Estrées (Nord)

commune française du département du Nord

Estrées
Estrées (Nord)
La mairie.
Blason de Estrées
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Douaisis Agglo
Maire
Mandat
Lionel Blassel
2020-2026
Code postal 59151
Code commune 59214
Démographie
Gentilé Estrésiens, Estrésiennes[1]
Population
municipale
1 116 hab. (2021 en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015)
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 03″ nord, 3° 04′ 14″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 63 m
Superficie 5,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Gouy-sous-Bellonne
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives 17e circonscription du Nord
Localisation
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Estrées
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Estrées
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Estrées
Liens
Site web https://www.estrees.fr/

Estrées est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

 
Le village dans le paysage.

Estrées est située dans une plaine, et est à proximité du canal de la Sensée, qui passe à environ 1 kilomètre.

Une butte surplombant le village, est utilisée comme champ.

Estrées et Gouy, le village à proximité, sont séparés par la limite entre les départements du séparant le Nord et du Pas-de-Calais.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Estrées
Gouy-sous-Bellonne Gœulzin
Bellonne   Cantin
Tortequesne Hamel Arleux

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Estrées est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gouy-sous-Bellonne, une agglomération inter-départementale regroupant 2 communes[11] et 2 512 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,9 %), zones urbanisées (10,7 %), forêts (0,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 466, alors qu'il était de 436 en 2014 et de 415 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 95,9 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Estrées en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Estrées en 2019.
Typologie Estrées[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,9 90,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 3,2 7,8 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par la ligne 20 du réseau Évéole.

Toponymie modifier

Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[17]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[18].

Histoire modifier

Vers 1070, l'évêque de Cambrai et Seigneur du village cède celui-ci au chapitre Sainte-Croix de Cambrai. Le premier château féodal est détruit en 1488 et le second château subit le même sort lors de la Révolution[19].

Avant la Révolution française, Estrée est le siège d'une seigneurie. Au début du XVIIIe siècle, elle relève du roi à cause du château de Douai. Elle consiste en un château et des terres de différentes sortes (terres labourables, prairies, marais, bois,..); 52 arrière-fiefs en relèvent[20].

Détenue par Claude-François Marnix, vicomte d'Ogimont, baron de Rollencourt (Rollancourt?), Berlecourt, Maisoncelle, et son épouse Anne-Antoinette-Agnès de Haudion au début de 1714, elle est vendue par contrat passé à Arras devant notaires le à Louis-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies, La Broye, Lannoy, fils de Lamoral-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies et de La Broye, et de Marie Madeleine van der Meere, et mari de Anne-Marie de Logenhagen[20].

Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 18012 du canton d'Arleux[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aniche

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-septième circonscription du Nord.

Intercommunalité modifier

Estrées est membre de la communauté d'agglomération dénommée Douaisis Agglo, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats modifier

Lors du premier tour des Élections municipales françaises de 2020 , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 817 inscrits, dont 385 votants (47,12 %), 6 votes blancs (1,56 %) et 349 suffrages exprimés (90,65 %). La liste Ensemble, continuons pour l'avenir d'Estrées menée par le maire sortant Lionel Blassel recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[23],[24].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
An VIII de la République 1813 Charles-Joseph Vallez    
1813 1820 Jean-François Vallez    
1820 1848 Jean Joseph Vallez    
1848 1857 François Verdier    
1857 1860 Auguste Corbhent    
1860 1865 Désiré Joseph Bégot    
1865 1865 Géry Mazure    
1865 1868 Jean-Hubert Fauveaux    
1868 1881 Henry DILLY    
1881 1888 Nicolas Lefranc    
1888 1904 Armand Lemaire    
1904 1911 Anaclet Fernand Lefebvre    
1911 1916 Omer Joseph Delacroix    
1919 1923 Fernand Lefebvre    
1923 1925 Louis Drancourt    
1925 1929 Aristide Lefranc    
1929 1938 Georges Leveque    
1938 1947 Martial Briez    
1947 1953 René Lemaire    
1953 1959 Jean Plouvier    
1959 1967 Octave Hérin    
1967 1983 André Cauchy[Note 3]    
1983 1995 Maurice Sauvage    
2001 2008 Daniel Laczny SE  
2008 2014 Clovis Pintiaux[Note 4] SE  
2014[26],[27] En cours
(au 13 septembre 2022)
Lionel Blassel DVD Vice-président de la CA Douaisis Agglo (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Équipements et services publics modifier

 
La salle des fêtes André-Cauchy.

