Portail:Vallée d'Aoste/Lumière sur

Ceci est la page des « Lumière sur » du Portail de la Vallée d'Aoste.
À chaque mois correspond le « Lumière sur » d'un article, qui est automatiquement inséré dans l'encart correspondant du portail.

L'article correspondant à ce mois de mai est le suivant :

Château de Fénis.
Château de Fénis.

Les châteaux valdôtains sont nombreux et importants, et témoignent du passé illustre de cette petite région montagneuse, comme voie de passage alpine.

Ces châteaux, auxquels est indissociablement liée l'histoire du Val d'Aoste, autrefois principal moyen de défense, sont aujourd'hui une des plus importantes et charmantes richesses de la plus petite région italienne. En dépit de ses dimensions, en la parcourant on peut trouver presque un château dans chaque village, dont la plupart ont été bien conservés, et constituent une des majeures attractions touristiques.

Le château le plus connu est celui de Fénis. Le premier qu'on rencontre en remontant la vallée, est le Fort de Bard, tandis que le dernier est celui d'Avise.

Au cours des siècles, les châteaux valdôtains ont évolué : à l'origine ils servaient de bastions de défense, comme les Tours en général, remontant au IIe millénaire. Par la suite, les familles nobiliaires locales ont de plus en plus cherché à montrer leur richesse et leur autorité par leurs châteaux ; c'est le cas de Fénis et d'Issogne. Le château de Gressoney-Saint-Jean (XIXe siècle) répond quant à lui à un désir de souvenir des gloires passées.

Lire l'article

Tous les « Lumière sur » modifier

Janvier Février Mars
 
Saint Ours d'Aoste.

La Foire de Saint-Ours (en italien Fiera di Sant'Orso, en patois valdôtain Fèira de Sènt-Or) est la plus importante foire de l'artisanat typique et de tradition du Val d'Aoste.

Elle a lieu dans la vieille ville d'Aoste les 30 et 31 janvier, et est dédiée à saint Ours.

Selon la légende, la première foire fut organisée en l'an 1000. Il s'agit d'une foire de l'artisanat local et d'une occasion de rencontre pour la population, pour admirer les œuvres des artisans du bois et de la pierre, aussi bien que les groupes folkloriques valdôtains, qui animent les rues du centre la nuit du 30 au 31 janvier lors de la veille (en patois, la veillà).

Cette foire, avec sa chaleur, son hospitalité, ses couleurs et sa vivacité, attire chaque année des milliers de visiteurs des régions limitrophes italiennes (le Piémont et la Lombardie), françaises (les pays de Savoie) et suisses (les cantons du Valais et de Vaud), aussi bien que des touristes.

Une autre foire de l'artisanat est dédiée à saint Ours et a lieu à la mi-janvier dans le vieux bourg de Donnas, dans la basse Vallée d'Aoste.

Lire l'article

 
Musée régional de la faune alpine.

Le Musée régional de la faune alpine « Beck-Peccoz » (en allemand Alpenfaunamuseum) est un musée d'éthologique situé près du chef-lieu de Gressoney-Saint-Jean, au cœur de la Vallée du Lys, en Vallée d'Aoste.

Il est composé par le recueil de trophées de chasse, 2 000 pièces environ, de la famille gressonarde des barons Beck-Peccoz. Il comprend la faune valdôtaine, incluant notamment les chamois, les bouquetins, les cerfs et les chevreuils, mais aussi des animaux provenant des cinq continents, dont certains remontent au XVIIIe siècle.

En particulier, on peut admirer un chevreuil sybérien (Capreolus pygargus) naturalisé.

Dans le musée on trouve aussi des portraits, des reliques de la famille, des livres et des revues concernant la faune et la flore alpines.

Lire l'article

 
Le théâtre après la restitution d'août 2009

Le théâtre romain d'Aoste est sans doute le plus célèbre des monuments bâtis à l'époque romaine en Vallée d'Aoste.

Les fouilles, situées près de la porte prétorienne d'Aoste, montrent qu'une aire assez vaste était vouée aux jeux et aux amusements. En effet, le théâtre et l'amphithéâtre se trouvent l'un à côté de l'autre et occupent trois îlots adjacents à l'enceinte, tout près du decumanus maximus, la rue principale de la ville.

Les archéologues estiment que la construction du théâtre a suivi de quelques décennies la date de fondation de la ville (25 av. J.-C.). Au contraire, l'amphithéâtre remonte à l'époque de l'empereur Claude.

