113[5]. Le hameau devait être peu important car, dans un acte du troisième quart du XIIe siècle, l'archidiacre de Liège, Amaury, déclare qu'il n'y a que peu de masuiers qui habitaient autour de l'église du Sart, et, que le curé de Gosselies, les enterrements se feront par celui-ci au Sart même[6]. La chapelle située dans le bois du Sart était celle de N. D. de Consolation[7], qui porte la date de 1711 et le chronogramme : ADast aLMa ConsoLatrIX[6].
  • Ferté. La Ferté est le nom du moulin qui se trouve sur le cour du Piéton entre la chaussée de Courcelles et de Sart-les-Moines. Il tire son nom de l'ancien château fort (firmitas, en français fermeté ou ferté), que la dame de Gosselies possédait au début du XIIe siècle à Avelinsart (plus tard Sart-les-Moines), et qu'elle fit raser quand elle voulut fonder un prieuré de moines de Liessies vers 1110[8].
  • Hautebise. La cense d'Hautebise, située à l'extrémité de Gosselies, au-dessus de Piersoulx vers Ransart, était un fief de la seigneuries de Gosselies, qu'on trouve mentionné dans le relief de 1440 sous la forme de Hodebise, en 1496 Hotebise, Haultebise en 1517-1518, Huthbise, en 1523-24, Hotebize en 1513, Hottebize en 1548, Hautebize en 1570, Haudetbize en 1702, Authebise en 1753, Hotebise en 1767, Audebise en 1763, Hodebize en 1767[9].
  • Pont-à-Migneloup. Le hameau de ce nom, situé à l'extrémité de Gosselies de Gosselies vers Mellet et partagé avec cette dernière commune, sur la chaussée de Charleroi à Bruxelles, s'appelait en 1203 Melingiolum[10]. Le hameau se trouvait sous plusieurs juridictions, comme maintenant encore, sous Gosselies, Mellet, Wayaux. Le 30 janvier 1819, Mgr Hirn réunit à Mellet le hameau de Pont-à-Migneloup qui relevait jusque-là pour le spirituel de Thiméon[11]. Ce serait assurément une erreur que de rapprocher la forme actuelle de Migneloup d'un lieu-dit qui lui ressemble, Meneilut à la Louvière, où l'on a voulu voir le meigne, meine, mesnil ou repaire du leu, loup, en raison de sa situation dans l'endroit qui portait aussi le nom de Luparia, la Louvière. Plus fantaisiste encore est l'étymologie : migne, migni, mougni, manger[11]. Ce nom dérive tout naturellement de Mellet, dont il est le diminutif. Mellet se disait, dans le Haut Moyen Âge, Meleng, comme Mettet Meting, Baulet Baling. Le diminutif latin était Melengiolum, qui a donné Melignoul, comme Fleurus Fleuri-soul (Fleurjoux). Le même phénomène se présente pour Glabais et Glabjoux, Ways et Wésoul, Marbais et Marbisoux, en wallon Mabjoux[11].
  • Chapois. Les indications que nous avons données dans la partie générale suffisent pour permettre au lecteur de situer le Chapois. Il occupait la moyenne enclave jumétoise, mais il débordait un peu sur la juridiction de Saint-Ursmer. Cette dernière constatation semblerait indiquer que l'existence du Chapois est antérieure à l'époque où la juridiction de Saint-Ursmer fut séparée du territoire de Jumet[12].

Hydrographie modifier

 
L'écluse sur le canal Charleroi-Bruxelles.

Gosselies est traversé par plusieurs ruisseaux [13],[14],[15] :

  • Au nord et à l'est, le Taravisée, Piersoulx, Péreupont et Tintia. Les trois premiers se jettent dans ce dernier qui est un affluent du Piéton.
  • A l'ouest, le Sauci, le Rosaire et son affluent le Leuze. Ils se jettent dans le Piéton.
  • Au sud, le Lodelinsart qui se jette dans la Sambre.

Ils font partie du bassin de la Meuse.

Démographie modifier

Évolution de la population[16],[17]
1801 1815[18] 1840[18] 1846 1890[18] 1900 1910[18] 1938[18] 1947 1977[19] 2001 2010[20]
2 872 2 977 4 560 5 038 9 790 9 614 9 940 9 740 10 018 10 644 10 386 11 111

Histoire modifier

Moyen-Âge modifier

Gosselies fut cédée par Saint-Ursmer à l'Abbaye de Lobbes. Elle est mentionnée pour la première fois dans une charte de Notger, prince-évêque de Liège.

