Cuignières

commune française du département de l'Oise

Cuignières
Cuignières
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Philippe Farce
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60186
Démographie
Population
municipale
259 hab. (2021 en augmentation de 3,19 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 05″ nord, 2° 28′ 28″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 163 m
Superficie 6,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Cuignières

Cuignières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Description modifier

 
Communes limitrophes.

Cuignières est située dans le plateau picard, sensiblement au centre géographique du département du l'Oise, à 66 km au nord de Paris, 28 km à l'est de Beauvais, 26 km à l'ouest de Compiègne et à 51 km au sud d'Amiens[1].

La commune a une superficie de 624 hectares[2]. « Elle est traversée par un large vallon selon un axe allant de Erquinvillers à Valescourt. À l'ouest, le plateau fait la transition avec la vallée de l'Arré. A l'est, les coteaux, plus abrupts marquent le point culminant de la commune (163 m), entre les bois du Quesnoy et de Serperon. Le point le plus bas (95m) se situe en aval du fond de Talmotte, à la limite sud du territoire. A flanc de coteau, le village se trouve à une altitude variant entre 115 et 145 mètres[2] ».

Communes limitrophes modifier

Topographie et géologie modifier

La commune s'étend entre 95 et 163 mètres d'altitude. Située sur le plateau picard, elle est traversée par le large vallon du fond de Talmotte, dont l'origine se trouve à Erquinvillers sous le nom de vallée Madame. À l'ouest, le plateau fait la transition avec la vallée de l'Arré, tandis qu'à l'est, les coteaux sont plus abrupts laissant apparaître le point culminant de la commune. Ce dernier, entre les bois du Quesnoy et de Serperon au sud-est, est matérialisé par une borne géodésique de l'IGN. Le point le plus bas de commune de se situe en aval du fond de Talmotte, à la limite du sud du territoire avec Lamécourt. Le village, sur un coteau du fond de Talmotte, s'étale de 115 à 145 mètres au-dessus du niveau de la mer, près d'un petit vallon[3]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, très faiblement exposée aux séismes[4].

Hydrographie modifier

Il n'existe aucun cours d'eau traversant la commune.

La présence du vallon de Talmotte montre toutefois l'ancienne présence de ruisseaux sur le territoire[3]. Les zones les moins élevées du territoire, dans le fond de Talmotte, sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels modifier

Hormis le bâti, qui s'étend sur 18,7 hectares, la surface communale est composée à plus de 85 % de cultures sur 536 hectares.

Les espaces boisés sont majoritairement présents au sud-est avec les bois du Quesnoy, de Serperon et sur le coteau méridional du fond de Talmotte. On retrouve également quelques parcelles à l'est du village et au lieu-dit le Joug à l'ouest. Ils rassemblent 48 hectares, pour 7,6 % de la superficie.

Enfin, la commune comprend 26 hectares de vergers et prairies[12],[3].

Urbanisme modifier

Le village est marqué par la juxtaposition d'un bâti de briques et de pierres ancien, assez compact, souvent abrité par des murs de clôture relativement hauts, de constructions récentes, souvent pavillonnaires, plus lâches, moins compactes, qui se sont progressivement développées le long des voies, ainsi que dans des espaces interstitiels[2] ».

Typologie modifier

Cuignières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,7 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (5,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits modifier

L'habitat communal se concentre uniquement dans le chef-lieu. Le seul écart est constitué par la coopérative agricole, entre le village et Erquinvillers[3].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 100, alors qu'il était de 93 en 2013 et de 86 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 90 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cuignières en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 94,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cuignières en 2018.
Typologie Cuignières[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 7 7,1 8,2

Voies de communications et transports modifier

La commune est traversée par 3 routes départementales : la RD 101, la RD 127 et laRD 570. La route départementale 127, de Fitz-James à Montiers est le principal axe communal. Il relie le chef-lieu aux villages voisins de Lamécourt au sud, qui donne accès par prolongement l'agglomération de Clermont et d'Erquinvillers et de Lieuvillers au nord. Cette route traverse le village par les rues d'En-Bas et de la Mare-aux-Saules. La route départementale 570 se détache de la D 127 au nord de la commune pour atteindre Avrechy et la route départementale 916, ex-route nationale 16 de Paris à Dunkerque par Amiens. La route départementale 101, de Bulles à Estrées-Saint-Denis, ne traverse qu'une courte portion du territoire communal entre Erquinvillers et Noroy. Une route communale relie la rue de l'Église à la D 570. Les rues de Clermont, de Rémécourt et de Noroy sont des routes communales se terminant en impasse au sortir du territoire[3].

Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Avrechy et de Saint-Remy-en-l'Eau à moins de 4 kilomètres à l'ouest. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, mieux desservie, se trouve à 6,7 km au nord-ouest[1]. Ces gares sont toutes situées sur la ligne de Paris-Nord à Lille où circulent des trains TER Hauts-de-France reliant Paris-Nord à Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304 et 6341 du réseau interurbain de l'Oise[19]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6803) relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers, avec les communes d'Erquinvillers et d'Angivillers[19].

