Lamécourt

commune française du département de l'Oise

Lamécourt
Lamécourt
Vue générale du village.
Blason de Lamécourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontois
Maire
Mandat
Yves Coffineau
2020-2026
Code postal 60600
Code commune 60345
Démographie
Gentilé Lamécourtois, Lamécourtoises
Population
municipale
190 hab. (2021 en diminution de 6,86 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 54″ nord, 2° 27′ 58″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 150 m
Superficie 3,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lamécourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lamécourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Lamécourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Lamécourt
Liens
Site web www.lamécourt.pagesperso-orange.fr

Lamécourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Lamécourtois et les Lamécourtoises.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Communes limitrophes

Lamécourt est située à 64 km au nord de Paris, 28 km à l'est de Beauvais, 26 km à l'ouest de Compiègne et à 53 km au sud d'Amiens[1].

Communes limitrophes de Lamécourt
Avrechy Cuignières
  Rémécourt
Airion Erquery Saint-Aubin-sous-Erquery

Topographie et géologie modifier

 
Le plateau picard depuis l'est de la commune, à 130 mètres d'altitude.

Le territoire communal, s'étend entre 77 mètres à la limite sud de la commune et 150 mètres au-dessus du niveau de la mer au nord-ouest du territoire et se situe principalement entre 85 et 100 mètres d'altitude. Le cimetière se trouve à 111 mètres. Une majorité de la partie ouest de la commune culmine à plus de 125 mètres alors que la partie est se stabilise à plus de 135 mètres[2],[a 1]. Le territoire, de figure à peu près carrée, est traversé du nord au sud par un large vallon dépourvu d'eau, sur les pentes duquel le chef-lieu est bâti[3].

La craie noduleuse[4] occupe le vallon de Lamécourt. Il n'y a pas de craie jaune sur le territoire, mais toute la masse crayeuse est mêlée de nœuds plus durs, ayant l'aspect du silex corné, répandus irrégulièrement dans la roche dont ils augmentent la pesanteur, et qu'ils rendent plus difficile à tailler. On y trouve également une immense quantité de cailloux en abondance. Ils sont brisés en petits fragments entre Argenlieu et le chef-lieu[5]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, très faiblement exposée aux tremblements de terre[6].

Hydrographie modifier

Aucun cours d'eau ou ruisseau n'est présent sur le territoire. Cependant, une mare se trouve au sud du village. La formation du vallon explique une ancienne présence d'eau dans la commune[2]. Les zones les moins élevées du territoire, dans le fond du vallon, sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[7].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 19 km à vol d'oiseau[10], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels modifier

Hormis les zones bâties du village qui couvrent 13 hectares, soit 4 % de la surface communale, le territoire comprend 291 hectares de zones agricoles (85 %), 7 % d'espaces boisés (24 hectares) que comprend le bois de la Touffe à l'est, le bois du Quesnoy au nord-est, le Larris de Culmont au sud ainsi qu'une parcelle à la limite septentrionale du chef-lieu[2]. Les vergers et prairies rassemblent 12 hectares et les délaissés urbains et ruraux comptabilisent 0,6 % de l'ensemble des milieux[14]. Le larris du Culmont est inscrit en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lamécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), forêts (6,4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits modifier

La population est concentrée dans l'unique chef-lieu de la commune. Les lieux-dits sont au nombre de cinq : la Croix Blanche et le Quesnoy au nord ; la Couture du Hêtre au sud-est ainsi que le Champ Boulet et le Chemin Tournant à l'ouest[2].

Morphologie urbaine modifier

En 1890, la commune était composée de 43 maisons réparties en trois rues : la Grand'Rue, la Petite Rue et la rue d'Argenlieu[a 1]. De nos jours, les habitations se sont réparties en quatre rues. L'habitat s'est étendu dans la rue de la Terrière.

Voies de communications et transports modifier

La commune de Lamécourt est desservie par une route départementale et deux routes communales : la route départementale 127 (D 127), reliant Fitz-James à Montiers est le principal axe communal. En venant d'Erquery, il traverse la commune et le village par la rue de la Mare avant de se diriger vers Cuignières, au nord. La rue de la Cavée, à l'ouest du village, vers Avrechy alors que la Grande-Rue, à l'est, rejoint Rémécourt[2].

Les gares SNCF la plus proches sont situées à Avrechy à 3,5 km à l'ouest et à Clermont à 7 kilomètres au sud-ouest, sur la ligne Paris-Nord - Lille[1].

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6341 du réseau interurbain de l'Oise[22]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6833) relie l'école primaire communale aux communes de Saint-Aubin-sous-Erquery, Erquery et Rémécourt[22].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 26 km à l'ouest et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 47,7 km au sud-est[1].