Les seigneurs de Gosselies modifier

La seigneurie de Gosselies, qui dépendait du comté de Namur, appartenait, en 1236, à Thierry de Brerbais, à la famille de Bousier, de Rubempré, de Sainte-Aldegonde et de Bergerand, dont le dernier descendant, exilé par l'occupant français, mourut à Londres en 1795 : Antoine-Laurent de Bergerand, chevalier, seigneur de Gosselies, ancien conseiller à la cour du Parlement de Flandres, épouse en 1794 à Tournai Isabelle-Charlotte du Chambge de Liessart (1770-1853). Antoine-Laurent meurt sans enfants à Londres le . Son épouse est la fille de Charles-Louis-Philippe du Chambge de Liessart, chevalier, seigneur de Liessart, Frévillers, conseiller du roi en ses conseils, premier président du bureau des finances de la généralité de Lille, grand bailli du Hainaut, commissaire du roi pour l'audition et l'arrêté des comptes des États de Lille, Douai, Orchies, émigré en 1791, membre de l'armée des émigrés, et d'Isabelle-Ernestine-Joseph le Maistre d'Anstaing. Isabelle-Charlotte naît à Lille le , est en émigration au moment de son mariage, rentre en France après la mort de son mari et meurt à Lille le , à l'âge de 82 ans, est inhumée dans le caveau de famille de Vendin-le-Vieil[21].

Temps modernes modifier

Époque contemporaine modifier

Gosselies possédait plusieurs enclaves de Jumet, c'est en 1804, à la suite d'échanges entre les deux communes, que les hameaux de Moncil et Sart-les-Moines deviennent Jumétois et Chapois gosselien. Gosselies a reçu son titre de ville qu'elle a perdu lors de la fusion des communes de 1977.

Armoiries modifier

 
Blason de Gosselies
Blasonnement : De gueules au château d'or crénelé, maçonné et ouvert de sable[22].



 
Métro près de la place du Calvaire.

Transports modifier

Liste des bourgmestres modifier

Patrimoine et bâtiment modifier

  • Église Saint-Jean-Baptiste. Dès 1100, l'église de Gosselies était érigée en paroisse ; toutefois, on ne possède aucune information sur l'édifice qui précéda celui érigé après 1554 (il constitue encore la partie principale de l'église actuelle). Henri II de France ordonne personnellement l'incendie de l'église en 1554 ; elle fut reconstruite entre 1589 et 1611, date de sa consécration ; de nombreuses transformations furent apportées dans les siècles suivants et notamment en 1713 et en 1872. Seul le pignon nord date de 1554 : à remarquer le portail en style gothique. Les nefs datent des XVIe et XVIIe siècle. La flèche s'élève à 65 mètres et elle est flanquée de quatre clochetons. La première flèche fut posée en 1616 et s'effondra en 1618. La tour elle-même eut à souffrir d'un bombardement et elle ne fut reconstruite qu'en 1714. En 1860, le clocher s'écroula, ce qui entraîne une nouvelle restauration ; un méchant sort s'acharnait sur le malheureux clocher puisqu'en 1876 la flèche s'effondra sous la violence d'un ouragan[23]. Le 25 janvier 1990, une tempête renversa le clocher, il a dû être reconstruit en 1994.
  • Tour de l'ancien château. Sur la place, une haute tour constitue le seul vestige de l’ancien château médiéval. L’édifice fut construit de 1423 à 1534 par la famille de Bousies, seigneurs du lieu, dont les armoiries sont encore inscrites au-dessus de la porte d’entrée (croix blanche sur fond bleu)[24].
  • Portail néo-baroque de la fin du XIXe siècle[25].
  • Chapelle du Calvaire. Oratoire construit en 1808, actuellement en très mauvais état[26].
  • Église Saint-Joseph. Édifice construit en 1933 sur les plans de l'architecte Desneden[27].
  • Centre civique. Le centre civique de Gosselies est constitué d’un ensemble de bâtiments de style éclectique construits en briques, pierre bleue et pierre blanche dans le dernier quart du 19e siècle. Il abrita l'ancienne école dite du « Marais », puis l'école communale Junius Massau et enfin l'école industrielle. Remarquablement rénové, ce bâtiment est aujourd'hui occupé par des services administratifs de la ville de Charleroi. La salle des mariages abrite les portraits des seigneurs de Gosselies, vassaux du duc de Brabant sous l’Ancien Régime, ainsi qu'une gargouille du clocher détruit par la tempête en 1990[28].
  • Chapelle Notre-Dame de Grâce, construite à la deuxième moitié du XVIIe siècle transformée en habitation au XVIIIe siècle et agrandie au XIXe siècle.
  • Moulin de la Ferté, près du prieuré de Sart-les-Moines. Ancien moulin du prieuré de Sart-lez-Moines dont il ne subsiste que le corps principal actuellement en très mauvais état[29].
  • Ferme du Petit-Piersoulx, Ensemble semi-clôturé des XVIIIe, XIXe et XXe siècle[27].
  • Château du Chapois, actuellement le Collège Saint-Michel. Bâtiment inspiré du style empire.
  • Maison Gaspar-Thibaut. Construite vers 1900, de style Art nouveau.

