Broc (Maine-et-Loire)

ancienne commune française du département de Maine-et-Loire

Broc est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].

Broc
Broc (Maine-et-Loire)
L'église Notre-Dame de Broc.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Noyant-Villages
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Gilbert Bourdel
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49052
Démographie
Gentilé Brocois
Population 312 hab. (2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 34′ 50″ nord, 0° 10′ 02″ est
Altitude 115 m
Min. 40 m
Max. 117 m
Superficie 21,23 km2
Élections
Départementales Beaufort-en-Vallée
Historique
Fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Noyant-Villages
Localisation
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Broc
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Broc
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Broc
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Broc

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au nord-est de la ville de Noyant, en bordure des départements de la Sarthe et d'Indre-et-Loire.

Géographie

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Localisation

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Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, entre Chalonnes-sous-le-Lude (2 km) et Dissé-sous-le-Lude (3 km), à 21 km de Baugé et à 40 km de Saumur[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à louest par la vallée de la Sarthe[4].

Aux alentours

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Les communes les plus proches sont Chalonnes-sous-le-Lude (2 km), Dissé-sous-le-Lude (3 km), Chigné (6 km), Dénezé-sous-le-Lude (6 km), Marcilly-sur-Maulne (7 km), Braye-sur-Maulne (7 km), Le Lude (8 km), La Chapelle-aux-Choux (8 km), Meigné-le-Vicomte (8 km) et Noyant (9 km)[3].

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie de 40 à 117 mètres[5], pour une altitude moyenne de 115 mètres. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Son territoire s'étend sur 21 km2 (2 123 hectares)[5]. Broc se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[7]. Une partie de la commune est classée en Zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones Pelouses et boisements calcaires entre Chalonnes/Lude et Broc, Cavité souterraine de La Chaloisière, et Vallée de la Maulne[8].

Hydrographie

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La rivière La Maulne, affluent du Loir, traverse le territoire de la commune[9].

Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[6].

Urbanisme

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Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 207 logements sur la commune de Broc, dont 70 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 76 % des ménages en étaient propriétaires[10].

En 2013, on y trouvait 203 logements, dont 66 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 80 % des ménages en étaient propriétaires[11].

Toponymie

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Nom d'origine gauloise, signifiant taillis[12]. Formes anciennes du nom : Broch en 1040, Broccum, W. de Bruco en 1186[12], pour devenir ensuite Broc[13].

Nom des habitants : Les Brocois[14].

Histoire

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Pierre couverte de la Planche.

Préhistoire et Antiquité

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Le territoire est habité dès le Néolithique comme l'atteste l’édification des dolmens de la Pierre Couverte de la Planche, de Chantepierre et du Moulin à Vent (désormais détruit) et la présence de plusieurs habitats préhistoriques, dont la grotte à légendes de Moulin-Neuf[12].

À l'est du bourg, il existait une voie romaine, aujourd'hui disparue. Des sarcophages mérovingiens ont également été trouvés à Broc[12].

Moyen Âge

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Le nom de Broc apparaît pour la première fois en 1040, où Geoffroy Martel, comte d'Anjou, donne à l'abbaye de la Trinité de Vendôme deux quartiers de terre. Le plus ancien seigneur signalé est Guérin de Broc, en 1069[12].

Ancien Régime

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En 1636, Louis XIII établit un marché hebdomadaire et quatre foires par an. L'ensemble tombe par la suite en désuétude[12].

Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré du Lude[12].

Époque contemporaine

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À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est rattachée en 1790 au canton de Noyant. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[13].

Une conspiration bonapartiste (conspiration dite des Vautours de Bonaparte) est réprimée en 1816, et le village est traversé par les troupes prussiennes en 1871[12].

Pendant la Première Guerre mondiale, 27 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, quatre habitants sont tués[15].

L'électricité arrive dans le bourg en 1927[12].

Un rapprochement intervient en 2016. Le 15 décembre, les communes de Auverse, Breil, Broc, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Lasse, Linières-Bouton, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Broc en devient une commune déléguée[1].

Politique et administration

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Administration municipale

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Administration actuelle

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Depuis le , Broc constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué.

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 2016 mai 2020 Rémy Chevallier[16]    
mai 2020 en cours Gilbert Bourdel[17]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne

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La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[13]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[18].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 décembre 2016 Rémy Chevallier[19]   Exploitant agricole retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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La commune n'a pas organisé de jumelage[20].

Ancienne situation administrative

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Intercommunalité

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La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Chalonnes-sous-le-Lude, Chigné et Dénezé-sous-le-Lude[21],[22]. L'intercommunalité est dissoute le [1].

La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

La commune faisait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[23]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[21].

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Broc fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[24]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[25].

