Silvarouvres

commune française du département de la Haute-Marne

Silvarouvres est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Silvarouvres
Silvarouvres
Sur une carte postale ancienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
Intercommunalité Communauté de communes des Trois Forêts
Maire
Mandat
Gérard Klein (d)
2020-2026
Code postal 52120
Code commune 52474
Démographie
Population
municipale
33 hab. (2021 en évolution de −13,16 % par rapport à 2015)
Densité 1,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 41″ nord, 4° 47′ 11″ est
Superficie 19,41 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteauvillain
Législatives Première circonscription
Localisation
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Silvarouvres
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Silvarouvres
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Silvarouvres
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Silvarouvres

Géographie

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Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aube, divers bras de l'Aube, le Fossé 04 de la Garenne, le ruisseau de Fins et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

L'Aube, d'une longueur de 249 km, prend sa source dans la commune d'Auberive et se jette dans la Seine à Marcilly-sur-Seine, après avoir traversé 82 communes[2].

 
Réseau hydrographique de Silvarouvres[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le plan d'eau du Bois de la Voivre, d'une superficie totale de 6,3 ha (5,3 ha sur la commune)[Carte 1],[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cunfin_sapc », sur la commune de Cunfin à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 900,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Silvarouvres est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,1 %), forêts (43 %), prairies (8,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Deux auteurs estiment que le passage de sopino à silve provient d'une attraction du second terme

"silva", au Moyen Age : un endroit plus ou moins densément boisé

le nom rappelle son origine forestière ou simplement un arbre en particulier, le chêne jadis objet d’un culte ou d’une vénération quelconque

Supinum Robur Sopinum Robur,

Le Rouvre couché

Bulletin de la Commission historique et archéologique Commission historique et archéologique de la Mayenne · 1914
877 Cerecius, sive Sopino Robore

Le domaine de Cerecius sous le Rouvre couché

Diplôme de Charles le Chauve Archives de l'Empire: Inventaires et documents 1866
1076 Silva rubra– Roberatra Chronicon Lingon, ad an 1076, AP acta SS Ibid
1149 Silvanrroura Charte d’Henri 1r seigneur de Bar-sur-Aube et La Ferté
1179 Silvenrovra Recueil des chartes de l'abbaye de Clairvaux au XIIe siècle 2004
vers 1200 Silvainrovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1200 Sivonrovra Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1200 Sivain Rovre

1201 Sivenrovara

Documents relatifs au comté de Champagne et de Brie: 1172-1361
1222 Suvinruere Toponymie générale de la France Ernest Nègre · 1990
1228 Syvanrovre Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux.Louis Richard, Alain Catherinet · 2004
1232 et 1243 Suvinruere, Sirenrole Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1241 Syvanrovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1243 Suvinruere Toponymie générale de la France Ernest Nègre · 1990
1245 Suvenrosa Toponymie générale de la France Ernest Nègre · 1990
1251 Syvanrouvre Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux.Louis Richard, Alain Catherinet · 2004
1255 Sivanrovra Recueil des historiens de la France: Pouillés Académie des inscriptions & belles-lettres (France) · 1904
1255 Sivonrovra Pouillés de la province de Lyon Auguste Longnon · 1904
1261 Sivanovre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1274 –1275 Sinvanrolle Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1275 Silve en Rouvre, Histoire des ducs et des comtes de Champagne depuis le VIe siècle jusqu'à la fin du XIe Henri d' Arbois de Jubainville · 1860
1278 Silve en Rovre Documents relatifs au comté de Champagne et de Brie, 1172-1361. Les fiefs / publiés par Auguste Longnon,... 1901-1914
1296 Syvenrouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
XIVe s Syvanrouvra Pouillés de la Province de Lyon - Volume 1 - 1904
1416 Sivanrouvra Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1540 Civenrouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1903
1603 Silvarouvre Collection de documents inédits sur l'histoire de France 1914
1656 -1679 Silvaurouvre Nouvel atlas, tres-exact et fort commode pour toutes sortes de personnes 1720
1700 Civarolles Les Loix municipales et coutumes générales du bailliage de Chaumont-en-Bassigny Jean Gousset · 1722
1722 Civanrouvre Les Loix municipales et coutumes générales du bailliage de Chaumont-en-Bassigny Jean Gousset · 1722
19e s Sylvarouvres Bulletin des lois de la Republique Francaise

1844, entre autres

À partir de 1875 environ 1886

Silvarouvres

“Le” Diocèse de Langres

histoire et statistique · Volume 3

Selon Émile Jolibois, historien et archiviste français, aucune charte ne fait mention avant le XIIe siècle du village qui n’a pris naissance que vers le milieu du XIe siècle avec la fondation du prieuré par la comte du Barsuraubois, Simon de Valois. Ce qui prouve que le territoire n’avait pas d’église avant cette fondation, les corps des martyrs ayant été transporté à Sexfontaines.

