Saint-Priest (Ardèche)

commune française du département de l'Ardèche

Saint-Priest
Saint-Priest (Ardèche)
L'église de Saint-Priest.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité Communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche
Maire
Mandat
Sandrine Chareyre
2020-2026
Code postal 07000
Code commune 07288
Démographie
Gentilé Saint-Priéroux, Saint-Priérounes
Population
municipale
1 329 hab. (2021 en augmentation de 9,65 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 43′ 02″ nord, 4° 32′ 49″ est
Altitude Min. 278 m
Max. 1 019 m
Superficie 19,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Privas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Privas
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Priest
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Saint-Priest
Liens
Site web www.saint-priest-ardeche.fr

Saint-Priest [sɛ̃pʁi][1] est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Les habitants sont appelés les Saint-Priéroux et les Saint-Priérounes.

Géographie modifier

Le bourg est situé au pied du col de l'Escrinet mais la commune s'étend du plateau du Coiron au sud, jusqu'à la ville-préfecture de Privas à l'est et jusqu'au mont Charray au nord-ouest. La commune est traversée par l'Ouvèze qui prend sa source à proximité du col de l'Escrinet.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Le relief communal varie d'un minimum d'altitude de 278 m d'altitude (au niveau de l'ancien chemin de fer) et à un maximum à 1 019 m d'altitude (au niveau du sommet de Blandine et du Charay).

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 304 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Berzème Rad », sur la commune de Berzème à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 167,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie modifier

Le territoire communal est traversé dans toute sa longueur par l'ouvèze, un affluent de l'Ardèche et dont il abrite la source au col de l'Escrinet.

Voies de communication modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Priest est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Privas, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[11] et 14 715 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Privas, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,8 %), forêts (39,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels modifier

Risques sismiques modifier

La totalité du territoire de la commune de Saint-Priest est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques modifier

Toponymie modifier

Histoire modifier

Jusqu'à un passé proche, Saint-Priest a abrité plusieurs mines de fer dont un puits est inscrit monument historique. Le passé industriel de la commune a aussi été marqué par la présence de moulinages à soie.

Le château d'Entrevaux modifier

 
Le château d'Entrevaux.

Situé à 4 km au sud-ouest de Privas, vers le plateau du Coiron, le château d'Entrevaux, est un des rares exemples d'habitations seigneuriales du Vivarais aussi bien conservées.

Le corps de logis, rectangle de 44 m sur 22 m, a des murailles épaisses de 80 cm faites de pierres volcaniques, particulièrement résistantes aux boulets. L'ensemble, flanqué aux angles de quatre tours rondes de 5,50 m de diamètre, arasées après le siège de privas en 1629, présente un aspect imposant. Le château primitif remontait au XIIe siècle. En effet, des historiens ont trouvé des traces de hourd. Cependant, aucun document d'archive n'en apporte la preuve irréfutable. Cette forteresse, construite selon les règles de l'art (murs épais, fossés de huit mètres de large, porte sur la face sud) et difficilement prenable, connaît de nombreux remaniements au cours des âges ; l'intérieur du château quant à lui fut peu modifié en raison de l'épaisseur des murs.

Le château d'Entrevaux, au début du XVIe siècle, fut restauré comme beaucoup de demeures seigneuriales françaises, à la mode italienne importée par une aristocratie éblouie par les réussites de la Renaissance italienne. Le décor italien va peu à peu se juxtaposer à de nombreux bâtiments français grâce à l’arrivée d’architectes et décorateurs florentins ou romains qui transformèrent ces habitations, apportant le confort intérieur et de larges ouvertures. Les principales modifications extérieures eurent pour but de rendre la façade sud moins vulnérable devant les canons au tir tendu : deux murs sont appuyés aux deux tours sud entourant une basse-cour ; un bâtiment est construit en saillie à l'ouest.

Les textes montrent que le château aurait été assiégé et pillé au XVe siècle par une bande de routiers qui se seraient attaqués ensuite au monastère Saint-Michel, au somment du Charay.

C'est surtout à l'époque des guerres de religion que les seigneurs d'Entrevaux jouèrent un rôle important, en particulier lors du siège de Privas. Le protestant René de Bénéfice de Cheylus, sieur d'Entrevaux se rend et remet son château au roi Louis XIII. Le château d'Entrevaux accueillit Richelieu en mai 1629, pendant le siège de Privas à l'encontre des huguenots. C'est Richelieu, le puissant ministre de Louis XIII, ainsi que le comte de Soissons qui s'y installent afin de coordonner l'organisation du siège de la ville proche. Le château est attaqué dans la nuit du 25 au 26 mai 1629 par un commando protestant, sans succès. Après la prise de Privas, Richelieu ordonne de détruire Entrevaux mais heureusement ses ordres ne sont pas exécutés et seules les quatre tours son écrêtées.

