Escanecrabe

commune française du département de la Haute-Garonne

Escanecrabe
Escanecrabe
La mairie.
Blason de Escanecrabe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Jean-Claude Arseguet
2020-2026
Code postal 31350
Code commune 31170
Démographie
Gentilé Escanécrabais
Population
municipale
221 hab. (2021 en diminution de 6,75 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 26″ nord, 0° 44′ 59″ est
Altitude Min. 340 m
Max. 676 m
Superficie 16,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaudens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Escanecrabe
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Escanecrabe
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Escanecrabe

Escanecrabe est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, le ruisseau Riou Pudé et par divers autres petits cours d'eau.

Escanecrabe est une commune rurale qui compte 221 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 852 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Escanécrabais ou Escanécrabaises.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Une entrée de la commune.

La commune d'Escanecrabe se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 67 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 18 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Ciadoux (1,8 km), Castéra-Vignoles (2,4 km), Montgaillard-sur-Save (2,6 km), Montbernard (3,7 km), Mondilhan (4,0 km), Saint-Pé-Delbosc (4,2 km), Saman (4,6 km), Esparron (4,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Escanecrabe fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].

Les communes limitrophes sont Cassagnabère-Tournas, Castéra-Vignoles, Ciadoux, Esparron, Mondilhan et Montbernard.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 1 607 hectares ; son altitude varie de 340 à 676 mètres[5].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier d'Escanecrabe.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Save, le ruisseau Riou Pudé, le ruisseau de Caillole, le ruisseau de Gondes, le ruisseau de la garosse, le ruisseau de la Motte, le ruisseau de Maubaret, le ruisseau de Montfort, le ruisseau des Bernets, le ruisseau des Massips et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan (65) et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[8].

Climat modifier

 
Panorama du village.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Clarac à 22 km à vol d'oiseau[11], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

 
Borne de nivellement sur l'église - Altitude 355 m.

Escanecrabe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[I 2],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (36,3 %), forêts (16,4 %), prairies (10,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Accès par la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).

Voir aussi l'ancienne ligne de Toulouse à Boulogne-sur-Gesse.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune d'Escanecrabe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[23],[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escanecrabe.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 130 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 130 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie modifier

S'applique a un passage dangereux même pour les chèvres, qui risquent de tomber. Escanecrabe (éreintechèvre) : évocation de passages difficiles y compris pour les chèvres.

Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Sabin-d'Escanecrabe, reçoit le nom de Escanecrabe[26] qu'elle a conservé jusqu'à aujourd'hui.

Ses habitants sont appelés les Escanécrabais.

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[27],[28].

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Escanecrabe faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

 
L'église.
 
Le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1968 mars 1989 Albert Belloc PS  
mars 2001 mars 2014 Émile Gares    
mars 1989 mars 2001 Amédée Vincent    
mars 2014 En cours Jean-Claude Arseguet SE Agriculteur retraité

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 3], en diminution de 6,75 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
708740786851805345821826852
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
786753791714685662640575572
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
526504503398431398393370352
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
304278226211225240246225245
2021 - - - - - - - -
221--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[32] 1975[32] 1982[32] 1990[32] 1999[32] 2006[33] 2009[34] 2013[35]
Rang de la commune dans le département 308 331 286 308 332 339 351 375
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement modifier

Escanecrabe fait partie de l'académie de Toulouse.

Culture et festivités modifier

Activités sportives modifier

Chasse, pétanque,

Écologie et recyclage modifier

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 104 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 230 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 200 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 4,2 % 6,3 % 8,6 %
Département[I 8] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 128 personnes, parmi lesquelles on compte 68,8 % d'actifs (60,2 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 31,2 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 56 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 84, soit un indicateur de concentration d'emploi de 65,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,2 %[I 11].

Sur ces 84 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 82,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture modifier

16 établissements[Note 6] sont implantés à Escanecrabe au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 16 entreprises implantées à Escanecrabe), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture modifier

La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 33 28 19 16
SAU[Note 8] (ha) 1 061 989 822 861

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 28 en 2000 puis à 19 en 2010[38] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[39],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 061 ha en 1988 à 861 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 54 ha[38].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Casteras (de) Lignée de haute extraction espagnole originaire de Ciudad-Rodrigo et bras armé des Rois de Navarre depuis l'an 970. Cette famille eut de très nombreuses possessions en Armagnac, Comminges, Bigorre, Languedoc et Foix. Spoliée par la maison de l'île-Jourdain, la maison de Casteras se retrancha à la fin du XVe siècle sur ses terres d'Escanecrabe (Escanacrabe alors) qui fut son dernier fief. Parmi les membres éminents de cette lignée, figure le fameux d'Artagnan. Si Consistant adversum me castra non, temebit cormeum, telle est sa devise ; de gueules, au château d'argent, maçonné ouvert et ajouré de sable ;couronne de marquis à supports de deux licornes, telles sont ses armes.

Héraldique modifier

Son blasonnement est : D'azur à la chèvre grimpant sur des rochers, le tout d'argent, au chef cousu de gueules chargé de quatre épis de blé d'or.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escanecrabe » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Métadonnées de la commune d'Escanecrabe » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Escanecrabe » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Escanecrabe » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources modifier

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Escanecrabe et Saint-Gaudens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches d'Escanecrabe », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  5. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Escanecrabe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « la Save »
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  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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