Estialescq

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Estialescq (en béarnais Estialesc ou Estialés) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Estialescq
Estialescq
La mairie d’Estialescq.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Suzanne Sage
2020-2026
Code postal 64290
Code commune 64219
Démographie
Gentilé Estialescquois
Population
municipale
260 hab. (2021 en évolution de −4,76 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 15″ nord, 0° 33′ 03″ ouest
Altitude Min. 244 m
Max. 365 m
Superficie 5,14 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Estialescq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 26,1 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 7,3 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Escout (3,4 km), Précilhon (3,6 km), Goès (4,0 km), Escou (4,4 km), Estos (5,0 km), Oloron-Sainte-Marie (5,3 km), Ledeuix (5,6 km), Cardesse (5,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Estialescq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Escout, Goès, Lasseube, Monein et Précilhon.

Communes limitrophes d’Estialescq[6]
Monein
Goès   Lasseube
Précilhon Escout

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier d'Estialescq.

La commune est drainée par la Baylongue, l'Auronce et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Baylongue, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune d'Estialescq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baysère à Cuqueron, après avoir traversé 3 communes[8].

L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Saucède, après avoir traversé 10 communes[9].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 313 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 5 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[18],[Carte 2] :

  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[19] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[20].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[22].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Estialescq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[1]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,5 %), forêts (28,1 %), terres arables (26 %), prairies (5,4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • le Bois de Bas
  • le Bois de Haut
  • Village

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Estialescq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Baylongue et l'Auronce. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2008, 2009 et 2011[29],[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estialescq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[31].

Toponymie

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Le toponyme Estialescq apparaît[32] sous les formes Estheles (1383, contrat de Luntz[33]), Esquialest et Estielesc (respectivement 1385 et XIVe siècle, censier de Béarn[34]), Esquielest (1399, contrats de Gots[35]), Estialesc (1405, notaires de Navarrenx[36]), Istaliecxs et Estyalescxs (respectivement 1546 et 1548, réformation de Béarn[37]), Sanctus Vincentius d'Estialescq (1612, insinuations du diocèse d'Oloron[38]).

Son nom béarnais est Estialesc[39] ou Estialés[40].

Histoire

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En 1385, Estialescq comptait 37 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 François Terrabust    
2008 En cours Suzanne Sage    

Intercommunalité

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La commune fait partie de cinq structures intercommunales[41] :

  • la Communauté de communes du Haut Béarn ;
  • le SIVOM du canton de Lasseube ;
  • le syndicat AEP d'Ogeu-les-Bains ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique de Goès - Estialescq.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 260 habitants[Note 8], en évolution de −4,76 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
335307341366333360360387370
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
360335352261336337370378350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
310284286251262249238190249
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
209206175203224255238246247
2014 2019 2021 - - - - - -
268260260------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie.

Économie

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La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn. Son économie est essentiellement agricole. Estialescq fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Disparue depuis les années 1980, l'activité viticole renait en 2008 avec la plantation de vignes et l'installation du Domaine Naba.

Revenus de la population et fiscalité

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En 2011, le revenu médian par ménage était de 34 596€, ce qui plaçait Estialescq au 8 352 rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[46].

Entreprises et commerces

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Une brasserie artisanale, un atelier de sculpteur sur bois et un apiculteur sont implantés dans la commune.

Culture locale et patrimoine

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Vue d'Estialescq avec l'Auronce au premier plan.

Patrimoine civil

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De nombreux abreuvoirs et fontaines témoignent de l'activité agricole.

Le sentier des Marlères, sur les hauteurs du village, permet de découvrir l'ancienne activité d'extraction de la chaux et met en valeur des arbres remarquables[47].

Patrimoine religieux

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La commune possède une église (église Saint-Vincent-Diacre), construite en 1852 et qui se distingue par sa couleur extérieure bleue qui s'éclaircit ou s'assombrit selon l'humidité de l'air.

Le décor peint de l'abside, réalisé en 1920-1930 et attribué au peintre oloronais Victor Querillacq[48], représente les activités traditionnelles du village : y figurent un tonnelier avec ses outils, un vigneron pressant le raisin, une bergère et des vendangeurs. La partie supérieure du décor présente le village dominé par le pic d'Anie et le pic d'Arlas, des palombières et un rapace en vol.

Équipements

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La commune dispose d'une école primaire au sein du regroupement pédagogique intercommunal Goès-Estialescq.

Une agence postale communale est également présente[49].

Les équipements sportifs comprennent un terrain de football, un court de tennis et un parcours de santé extérieur[50].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Estialescq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Estialescq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Estialescq », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Estialescq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Estialescq et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Estialescq », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale d'Estialescq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « la Baylongue ».
  9. Sandre, « l'Auronce ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Estialescq et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estialescq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estialescq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Estialescq », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  33. Luntz, notaire de Béarn - Manuscrits du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  34. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Gots, notaire de Béarn - Manuscrits de la fin du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle.
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  47. « Randonnée Sentier des Marlères à Estialescq en Pyrénées-Atlantiques », sur sentiers-en-france.eu (consulté le ).
  48. « Église paroissiale Saint-Vincent-Diacre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  49. « La Poste », sur La Poste (consulté le ).
  50. « Recensement des équipements sportifs, espaces et sites de pratiques », sur res.sports.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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