Saint-Fulgent

commune française du département de la Vendée
(Redirigé depuis Fulgent-les-Bois)

Saint-Fulgent
Saint-Fulgent
Gravure de la 1re bataille de Saint-Fulgent ().
Blason de Saint-Fulgent
Blason
Saint-Fulgent
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Circonscription départementale 4e circonscription de Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Luc Gautron
2020-2026
Code postal 85250
Code commune 85215
Démographie
Gentilé Fulgentais
Population
municipale
3 860 hab. (2021 en augmentation de 1,93 % par rapport à 2015)
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 14″ nord, 1° 10′ 36″ ouest
Altitude 88 m
Min. 46 m
Max. 106 m
Superficie 36,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Fulgent
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Fulgent
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Montaigu-Vendée
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Fulgent
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Saint-Fulgent
Liens
Site web Site officiel

Saint-Fulgent est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Fulgentais.

Géographie modifier

Le territoire municipal de Saint-Fulgent s'étend sur 3 683 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 88 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 46 et 106 mètres[1],[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ST-FULGENT_SAPC (85) - alt : 62m, lat : 46°50'52"N, lon : 1°11'03"O
Records établis sur la période du 01-02-2007 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,3 3,6 5,6 8,9 12,2 13,4 12,9 10,4 8,4 5,5 2,9 7,4
Température moyenne (°C) 5,9 6,6 8,7 11,6 14,6 18 19,7 19,4 16,8 13,3 9,4 6,6 12,6
Température maximale moyenne (°C) 9,4 10,9 13,7 17,6 20,4 23,7 26 25,9 23,3 18,3 13,4 10,3 17,7
Record de froid (°C)
date du record
−9,8
20.01.17
−11,1
12.02.12
−5,4
02.03.23
−4,1
07.04.08
−1,3
01.05.16
3,5
01.06.11
5,6
22.07.08
5,1
29.08.09
0,4
26.09.10
−2,6
26.10.10
−8,3
17.11.07
−8,4
17.12.09
−11,1
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
16,2
24.01.16
23,8
27.02.19
24,6
31.03.21
27,8
20.04.18
33,1
26.05.17
39,3
18.06.22
41,3
18.07.22
39,4
07.08.20
34,8
09.09.23
32,4
08.10.23
22
08.11.15
17,5
30.12.21
41,3
2022
Précipitations (mm) 93,3 66,6 70 60,2 63,4 63,2 42,8 48 47 72,6 89,2 99,6 815,9
Source : « Fiche 85215002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Fulgent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Fulgent, une unité urbaine monocommunale[11] de 3 792 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Fulgent, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), zones urbanisées (5,1 %), prairies (5 %), forêts (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), cultures permanentes (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Saint-Fulgent tient son nom du latin « Fulgentius », qui signifierait lumineux, ainsi appelé vers l’an 1000.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Fulgent-les-Bois[17].

Histoire modifier

Des fouilles archéologiques ont révélé la présence d'une ferme à l'âge de Fer sur le site de la Petite Valinière.
A l'antiquité, le territoire de la commune appartient au peuple celte des Ambilatres puis est rattaché à celui de leurs puissants voisins, les Pictons, après la conquête romaine de la Gaule, vers 52 av. J.C.

Dès le Moyen Âge, le trafic s'y découvre sous la protection de seigneurs locaux soumis aux mouvances puissantes de Tiffauges et de Montaigu.

À l'époque féodale, on s'active également aux champs. Les espaces de cultures sont gagnés sur les bois, clôturés par des haies de protection donnant ce paysage caractéristique du bocage vendéen, et laissant certains noms aux villages tels que : le Plessis (pré clôturé), les Landes (terres cultivées)…

Les axes de circulation sont ouverts : la Grand'Route du Roi va permettre un commerce prospère aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Ainsi, Saint-Fulgent s'équipe d'un bureau de poste et devient réputé pour ses maîtres verriers, présents également au Parc Soubise et à Vouvant.

