Les Nouillers

commune française du département de la Charente-Maritime
(Redirigé depuis Le Pinier)

Les Nouillers est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Les Nouillers
Les Nouillers
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
Stéphane Ardoin
2020-2026
Code postal 17380
Code commune 17266
Démographie
Gentilé Novelariens
Population
municipale
727 hab. (2021 en évolution de +8,51 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 56″ nord, 0° 39′ 45″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 64 m
Superficie 24,15 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-d'Angély
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Les Nouillers
Liens
Site web http://www.lesnouillers.fr

Ses habitants sont appelés les Novelariens et les Novelariennes[1].

Par ordonnance du , la commune des Nouillers absorbe la commune du Pinier.

Géographie

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Carte de la commune.

Les Nouillers est une commune rurale dont le territoire municipal s’étend sur 24,15 km2, soit 2 415 hectares. Au nord, une zone de marais longe le cours de la rivière Boutonne qui marque la limite septentrionale de la commune. S'y jettent le Gouttemer, petit ruisseau qui longe le bourg par le sud-ouest et prend sa source au sud de la commune, et le Vivier qui dessine la limite avec la commune de Voissay au nord-est. Les Nouillers se situe ainsi dans le bassin versant de la Charente. Le relief s'élève peu à peu vers le sud en vallons et plateaux dont le point culminant atteint 64 m au sud-est du bourg, là où un parc de 5 éoliennes a été implanté en 2014[2]. Le paysage évolue entre champs ouverts et bois. Les sols sont composés de terres argilo-calcaires (groies), sablo-limoneuses (doucins) voire tourbeuses[3].

Les Nouillers est membre de la Communauté de communes des Vals de Saintonge qui a intégré la Communauté de communes du Pays Savinois en 2014. Elle relève du Canton de Saint-Jean-d'Angély, lequel a absorbé en 2015 l'ancien Canton de Saint-Savinien dont la commune faisait partie jusqu'alors. Elle se situe donc dans l'Arrondissement de Saint-Jean-d'Angély, au sein du département de la Charente-Maritime, qui relève de la région Nouvelle-Aquitaine, laquelle a intégré en 2016 la région Poitou-Charentes dont il faisait jusqu'alors partie.

Le territoire de la commune est traversé d'ouest en est par la route départementale RD 739E, ancienne route nationale 739, qui relie le bourg à Tonnay-Boutonne à 6 km à l'ouest et à Saint-Jean-d'Angély à 12 km à l'est. La RD 119 vient de Torxé au nord et fusionne à l'est avec la RD 739E jusqu'à l'est du bourg où elle bifurque vers le sud en passant par Saint-Savinien-sur-Charente à 6 km. La RD 739E est aussi reliée par la RD 122E1 à Archingeay à l'ouest, par la RD 127E3 à Taillant au sud-est et par la RD 217 à Bignay à l'est.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes des Nouillers[4]
Tonnay-Boutonne Torxé Voissay
Archingeay   Bignay
Saint-Savinien Taillant

Urbanisme

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Typologie

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Au , Les Nouillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[5]. Elle est située hors unité urbaine[6] et hors attraction des villes[7],[8].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), forêts (14,6 %), cultures permanentes (1,4 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune des Nouillers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Boutonne et le Canal. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[12],[10].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Nouillers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[13].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 45 sont en aléa moyen ou fort, soit 12 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1983, 1999 et 2010[10].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Toponymie

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L'origine du nom se baserait sur une colonisation du site par des paysans gallo-romains. Au Moyen-âge, la paroisse s'appelle Novelarii ou Novellarii. On en retrouve la trace en 1272 dans les lettres d'abandon d'Aymeric Guibert au maire et à la commune de Saint-Jean-d'Angély. Le nom apparait encore un demi-siècle plus tard dans les comptes de l'archipresbytère de Taillebourg, pour la levée de subsides du pape Jean XXII. On retrouve un peu plus tard, en 1529, une déformation en Novalarii dans une notice des évêques et des bénéfices à la nomination de l'évêque de Saintes.

Ces différentes versions découlent du latin novale, signifiant "terre nouvellement défrichée", et novalis, "jachère". C'est ainsi que les gallo-romains désignent les terres conquises sur la forêt.

Le nom de la paroisse se francisera par la suite en Noveliers ou Novelières. Ces termes sont de la famille de novel, vieux français des adjectifs nouvel, nouveau.

Aussi, le nom de la paroisse évolue au fil des époques en Noulliers, comme l'atteste en 1650 la carte de Sanson, pour devenir Nouillers[17].

Histoire

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La découverte près du village des Ouillères de deux pierres polies et d'un disque en silex a été notifiée par l'instituteur de la commune en [18].

Un buste gallo-romain a été découvert au Port-Laroche. Il est aujourd’hui exposé au Musée des Antiquités Nationales de Saint-Germain-en-Laye[19]. Un tesson d'amphore et des aménagements en bois le long de la berge de la Boutonne ont été mis au jour en 2008 et datés d'une période allant du Ier siècle au IIIe siècle de notre ère. Il pourrait s'agir d'un moulin à eau antique[20].