En 1875, l’Abbé Charles Roussel, en son temps curé d’Ozières et ancien missionnaire écrit « Silvarouvres, dit aussi jadis Silvarolla, Silvarouvra, Silva Rubra, Supinum Robur, Sopinuim Robur Attraction du mot silvestre en ancien français ; le -s a été ajouté tardivement et n'a pas de sens. Du latin supinum- tourné vers le haut, penché, renversé-et robur chêne rouvre- ; mots à mots, la Forêt de Chênes Rouges, ressortait de la généralité de Champagne, à l’élection de Bar-sur-Aube, au bailliage de la prévôté de Chaumont. La seigneurie, ancienne dépendance de la châtellenie de Laferté, fut réunie dans la suite au duché-pairie de Chateauvillain. On ignore à quelle époque ce village prit naissance. Il paraît certain que ce village n’existait pas au VIIe, à l’époque où, vers l’an 630, les saints Félix, Augebert, furent massacrés par dans la forêt du même lieu. Cette forêt, rougie par leur sang paraît avoir donné son nom au village. Ou selon une autre étymologie qui n’est pas moins naturelle, le mot de Silvarouvres vient de Silva Robur, mot à mot, Boisrouvre la forêt de chênes ». Le rouvre, robur en latin, est en effet une espèce de chêne noueux et fort.

Un auteur récent, Henry d’Arbois de Jubainville pense que le village existait déjà au IXe siècle et qu’un diplôme de Charles le Chauve en l’an 877 le désigne en ces termes : « in pago Barinse, super fluvium Alba, id est villà quae vocatur Cerecius sive Sopino Robore - dans le pays Barrois, sous la forêt de rouvre se trouve à proximité de l’Aube un village –dans le sens de domaine - du nom de Cerecius ». Ainsi au IXe siècle, Silvarouvres était connu sous le vocable originel de Cerecius ; le vocable primitif reproduisait sans doute le gentilice romain de Ceretius ou Ceraecius. On remarquera par ailleurs dans le vocable de Cerecius la racine latine cerreus ou cerrus « chêne ». Pour L Richard, le passage de cerecius à robore n’est du qu’à une traduction ou plutôt une précision relative au site, le rouvre étant une variété de chêne. Dans un département largement enforesté comme l’a toujours été la Haute-Marne, c’est une hypothèse qui n’a rien, en définitive pour nous surprendre. Transmis sur plusieurs générations, pour l’abbé Henry « le territoire était aussi doté d’un nom vulgaire Sopino Robore, à l’ablatif déclinable en latin ancien à savoir Supinum Robur. Robur, probablement parce que c’était une forteresse, Supinum certainement parce qu’elle était assise sur le penchant d’un coteau comme l’est encore aujourd’hui le village. Les aléas de la langues feront plus tard de cette locution Cyvan-Rouvre, dont la première lettre de Rouvre est quelques en majuscule, jamais celle de cyvan sans doute parce ce dernier mot est un adjectif. Quant aux modifications successive, il n’y a pas lieu d’en chercher une explication, pas plus que le « s » qui a été rajouter tardivement ».

Pour se prémunir des invasions normandes dans les dernières décennies du Xe siècle ou les premières du XIe siècle des mottes castrales s'élevèrent un peu partout, un souvenir que l’on retrouve au sein du village à travers le toponyme de la Motte : rapide à construire selon un modèle transposable partout et s’insérant dans un système de défense du pays barrois. En l’an 889, les Normands pénétrèrent en Champagne, ravageant Bar-sur-Aube, ruinant ses fortifications et mettant tout sur leur passage à feu et à sang[16],[17],[18].