Bâtiments disparus modifier

  • Hôtel de Ville[33]. Construit de 1879 à 1884 par l'architecte Émile Tirou en style éclectique. L'hôtel de ville ébranlé par les dégâts miniers a dû être démoli dans les années 70.
  • Hospice Theys. Hospice fondé par Monsieur Louis Theys, avocat à Gosselies, décédé en février 1856. Il fut repris par la C. P. A. S. de Gosselies et subsiste actuellement dans des bâtiments très modernes[34].

Enseignement modifier

Culture modifier

Santé modifier

Sport modifier

Clubs modifier

Infrastructures modifier

Économie modifier

Gosselies est desservie par deux axes autoroutiers principaux de Belgique et européens, à savoir la E420 (Charleroi - Bruxelles) et la E42 (Mons - Liège), et accueille l'aéroport de Charleroi aussi appelé Brussels South Charleroi Airport. Un des pôles technologiques principaux de l'agglomération de Charleroi, appelé logiquement Aéropôle, est situé à proximité immédiate de ce dernier. Ce pôle technologique présente un vivier florissant d'entreprises biotechnologiques à dimensions internationales, le Biopark. L'Université libre de Bruxelles ainsi que l'Université de Mons y sont aussi présentes par le biais d'instituts de recherche et de formation. Il y a aussi le siège de la Sonaca, entreprise aérospatiale.

Personnalités modifier

  • Dom Ursmer Berlière (Joseph Berlière), né à Gosselies le et mort le , à l'abbaye de Maredsous (Belgique) est un moine bénédictin, théologien et historien ecclésiastique de renom.
  • Le chanteur/auteur/compositeur Philippe Lafontaine y est né.
  • L'ingénieur belge Junius Massau, né à Gosselies le , mort à Gand le [35].
  • Franz Michaux (Gosselies, 1912-1994), écrivain de langue française et de langue wallonne, dont les pièces de théâtre en wallon furent écrites et représentées en captivité dans les camps allemands, et considéré comme le dramaturge hennuyer en langue dialectale le plus important durant la Seconde Guerre mondiale[36],[37].
     
    Ida Pascolo (1924-2012).
  • Ida Pascolo (née Filippig), matricule no 88542, ainsi que sa sœur Augusta, survivantes des camps de la mort. Arrêtées en février 1944 pour faits de résistance et raison politique en Italie (elles cachèrent notamment Arturo Siega (1924-1987)[38],[39], commandant d'une section de résistants), déportées d'abord à Trieste puis à Buchenwald, puis près d'une année à Auschwitz, elles ont pu s'évader toutes deux des marches de la mort d'Auschwitz en 1945. Ida Pascolo est née à Cornappo (commune de Taipana en Italie) le 4 décembre 1924. Elle est décédée à Gosselies le 15 septembre 2012. Elle repose depuis le 24 septembre 2012 à Monteaperta (Italie) auprès de sa sœur Augusta. Augusta (née Filippig) est née le 14 mars 1913 et est décédée le 30 mai 1997 [40].
  • Le coach de basketball Daniel Goethals le 21 octobre 1969.
  • Émile Tirou (Gosselies 1841 Saint-Gilles 1900)[41], architecte. Il a notamment construit l'hôtel de ville de Ransart (1885) et l'agrandissement de l'église Saint-Jean-Baptiste de Gosselies en 1875.