Broc fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 312 habitants, en évolution de −9,83 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
715723966923951834807794782
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
758740742738714761765756734
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
710723727622625612561546504
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2012 2014
531503425402331315335315312
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

Pyramide des âges
Pyramide des âges à Broc en 2007 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90  ans ou +
1,2 
8,6 
75 à 89 ans
10,5 
16,6 
60 à 74 ans
15,7 
20,9 
45 à 59 ans
16,9 
22,7 
30 à 44 ans
20,3 
12,3 
15 à 29 ans
15,7 
18,4 
0 à 14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2007 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,2 
6,3 
75 à 89 ans
9,2 
11,8 
60 à 74 ans
13,0 
19,9 
45 à 59 ans
19,4 
20,6 
30 à 44 ans
19,5 
20,3 
15 à 29 ans
19,1 
20,6 
0 à 14 ans
18,6 

Vie locale

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Services publics présents sur la commune : mairie et centre de premiers secours sapeurs-pompiers. Située dans l'Académie de Nantes, un regroupement pédagogique a été créé en 1973 avec Broc, Genneteil et Chalonnes[21]. Les autres services publics se trouvent à Noyant.

L'hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[32].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Noyant[23].

Économie

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Tissu économique

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Commune principalement agricole, en 2009, 39 établissements étaient présents sur la commune, dont 62 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[33]. L'année suivante, en 2010, sur 36 établissements présents sur la commune, 64 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, aucun du secteur de la construction, 19 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

Sur 29 établissements présents sur la commune à fin 2014, 38 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 38 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[11].

Agriculture

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Liste des appellations présentes sur le territoire[34] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
  • IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Dolmen de Chantepierre, lieu-dit Chantepierre, classé au titre des monuments historiques par arrêté du 17 juin 1983[35].
  • Dolmen dit Pierre Couverte de la Planche, lieu-dit la Pièce du Prieuré, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 17 juin 1983[36].
  • Église Notre-Dame, des XIIIe et XIXe siècles, partiellement classée (chœur et abside) au titre des monuments historiques par arrêté du 14 mars 1944, et inscrite (reste de l'église) au même titre, par arrêté du 17 juillet 1926[37].
  • Logis de Lizardière, manoir des XVe ou XVIe, XVIIe et XIXe siècles, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 15 février 1996 pour l'ensemble des deux logis[38].
  • Chapelle Saint-Lambert, lieu-dit la Roche Saint Lambert, du XVIIe siècle, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[39].
  • Château la Godefrairie, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[40].
  • Château de Meaulne, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[41].
  • Château la Touche (vestiges), des XVe, XVIe, XIXe et XXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[42].
  • Prieuré (ancien), jouxtant l'église Notre-Dame, des XVe, XVIe et XVIIe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[43].
  • Souterrain refuge et manoir de la Chicaudière, du XVe ou XVIe siècle, recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel[44].
  • Four à chaux, du XIXe siècle, lieu-dit le Patis, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[45].
  • Moulin à vent (ancien), lieu-dit le Moulin à Vent, du XIXe siècle, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[46].
  • Moulin à eau à retenue, lieu-dit Ricordeau, du XIXe siècle, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[47].
  • Maisons, manoirs et fermes des XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 546-549.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 515-517.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. a b et c Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 », sur Préfecture de Maine-et-Loire.
  2. IGN et BRGM, Géoportail Broc (49), consulté le 12 mai 2012.
  3. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Broc (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 12 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  4. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
  5. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  7. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 12 mai 2012.
  9. Sandre, Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau, consulté le 30 janvier 2011.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Broc (49), consultées le 12 décembre 2012.
  11. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Broc (49), consultées le 11 décembre 2016.
  12. a b c d e f g h et i Célestin Port 1965, p. 546-549.
  13. a b et c École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Broc, consultée le 12 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  14. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 43.
  15. MemorialGenWeb.org - Broc : les monuments et les morts de la commune, consulté le 11 novembre 2013.
  16. « Les adjoints au maire », sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
  17. « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
  18. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  19. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  20. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  21. a b et c C. C. Noyant, Communauté de communes, consulté le 7 mai 2012.
  22. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
  23. a et b SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
  24. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Broc, consultée le 21 février 2015.
  25. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  26. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  30. « Évolution et structure de la population à Broc en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  32. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
  33. Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Broc, consultées le 12 mai 2012.
  34. INAO, Fiche de Broc (49), consultée le 12 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  35. « Dolmen de Chantepierre », notice no PA00108999, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Dolmen dit Pierre couverte de la planche », notice no PA00109000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Église », notice no PA00109001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Logis de Lizardière », notice no PA49000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Chapelle Saint-Lambert », notice no IA00032211, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Château de la Godefrairie », notice no IA00032205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Château », notice no IA00032206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Château », notice no IA00032212, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Prieuré », notice no IA00032210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Souterrain refuge », notice no IA00032338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Four à chaux », notice no IA00032209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Moulin », notice no IA00032207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Moulin », notice no IA00032208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Odile Sicard, sa fiche sur le site de l'Assemblée nationale (1986-1988).