Brunet (Alpes-de-Haute-Provence)

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Brunet
Brunet (Alpes-de-Haute-Provence)
Le village de Brunet.
Blason de Brunet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Francis Berard
2020-2026
Code postal 04210
Code commune 04035
Démographie
Gentilé Brunetois
Population
municipale
287 hab. (2021 en augmentation de 12,55 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 32″ nord, 6° 01′ 52″ est
Altitude Min. 369 m
Max. 690 m
Superficie 28,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valensole
Législatives Première circonscription
Localisation
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Brunet
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Brunet
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Brunet
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Brunet
Liens
Site web brunet.dlva.fr

Brunet est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Brunetois[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village est situé à 425 m d’altitude[1], dans la vallée de l’Asse, à l’écart des routes départementales RD 8 et RD 907. Le village est construit sur le coteau septentrional du plateau de Valensole.

Les communes limitrophes de Brunet sont Entrevennes, Saint-Julien-d'Asse, Riez, Puimoisson, Valensole et Le Castellet[2].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Carte avec les communes environnantes.

Géologie et relief modifier

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur les paysages de Brunet.

Hydrographie modifier

L'Asse [3], rivière de 75,4 km, traverse la commune de Brunet au nord du village. Plusieurs de ses affluents arrosent également Brunet :

  • le ravin d'Engardin[4], cours d'eau de 3,5 km ;
  • le ravin de l'Algérie[5], ruisseau de 3,2 km ne coulant que sur la commune de Brunet ;
  • le ravin de Vauclarette[6], cours d'eau de 3,00 km ;
  • le ravin de Saint-Pierre[7].

Risques naturels modifier

 
Risque de mouvement de terrain : le versant de la colline a glissé sur la route d'accès à Brunet, à la suite d'abondantes pluies printanières.

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Valensole auquel appartient Brunet est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Brunet est également exposée à trois autres risques naturels[9] :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée de l’Asse) ;
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[10].

La commune de Brunet n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[11].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[11] et le Dicrim n’existe pas non plus[12].

Voies de communication et transports modifier

Voies routières modifier

Services autocars modifier

Lignes intercommunales modifier

Le village est desservi par une ligne intercommunale du réseau Trans'Agglo[13].

Ligne Parcours
125 Brunet ↔ EntrevennesPuimichelLe CastelletOraison (Transport à la demande)
133 Brunet ↔ ValensoleManosque
Lignes scolaires modifier

Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez ainsi que les lycées et collèges de Manosque. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, une autre a été rajoutée.

Ligne Tracé
141 S Valensole ↔ Brunet ↔ PuimoissonRiez

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 6,3 jours de précipitations en janvier et 3,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valensole », sur la commune de Valensole à 7 km à vol d'oiseau[16], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 671,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Brunet est une commune rurale[Note 2],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9 %), forêts (36,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %)[26].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et aménagement du territoire modifier

 
Puits couvert à Brunet.

Environnement modifier

La commune compte 622 ha de bois et forêts, soit 22 % de sa superficie[1].

Lieux-dits et hameaux modifier

Brunet est un village perché.

En plus du village, la commune comporte plusieurs hameaux : Trabaye et le Grand Logisson.

Toponymie modifier

Histoire modifier

 
Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale.

Dans les années 1950, des tombes romaines ont été mises au jour à Trabaye, Louvière et de Ricavi[27]. Un itinéraire gallo-romain suivait la vallée de l’Asse et passait à Brunet. Il était encore utilisé à la fin du Ier millénaire[28].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 990[28]. L’église Sainte-Marie relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui percevait les revenus attachés à cette église, alors que le prieuré Saint-Martin relevait de l’abbaye de Montmajour jusqu’en 1204, date à laquelle il passe sous l'autorité de l’évêque de Riez[28]. L’évêque de Riez y possédait un château. Une partie de la commune dépendait du marquisat de Trans (érigé en 1506 pour les Villeneuve)[29].

La communauté de Brunet relevait de la viguerie de Moustiers[28].

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 8 habitants de Brunet sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[30].

Comme de nombreuses communes du département, Brunet se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[31]. Bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, la commune entretient aussi une école aux filles[32]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[33].

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Brunet. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient un vin de qualité, se vendant assez loin de Brunet. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[34].