La commune fait partie d'un dispositif de transport solidaire autonome "Le rezo pouce" autostop volontaire" sécurisant et d'un rézo senior pour les ainés, organisé par la communauté de communes du Plateau Picard.[réf. nécessaire]

Toponymie modifier

La localité a été dénommée fiscus Cotoniarorum (877)[20] ; Simon de Cuneriis (1165) ; Cuneriœ (1165) ; Cooneriœ (1172) ; Coognieriœ (1172) ; Coognieres (1179) ; Cugneres (1185) ; Cuignerez (1197) ; Quingnieres (1187) ; Cungnieres (vers 1200) ; Coongnieres (vers 1200) ; de Cooneriis (1201) ; de Ceungneriis (1205) ; Cuingneriœ (1205) ; Cuigneriœ (1220) ; Cugnieres (1224) ; Coigneriœ (1235)[20] ; Cugneriœ (vers 1250)[21] ; Raous de Cuignieres (1263)[20] ; Ansoldus de Coongnieres (XIIIe) ; de Cungnieres (XIIIe) ; Coengneriœ (vers 1530) ; Cuigneres[21] (vers 1530) ; Cungnieres[21] (XVIe) ; Cuignier[21] (XVIe) ; Cuigniers (1667)[20] ; Cuignière (1771) ; Cuignières (1840)[20].

Ce nom est à rapprocher de Cotoniarias qui a donné Coignières dans les Yvelines : verger de cognassiers (latin cydonius).

Le premier élément Cuign- reflète le nom du coing, terme issu du latin cotōneum, attesté en français pour la première fois sous la forme codoin au XIe siècle, puis cooing vers 1170[22]. Le coing est le fruit du cognassier. Le nom actuel de cet arbre est un néologisme dérivé de cognasse à l'aide du suffixe -ier (cf. fruitier, pommier, poirier).

L'ancien français avait quoingnier mentionné au XIIIe siècle[23].

Histoire modifier

Erquinvillers est, au Moyen Âge, une dépendance de Cuignières[24].

La commune de Cuignières, instituée par la Révolution française absorbe de 1826 à 1835 celle d'Erquinvillers[21],[25].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2006[26] Daniel Mathey DVD[27] Ancien militaire
Démissionnaire
mars 2006 mars 2014 Marc Lavernhe    
mars 2014 En cours
(au 2 décembre 2021)
Philippe Farce[28]   Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Équipements et services publics modifier

En 2013, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Lieuvillers, Angivillers, Cernoy, Erquinvillers et Noroy dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré dont l'école, construite en 2010, se trouve à Lieuvillers[30].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 259 habitants[Note 3], en augmentation de 3,19 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
351316305281370285281271284
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
254233218196188198186181181
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
177181160158172158168158122
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9996102119169177203211240
2018 2021 - - - - - - -
246259-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 13,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 51,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,8 
3,3 
75-89 ans
5,6 
8,3 
60-74 ans
7,9 
29,2 
45-59 ans
23,0 
20,8 
30-44 ans
18,3 
13,3 
15-29 ans
21,4 
24,2 
0-14 ans
23,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie modifier

L'activité économique principale de la commune est agricole, puisque les 537 hectares de sa surface agricole utile sont à 90% occupés par les terres labourables, dédiées à la grande culture, notamment de céréales, de betteraves et de légumes.

Outre trois exploitations et une coopérative agricole qui ont leur siège à Cuignières, le village compte également quelques artisans[2].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Martin (XVIe siècle), datant de 1598 (intérieur et son vitrail Saint-Médard)
  • Ancien presbytère
  • Ancien puits
  • Calvaire, rue de la Mare-des-Saules
  • Calvaire, dans le village au coin de la rue de Clermont et la rue de l'Eglise
  • Calvaire, dans le cimetière
  • Calvaire vers la coopérative

Personnalités liées à la commune modifier

  • Famille de Cuignières, dont le premier connu est Yves de Cuignières qui signe l'acte de fondation des chanoines de Saint-Nicolas de Beauvais en 1078. Anséau de Cuignières voulant partir à la Quatrième croisade donne en aumône à l'abbaye de Saint-Just les dîmes de la paroisse de Cuignières dont il est le seigneur. Un fils d'Anseau s'établit au Plessis-Placy où il donne le nom de Cuignières à un fief[36]

.

  • Le village est le lieu de naissance de Pierre de Cuignières, mort en 1355, grand conseiller des rois Philippe le Bel, Louis X, Philippe le Long et Charles le Bel. En 1329, il est chargé par le roi de soutenir le principe de la séparation des pouvoirs laïques et ecclésiastiques. Il possède le petit domaine de Saintines, près Crépy-en-Valois. En 1330, le roi lui confirme les privilèges seigneuriaux de cette terre et lui donne en outre le droit d'usage de la forêt de Cuise[21].

Héraldique modifier

  Blason
D'hermine à un écusson en abîme de gueules, chargé d'un lion d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cuignières » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cuignières - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cuignières - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b « orthodromie : distance à vol d'oiseau »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c et d Philippe Ralny, « Rapport du commissaire-enquêteur sur le projet d'élaboration du PLU » [PDF], CC Plateau picard, (consulté le ).
  3. a b c d et e « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 28 mars 2015)..
  4. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Cuignières »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Cuignières et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Cuignières », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Transports en commun à Cuignières », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  20. a b c d et e Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 176.
  21. a b c d e et f Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 54-56.
  22. [1]
  23. « Etymologie de cognassiers » (consulté le ).
  24. « Les communes de France à travers le temps », sur CommunesGenWeb (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Les élections partielles au tribunal administratif », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Tout remonte à mars 2001. Daniel Mathey, qui vient de terminer son premier mandat de conseiller municipal, s'installe dans le fauteuil de premier magistrat, car le maire se retire ».
  27. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  28. « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 21.
  29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. Julien Barbare, « Jeux de classes, à qui perd gagne : L'école Bogaert de Saint-Just-en-Chaussée perdra une classe à la rentrée malgré la mobilisation précoce des parents. Alors que Lieuvillers gagnera une maternelle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cuignières (60186) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  36. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France : l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume, vol. 5, Paris, Vve Duchesne, , 761 p. (lire en ligne), p. 415, sur Google Books.