Montevideo
Montevideo, ou Montévidéo[2], de son nom complet San Felipe y Santiago de Montevideo, est la capitale, le principal port et la plus grande ville d'Uruguay, et est aussi celle du département de Montevideo. Montevideo possède une des plus importantes rades des Amériques (appelée Rambla[3]). Elle se trouve dans la partie sud du pays et est bordée par le Rio de la Plata. La ville comptait 1 325 968 habitants en 2004 et son aire métropolitaine 1 668 335, soit presque la moitié de la population du pays.
Montevideo San Felipe y Santiago de Montevideo | |
Héraldique |
|
Ci-dessus, de gauche à droite : Palais législatif, Théâtre Solís, Obélisque aux constituants, Marché agricole, Tour des télécommunications, Palacio Salvo, église des Carmélites, monument à la Carreta et au Cerro de Montevideo | |
Administration | |
---|---|
Pays | Uruguay |
Département | Montevideo |
Maire | Christian Di Candia (Front large) |
Démographie | |
Gentilé | Montévidéens[1] |
Population | 1 319 108 hab. (2011) |
Densité | 2 510 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 34° 53′ 00″ sud, 56° 10′ 00″ ouest |
Altitude | 43 m |
Superficie | 52 554 ha = 525,54 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.montevideo.gub.uy/ |
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Ville chargée d'histoire avec ses beaux monuments historiques et ses places iconiques comme la Plaza Independencia, place principale de la capitale, et la place Cagancha, cœur géographique de la ville d'où partent toutes les routes nationales du pays, Montevideo est aussi le principal centre économique, universitaire et culturel de l'Uruguay. Longeant le vaste estuaire, la ville a développé une vocation touristique et balnéaire avec quelques plages bien aménagées telles que Pocitos, Buceo, Malvín, Playa de los Ingleses, Playa Verde, Punta Gorda et Carrasco
Montevideo accueille le siège du Mercosur et celui de l'Association latino-américaine d’intégration. Montevideo est considérée comme la ville d'Amérique latine où la qualité de vie est la plus élevée et fait partie des 30 villes les plus sûres du monde.[réf. nécessaire].
Géographie
modifierLocalisation
modifierMontevideo est située dans le sud de l'Uruguay, en bordure du Río de la Plata et se développe autour d'une baie abritant un port naturel, qui a donné son nom à la baie de Montevideo. Le site portuaire est l'un des plus importants du cône Sud. Son relief est peu accentué et culmine à 136 mètres au Cerro de Montevideo.
C'est la capitale la plus méridionale du continent américain.
Elle est au cœur d'une importante aire métropolitaine qui rassemble plus de la moitié de la population de l'Uruguay.
Hydrographie
modifierLa ville est parcourue de nombreux petits fleuves côtiers dont le plus important est le río Santa Lucía qui en marque la limite occidentale et qui est franchi par des ponts dont le pont moderne Alfredo Zitarossa qui la relie à Ciudad del Plata.
Climat
modifierMontevideo est marquée par climat subtropical humide aux précipitations typiques du climat océanique. L'hiver est humide, venteux et nuageux, cependant l'été est chaud et humide avec peu de vent. La température moyenne s'élève à 16 °C. D'après la classification de Köppen : la température du mois le plus froid est comprise entre 0 °C et 18 °C (juillet avec 10,9 °C) et la température du mois le plus chaud est supérieure à 10 °C (janvier avec 23 °C) donc c'est un climat tempéré. Les précipitations sont stables, il n'y a pas de saison sèche. C'est donc un climat tempéré chaud sans saison sèche. L'été est chaud car la température moyenne du mois le plus chaud est supérieure à 22 °C (janvier avec 23 °C).