Au XIIe siècle, l’église est édifiée dans le style roman, dernière des églises à files de coupoles originaires du Périgord[21].

Aux XIIIe siècle et XIVe siècle, le village de la Grande Chenaudière est réputé dans toute la Saintonge pour ses ateliers de poterie[22].

Au XVe siècle, le château de Bois-Charmant est mentionné en 1408 comme appartenant à un certain Colin Mauny .

Sur cette commune se trouvait le fief de La Vialière (ou Vialère), pour qui le bailli de Taillebourg fit comparaître, en 1420, à la requête de son seigneur, Jean Isle, des témoins qui attestèrent l'ancienneté du fief dans la maison Isle. L'église conserve, sur ses murs intérieurs, la trace de plusieurs blasons (XV-XVIe s.). Celui de la famille Isle se voit sur le mur sud, disposé entre deux écussons juxtaposés, côté de la chaire ; un second, qui a gardé ses couleurs, "d'argent à trois roses de gueules boutonnées et feuillées de sinople, posées 2 et 1", se trouve sur un pilier près de la rampe de la tribune. Un document de 1473 précise que le tombeau des Isle se trouve devant le maître-autel.

Administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[23],[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1793 ... Pierre Gillot    
... ... Joseph Charrié,    
dès 1803 1807 Désiré Fonteneau   (1772-1808)
1808 1834 Jean-Joseph Jouneau[Note 1] Droite (1756-1837) père de Henri-Adam Jouneau
1834 1840 Henri-Adam Jouneau   (1779-1840) fils de Jean-Joseph Jouneau
1841 1847 Joseph-Théodat de Sossiondo    
1848 1852 Jean Bertet    
1852 1865 Étienne Martin    
1865 1870 François Fraprie   (1808-1885)
1871 1872 Michel Bernet   (1806-1898) beau-père d'Alexandre Éloir
1873 1874 Isidore Braudeau   (1838-?)
1874 mai 1876 François Bouquet    
mai 1876 juin 1876 François Fraprie    
juin 1876 1888 Michel Bernet    
1888 1902 Alexandre Éloir   (1837-1921) gendre de Michel Bernet
... ... ...    
1908 1919 Eugène Couteau   (1858-1927)
... ... Lamy    
1945 1954 Abel Routurier   (1890-1954)
1954 1971 Daniel Durand   (1888-1985)
1971 2001 Pierre Rocher DVG (1928-2015)
2001 2008 Michel Plaire   (1939-2011) Maire
2008 En cours Stéphane Ardoin DVD (1967 – ) Fonctionnaire - Maire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 727 habitants[Note 2], en évolution de +8,51 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6966967968401 0171 0871 0211 0281 027
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0271 0171 0101 0531 000996920830868
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
802821863708687656642597623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
642593534618607611623626655
2018 2021 - - - - - - -
712727-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Un ancien moulin à vent, situé au sud-est ; et un lac prisé des promeneurs, situé dans d'anciennes carrières, près d'Archingeay.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. lieutenant de gendarmerie dans l’île de Ré, administrateur du département de la Charente-Inférieure (1790), député à l’Assemblée législative[25],[26]
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Les Nouillers Environnement »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Les Nouillers (consulté le ).
  3. « Les Nouillers Paysages »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Aquitaine Limousin Poitou-Charentes environnement (consulté le ).
  4. Carte IGN sous Géoportail
  5. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  6. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c « Les risques près de chez moi - commune des Nouillers », sur Géorisques (consulté le ).
  11. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  13. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune des Nouillers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. « Origine du nom — Mémoires des Nouillers », sur memoiresdesnouillers.fr (consulté le ).
  18. Recueil des actes de la Commission des arts et monuments de la Charente-Inférieure, vol. 13, A. Hus, Saintes, , 476 p. (lire en ligne), p. 270
  19. « Les Nouillers Antiquité », sur Mémoires des Nouillers (consulté le ).
  20. Pascal Texier, « « Les Nouillers-Torxé – Rivière Boutonne », ADLFI. Archéologie de la France - Informations [En ligne], DRASSM (subaquatique terrestre) », (consulté le ).
  21. « Les Nouillers Histoire et Patrimoine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Les Nouillers (consulté le ).
  22. Bulletin de la société d’archéologie et d'histoire de la Charente-Maritime, , 116 p. (lire en ligne), chap. 26, p. 66
  23. « Les Nouillers Liste des maires », sur Mémoires des Nouillers (consulté le ).
  24. « Les Nouillers Présentation », sur Les Nouillers (consulté le ).
  25. « Jean, Joseph Jouneau », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  26. « Les Nouillers (17) - Histoire de la seigneurie des Razes », sur Histoire passion (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  • Jean-François Bascans "Histoire des Isle 1336-1979", tapuscrit, Paris, 1980 (AD Charente-Maritime, cote 937).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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