Histoire

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Découvertes archéologiques :

Néolithique : à Silvarouvres, les Néolithiques laisseront le souvenir de leur présence « "des silex taillés dont de nombreux silex cachalonnés - usés- sont assez abondants sur ce territoire. On y a retrouvé de nombreuses pièces d’industrie néolithique : des racloirs, des grattoirs, des perçoirs, des poinçons, des haches, des pointes de flèches, des lames de tranchets et de ciseaux ainsi qu’un certain nombre de débris de poteries à craquelure bleuâtres ou noires de factures gallo-romaines. A Valdan ancienne institutrice de Silvarouvres, campagnes de fouilles années 20 ». Une industrie lithique rattachée jusque dans les années 50 au Robenhausien (entre 3300 et 1800 av. J.-C.), où seuls tranchets et ciseaux peuvent être rattachés au Chasséen méridionale implanté dans le sud du département. Bulletin de la Société d'archéologie de Haute Marne[19],

Prieuré Saint Félix, Prioratus Sancti Felicis - Prieuré Saint Félix Dédié à Sts Félix et Augebert, Sylva rubra Roboretra - La forêt rouge Mont - Saint - Oyant, dans la forêt de Silvarouvre. Un prieuré de Saint - Claude y fut également restauré par Simon de Valois qui le donna au prieuré de Ste Germaine

Appelés par Simon de Valois, comte de Bar sur Aube, les moines bénédictins s’installèrent au sein du Prieuré Saint Félix fondé en l’an 1076 avec l’accord de Reynard, 52e évêque de Langres, en faveur du monastère Saint-Oyend-de-Joux du Jura. Traditionnellement c’est au jeune comte de Valois, que l’on attribue l’initiative et le mérite de ce rayonnement, sa retraite dans le monastère jurassien s’étant accompagnée de nombreuses de donations.

          Acte féodal et religieux, le fondation du monastère St Félix précéda d’un an l’entrée en religion de Simon de Valois. Et l’an 1076, Thibaud (2)  avec l’agrément d’Adèle son épouse, et à la demande de son beau frère  Simon, confirmera à l’abbaye par une charte  non seulement les donations du comte de Crépy mais aussi celles faites par les autres membres de la famille :   « *Moi, comte Thibaud, accédant à la demande du comte Simon, je confirme au bien heureux Oyend de Joux, la perpétuelle et tranquille possession de tout ce que le comte Nocher, le comte Raoul, le comte Simon ou les autres personnes de la même famille ont donné ou pourraient lui donner dans la terre de Bar sur Aube ; je me désiste de tout droit sur ces biens, ainsi que mon épouse et mes fils ».

(2) Histoire de l'abbaye et de la terre de Saint-Claude, Paul Benoit · 1890[20],[21],[22]

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 décembre 2002 Guy Maitrot FN[23]  
décembre 2002 mars 2008 Dominique Maitrot FN Apparentée au maire précédent
mars 2008 Mars 2014 Yves Mehl    
mars 2014 En cours Gérard Klein (d)   UDI[24]  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 33 habitants[Note 3], en évolution de −13,16 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
339347367350390393390399414
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
357340354279271272238203194
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
177200146146147139126116128
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
11310456696154494947
2015 2020 2021 - - - - - -
383433------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Silvarouvres » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Silvarouvres », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Aube »
  3. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Silvarouvres et Cunfin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cunfin_sapc », sur la commune de Cunfin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cunfin_sapc », sur la commune de Cunfin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Silvarouvres ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Charles François Roussel, Le Diocèse de Langres histoire et statistique, vol. 2 (=https://www.google.fr/books/edition/La_dioc%C3%A8se_de_Langres/aRrCMwd0h0cC?hl=fr&gbpv=0  )
  17. Catholic Church. C.O., Officia propria, « Office de Saint Saturnin »  .
  18. Louis Richard et Alain Catherinet, Origine des noms de communes, de hameaux et autres lieux habités anciens et modernes de Haute-Marne, D. Guéniot,
  19. Melle Valdan, Notes sur les vestiges Gaulois et Gallo Romain, Melle Valdan ancienne institutrice au village, société d'archéologie et d'histoire de Chaumont,
  20. P Benît, « Histoire de l'Abbaye et des terres de Saint Claude ».
  21. P Benoit, « Histoire de l'abbaye et des terres de Saint Claude Volume 2 1982 ».
  22. Sur les chemins de la perfection moines et chanoines dans le diocèse de Besançon vers 1060-1220, Publications de l'Université de Saint-Etienne
  23. Annuaire des Mairies de Haute Marne (52), 152 p. (ISBN 978-2-35258-152-9, lire en ligne).
  24. « Jean-Christophe Lagarde et près de 600 élus soutiennent Alain Juppé - UDI », sur UDI, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi

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Liens externes

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