Donc le climat de Montevideo est classé comme Cfa[4] dans la classification de Köppen, soit un climat subtropical humide.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
T. min. moy. | 16,1 | 16 | 14,5 | 11,3 | 8,4 | 6,7 | 6,4 | 6,5 | 7,7 | 9,9 | 11,8 | 14,4 | 10,81 |
T. moy. (°C) | 23 | 22,5 | 20,6 | 17,2 | 14 | 11,1 | 10,9 | 11,7 | 13,4 | 16 | 18,6 | 21,3 | 16,69 |
T. max. moy. | 28,4 | 27,5 | 25,5 | 22 | 18,6 | 15,1 | 15 | 16,2 | 18 | 20,5 | 23,7 | 26,5 | 21,42 |
Ensol. (h) | 294 | 232 | 223 | 180 | 164 | 129 | 139 | 159 | 183 | 239 | 249 | 285 | 2 477 |
Préc. (mm) | 87 | 102 | 105 | 86 | 89 | 83 | 86 | 88 | 94 | 109 | 89 | 84 | 1 102 |
J. avec préc. | 6 | 7 | 6 | 6 | 6 | 7 | 7 | 6 | 6 | 7 | 7 | 6 | 77 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
28,4 16,1 87 | 27,5 16 102 | 25,5 14,5 105 | 22 11,3 86 | 18,6 8,4 89 | 15,1 6,7 83 | 15 6,4 86 | 16,2 6,5 88 | 18 7,7 94 | 20,5 9,9 109 | 23,7 11,8 89 | 26,5 14,4 84 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Histoire
modifierLa ville a été fondée en 1726 par les Espagnols (Bruno Mauricio de Zabala) dans le but d’empêcher les incursions des Portugais, qui avaient fondé Colonia del Sacramento au siècle précédent, dans ce qui était considéré comme des possessions espagnoles, attribuées à l'Espagne par le Traité de Tordesillas.
Du 14 au fut livrée la bataille maritime du port del Buceo menée par les indépendantistes lors du siège de Montevideo pour obtenir la reddition des autorités espagnoles. Avec l'aide des Argentins, les indépendantistes remportèrent la bataille.
En 1828, la ville devint la capitale de l'Uruguay. Deux étymologies existent pour le nom Montevideo : selon la première, il proviendrait du portugais « Monte vide eu », qui signifie « Je vois une montagne ». Selon la seconde, les colons espagnols auraient baptisé le lieu « Monte VI De Este a Oeste » (soit « Le sixième mont d'est en ouest ») au cours de relevés topographiques. Le nom original complet est San Felipe y Santiago de Montevideo.
La ville a été sous forte influence britannique du début du XIXe siècle jusqu'au début du XXe siècle, en vue d'éviter le contrôle commercial de la région par l'Argentine et le Brésil.
Au début du XXe siècle, de nombreux Européens ont immigré dans la ville, et en 1908, 30 % de la population était née à l'étranger.
La Convention de Montevideo sur les droits et les devoirs des États est signée à Montevideo (Uruguay) le au cours de la septième Conférence pan-américaine (en). Le président américain Franklin Delano Roosevelt et son secrétaire d'État Cordell Hull annoncèrent la mise en route de la politique de bon voisinage, qui mettait théoriquement un terme à la doctrine du Big Stick. L'accord est signé avec quelques réserves de la part des États-Unis, du Brésil et du Pérou.
Au milieu du XXe siècle, la dictature militaire et la stagnation économique ont causé un déclin, dont les effets résiduels sont encore visibles de nos jours. De nombreuses familles rurales pauvres ont afflué dans la ville, avec une grande concentration à Ciudad Vieja.
Politique et administration
modifierPolitique nationale
modifierEn tant que capitale du pays, Montevideo abrite le siège des institutions comme la Présidence de la République, le gouvernement et l'Assemblée générale.
Politique municipale
modifierMontevideo constitue l'un des dix-neuf départements de l'Uruguay. La ville est dirigée par un intendant, qui remplit les fonctions d'un maire, et d'une junte de 31 membres, tous élus pour un mandat de cinq ans. Depuis 2019, l'intendant est Christian Di Candia, du Front large.
Montevideo est divisée en huit municipalités (municipios), chacune dirigée par un maire et un conseil municipal élu.
Population et société
modifierÉvolution démographique
modifierDepuis 1730, l'évolution démographique de Montevideo a été :
Histogramme de l'évolution démographique de Montevideo |
Religions
modifierL'Église et l'État sont officiellement séparés depuis 1916 en Uruguay.
Le catholicisme romain est la religion la plus répandue dans la ville. La cathédrale métropolitaine est le siège d'un archidiocèse dont les origines remontent à 1878. Plusieurs sanctuaires nationaux reconnus par la Conférence épiscopale de l’Uruguay sont situés à Montevideo[10] :
- le sanctuaire Sainte-Marie-Auxiliatrice[11],[12] ;
- le sanctuaire Notre-Dame-de-Lourdes, qui comprend une reproduction de la grotte de Massabielle de Lourdes en France[13], désigné en 1958[14] ;
- le sanctuaire du Sacré-Cœur-de-Jésus[15],[16].
Les autres cultes présents dans la ville sont le protestantisme, l'umbanda et le judaïsme.
Économie
modifierEn 2010, le redémarrage économique et un renforcement des échanges commerciaux avec les pays voisins ont amené un renouveau du développement agricole et l'espoir d'une plus grande prospérité[réf. souhaitée].