Seule subsiste aujourd'hui la façade méridionale, mesurant 22 mètres de haut. Sa rénovation a été liée récemment au projet Aoste classique, qui a entraîné également des travaux de restauration.

Lire l'article

Avril Mai Juin
 
La fontine, un fromage valdôtain.

La cuisine valdôtaine est fortement caractérisée par le milieu où elle s'est développée au cours des siècles : les Alpes. En Vallée d'Aoste, région dont l'altitude moyenne est supérieure à 2 000 mètres, les produits offerts par le territoire sont limités, et dans le passé les tables des Valdôtains ont toujours été très pauvres. Cependant, celles des riches propriétaires ne l'étaient pas du tout, et cela témoigne du fait que les montagnards de cette petite région de passage ont su obtenir des plats succulents à partir des minces ressources à leur disposition.

Les spécialités valdôtaines sont notamment les vins et les fromages, dont la majorité ont reçu l'Appellation d'origine protégée.

Lire l'article

 
Château de Fénis.

Les châteaux valdôtains sont nombreux et importants, et témoignent du passé illustre de cette petite région montagneuse, comme voie de passage alpine.

Ces châteaux, auxquels est indissociablement liée l'histoire du Val d'Aoste, autrefois principal moyen de défense, sont aujourd'hui une des plus importantes et charmantes richesses de la plus petite région italienne. En dépit de ses dimensions, en la parcourant on peut trouver presque un château dans chaque village, dont la plupart ont été bien conservés, et constituent une des majeures attractions touristiques.

Le château le plus connu est celui de Fénis. Le premier qu'on rencontre en remontant la vallée, est le Fort de Bard, tandis que le dernier est celui d'Avise.

Au cours des siècles, les châteaux valdôtains ont évolué : à l'origine ils servaient de bastions de défense, comme les Tours en général, remontant au IIe millénaire. Par la suite, les familles nobiliaires locales ont de plus en plus cherché à montrer leur richesse et leur autorité par leurs châteaux ; c'est le cas de Fénis et d'Issogne. Le château de Gressoney-Saint-Jean (XIXe siècle) répond quant à lui à un désir de souvenir des gloires passées.

Lire l'article

 
Schéma du terrain de tsan décrit en patois francoprovençal valdôtain dans le règlement de 1979 par Pierre Daudry.

Le tsan est un sport collectif traditionnel du Val d'Aoste, semblable au baseball et à l'Oina roumaine.

Les compétitions de tsan sont organisées en deux tours, le championnat de printemps et le championnat d'automne, et appartiennent à l'héritage culturel de la moyenne Vallée d'Aoste, en particulier de la région entre Montjovet et Aoste, du Val d'Ayas et du Valtournenche.

Lire l'article

Juillet Août Septembre
 
Musée régional de la faune alpine.

Le Musée régional de la faune alpine « Beck-Peccoz » (en allemand Alpenfaunamuseum) est un musée d'éthologique situé près du chef-lieu de Gressoney-Saint-Jean, au cœur de la Vallée du Lys, en Vallée d'Aoste.

Il est composé par le recueil de trophées de chasse, 2 000 pièces environ, de la famille gressonarde des barons Beck-Peccoz. Il comprend la faune valdôtaine, incluant notamment les chamois, les bouquetins, les cerfs et les chevreuils, mais aussi des animaux provenant des cinq continents, dont certains remontent au XVIIIe siècle.

En particulier, on peut admirer un chevreuil sybérien (Capreolus pygargus) naturalisé.

Dans le musée on trouve aussi des portraits, des reliques de la famille, des livres et des revues concernant la faune et la flore alpines.

Lire l'article

Conseil de la Vallée (Consiglio regionale della Valle d’Aosta en italien) est la dénomination officielle de l'organe suprême de gestion du pouvoir au niveau local de la Région autonome Vallée d'Aoste, précisée par la loi constitutionnelle qui en a approuvé le statut spécial.

Le président du Conseil est, dès le 1er juillet 2008, le conseiller de l’Union valdôtaine Albert Cerise, à la suite des élections du 25 mai 2008, qui ont généré la 13e législature.

Lire l'article

 
Armes de la Maison de Chaillant.

La Maison de Challant est une famille noble, apparue au XIIe siècle, originaire de la vallée d'Aoste et qui a porté le titre de vicomte d'Aoste jusqu'en 1295 puis celui de comte de Challant à partir de 1424 jusqu'au XVIe siècle, où le titre passe par mariage à la famille de Madrus.