Et sur « Le Grand Chemin », l'ancêtre de la RN 137, c'est déjà un défilé de notables, de marchands, de militaires, de chemineaux de toutes conditions, aux accoutrements, aux montures et aux convois les plus divers, tandis que s'inscrivent, comme de « Grandes Heures », des noms, des dates, des évènements…

Après les temps calamiteux et les coteries de la guerre de Cent Ans, qui déciment la population, vient le temps de la Réforme protestante (XVIe siècle). Une minorité protestante influente, dominée par l'imposante figure du seigneur de Puy-Greffier, alors à son apogée.

Vers 1750, commencent d'importants travaux sur le « Grand Chemin » : son tracé est amélioré et redressé. La Poste aux Lettres fonctionne depuis plus d’un demi-siècle. Saint-Fulgent est noté comme « Passage et Logement de guerres. »

Pendant la guerre de Vendée, Saint-Fulgent, en pleine zone insurgée, est le théâtre de deux batailles (en 1793 et 1794). La plus grande eut lieu le 22 septembre 1793 (bataille de Saint-Fulgent), dans le bourg, depuis 5 heures du soir jusqu’à une heure avancée de la nuit (à savoir 8 heures de combat). Excitées par un fifre, les troupes vendéennes de Charette et de Lescure, auxquelles s’associe le général Royrand (né en 1726 à la Petite Roussière de Saint-Fulgent) s’en prennent à l’armée républicaine de Mieszkowski et l’écrasent. Quelques jours plus tard et les Vendéens partis, Kléber est à Saint-Fulgent.

Les massacres, notamment aux Charmilles (jardin de l'actuelle mairie), les destructions et ravages des maisons commises par les troupes républicaines se perpétuent jusqu’en 1797, date de la prise du pouvoir par Bonaparte. La « Grande Route » est dans un état lamentable. Le bilan de la guerre sera lourd. La population, qui a diminué d'un tiers, compte ses morts et ses ruines. L'église est à moitié dévastée, le château inhabitable.

Il ne reste d’avant la Révolution que deux fermes en état de fonctionnement : l'Oiselière et la Roussière. La reconstruction de la ville est entreprise avec des matériaux de récupération. Les propriétés bourgeoises sont rétablies, ainsi que la poste aux chevaux. Le tracé des rues reste inchangé, mis à part quelques élargissements de voirie.

Les travaux de réfection débutent en 1808. Cette même année, très exactement, le 8 août 1808, au soir de leur journée vendéenne, Napoléon et Joséphine s'arrêtent dans le bourg : le temps pour l’Empereur de s'informer sur le combat de 1793 et les dommages de guerre, et pour l'Impératrice, de recevoir les hommages et les fleurs de « Madame l'Adjointe », une créole comme elle. Cet arrêt n'est qu'une simple pause ; la ville reçut en effet une allocation de 3 000 francs pour les réparations à faire à l'église et une autre somme de 4 000 francs le 27 août de la même année.

Dès 1846, la décision est prise de doter Saint-Fulgent d'une nouvelle église en l'agrandissant. L'ancienne sera donc détruite en 1856, et la reconstruction engagée dès l'année suivante pour se terminer vers 1893. Cette nouvelle église se veut un symbole de solidité et de discrétion, mais n'a pas le charme de l'église romane, que certains Fulgentais auraient souhaité conserver aux dépens de la décision du maire Alexis des Nouhes.

Au début du XXe siècle, la circulation s'intensifie. Saint-Fulgent s'habitue à voir circuler journellement le train au ras des maisons, un « petit tortillard ». Dépassé par l'automobile, il a disparu dans les années 1940.

Traversée par une artère importante du réseau routier national (la RN 137), la ville de Saint-Fulgent se développe grâce à cette situation géographique privilégiée. Des entreprises d'envergure nationale s'y sont installées dans différents secteurs d'activité : agro-alimentaire, travaux publics, transports frigorifiques. Cependant, la ville connaît également à la fin du XXe siècle la fermeture d'usines de chaussures et de confection.