La ville dépend surtout du tourisme. Elle accueille un grand nombre de musées et a gardé de nombreux bâtiments historiques dans sa vieille ville (Ciudad Vieja). Ce sont principalement des Brésiliens et des Argentins qui visitent la ville mais il y a aussi une part assez significative d'Européens et de Nord-Américains.
Culture et patrimoine
modifierMonuments
modifier-
Une rue de Montevideo et ses jacarandas en fleurs
-
La tour Antel, le plus haut gratte-ciel d'Uruguay
-
Rambla du quartier Pocitos
-
Clocher de Montevideo
- Palais législatif
- Palais Salvo
- Stade Centenario
- Aéroport international de Carrasco
- Archidiocèse de Montevideo
- Bibliothèque nationale de l'Uruguay
- Cathédrale de Montevideo
- Théâtre Solís (Teatro Solís)
- Ateneo de Montevideo sur la Plaza Cagancha
- Tour de télécommunications ANTEL
- Gare Général Artigas (Estación Central General Artigas)
- Bâtiment Panamericano (Edificio Panamericano)
- École Brésil (Escuela Brasil)
- Université de la République (Universidad de la República)
Art et culture
modifierAu début de l’hiver 2009, l’exposition des United Buddy Bears était visible sur la Plaza Independencia. L’administration municipale de Montevideo considère que plus de 1,2 million de visiteurs du monde entier ont vu l’exposition.
Le , lors de la 8e conférence générale de l’Unesco, une résolution est acceptée : elle reconnaît l’utilité de la langue internationale espéranto, recommande aux États membres d’étudier les possibilités d’enseignement de la langue et que « le Directeur général [suive] les expériences concernant l'utilisation de l'espéranto pour l'éducation, la science et la culture et à collaborer à cette fin avec l'Association universelle d'espéranto dans les domaines intéressant les deux organisations »[17].
Dans le domaine du théâtre, la ville accueille le théâtre Solís, inauguré en 1856, considéré comme le plus ancien théâtre d'Amérique du Sud, ainsi le siège de l'École multidisciplinaire d'art dramatique Margarita Xirgu, fondée en 1949 par l'actrice Margarita Xirgu[18].
Relations internationales
modifierJumelages
modifierLa ville de Montevideo est jumelée avec les villes suivantes :
- Arica, Chili[19]
- Asuncion, Paraguay[20]
- Barcelone, Espagne[21]
- Berisso, Argentine[22]
- Bluefields, Nicaragua[22]
- Buenos Aires, Argentine[23]
- Brasília, Brésil[22]
- Bogota, Colombie
- Cadix, Espagne[22]
- Cali, Colombie[22]
- Mexico, Mexique (1982)
- Cochabamba, Bolivie[22]
- Córdoba, Argentine[22]
- Coroico, Bolivie[22]
- Cumaná, Venezuela[22]
- Curitiba, Brésil[24]
- El Aaiun, Maroc[22]
- Esmeraldas Équateur[22]
- Hurlingham, Argentine[22]
- La Havane, Cuba[22]
- La Paz, Bolivie[22]
- La Plata, Argentine[22]
- Libertador, Venezuela[22]
- Lima, Pérou
- Malmö, Suède
- Mar del Plata, Argentine[22]
- Marsico Nuovo, Italie[22]
- Madrid, Espagne[25]
- Melilla, Espagne[26]
- Mississauga, Canadá[22]
- Montevideo (Minnesota), États-Unis
- Port-au-Prince, Haïti[22]
- Qingdao, Chine[27]
- Québec (ville), Canada
- Rio de Janeiro, Brésil[22]
- Rosario, Argentine[22]
- Saint-Pétersbourg, Russie[28]
- San José, Costa Rica
- Santa Cruz de la Sierra, Bolivie[22]
- Santiago, Chili
- São Paulo, Brésil[29]
- Talamanca, Costa Rica[22]
- Tambo de Mora , Pérou[22]
- Tianjin, Chine[30]
- Tito, Italie[22]
- Tumaco, Colombie[22]
- Ulsan, Corée du Sud[31]
- Wrocław, Pologne[22]
- Wuhu, Chine[22]
Personnalités nées à Montevideo
modifierHommes politiques et figures historiques
modifier- Daoiz Gerardo Uriarte Araujo (né en 1956), politicien
- José Gervasio Artigas (1764-1850), général et libertador.
- José Batlle y Ordóñez (1856-1929), président de la République de l'Uruguay.
- Tabaré Vázquez (1940-2020), personnalité politique uruguayen.
Scientifiques
modifier- Roberto Canessa (1953-), médecin et cardiologue.
Écrivains et gens de lettres
modifier- Lautréamont (1846-1870), poète français.
- Jules Laforgue (1860-1887), poète français.
- Jules Supervielle (1884-1960), poète français.
- Claudia Amengual (née en 1969), romancière
- Manuel Pérez y Curis, poète.
- José Enrique Rodó (1871-1917), écrivain
- Juan Carlos Onetti (1909-1994), écrivain
- Léo Beker (né en 1946), auteur de bandes dessinées.
- Pablo Vierci (né en 1950), écrivain, journaliste et cinéaste.
- Carlos Sahakian (né en 1957), poète franco-uruguayen.
Artistes
modifier- Juan Manuel Blanes (1830-1901), peintre.
- Joaquín Torres García (1874-1949), artiste plasticien.
- Urbana Marguerite Samaran (1852-1934), peintre.
- Margarita Xirgu (1888-1969), actrice, fondatrice de l'EMAD en 1949.
- China Zorrilla (1922-2014), comédienne, grande dame du théâtre.
- Estela Medina (1932-), comédienne, grande dame du théâtre.
- Mariana Percovich (1963-), dramaturge et metteuse en scène.
- Carlos Páez Vilaró (1923-2014), artiste, peintre et sculpteur.
- José Cuneo Perinetti, artiste, peintre.
- Julio Vilamajó (1894-1948), architecte.
- Agó Páez Vilaró (1954-), artiste plasticienne.
- Roxana Blanco (1967-), comédienne, et son frère Sergio Blanco (1971-), dramaturge.
- Mateo Chiarino (1983-), acteur.
- Enzo Vogrincic (1993-), acteur.
Musiciens
modifier- Elli Medeiros (née en 1956), chanteuse française.
- Gabe Saporta, chanteur de Cobra Starship.
- Natalia Oreiro (née en 1977), Chanteuse.
- Renée Pietrafesa Bonnet (1938-2022), musicienne franco-uruguayenne.
Sportifs
modifier- Héctor Castro (1904-1960), footballeur, champion olympique en 1928, champion du monde en 1930.
- Pedro Petrone (1905-1964), footballeur, double champion olympique, champion du monde.
- Igor Correa Luna (1919-2000), judoka et professeur d'art martial.
- Diego Forlán (né en 1979), footballeur.
- Juan Alberto Schiaffino (1925-2002), footballeur, champion du monde en 1950.
- Pedro Pedrucci (né en 1961), footballeur.
- Rodrigo Capó Ortega (né en 1980), est un joueur de rugby à XV.
- Camila Colombo (née en 1990), joueuse d'échecs.
- Mathías Suárez (né en 1996), footballeur.
Autres
modifier- Irma Avegno (1881 - 1913) femme d'affaires uruguayenne.
- Maria Boschetti-Alberti (1879-1951), pédagogue suisse
- José Pedro Varela (1845-1879), éducateur, sociologue, journaliste, politique.
- Walter Pintos Risso, architecte.
- María Stagnero de Munar (1856-1922), pédagogue et féministe uruguayenne.
- Mauricio Cravotto, architecte.
- Delfina Martínez militante pour les droits LGBT
- Lilián Celiberti (1949-), féministe, enseignante et écrivaine
- Sebastián Beltrame (1973-), personnalité de télévision, spécialiste des voyages
Sports
modifierMontevideo a accueilli tous les matches de la première Coupe du monde de football en 1930. Son stade Centenario a été déclaré monument historique du football par la FIFA en 1983[32]. La capitale est le siège d'un très grand nombre de clubs de football qui participent aux championnats.
- Clubs de première division : Peñarol, Club Nacional de Football, Liverpool FC, CA Rentistas, Danubio FC, Defensor Sporting Club, Miramar Misiones FC, Montevideo Wanderers, River Plate, CS Cerrito, CA Fénix, CA Central Español, CA Cerro, Racing CM, Progreso
- Clubs de seconde division : CA Bella Vista, IA Sud América, CA Basáñez, CA Progreso, La Luz Tacurú FC, Uruguay Montevideo FC, El Tanque Sisley, Rampla Juniors FC, Juventud de Las Piedras.
Notes et références
modifier- [PDF] [1]
- Terme recommandé par la Commission générale de terminologie et de néologie et publié au Journal officiel de la République française le 24 septembre 2008. Recommandation concernant les noms d'États, d'habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie par le ministère des affaires étrangères et européennes) | Legifrance
- Délégation permanente de l'Uruguay auprès de l'UNESCO, « La Rambla (promenade maritime) de la Cité de Montévideo »
- « CLIMAT: MONTEVIDEO » (consulté le ).