Politique et administration modifier

Intercommunalité modifier

Brunet fait partie :

Liste des maires modifier

 
Mairie de Brunet, surmontée d’un campanile en fer forgé.
Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
1803 1804 Jean-Baptiste Mounet    
1814   Salvagi    
1832   Mathieu Baptiste Sauvan    
1837   Jean-Louis Gauthier    
         
mai 1945   Alphonse Giraud[36]    
         
1979[37] En cours
(au 17 avril 2014)
Francis Berard[38],[39] DVD Agriculteur retraité

Politique environnementale modifier

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

Population et société modifier

Démographie modifier


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 287 habitants[Note 4], en augmentation de 12,55 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
418415483521509520487427456
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
463430433418414390368346330
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
342356321290234228200182187
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
190186217258162218249258262
2018 2021 - - - - - - -
290287-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
100 feux44 feux

L’histoire démographique de Brunet, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836[44]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population de Brunet s'est rapprochée du seuil de 260 habitants, équivalant à la moitié de celle de 1836.


Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

En 2009, la population active s’élevait à 118 personnes, dont 23 chômeurs[45] (17 fin 2011[46]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (72 %)[47] et travaillent majoritairement hors de la commune (72 %)[47]. L’agriculture représente encore plus de la moitié des établissements (22 sur 43 en 2010)[48].

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

 
Champs dans la vallée de l’Asse

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 22 établissements actifs au sens de l’Insee et deux emplois salariés[48].

Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en légère baisse dans les années 2000, passant de 12 à 11, orientées vers les grandes cultures et cultures permanentes[49]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a doublé, de 828 ha à 1 904 ha, alors que le nombre d’exploitations variait peu (de 11 à 12)[50]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, mais reste à un niveau élevé, à 1 715 ha[49].

La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres : à Brunet, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie de Brunet occupait plusieurs dizaines d’hectares au début du XIXe siècle. Actuellement[Quand ?], elle a régressé mais reste relativement importante (entre 1000 et 3500 pieds exploités)[51].

Industrie modifier

Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait huit établissements, employant deux salariés[48].

Une sablière exploite le sable de l’Asse.

Activités de service modifier

Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait onze établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (salariant trois personnes)[48].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est assez importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[52], l’essentiel des faibles capacités d'hébergement étant marchandes<[53]. Ces structures d’hébergement sont :

  • des meublés, très nombreux (la deuxième capacité du département)[54],[55] ;
  • des chambres d’hôtes[56].

Les résidences secondaires apportent un appoint appréciable dans la capacité d’accueil[57] avec 69 résidences secondaires, soit un tiers des logements de la commune. Vingt-deux de ces résidences comportent plus d'un logement[58],[59]). Le parc du Verdon a installé sa maison des produits de pays à Brunet[1].

Lieux et monuments modifier

Il existe deux églises Saint-Martin à Brunet, l'ancienne au castrum et la nouvelle à mi-pente.

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur les églises Saint-Martin de Brunet.

Le château est situé sur une esplanade, soutenue par un mur de soutènement en galets. La façade comprise entre deux tours a disparu : subsiste une partie de tour, un corps de logis, et quelques murs (XVIIe siècle)[61]. La DRAC signale également une chapelle et deux tours de chaque côté du mur de soutènement[62].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'or à un lévrier rampant de sable accolé d'argent[63].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c et d Roger Brunet, « Canton de Valensoleurl », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  2. « IGN, Carte topographique de Brunet » sur Géoportail (consulté le 26 octobre 2013)..
  3. Fiche de l'Asse sur le site du Sandre
  4. Fiche du Ravin d'engardin sur le site du Sandre
  5. Fiche du Ravinde l'Algérie sur le site du Sandre
  6. Fiche du Ravin de Vauclarette sur le site du Sandre
  7. Fiche du ravin de Saint-Pierre sur le site du Sandre
  8. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
  9. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 4 juillet 2012
  10. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  11. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 95.
  12. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 4 juillet 2011
  13. DLVA Mobilité « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Brunet et Valensole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Valensole », sur la commune de Valensole - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Station Météo-France « Valensole », sur la commune de Valensole - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  21. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  27. Collier 1986.
  28. a b c et d Daniel Thiery, « Brunet », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 4 juillet 2012
  29. Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 166.
  30. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
  31. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  32. Labadie 2013, p. 16.
  33. Labadie 2013, p. 11.
  34. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles] », Méditerranée, no 109,‎ , p.56 et 59 (lire en ligne).
  35. GenWeb
  36. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  37. J. R., « Francis Berard brigue un 7e mandat », La Provence, 5 mars 2014, p. 9.
  38. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
  39. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  45. Dossier local - Commune :Manosque, Insee (lire en ligne), p.5.
  46. Dossier local, p. 8.
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  48. a b c et d Dossier local, p. 16.
  49. a et b Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
  50. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
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  55. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 34.
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  57. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 44.
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  60. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », , 72 p. (ISBN 2-7399-5004-7).
  61. Collier 1986, p. 267.
  62. [1]
  63. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier