Etcharry

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Etcharry
Etcharry
La mairie et l’école
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Bernard Casabonne
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64221
Démographie
Gentilé Etxarriar
Population
municipale
156 hab. (2021 en augmentation de 28,93 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 28″ nord, 0° 55′ 37″ ouest
Altitude Min. 86 m
Max. 227 m
Superficie 7,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Etcharry
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Etcharry
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Etcharry
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Etcharry

Etcharry est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Etxarriar[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune d'Etcharry se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 85 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 81 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 10 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Aroue-Ithorots-Olhaïby (1,0 km), Domezain-Berraute (3,0 km), Espiute (4,1 km), Gestas (4,4 km), Nabas (4,4 km), Rivehaute (4,5 km), Tabaille-Usquain (4,6 km), Lichos (4,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Etcharry fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Etcharry.

La commune est drainée par le Lafaure, eiherabideko erreka, thiankoenerreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[13],[Carte 1].

Le Lafaure, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Lohitzun-Oyhercq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison à Espiute, après avoir traversé 5 communes[14].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 296 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 6 km à vol d'oiseau[18], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[23], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[24],[Carte 2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Etcharry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,9 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), terres arables (19,9 %), prairies (18,5 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

Quatre quartiers composent la commune d'Etcharry[31] :

  • Amitxagünea
  • Bartak
  • Elizatea
  • Tüketea (Le Tuquet sur les cartes IGN)

Voies de communication et transports modifier

Etcharry est desservie par les routes départementales D11 et D316.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Etcharry est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau Lafaure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[34],[32].

Etcharry est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Etcharry.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[39].

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Le toponyme Etcharry apparaît sous les formes Charri (1385[40], collection Duchesne volume CXIV[41]), Echari (1467[40], contrats d'Ohix[42]), Dicharü (1472[40], notaires de Labastide-Villefranche[43]), Amichalgun de Charri et Echarry (1690[44]).

Autres toponymes modifier

Amichalgue, fief dont le titulaire était d'après Paul Raymond l'un des dix potestats de Soule, est mentionné en 1385[40] (collection Duchesne volume CXIV[41]) et apparaît sous la forme Amichalgun en 1520[40] (coutume de Soule[45]).

L'hydronyme Lafaure apparaît sous les formes la Phaura en 1538[40] (réformation de Béarn[46]) et la Phaure et 1863[40].

Graphie basque modifier

Son nom basque actuel est Etxarri[1] (ou Etxarri Zuberoa[1]).

Histoire modifier

Etcharry fait partie de la messagerie de Basse-Soule[47] et de la daiguerie d’Aroue (Arüe). Dans son ouvrage Les noms des maisons médiévales en Labourd, Basse-Navarre et Soule[48] Jean-Baptiste Orpustan précise que la principale source d'informations sur l'habitat médiéval souletin est le censier dit « gothique », rédigé à la fin du XIVe siècle, vers 1375. Un censier (appelé parfois livre terrier) était un recueil des droits coutumiers établi à l'instigation d'un seigneur, voire d'un souverain, pour dénombrer les feux (foyers), les vassaux et les manants vivant sur ses terres et estimer aussi les revenus fiscaux et les services pouvant en être obtenus. Ce censier « gothique » du fait de son écriture, aurait disparu après qu'une copie moderne en avait été faite au XVIIe siècle. Sur la paroisse d'Etxarri une quinzaine de familles ou maisons y sont recensées. Deux maisons nobles, Amilxagun (ou Amixalgun) et Oihanarte, sept maisons dites « franches » ou libres, ne reconnaissant aucune autre autorité que celle du roi (Artetxe, Beheti, Garatetxe, Ihiaga ou Ihiga, Lehimaz, Tartas et Tartas-Behere) et six maisons dites « fivatières », c'est-à-dire maisons dépendant d'une autre maison, noble ou franche (Aroztegi relevant d'Oihanarte, Etxekapare relevant d'Amilxagun, Etxekun relevant d'Oihanarte, Harriaga relevant d'Oihanarte, Kurutxaga relevant d'Oihanarte et Salaberri relevant d'Oihanarte).

Certaines de ces maisons (Amilchague, Arteix, Garateix, Lehimas) ont traversé les siècles et subsistent encore au XXIe siècle. Le petit château qui se dressait au nord du village au lieu-dit Tartas a été rasé par son propriétaire à la fin du XXe siècle. Au nord du territoire de la commune, une colline appelée Le Tuquet (en basque Gazteluzar) abritait au XVIe siècle un poste de garde de la famille de Tartas, fortifié pour surveiller les mouvements belliqueux des protestants de Sauveterre-de-Béarn. Etcharry marquait en effet la limite avec le Béarn protestant.

Le château d'Etcharry, dit Oihenartia ou Elgart[49], de style Louis XIII, construit à l'emplacement de l'ancienne maison Oihenartia par Mlle Juantho originaire d'Aroue, puis mariée à un Alsacien du nom de Keller est inauguré en 1902. Il est vendu en 1963 à l'association pour la formation en milieu rural, visant entre autres à la formation de conseillers agricoles.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2014 Jean-Pierre Charo Divers  
2014 En cours Bernard Casabonne Divers  
Les données manquantes sont à compléter.

Jean-Pierre Charo a parrainé la candidature de Jacques Cheminade à l'élection présidentielle de 1995.[réf. nécessaire]

Intercommunalité modifier

La commune appartient à sept structures intercommunales[50] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique d'Arbérats-Sillègue, Arbouet-Sussaute, Aroue et Etcharry ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat mixte forestier des vallées basques et béarnaises.

Etcharry accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique d'Arbérats-Sillègue, Arbouet-Sussaute, Aroue et Etcharry ainsi que celui du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 156 habitants[Note 9], en augmentation de 28,93 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
418414424423498530521499447
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
414367346332349350353320326
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
312320301289273275268262215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
205148146153143122127129121
2018 2021 - - - - - - -
135156-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dispose d'une école primaire publique[55] et d'un collège-lycée catholique privé pour garçons, abrité au château d'Etcharry.

Économie modifier

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église Saint-Pierre avec vue du cimetière

Patrimoine civil modifier

Un gaztelu zahar, situé à 225 mètres d'altitude, est visible au lieu-dit le Tuquet.

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Pierre[56] date de 1875.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Etcharry » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Etcharry », sur geoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
  2. a b et c « Métadonnées de la commune d'Etcharry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Etcharry et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Etcharry et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Etcharry et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Etcharry », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. « Fiche communale d'Etcharry », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  14. Sandre, « le Lafaure ».
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  18. « Orthodromie entre Etcharry et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Etcharry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  27. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Palais », sur insee.fr (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. [1]
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Etcharry », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  35. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  36. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  41. a et b Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  42. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  43. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  44. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne).
  45. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
  46. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  47. La Soule était divisée en trois messageries, celle de Haute-Soule (Basabüria), de Basse-Soule (Pettara) et celle des Arbailles (Arbailak).
  48. publié en 2000 aux éditions Izpegi
  49. Guide de la Soule
  50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  55. [2]
  56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Article connexe modifier

Liens externes modifier