Saint-Clément-des-Baleines

commune française du département de la Charente-Maritime

Saint-Clément-des-Baleines
Saint-Clément-des-Baleines
Mairie de Saint-Clément-des-Baleines
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté de communes de l'île de Ré
Maire
Mandat
Lina Besnier
2020-2026
Code postal 17590
Code commune 17318
Démographie
Gentilé Villageois
Population
municipale
698 hab. (2021 en augmentation de 10,62 % par rapport à 2015)
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 13′ 44″ nord, 1° 32′ 18″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 18 m
Superficie 6,80 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Île de Ré
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Clément-des-Baleines
Liens
Site web www.mairie-stclementdesbaleines.com

Saint-Clément-des-Baleines est une commune du sud-ouest de la France, située sur l'île de Ré, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Villageois et les Villageoises[1].

Géographie modifier

 
Situation de Saint-Clément sur l'île de Ré.

Commune à la pointe ouest de l'Île de Ré regroupant plusieurs villages ou hameaux : le Gillieux, le Chabot, la Tricherie, le Griveau, le Godinand.

  • Pas de port.
  • Un phare sur terre, le phare des Baleines et un en mer, le phare des Baleineaux placé sur un haut fond, le « Haut Banc du Nord ».
  • Très belles plages au nord (plage de la conche des Baleines, surveillée en saison) et à l'ouest (plage de la côte sauvage) bordées de grandes dunes. En mer, c'est une zone rocheuse à la navigation difficile, écluse à poissons visible à marée basse.
  • Forte présence de blockhaus du mur de l'Atlantique (Seconde Guerre mondiale) et qui sont détruits en . Les premières scènes du film Le jour le plus long furent tournées sur la plage nord, d'autres à Rivedoux-Plage.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Clément-des-Baleines est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ars-en-Ré, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[5] et 4 492 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des zones humides (42,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (42,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones humides côtières (42,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), zones urbanisées (13 %), cultures permanentes (10 %), forêts (8,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Clément-des-Baleines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-Île de Ré, regroupant 21 communes concernées par un risque de submersion marine de la zone côtière, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmé en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[16]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antérieures à 2019 sont celles liées à la tempête du , à la tempête du , aux tempêtes Lothar et Martin des 26 et et à la tempête Xynthia des 27 et . Cette tempête a eu pour conséquence l’instauration de zones de solidarité, où les parcelles considérées comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient à terme être expropriées (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,…). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[17],[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[19],[14].

Saint-Clément-des-Baleines est exposée au risque de feu de forêt, un massif classé à risque dans le plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI), élaboré pour la période 2017-2026 et qui fait suite à un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrêté du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[21]. Un autre arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[20],[22],[23].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Clément-des-Baleines.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 378 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 71 sont en aléa moyen ou fort, soit 5 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

Activité modifier

Toponymie modifier

Le nom de la commune provient du fait que l'église paroissiale ait été dédiée à saint Clément, quant à la référence aux baleines, elle viendrait des nombreux échouages de cétacés sur ses plages jusqu’au début du XXe siècle.

Histoire modifier

  • Du nom "des Baleines" :
    • Pline l'Ancien parle de 300 baleines échouées sur une pointe du golfe d'Aquitaine.
    • 1522, Madame de La Tremoîlle demande 7 ou 800 livres de baleines à Thibaud Maroys son receveur de "l'Isle de Rhé".
    • 1582, , le capitaine Bruneau de Rivedoux parle d'un échouage.
    • 1584, Nicolas Herbin, notaire des seigneuries d'Ars et Loix (voir "Histoire" page Île de Ré), parle d'un échouage de baleine.
    • 1586, Nicolas Herbin, échouage à la pointe d'Ars (voir "Histoire" page Île de Ré).
    • 1680, mi-février, Jehan Seignette, médecin à La Rochelle, observation et dissection une "baleine des basques" de 15 mètres.
    • 1851-1853  : Les habitants de Saint Clément formulent une première demande de détachement de la commune d'Ars -en-ré, refusée par le Ministère de l'Intérieur. Il accorda toutefois une section électorale et un adjoint spécial avec fonction de Maire.
  • 1874 : Faisant suite à une nouvelle pétition soumise à la préfecture en 1873[28], création de la commune de Saint-Clément-des-Baleines, par détachement de la commune d'Ars-en-Ré de cinq hameaux (le Gillieux, le Chabot, la Tricherie, le Griveau, le Godinand).

Administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 1978 Fernand Bonnin    
1978 1983 Gaston Giraudeau    
1983 1989 André Puaud    
1989 1995 Léon Massé    
1995 2001 Jacques Neveur    
2001 2001 Renée Planchon    
2001 2008 Katia Puaud-Noyer PS  
2008 2020 Gilles Duval    
2020 En cours Lina Besnier    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 698 habitants[Note 3], en augmentation de 10,62 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1 0501 030968924866790743712603
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
554472479414426439490480516
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
607728716726721632682698-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Economie modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le phare des Baleines (57 mètres, 1854) et l'ancienne tour Vauban (27 mètres, 1682). Phare «d'atterrissage» des bateaux arrivant du grand large. Lieu le plus visité de l'île de Ré.
  • Le sémaphore (Marine Nationale)
  • L'église Saint-Clément construite en 1842 et 1843 par deux entrepreneurs du Griveau, Pierre Pentecôte et Emmanuel Pathouot, sur un espace cultivé qui appartenait aux membres de la fabrique. Les travaux furent réalisés en dehors des formes légales et sans le concours de l’administration municipale. La participation des habitants fut par contre totale, 4 menuisiers, 5 charpentiers, serruriers, ferblantiers, vitriers, peintres, marbriers, tailleurs de pierre et bien d’autres. Depuis 1929, le clocher abrite une cloche baptisée « Suzanne » sonnant un Si bémol. Un nouvel orgue électronique remplace depuis le un vieil harmonium.
  • Le hangar de l'ancien canot de sauvetage.
  • L'Écluse à poissons
  • Les grandes plages de sable de la côte nord.
  • Les blockhaus du mur de l'Atlantique (Seconde Guerre mondiale)
  • Le restaurant Le Chat Botté a reçu, en , le Président de la République François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Kohl pour un déjeuner officiel. Créé en 1921, ce restaurant a accueilli au cours de sa longue histoire de nombreuses personnalités, et notamment : Robert Mitchum, Claude Nougaro, Nathalie Baye, Emmanuelle Béart, Guy Bedos, Michel Piccoli, Lionel Jospin, Fabrice Luchini, André Dussollier, Sabine Azéma, Claude Lelouch, Sonia Rykiel, Sandrine Kiberlain, etc.

Personnalités liées a la commune modifier

  • Le journaliste et écrivain Henri Béraud y possédait une maison, où il est décédé en 1958. Cette maison a ensuite été un temps la propriété de Jean-Max Tassel, marié alors à Christiane Bouquet mère de Carole Bouquet, qui l'aurait rachetée pour environ 10 millions de francs[33].
  • Le prince Souvanna Phouma, Premier ministre du royaume du Laos, y possédait une maison. Son épouse est enterrée dans le cimetière communal.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 d'Ars-en-Ré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Clément-des-Baleines », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Loire-Bretagne, actualisée par arrêté du préfet coordonnateur en date du 22 octobre 2018. », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  17. « cartographie des risques d'inondations du TRI de La Rochelle-Île de Ré », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
  18. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  21. « Réglementation des feux en extérieur. », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
  22. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Clément-des-Baleines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. archives départementales des charentes maritimes, Procès-verbaux et délibérations du Conseil général de la Charente-Inférieure puis Maritime (1832-1945), Rapport et déliberations du Conseil Général 1873
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Maisons de stars, Le Point, 7 août 2008

Annexes modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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