La déviation du centre bourg ouverte en juin 1989 améliore la qualité de vie des Fulgentais. Les flux de circulation de la RN 137 sont ainsi détournés pour le confort des habitants et des conducteurs. Quant à l’église de Saint-Fulgent, sa dernière rénovation remonte à 1995.

Forte d'une activité économique assez privilégiée, siège de la Communauté de communes du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts, Saint-Fulgent dépasse en 2015 les 3 700 habitants. Son dynamisme s'exprime en outre dans une vie associative très dense autour des activités sportives et culturelles.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D'azur semé d'étoiles d'or au lion léopardé du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1947 Ferdinand Chatry   Maire par intérim
1947 1965 Bernard Fonteneau    
mars 1965 mars 1983 Marcel Arrivé[19]   Industriel
Réélu en 1971 et 1977
mars 1983 mars 2001 Marie-Thérèse Algudo UDF-CDS Secrétaire CRAMA[20]
Conseillère générale du canton de Saint-Fulgent (1992 → 1998)
Suppléante du député Bruno Retailleau (1994 → 1997)
Réélue en 1989 et 1995
mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Gréau DVD Cadre d'entreprise
Paul Boudaud[21] DVD Cadre administratif hospitalier à la retraite
En cours Jean-Luc Gautron[22] DVD Informaticien à la retraite
2e vice-président du Pays de Saint-Fulgent - Les Essarts (2020 → )

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 3 860 habitants[Note 3], en augmentation de 1,93 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 6258571 4441 3451 6221 8221 8301 8221 836
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 9482 0091 9772 0162 0702 1532 2172 2032 165
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 1772 0841 8951 9081 9101 9691 9101 9662 090
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
2 2582 5992 7772 9323 0773 2343 3193 5483 776
2019 2021 - - - - - - -
3 8143 860-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 908 hommes pour 1 895 femmes, soit un taux de 50,17 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,2 
7,1 
75-89 ans
11,3 
15,0 
60-74 ans
15,0 
20,5 
45-59 ans
19,0 
21,0 
30-44 ans
18,9 
16,0 
15-29 ans
15,5 
19,8 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Lieux et monuments modifier

  • Le château de Saint-Fulgent, château de style Renaissance, privé.
  • Les ruines du château du Puy-Greffier : ancien château médiéval, détruit presque entièrement car ses ruines étaient dangereuses. Il n'en reste plus qu'un muret.
  • Église Saint-Fulgent.

Personnalités liées à la commune modifier

Personnes ayant vécu à Saint-Fulgent modifier

Visiteurs célèbres modifier

  • Agrippa d'Aubigné, écrivain calviniste né en Deux-Sèvres et ami d'Henri IV.
  • Henri de Navarre, futur Henri IV, en 1588
  • Le jeune comte d’Artois, futur roi Charles X, passe le 22 mai 1777, en visite dans le Poitou. Il a une escorte de sept carrosses et cinquante cavaliers suisses : il s’arrête le temps d’un dîner au château, reconstruit de fraîche date par M. Fortin, le nouveau seigneur.
  • Le 8 août 1808, Napoléon et Joséphine s’arrêtent dans le bourg.

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Commune 11542 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Saint-Fulgent », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Achards - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Achards - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Fulgent », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Fulgent », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Mairie de Saint-Fulgent, Saint-Fulgent magazine, Saint-Fulgent, Mairie de Saint-Fulgent, coll. « no 128 », , 47 p..
  19. « Marcel Arrivé, capitaine d'industrie vendéen », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  20. Caisse régionale d'assurance maladie d'Aquitaine
  21. « Paul Boudaud, nouveau maire et six adjoints désignés », Ouest-France,‎ .
  22. « Jean-Luc Gautron, nouveau maire de la commune », Ouest-France,‎ .
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Fulgent (85215) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).