Albussac

commune française du département de la Corrèze

Albussac
Albussac
L'église Saint-Martin.
Blason de Albussac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Xaintrie Val'Dordogne
Maire
Mandat
Sébastien Meilhac
2020-2026
Code postal 19380
Code commune 19004
Démographie
Gentilé Albussacois
Population
municipale
735 hab. (2021 en augmentation de 3,09 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 20″ nord, 1° 50′ 11″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 636 ou 637 m
Superficie 36,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argentat-sur-Dordogne
Législatives Première circonscription
Localisation
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Albussac
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Albussac
Liens
Site web albussac.correze.net

Albussac (Albuçac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Albussac est une commune du Massif central située dans le sud du département de la Corrèze, à environ 500 m d'altitude. Le territoire communal est arrosé par la Franche Valeine, et la Roanne y prend sa source.

L'altitude minimale, 240 m, se situe à l'est, là où la Franche Valeine quitte le territoire communal et sert de limite entre les communes de Forgès et Saint-Chamant ; le point culminant, avec 636 ou 637 m, se situe à la Roche de Vic, au sud-ouest de la commune[1],[Note 1].

Le climat y est océanique avec des températures de l'ordre de 25 °C à 3 °C en été et de 9 °C en hiver avec des périodes de vagues de froid fréquentes en janvier et février (fréquemment -10 à -12 °C au lever du soleil et pas plus de -3 °C à 0 °C à 15 h). Albussac connaît assez régulièrement des épisodes neigeux en hiver, il n'est pas rare d'observer des précipitations de l'ordre de 20 cm de neige.

Communes limitrophes modifier

Albussac est limitrophe de sept autres communes.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Argentat-sur-Dordogne à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 145,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Albussac est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,4 %), forêts (41,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), zones urbanisées (0,9 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Albussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albussac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 426 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 4] situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[20]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Albussac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie modifier

La plus ancienne mention connue du lieu date de l'an 861 sous la forme latine Albuciacus[23].

Ce nom dérive d'un personnage d'origine latine, Albucius, auquel le suffixe -acum a été ajouté[23], correspondant ainsi au « domaine d'Albucius ».

Histoire modifier

 
La stèle en mémoire des cinq résistants morts le 31 juillet 1944.

L'église d'Albussac fut donnée à l'abbaye de Tulle vers 930 par le vicomte Adhémar, avec les mas et les vignes de Murel. Antérieurement, vers l'an 861, elle avait été donnée pour moitié au monastère de Beaulieu. C'est dire que le bourg d'Albussac remonte au moins à l'époque des Carolingiens. C'est devant cette église, sur la place de Saint-Ferréol, que le juge de la baronnie de Neuville tenait ses assises.

La Roche de Vic est une colline historique. Ce site fut occupé dès le Mésolithique[24]. Il présente des retranchements, longtemps considérés comme gaulois, mais qui datent probablement du Moyen Âge. En effet, à la fin du XIIe siècle, le vicomte de Turenne fait un don à l'abbaye d'Obazine en réparation des dommages causés lors de la construction de Roche de Vic (Rochadavit) par son armée[25].

Près du moulin de Prézat, au bord du ruisseau qui tombe en cascades (les cascades de Murel), il y a juste après les cascades, au sommet d'un monticule difficile d'accès, les ruines d'une église ou d'une chapelle qui semblent très anciennes.

Le , la division SS Das Reich incendie le village des Quatre Routes d'Albussac, situé sur la route départementale 940, avant d'assassiner un vieil homme et de brûler sa maison au Grelet de Sainte-Fortunade puis de poursuivre leurs assassinats à Tulle[26],[27].

Le , cinq résistants périssent lors du combat des Murels[28].

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

La commanderie templière puis hospitalière de Puy de Noix[29]. Bien que le village de Puy de Noix soit sur la commune de Beynat, le lieu-dit la Commanderie se trouve sur le territoire d'Albussac (45° 09′ 10″ N, 1° 45′ 54″ E). Voir également la liste des commanderies templières en Corrèze et le grand prieuré d'Auvergne de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1794 1801 Pierre Chastrusse    
1801 1801 Jean Bourdet    
1801 1801 Jean Chastrusse    
1801 1803 Pierre Chastrusse    
1803 1807 Jean Chastrusse    
1807 1832 Gabriel Noël Bourdet    
1832 1850 Jean-Baptiste Bourdet    
1850 1851 Pierre Daunie    
1851 1865 Jean-Baptiste Chastrusse    
1865 1872 Jean Sol    
1872 1878 Jean-Baptiste Désiré Naudoux    
1878 1896 François Nugon    
1896 1908 Martial Maugein    
1908 1918 Jules François Nugon    
1918 1919 Jean Soustre    
1919 1925 Martial Maugein    
1925 1944 Pierre Bordes    
1944 1958 Emmanuel Arago    
1958 1959 Jean-Baptiste Raoul    
1959 1965 Cyprien Rode    
1965 1977 Jean-Baptiste Raoul    
1977 1983 Gilbert Coste    
1983 décembre 2016 Raymond Raoul[Note 5] LR Agriculteur retraité
février 2017 En cours Sébastien Meilhac[30] LR Artisan

Démographie modifier

Les habitants sont appelés les Albussacois[31].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 735 habitants[Note 6], en augmentation de 3,09 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0681 1161 0681 2701 2941 3551 3361 3891 359
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4031 4441 3351 4141 4001 3321 4661 3911 537
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4011 4971 4601 1911 2271 1831 1491 0381 007
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
925851790718739668691695691
2017 2021 - - - - - - -
731735-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules au chevron d’or accompagné en pointe d’un croissant d’argent, au chef cousu d’azur chargé de trois étoiles d’or de six rais.
Détails

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Docteur Albert Massonie : Vieux Passé d'Albussac, Tulle, 1990.
  • Alain Maury, Michèle Vergne et Marguerite Guély, « La commanderie de Puy de Noix (Beynat-Albussac) au début du XVIe siècle », Bulletin de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze, no 133,‎
  • Michèle Vergne, Des templiers aux laboureurs, Puy de Noix, Beynat – Albussac en Bas-Limousin,

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Deux données contradictoires selon l'IGN : sur les cartes, la Roche de Vic est indiquée à 636 m, alors que dans son ancienne base de données, la commune culmine à 637 m.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  5. Décédé en fonctions.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Albussac sur le site de l'Institut géographique national (archive).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Albussac et Argentat-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Argentat » (commune d'Argentat-sur-Dordogne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Argentat » (commune d'Argentat-sur-Dordogne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Albussac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Albussac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. a et b A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1989, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 9.
  24. COUCHARD (Jean), Constructions et Monuments préhistoriques de la Corrèze, Brive, Société Scientifique et Historique de la Corrèze, , 80 p., p. 68-71.
  25. BARRIERE (Bernadette), Le cartulaire de l'abbaye cistercienne d'Obazine, Clermont-Ferrand, , p. 451-452..
  26. Le drame du 9 juin commémoré au Grelet
  27. 29 juillet 1944 : le drame du Perrier de Beynat page 9
  28. « La commune se souvient des Murels » sur le site de La Montagne, consulté le 15 juillet 2015.
  29. Julien Lherbeil, « La commanderie de Puy de Noix sur la plateau de Roche de Vic », Bulletin de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze, no 93,‎ , p. 75-82 (présentation en ligne).
  30. « Les élus », site de la commune, consulté le 2 mars 2017.
  31. Les gentilés de Corrèze
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Église Saint-Martin », notice no PA00099645, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 octobre 2016.
  37. Fiche sur le site de l'Ordre de la Libération