Le sentier de grande randonnée 124A (GR 124A), branche du GR124, reliant Litz à Orrouy, traverse le territoire communal d'ouest en est. Il passe à proximité du lieu-dit « le Champ Boulet », longe la limite ouest de la commune puis arrive dans le village par le chemin d'Avrechy. L'itinéraire traverse le village par la rue de la Cavée et la Grande-Rue. Il quitte le territoire en passant au nord du bois de la Touffe[2]. Le circuit no 8 du GEP Centre Oise appelé « Circuit des Neuf Fonds » passe sur le territoire communal. Partant de Fitz-James et arrivant d'Erquery par le lieu-dit « le Champ Boulet », son parcours rejoint ensuite le village par la rue de la Terrière. Au carrefour des rues de la Mare et de la Grande-Rue, l'itinéraire rejoint le GR 124A[23].

Toponymie modifier

La commune s'est appelée « Lamercurt » en 1190 puis « Lamescourt »[a 1]. Le nom de « Lamecourt » apparaît en 1793 pour se transformer en « Lamécourt » aujourd'hui.

Histoire modifier

 
Calvaire et hêtre à côté du cimetière communal.

De la Renaissance au XVIe siècle modifier

Dès 1524, la seigneurie de Lamécourt, relevant en plein fief du château de Clermont, appartenait à la maison de Hangest, qui la réunit à sa terre d'Argenlieu, érigée pour elle en vicomté. Elle y demeura incorporée jusqu'en 1789, où elle était entre les mains des héritiers du marquis de La Valette, après être restée près d'un siècle en la possession de la maison Gon d'Argenlieu[a 1].

Jusqu'en 1668, Lamécourt ne fut qu'un simple vicariat dépendant de la paroisse de Cuignières : à cette date, les habitants réclamèrent l'élection de leur église en cure indépendante, disant qu'ils manquaient souvent de vicaire et de sacrements, et que les eaux sauvages les empêchaient parfois d'aller à la messe à Cuignières. Du reste, le revenu du vicariat de Lamécourt, (consistant en seize muids de grain et deux muids de vin par an) était suffisant pour l'entretien d'un curé. La dame d'Argenlieu avait donné une maison pour servir de presbytère : les habitants s'engagèrent à la rendre habitable et à faire toutes les réparations du chœur et de l'église. Le , Nicolas Choart de Buzanval, évêque de Beauvais, se rendait à Lamécourt ; le curé de Cuignières renonçait, en sa présence, à ses droits sur les offrandes et les dîmes, et le , le vicariat était érigé en cure, dont la collation demeurait à l'évêque[a 1].

Époque moderne modifier

 
Lamécourt, carte de Cassini.

Le , les habitants, réunis dans l'auditoire, rédigèrent leur cahier de doléances qui comprenait 17 articles, dont les principaux ont pour but de réclamer : l'abolition des privilèges en matière d'impôts, la suppression de la gabelle et des aides, l'établissement d'un cadastre, le règlement des dîmes, la défense aux seigneurs et à leurs gens de chasser dans les grains et dans les vignes, la répression de l'agiotage sur les grains, l'attribution aux bureaux de charité des paroisses des biens des abbayes qui ont un nombre infime de religieux, l'augmentation du nombre des cavaliers de la maréchaussée, la taxation des salaires des médecins et chirurgiens, le vote par tête. Les députés de la paroisse, à l'assemblée du bailliage de Clermont, furent : Louis Coutellier, laboureur, et Pierre-Antoine Lardy, vigneron[a 2].

On avait annexé la commune de Lamécourt à celle de Rémécourt en 1827, mais on lui rendit son autonomie en 1835[a 1]. La population n'avait d'autre occupation que l'agriculture ; il y avait à Lamécourt, en 1789, huit vignerons, qui cultivaient 15 arpents de vignes ; au début du XIXe siècle, on y fabriquait encore quelques toiles de chanvre dites de ménages. Vignerons et tisserands ont aujourd'hui complètement disparu[a 1].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

À l'élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen (FN) est arrivé en tête des votes à Lamécourt avec 27,62 %. Jacques Chirac (RPR) se trouve second (20,95 %) devant Lionel Jospin (PS) qui arrivait troisième avec 11,43 %. Puis, suivent Arlette Laguiller (LO) avec 6,67 % des voies, François Bayrou (UDF) et Jean Saint-Josse (CPNT) avec 4,76 %. Christiane Taubira (PRG), Alain Madelin (DL) et Olivier Besancenot (LCR) arrivent à 3,81 %[24].

