Quéant

commune française du département du Pas-de-Calais

Quéant
Quéant
Vue du Cimetière Anglais de Quéant.
Blason de Quéant
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes Osartis Marquion
Maire
Mandat
Jérôme Dartus
2020-2026
Code postal 62860
Code commune 62673
Démographie
Population
municipale
637 hab. (2021 en diminution de 3,34 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 48″ nord, 2° 59′ 03″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 102 m
Superficie 9,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
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Quéant
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Quéant
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Quéant

Quéant est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Cette commune à proximité de Marquion (9 km), se situe au centre du triangle formé par Arras (22 km), Cambrai (21 km), et Bapaume (14 km). Elle se situe également au centre du triangle formé par les autoroutes A1-A2-A26.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 9,02 km2 ; son altitude varie de 62 à 102 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

Il est traversé par le ruisseau l'Hirondelle de Vaulx-Vraucourt qui prend sa source à Vaulx-Vraucourt, traverse le village de Noreuil et avant d'atteindre celui de Quéant. L'Hirondelle parcourt une quinzaine de kilomètres[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages modifier

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Quéant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,6 %), zones urbanisées (6,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Transport ferroviaire modifier

De 1880 à 1969, la commune est desservie par une ancienne ligne de chemin de fer, la ligne de Boisleux à Marquion.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chaun (XIe siècle) ; Chaom (1115) ; Chaum (1145) ; Cheun (XIIe siècle) ; Kéans (1230) ; Keiam (1237) ; Keians (1279) ; Kéam (1293) ; Kian (1294) ; Kyan (1298) ; Kiant (1295) ; Kyam (1312) ; Kyan (1313) ; Kyant (1323) ; Quéans (1324) ; Quéant (XVe siècle) ; Quéam (1720) ; Quéan (1739)[17].

Selon Ernest Nègre, le nom viendrait d'un anthroponyme gallo-romain, Catus[18].

Histoire modifier

L'histoire de la commune de Quéant peut être consultée dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873, en cliquant sur le lien ci-après [19].
La seigneurie dépendit de façon chronologique, des Créqui, des Boudi, puis des Despretz[20].

Carte de Cassini modifier

 
Carte de Cassini du secteur vers 1750.

La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Quéant était une paroisse traversée par le ruiiseau L'Hirondelle.
Au nord , le château est représenté.
Au sud, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque .
Le bois Gillé n'existe plus de nos jours, ainsi que la chapelle représentée au nord-est.

Première Guerre mondiale modifier

Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Quéant et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en septembre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 1 km à l'ouest devant Lagnicourt. Ce système qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 2 septembre 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne[21].
Evacué de ses habitants en 1917, le village subit de nombreux dégats à la suite des bombardements.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [22].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations.

Politique et administration modifier

 
La mairie.

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton de Bapaume.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1953   Marcel Parmentier    
1971   Paul Reversé   Cultivateur
1983   Roger Drapier   Cultivateur
1999 16 mars 2010[23] Michel Lancel   Décédé en fonction
6 Juin 2010 25 Mai 2020 Bernard Trannin   Agriculteur retraité
Réélu pour le mandat 2014-2020[24],[25],[26],[27]
25 Mai 2020 En cours
(au 2 avril 2022)
Jérôme Dartus   Major de police
Élu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 637 habitants[Note 4], en diminution de 3,34 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7077086908511 0229861 0321 0601 046
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0201 0411 0681 0341 0351 028978975980
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9571 004988715722703730669631
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
649632561548506549563577625
2015 2020 2021 - - - - - -
659643637------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 349 hommes pour 304 femmes, soit un taux de 53,45 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,0 
2,9 
75-89 ans
6,3 
12,2 
60-74 ans
13,3 
21,5 
45-59 ans
21,3 
23,0 
30-44 ans
24,0 
16,6 
15-29 ans
17,0 
23,8 
0-14 ans
16,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Léger.
 
Le monument aux morts.

Église Saint-Leger, reconstruite en 1918, incluant une dalle funéraire du XIVe siècle. Vitraux de Julien Vosch de 1931.

Anciens souterrains d'une ampleur exceptionnelle, qui comporte des chambres de stockages et des chambres d'habitation. Il n'y a pas moins de 80 salles, pour la plupart aménagées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cimetière militaire britannique (1914-1918) Queant Communal Cemetery British Extension où reposent 273 soldats britanniques dont le major-général L.J. Lipsett[35].

Commerces & activités modifier

Pharmacie, café-tabac, garage, coiffeur. Salle des fêtes (location) et stade. Dépôts frigorifiques SAFA.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de sable aux trois fasces d'argent sur le tout de sable aux trois lionceaux d'argent, lampassés et couronnées d'or.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

 

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hirondelle (E1560850 ) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Quéant et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 310.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. T. I- Formations préceltiques, celtiques et romanes. 3e édition: Etymologie de 35000 noms de lieux, Librairie Droz (ISBN 978-2-600-35898-9, lire en ligne)
  19. « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
  20. données sur Quéant du site www.quid.fr
  21. « Le percement de la ligne Drocourt-Quéant (2-3 septembre 1918) », sur Archives - Pas-de-Calais le Département (consulté le ).
  22. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  23. Article La Voix du Nord
  24. « Le Bilan des maires - Quéant: Entretenir le patrimoine, aménager au mieux, tout en conservant une situation budgétaire confortable : Bernard Trannin, âgé de 60 ans, ancien agriculteur, élu pour la première fois en 1983, a été deuxième adjoint du maire de l’époque, Roger Drapier, puis a été réélu au sein du conseil municipal en 2008 avec le maire Michel Lancel (NDLR : maire décédé le 16 mars 2010) qu’il a remplacé en juin 2010. Il se représentera au suffrage des Quéantois en 2014 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Quéant: Bernard Trannin reconduit à la tête d’un conseil constructif », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Les projets du maire de Quéant : terminer les chantiers en cours et faire le point avant d’entreprendre à nouveau : Réélu dès le premier tour avec l’ensemble de sa liste, le maire de Quéant, Bernard Trannin, entend tout naturellement poursuivre les actions débutées lors du mandat précédent », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quéant (62673) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  35. CWGC.org