- (en) « Climatological Information for Montevideo, Uruguay » (consulté le ).
- (es) « Uruguay – Census 2011 », sur ine.gub.uy, Instituto Nacional de Estadística (INE) (consulté le )
- (de) Günter Mertins, Beiträge zur Stadtgeographie von Montevideo, Marburger Geographischen Gesellschaft, , p. 107
- (es) « =Statistiques de l’Instituto Nacional de Estadística de Uruguay 1963–1996 », sur ine.gub.uy (consulté le )
- (en) Gabriel Chow, « National Eucharistic Shrine of the Sisters Adorers Handmaids of the Blessed Sacrament », sur gcatholic.org (consulté le ).
- Le site gcatholic.org liste quatre sanctuaires nationaux, comptant également le Sanctuaire eucharistique national, géré par les Adoratrices du Saint-Sacrement-du-Cœur-Immaculé-de-Marie (es)[9] et intégré au groupe scolaire Cœur-Immaculé-de-Marie (es). Mais le statut ne semble pas se vérifier, s’agissant d’une dénomination assez ancienne.
- (en) Gabriel Chow, « National Shrine of Mary Help of Christians », sur gcatholic.org (consulté le ).
- (es) « Santuario Nacional María Auxiliadora », sur iglesiacatolica.org.uy (version du sur Internet Archive).
- (en) Gabriel Chow, « National Shrine of the Grotto of Lourdes », sur gcatholic.org (consulté le ).
- (es) « Santuario Nacional de la Gruta de Lourdes », sur iglesiacatolica.org.uy (version du sur Internet Archive) : « El 11 de febrero de 1958, a cien años de la primera aparición de la Virgen en Lourdes, todos los obispos del Uruguay declararon “Santuario Nacional” a la Gruta de Lourdes situada en Avda. Instrucciones 2223 en Montevideo. » (« Le , cent ans après la première apparition de la Vierge à Lourdes, tous les évêques de l’Uruguay déclarent “sanctuaire national” la “grotte de Lourdes” située au 2223 de l’avenue Instrucciones à Montevideo. »)
- (en) Gabriel Chow, « National Shrine of the Sacred Heart », sur gcatholic.org (consulté le ).
- (es) « Santuario Nacional del Sagrado Corazón », sur iglesiacatolica.org.uy (version du sur Internet Archive).
- [PDF] Résolution de la huitième session de la conférence générale de l'UNESCO concernant l'espéranto sur le site de l'UNESCO.
- « EMAD - URUGUAY », sur www.emad.edu.uy (consulté le )
- Intendencia Municipal de Montevideo, « Proyectp de Acta de Hermanamiento entre las ciudades de Arica y Montevideo » (consulté le )
- Intendencia se hermanó con Asunción | Intendencia de Montevideo
- (es) « Barcelona internacional – Ciutats agermanades », 2006–2009 Ajuntament de Barcelona (consulté le )
- (es) Intendencia Municipal de Montevideo, « Relaciones internacionales » (consulté le ) Véase menú: Integración Regional. Acuerdos por región.
- (es) « Ciudades hermanas de Buenos Aires », bue.gov.ar (consulté le ) : « Sitio oficial de turismo de la Ciudad de Buenos Aires »
- Lei Municipal de Curitiba 7438 de 1990 - Wikisource
- « Mapa Mundi de las ciudades hermanadas », Ayuntamiento de Madrid
- (es) « Melilla se hermana con Montevideo », infomelilla.com (consulté le ) : « Noticia de InfoMelilla »
- People's Daily Online -- Montevideo, Chinese Qingdao become sister cities
- « St. Petersburg in figures > International and Interregional Ties », Eng.gov.spb.ru (consulté le )
- Lei Municipal de São Paulo 14471 de 2007 - Wikisource
- El alcalde de Montevideo regala la "llave de la ciudad" al Presidente Jiang Zemin
- Hermanamiento con Ulsan | Intendencia de Montevideo
- Les Uruguayens ont mauvaise réputation - leparisien.fr - 11 juin 2010
Articles connexes
modifier- Histoire de l'Uruguay, Grande Guerre (Uruguay) (1839-1851, dont le long siège de Montevideo, 1843-1851)
- Baie de Montevideo
- Cerro de Montevideo
- Fortaleza General Artigas
- Plaza Cagancha
- Plaza Independencia
- Ateneo de Montevideo
- Barrios de Montevideo
- Aire métropolitaine de Montevideo
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (es) Site officiel de la ville
- (es) Montevideo Portal
- (es) Archives photos de la ville
- (es) Vues panoramiques (360°)