Aujourd'hui, le château d'Entrevaux est une demeure privée et les visites y sont interdites.

Église de Saint-Priest modifier

On trouve pour la première fois le nom de Saint-Priest dans les écrits concernant l'église diocésaine de Viviers (Charta Vetus 950). Saint Priest était un évêque de Clermont, né en Auvergne au VIIe siècle. Pendant la Révolution, Saint-Priest fut débaptisée et appelée commune de la Marne parce que d'un point de vue géologique, la marne est très présente au-dessus de l'Ouvèze. Cette appellation de commune de la Marne à même donné le nom à une place du village : place des Marnes, située en face de la mairie.

Dans le village, on rencontre de nombreuses maisons de caractère avec des tuiles multicolores de style provençal.

De septembre 2014 à avril 2015, l'église de Saint-Priest fut l'objet d'une réhabilitation. La collectivité a fait appel au mécénat populaire. Celui-ci permet, pour un particulier et même une entreprise, de faire un don afin d'aider à la restauration de ce monument. Les principaux travaux qui seront réalisés sont les suivants :

  • réfection de la toiture,
  • création d'une issue de secours,
  • suppression de l'enduit et réalisation des joints de pierre,
  • remise aux normes électriques,
  • création d'un point d'eau dans la sacristie.

Monastère Saint-Michel de Charay modifier

 
Les ruines du monastère.

En montant sur le col de l'Escrinet, on peut admirer la montagne du Charay. Charay était un couvent des chanoines réguliers de Saint-Augustin, édifié par Adhémar de Monteil, seigneur de Privas et évêque du Puy. En l'an 1000, le chapitre Notre Dame du Puy fonda le monastère de Charay qui contrôlait 22 églises dont celle de Saint-Priest. Il ne reste aujourd'hui que des ruines de ce monastère d'où l'on a une très belle vue sur le bassin Privadois et même sur la vallée du Rhône et les montagnes du Vercors. Étymologiquement, Charay pourrait signifier « charrié par les eaux ».

De dimensions modestes, l'église de Saint-Priest est une construction massive, peu élevée, assez sombre. C'est originellement un plan en rectangle prolongé par une abside semi-circulaire voûtée en cul de four, la nef est voûtée en berceau. Deux chapelles latérales - de dimensions inégales - furent rajoutées postérieurement et lui donnent actuellement un plan en croix latine. Le clocher, modeste, est en façade. La plus grande partie du mobilier religieux a disparu entre les années 1964-1978. Son style est Roman du type XIIe siècle. L'édifice très ancien à l'origine (probablement XIe ou XIIe siècle), a été en majeure partie détruit par les protestants dans la deuxième moitié du XVIe siècle.

La paroisse dépendait du monastère Saint-Michel de Charay (chanoines réguliers de Saint-Augustin - monastère fondé en l'an mil) qui domine le village. Ce monastère fut détruit aussi par les réformés (peut-être en 1578) et il n'en reste que des ruines. Le grand Prieur s'installa alors ensuite à la cure du village. Le culte ne put être assuré pendant plusieurs décennies dans l'église de Saint-Priest. Elle fut relevée au XVIIe siècle, agrandie au cours du XIXe.

L'exploitation minière modifier

Les moulinages à soie modifier

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 25 juin 1995 Charles Benoît D'Entrevaux SE Exploitant Agricole
25 juin 1995 mars 2001 Yves Chastan PS Fonctionnaire
Conseiller général
Suppléant de Pascal Terrasse
mars 2001 mars 2008 Alain Chaussignand DVG Conseiller en immobilier
mars 2008 mai 2020 Jacques Merchat PS Retraité
mai 2020 En cours
(au 1 juin 2020)
Sandrine Chareyre PS Employée de Banquet
Conseillère départementale

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2021, la commune comptait 1 329 habitants[Note 3], en augmentation de 9,65 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
509548618649734759787785822
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8511 1031 1661 1401 1811 2511 092943892
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
835741739571586602515465467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4814865507499681 1071 1741 1941 275
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2121 3201 329------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias modifier

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.

Festivités et événements modifier

  • La fête des Sources : fête annuelle du village organisée généralement le dernier week-end du mois d'août. Manifestation de sensibilisation sur la nécessité de gérer et de promouvoir les ressources en eau, particulièrement riches sur la commune de Saint-Priest, elle est également un événement festif et sportif (danses, expositions, fresques géantes, concours de pétanque et de billes, jeux, spectacles, marché artisanal et gastronomique, etc.).
  • La course des Sources : course pédestre qui a fêté son 18e anniversaire en 2014, organisée par l'association « Fête des Sources ».

Sports modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine religieux modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Saint-Priest (Ardèche) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Priest et Berzème », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Berzème Rad », sur la commune de Berzème - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Berzème Rad », sur la commune de Berzème - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Privas », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

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