Cette famille féodale reçoit son nom au XIIIe siècle lorsque le comte de Savoie Thomas Ier lui donne le château de château de Ville-sur-Challant ; elle est alors connue sous ce patronyme.

Au cours de son histoire, de nombreux membres de cette famille, qui demeura toujours très proche de la Maison de Savoie, furent les détenteurs dans la Vallée d'Aoste mais également dans les États de Savoie d'un pouvoir temporel (vicomtes, comtes, baillis) ou spirituel (cardinal, évêques ou prévôts de la cathédrale d'Aoste). La dernière branche masculine s'est éteinte en 1802/1804.

Lire l'article

Octobre Novembre Décembre
 
Les parlers valdôtains font partie du domaine linguistique arpitan.

Le valdôtain est une variété de la langue arpitane (ou francoprovençale), l'une des trois langues traditionnelles de l'espace gallo-roman, avec l'occitan au Sud, et le français (langue d'oïl, avec ses dialectes) au Nord. Le Val d'Aoste se trouve à la limite Sud-Est du domaine francoprovençal, qui comprend toute la Suisse romande (sauf le canton du Jura), une partie du Jura français, la Bresse, le Bugey, le Dauphiné, le Lyonnais, le Forez, et la Savoie.

Les Valdôtains appellent ce parler simplement patois, et c’est la langue de communication usuelle en Vallée d’Aoste, surtout dans des domaines d’activité caractéristique de la réalité locale, tels que l’élevage, l’agriculture, ainsi que dans l’administration publique, où quand-même le français occupe une position plus privilégiée.

Il n’existe pas un seul patois valdôtain, puisque chaque village a ses particularités ; parfois même à l’intérieur d’une même commune on a du mal à trouver une variante homogène. Les patois valdôtains se divisent grosso modo en deux grandes groupes, les patois de la haute vallée et ceux de la basse vallée d’Aoste, c’est-à-dire respectivement à l’ouest et à l’est de la capitale Aoste. Cette division, qui relève de la géographie, de la culture et de l’histoire valdôtaines, se reflète dans l’expression orale de ses habitants : la haute vallée, proche de la France, présente beaucoup d’affinités avec les patois savoyards, ainsi que le Valpelline et la Vallée du Grand-Saint-Bernard avec le Valais et la basse vallée avec le Piémont. On peut quand même affirmer que, malgré les différences parfois remarquables que l’on peut relever entre les patois valdôtains, les habitants de cette petite région-carrefour de l’Europe parviennent sans problèmes à se comprendre entre eux, en formant ainsi une unité d’un point de vue linguistique.

Lire l'article

 
Cathédrale d'Aoste.

Le diocèse d'Aoste (en latin Diœcesis Augustana) est l'un des 115 diocèses catholiques italiens de la vallée d'Aoste, suffragant depuis 1862 à l'archidiocèse de Turin.

Le diocèse s'étend sur une superficie de 3 261 km2, couvrant 93 paroisses et accueillant 119 546 fidèles baptisés (97,5% de la population). Le clergé du diocèse est constitué de 96 religieux séculiers et 28 religieux réguliers.

Lire l'article

 
Château de Fénis.

Les châteaux valdôtains sont nombreux et importants, et témoignent du passé illustre de cette petite région montagneuse, comme voie de passage alpine.

Ces châteaux, auxquels est indissociablement liée l'histoire du Val d'Aoste, autrefois principal moyen de défense, sont aujourd'hui une des plus importantes et charmantes richesses de la plus petite région italienne. En dépit de ses dimensions, en la parcourant on peut trouver presque un château dans chaque village, dont la plupart ont été bien conservés, et constituent une des majeures attractions touristiques.

Le château le plus connu est celui de Fénis. Le premier qu'on rencontre en remontant la vallée, est le Fort de Bard, tandis que le dernier est celui d'Avise.

Au cours des siècles, les châteaux valdôtains ont évolué : à l'origine ils servaient de bastions de défense, comme les Tours en général, remontant au IIe millénaire. Par la suite, les familles nobiliaires locales ont de plus en plus cherché à montrer leur richesse et leur autorité par leurs châteaux ; c'est le cas de Fénis et d'Issogne. Le château de Gressoney-Saint-Jean (XIXe siècle) répond quant à lui à un désir de souvenir des gloires passées.

Lire l'article