Les enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Thérèse-Gras, ainsi dénommée en mémoire d'une peintre qui « faisait preuve d'un dévouement exemplaire à l'égard de la commune et pour les enfants de l'atelier de peinture[29] ».

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 116 habitants[Note 5], en augmentation de 0,45 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1898369279121 0189699791 016985
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0101 0621 0551 0191 0241 0431 0091 0061 001
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
916912832646673701696696718
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7387868549461 0271 0381 0441 055981
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1051 1031 116------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 551 hommes pour 555 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
1,8 
5,7 
75-89 ans
6,0 
19,5 
60-74 ans
21,6 
21,0 
45-59 ans
20,1 
18,2 
30-44 ans
19,8 
13,0 
15-29 ans
12,2 
21,4 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Vie associative modifier

Le Village d’Estrées est composé de plusieurs associations.[réf. nécessaire]

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église.
  • Église Saint Sarre reconstruite après 1918: beau clocher en grès.
  • À Estrées se trouvent plusieurs lieux commémoratifs : le monument situé sur la place de la mairie, commémorant les anciens combattants du village de la guerre 1939-1945, le square Maurice Sauvage, à l'hommage d'un ancien maire, ainsi qu'une butte (relief qui surplombe estrées), où un château y figurait il y a plusieurs siècles.
  • Un calvaire se tient rue du Mont, tous les ans y est célébrée une messe en plein-air lors des fêtes du Mont Carmel (à la mi-Juillet)[35].
  • Entre Estrées et Gœulzin se trouve une source, et sur les champs entre Estrées et Férin, on peut apercevoir les restes d'un ancien moulin en briques rouges, où, depuis son abandon, reposent de merveilleux oiseaux.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De sinople à la fasce d'hermines.
Détails
Les armes sont identiques à celles de Gruson et de Wicres.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Folklore modifier

La commune possède un géant[36] : Oscar[37].

Annexes modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La salle des fêtes de la commune porte le nom de ce maire.
  4. Une place de la commune porte le nom de ce maire, élu municipal de 1983 à 2019.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Estrées » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Estrées - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Estrées - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Services publics Estrées », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Estrées et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gouy-sous-Bellonne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
  18. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
  19. Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 67-68
  20. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 58, lire en ligne.
  21. Journal officiel du 12 février 1921, p. 1897.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Élections municipales, Estrées », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 32.
  24. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Estrées », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
  25. Source : A. Romano secrétaire de Mairie, le 25/11/2022.
  26. « Estrées : Lionel Blassel succède à Clovis Pintiaux à l’élection du maire : Beaucoup d’Estrésiens étaient étonnés dimanche dernier de l’élection sans appel de la liste menée par Lionel Blassel face à celle d’Hervé Berdys », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Alice Favier, « Estrées : un parking pour la salle des fêtes et un préau pour l’école : À 53 ans, Lionel Blassel a entamé son premier mandat. Son objectif est de conserver la bonne situation financière en ciblant les priorités de sa commune. Première cible, l’école qu’il qualifie de « poumon du village » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Estrées: Lionel Blassel parti pour un second mandat de maire : C’est dans la salle des fêtes d’Estrées, sans public, qu’a eu lieu le conseil municipal qui a procédé à l’élection du maire et de ses adjoints. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Le groupe scolaire Thérèse Gras », Services > Enfance et jeunesse, sur estrees.fr (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrées (59214) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  35. Site internet de la ville : https://www.estrees.fr/decouverte/fetes-locales/la-fete-du-mont-carmel/
  36. Arnaud Déthée, « Tristan, le p'tit Belge qui veut sortir les géants de l'oubli », La Voix du Nord, no 24102,‎ , p. 10 (lire en ligne) :

    « Le Douaisis continue à faire naître des géants, comme à Auberchicourt ou Estrées. »

    .
  37. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15