Administration municipale modifier

Le conseil municipal de la commune, compte tenu de l'importance de la population, est composé de onze membres dont le maire et ses adjoints[25].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
An V An VIII Louis Coutellier   agent municipal
An VIII 1813 Louis Coutellier    
1813 1848 Jean-Baptiste Coutellier (fils de Louis)    
1848 1867 Jean-Louis Levasseur    
1867 1871 Victor-Henri Delaunay    
1871 1878 Jean-Louis Levasseur (réélu)    
1878 1890 Victor Delaunay    
1890 1892 Jean-Louis-Émile Levasseur (élu une 3e fois)    
1892 1894 Pierre-Louis-Auguste Coutellier    
1894 1897 Pierre-Florentin Mallard    
1897 1925 Fernand-Élie Bimont    
1925 1945 Édouard Ducastel    
1945 1977 Lucien Senez    
1977 1983 Christine Senez    
1983 1993 André Cottel    
1993 1995 Guy Bourdon    
1995 2014 Monique Cottel DVG  
avril 2014[26] juillet 2020 Étienne Dardant   Retraité de la fonction publique
juillet 2020[27] En cours
(au 5 juillet 2020)
Yves Coffineau   Ancien président du comité des fêtes de Lamécourt

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 190 habitants[Note 3], en diminution de 6,86 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
170172170169261183170188173
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
151176168183190175139127119
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
117138142106109108105120114
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
129128119115172202205213225
2015 2020 2021 - - - - - -
204190190------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 94 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
0,0 
4,3 
75-89 ans
4,2 
17,0 
60-74 ans
14,6 
19,1 
45-59 ans
26,0 
25,5 
30-44 ans
22,9 
14,9 
15-29 ans
15,6 
18,1 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie et vie locale modifier

Économie modifier

Enseignement modifier

Le village de Lamécourt possède une classe de CM1-CM2[34] réunissant les élèves de Lamécourt, Erquery, Rémécourt et Saint-Aubin-sous-Erquery. On trouve des classes de maternelles et de CP à Erquery et le collège le plus proche et le collège Jean-Fernel de Clermont.

Santé modifier

L'établissement hospitalier le plus proche est celui de Clermont-de-l'Oise.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

La commune ne possède aucun monument historique sur son territoire.

  • L'église Saint-Martin : cet édifice est une petite construction percée de cinq fenêtres au midi et deux au nord. Un clocheton, couvert d'ardoise, surmonte la porte. Le chœur, tombé en ruine en 1811, n'a pas été remplacé, en sorte que l'église actuelle n'est que la nef de l'ancien édifice : l'intérieur est lambrissé et humide[a 1]. Le mobilier est composé de trois statues classées monuments historiques dont la Vierge de douleur[35], saint Jean[36] et une charité saint Martin[37].
  • Le colombier (ferme) : perché sur le toit d'un bâtiment de la ferme, ce petit pigeonnier de plan carré est en colombages hourdés de briques. Sa toiture pyramidale en ardoises à égout retroussé dont le débord repose sur des consoles présente des arêtiers de zinc. Elle est garnie d'une lucarne à fronton triangulaire en bois, avec neuf trous d'envols. Les nids à l'intérieur sont en bois[38].
  • Calvaire et hêtre, rue de Rémécourt.
  • Monument aux morts.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er d'azur à trois épis de blé tigés et feuillés d'or, empoignés et liés du même, au chef écartelé aux I et IV de sable à trois fleurs de lys d'or et aux II et III d'argent à trois lionceaux de gueules, au 2d d'argent à un arbre de sinople adextré d'un cerf passant de sable et senestré d'un sanglier passant du même, tous deux brochant sur le fût de l'arbre, le tout posé sur une terrasse herbée, isolée et diminuée de sinople[39].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Ouvrages modifier

  • A. Debauve et E. Roussel, Clermont et ses environs, Res Universalis, , 160 p.
  1. a b c d e f g et h p. 129
  2. p. 149

Autres sources modifier

  1. a b et c « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d e et f « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 18 mars 2011)..
  3. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, page 118
  4. Histoire de Clermont-en-Beauvaisis, des origines à nos jours, Claude Teillet, page 13, Office d'édition du livre d'histoire
  5. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, pages 12 et 13
  6. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Lamécourt », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Lamécourt et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Lamécourt », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Larris du Culmont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. a et b « Transports en commun à Lamécourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  23. GEP Centre Oise, 14 Randonnées en Centre Oise, description page 15 et carte page 16
  24. « Résultat des élections présidentielles (2002) », sur TerraVisu (consulté le ).
  25. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  26. « Clermontois : Les nouvelles installations », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 7 (ISSN 1144-5092).
  27. Marjorie Michaud, « Lamécourt : Yves Coffineau prend la relève », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il succède à Etienne Dardant, qui n’a pas souhaité se représenter ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lamécourt (60345) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. L'école élémentaire de Lamécourt
  35. « Vierge de douleur (statue) », notice no PM60000954, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « Saint-Jean (statue) », notice no PM60000953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Charité Saint-Martin (statue) », notice no PM60000952, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. Les Colombiers de l'Oise, Gemob, page 100
  39. « 60345 Lamécourt (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).