Roiffé

commune française du département de la Vienne
(Redirigé depuis Roiffe)

Roiffé est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Roiffé
Roiffé
Église Saint-Martin de Roiffé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Bruno Verdier
2020-2026
Code postal 86120
Code commune 86210
Démographie
Population
municipale
747 hab. (2021 en évolution de −0,93 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 32″ nord, 0° 03′ 11″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 118 m
Superficie 24,30 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Roiffé
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Roiffé
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Roiffé

Géographie

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Communes limitrophes

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Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 622 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudun à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 631,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Roiffé est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,6 %), prairies (18,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), terres arables (12,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,9 %), zones urbanisées (2,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Roiffé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Courance, le ruisseau Boire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1999 et 2010[15],[13].

Roiffé est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[16]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 2],[17], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [18],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roiffé.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 80,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Histoire

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Dans les années 1660, les faux-sauniers attaquent la chaîne des condamnés aux galères, qui se dirige vers le bagne de Rochefort : ils parviennent ainsi à libérer leurs compagnons[24]. Roiffé est situé jusqu'en 1789 en Généralité de Touraine.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les équipes techniques du Jagdgeschwader 26 (escadron de chasse no. 26), surnommé Schlageter, sont stationnées à Roiffé, près du hameau de Cuzay. Elles sont bombardées le par cinq Mustang du 375e fighter squadron, du 361e Fighter group (groupe de chasse) de l’US Air Force[25]. Du côté allemand, les pertes sont d’un mort, un blessé, un camion citerne incendié et un autre mitraillé. Du côté américain, le pilote américain Georges Merritt, as aux onze victoires, est abattu et retrouvé mort à proximité de l’épave de son appareil[26]. Un agriculteur français, Louis Urbain, meurt dans le crash[27].

Politique et administration

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Le maire

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Le maire actuel
Période Identité Étiquette Qualité
2020 (réélu) En cours Bruno Verdier    

Instances judiciaires et administratives

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

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Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 747 habitants[Note 4], en évolution de −0,93 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
920945978920942947925907903
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8868638561 2141 2041 2701 1161 0661 012
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0801 0571 0651 0419911 0119271 009951
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
847773475535593658672667693
2015 2020 2021 - - - - - -
754750747------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 27 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie

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Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[32], il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 19 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 900 hectares en 2000 à 705 hectares en 2010. 35 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et orges), 14 % pour les oléagineux (tournesol), 26 % pour le fourrage et 18 % reste en herbes. En 2000,2 hectares (1 hectare en 2010) étaient consacrés à la vigne[32].

Six exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un élevage de bovins (497 têtes en 2010 contre 530 têtes en 2000). L'élevage de volailles a connu une baisse : 133 têtes en 2000 répartis sur cinq fermes contre 58 têtes en 2010 répartis sur trois fermes. L'élevage d'ovins a disparu au cours de cette décennie[32]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué en moyenne de 43,7 % de 1990 à 2007[33]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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  • Château de la Roche Martel (ou Roche-Marteau ou Roche-du-Maine) est situé sur un promontoire dominant la plaine de Loudun. Cet ancien château fort occupait, donc, une position stratégique. Les Plantagenêts en auraient été propriétaire. Il a été reconstruit au cours de la première moitié du XVe siècle. Il a été remanié au XIXe siècle. Toutefois, il est inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des monuments historiques pour son châtelet et sa galerie extérieure depuis 2005.
  • Logis des Eaux-Melles de style Renaissance[34].

Patrimoine naturel

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Le bois de Grandjean fait partie d’une étendue forestière qui s’étend entre Roiffé et Bournand, de part et d’autre de la D 147.

Dans ce secteur du Loudunais, les sols sont constitués d’épais dépôts sableux sur lesquels se sont formées des « varennes » ou « sables verts », des sols sableux à argilo-sableux intercalés de niveaux marneux, profonds, acides ou neutres selon les secteurs, et tantôt arides ou tantôt hydromorphes. La nature très particulière de ces sols, qui couvrent près de 55 000 hectares dans le nord du département de la Vienne, a généré le développement d’une flore très originale mêlant les plantes calcicoles, acidophiles, hygrophiles et xérophiles que l‘on retrouve dans le bois de Grandjean. Le couvert arboré est essentiellement composé de chênes pédonculés et de chênes pubescents. La strate herbacée est, quant à elle, composée de plantes typiques des landes et des pelouses calcifuges comme la callune ou la potentille des montagnes. Ces plantes voisinent avec des espèces nettement calcicoles telles que l’astragale à feuilles de réglisse ou la campanule à feuilles de pêcher. Les lisières forestières sont un conservatoire de plantes rares qui sont à l’origine du classement et de la protection du bois de Grandjean (ZNIEFF)[35]. Ont été recensées les plantes suivantes :

La flore des zones hydromorphes est composée des plantes communes aux autres sites de même biotope située en Poitou. En revanche, celle des chemins et des clairières sablonneuses présente diverses petites espèces annuelles plus ou moins exceptionnelles telles que le céraiste à cinq étamines ou le géranium grêle.

Personnalités liées à la commune

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  • Isaac de Razilly (né le sur la commune de Roiffé au château d’Oiseaumelle -Généralité de Tours, ses parents possédaient plusieurs châteaux en Touraine à Beaumont en Véron et Cuon ). Après avoir été en poste dans la Marine Royale sur l'Ile de Ré, il fut nommé Commandeur de la Commanderie de l'Ile Bouchard (Indre et Loire) jusqu'à son départ en 1632 d'Auray en Bretagne pour l'Acadie avec 300 Hommes d'Elite où il devient Gouverneur de Nouvelle-France jusqu'à sa mort en 1636.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Roiffé et Loudun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Loudun » (commune de Loudun) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Loudun » (commune de Loudun) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Roiffé ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loudun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Roiffé », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  17. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  18. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Roiffé », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris : Gallimard, 2008. Collection Folio, (ISBN 978-2-07-035971-4), p. 562
  25. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 130-131
  26. Richard, op. cit., p. 133
  27. Richard, op. cit., p. 134
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  33. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  34. La Vienne, Patrimoines et Médias, coll. « Châteaux, Manoirs et Logis », , 399 p. (ISBN 2-910137-11-2), p. 39.
  35. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011.
  36. Qui connaît l'avoine de Loudun ? « La Nouvelle République » 15 mai 2011
  37. Cahiers du patrimoine naturel - Pays loudunais

Voir aussi

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Article lié

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Liens externes

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