Notes et références modifier

  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
  2. https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  3. Louis Bertaux, La romanisation de la Wallonie - volume 5, Institut Jules Destrée, (lire en ligne), p. 64
  4. Bulletin de la Société de littérature wallonne - Volumes 58-59, H Vaillant-Carmanne, (lire en ligne), p. 201
  5. Berlière 1926, p. 70.
  6. a et b Berlière 1926, p. 71.
  7. Cette chapelle se trouve sur le territoire de la localité voisine de Roux.
  8. Berlière 1926, p. 75.
  9. Berlière 1926, p. 78.
  10. Berlière 1926, p. 82.
  11. a b et c Berlière 1926, p. 83.
  12. Berlière 1926, p. 106.
  13. « CadGIS Viewer Grand Public »
  14. http://cartopro3.wallonie.be/CIGALE/viewer.htm?APPNAME=ERRUISSOL&APPMODE=VIEWER
  15. http://www.geminiacum.be/documents/Carte_promenade_01.pdf
  16. Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
  17. 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une Métropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 2-930014-42-3), p. 337
  18. a b c d et e Eugène De Seyn, Dictionnaire historique et géographique des communes belges, vol. 1 : A-L, Turnhout, Brepols, , 3e éd.
  19. Fusion de communes en Belgique
  20. 31/12/2011, chiffres donnés par l'Administration communale de Charleroi en date du 14 octobre 2011
  21. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-58..
  22. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 218
  23. Willy Staquet, Le Pays de Charleroi, Mons, Fédération du Tourisme du Hainaut, , 197 p., p. 121
  24. « Ancien château de Gosselies », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le )
  25. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 122.
  26. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 120.
  27. a et b Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 125.
  28. « Centre civique de Gosselies », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le )
  29. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 121.
  30. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 119-120
  31. a et b Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 123
  32. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 123-124
  33. Il se situait sur la place des Martyrs près de l'actuel centre civique.
  34. Texte tiré d'un calendrier de 1982.
  35. F. Bureau, Notice sur Junius Massau, Académie royale de Belgique, 44 p. (lire en ligne)
  36. Émile Lempereur, Les Lettres dialectales en Hainaut, , p. 38
  37. Rita Lejeune et Jacques Stiennon (dir.), La Wallonie, le pays et les hommes : Lettres-arts–culture, t. III : De 1918 à nos jours, Bruxelles, La Renaissance du Livre, (présentation en ligne, lire en ligne), Troisième partie : Les lettres dialectales, chap. IV "Le théâtre dialectal en Wallonie au XXe siècle", par Émile Lempereur, p. 228
  38. Arturo Siega. Une rue de Resia porte son nom.
  39. http://dati.camera.it/ocd/page/aic.rdf/aic4_10802_12
  40. citée à l'ordre du jour et inscrite au livre des délibérations du conseil communal de Taipana (province d'Udine, Italie) le 26 septembre 2012
  41. Jean-Louis, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 15

Annexes modifier

Articles connexes modifier

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Bibliographie modifier

  • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
  • Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Gosselies, Charleroi, Espace Environnement, , 20 p. (lire en ligne)
  • Ursmer Berlière, Recherches historiques sur la ville de Gosselies, vol. 1 : histoire de la paroisse, Gembloux, Abbaye de Maredsous/J. Duculot, , 252 p.
  • Ursmer Berlière, Recherches historiques sur la ville de Gosselies, vol. 2 : topographie et toponymie, Gembloux, Abbaye de Maredsous/J. Duculot, , 325 p. — Illustrations et carte hors texte.
  • Ursmer Berlière, Recherches historiques sur la ville de Gosselies, vol. 3 : le château, la seigneurie, la terre franche, Gembloux, Abbaye de Maredsous/J. Duculot, , 192 p. — Illustrations hors texte.
  • Emmanuel Brutsaert (Rédacteur en chef), Gilbert Menne (Secrétaire d'édition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN 978-2-87386-599-3), p. 151-152.

Liens externes modifier