Discussion:Informatique durable

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Discussion 1 modifier

excellent canular cet article.

Faire croire aux vertus du green IT 'inventé' par et pour les SSII, est bien drole. ca manque juste de références réelles et d'exemples .

Merci de signer vos interventions.
1) Cet article traite de l'informatique et du développement durable, plus largement que du green IT qui ne s'intéresse qu'au volet environnemental.
2) Le green IT ne s'intéresse actuellement le plus souvent qu'aux impacts directs de l'informatique (consommation d'énergie et production de déchets), qui concernent les équipements informatiques. Ce ne sont donc pas les SSII qui sont intéressées, puisque celles-ci ne traitent que le logiciel.
3) L'expression green IT n'a pas été inventée par des SSII (françaises), mais par les Américains. Trouvant l'expression trop réductrice aux impacts directs, et pensant qu'il fallait aussi évoquer l'impact sur les processus métier (le fait que les modèles informatiques poussent à consommer plus) et l'impact social, j'ai préféré intituler l'article « informatique et développement durable ».
4) Ceux qui poussent à cette évolution sont, non pas les SSII comme vous le prétendez, mais la société civile et les ONG.
Je pense donc que votre remarque n'est pas pertinente.
Pautard (d) 26 août 2010 à 15:25 (CEST)Répondre
S'il y a des doutes à exprimer sur les vertus du green IT, il est plus pertinent d'invoquer le paradoxe de Jevons plutôt que d'accuser un tel ou un tel. C'est plus encyclopédique. Pautard (d) 20 septembre 2010 à 21:23 (CEST)Répondre


@Ben de l'Aveyron : Remarque : Je lis : "Suren Erkman souligne en outre : « selon les prophètes de la soi-disant société postindustrielle, les ordinateurs étaient censés reléguer le papier au rang de curiosité historique. C’est exactement l’inverse qui s’est produit : aux États-Unis, la consommation annuelle de papier est passée de 7 à 22 millions de tonnes entre 1956 et 1986. » OK, mais si, prenons un exemple plausible, le nombre de véhicule est passé de 50 millions à 150 millions sur la même période, est-ce que ce sera aussi la faute de l'informatique ? Avec pour conséquence trois fois plus de cartes grises, trois fois plus de PV, de factures de réparations, d'entretien, bref, des documents qu'il faut avoir sous forme matérielle ... Je ne sais pas signer, mes potes m'appellent Ben (de l'Aveyron). Article intéressant quand même.

Titre et introduction de cet article modifier

Une question se pose dés la lecture du titre de cet article qui annonce déjà un certain parti pris. En effet, ce titre n'introduit pas la question de la confrontation de l'informatique et du développement durable mais entend traiter de la notion d'informatique durable, laissant ainsi supposer que cette expression soit le reflet d'un état de fait préexistant. Pour autant aucune ébauche de définition de ce qu'est l'informatique durable n'est proposée dans cet article. Cette initiative s'annonce donc d'emblée très discutable. Les premières lignes de l'introduction qui suit, ne sont pas moins porteuses d'ambiguïtés. Parler au passé des discours de négation des impacts de l'industrie de l'informatique, laisse penser que le discours dominant sur ce sujet est largement ouvert vers une prise de conscience. Mon expérience professionnelle dans ce domaine ne m'engage pas à partager ce point de vue. Il serait peut être bon de nuancer cette affirmation.  Je passerai rapidement sur la dissociation faite  entre informatique d'une part et technologies de l'information et de la communication d'autre part. Prendre en compte la définition de cette seconde expression permettrai certainement d'éviter d'en galvauder son sens dans une phrase à la rhétorique plus que douteuse qui attribue à l'informatique une responsabilité sociétale.  Ensuite, si des expressions récurrentes telles que ; industrie immatérielle peuvent être perçue comme des slogans, les expressions  ; zéro papier ou télétravail quant à elles ne peuvent pas être considérées comme tel. Si l'expression industrie immatérielle est utilisée pour qualifier l'industrie des TIC, zéro papier ou télétravail en sont plutôt la description d'objectifs, ou de moyens selon le niveau d'analyse. Cette distinction est importante car elle ouvre la réflexion sur cette question des TIC et du DD en deux directions : la première direction consistant à se poser la question de la soutenabilité de l'industrie des TIC, la deuxième direction consistant à se questionner sur les usages des produits et services de l'industrie des TIC en terme de développement durable. Cette distinction est fondamentale dans une approche systémique de cette question. L'amalgame entre d'une part, les impacts de ce secteur d'activité liés à ces processus de fabrication et d'autre part ceux de leurs usages, dans un contexte économique mondialisé, oriente immanquablement le débat. Notre point de vue de citoyen d'un pays nord occidental, non producteur des biens que nous consommons, sera immanquablement très différent de celui du salarié d'une entreprise de production, implanté dans un pays émergent. Le paragraphe suivant comme argumentaire pour une approche de développement durable est très orienté à destination les entreprises en laissant de côté l'approche sociétale de cette question. Enfin, évoquer, comme seule référence dans le dernier paragraphe de cette introduction, le rapport SMART 2020 pour affirmer l'impact positif possible de l'usage des TIC n'est certainement pas satisfaisant. En effet, ce rapport ne traite que de la capacité du secteur des TIC à limiter les émissions de Gaz à Effet de Serre d'autres secteurs de l'activité humaine, et spécifiquement les émissions de CO2. Parler ainsi de la réduction de « l'empreinte environnementale » des activités humaines apparaît donc disproportionné si on accorde à cette expression, la même envergure que celle peut-être plus fondée  d'« empreinte écologique » telle qu'elle est présentée par le site footprintnetwork.org ou le livre de Aurélien BOUTAUD.

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr).

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Risque de confusion modifier

Ce paragraphe analyse un extrait du rapport TIC et Développement durable de 2008. Même si je partage cet appel à modérer les propos rarement étayés consistant à attribuer aux TIC un apport positif sur la réduction des Gaz à Effet de Serre, je ne vois pas en quoi agréger des indicateurs « de type PIB vert » permettra d'établir des conclusions fiables.  Concernant à présent le style rédactionnel du dernier paragraphe de ce chapitre ( ... heureusement ... ), je ne pense pas qu'il soit en accord avec les ambitions encyclopédiques de ce site.

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Implications en termes de modèles informatiques modifier

Aborder les objectifs de développement durable des entreprises en soulignant les impact sur leurs stratégies de marketing tend à laisser croire que ces dernières ne poursuivent qu'un objectif de greenwashing. Dans un tout autre domaine, considérer qu'une stratégie d'intelligence économique se borne à étudier les opportunités et les menaces des besoins des consommateurs, semble quelque peu réducteur.  De plus, compter sur les seuls moteurs de recherche informatique comme support d'une stratégie de veille économique, sociale etc semble là aussi quelque peu réducteur.  Le paragraphe traitant de l'alignement des systèmes d'information n'est pas très compréhensible et se termine sur l'affirmation de perspectives dont on ne comprend  ni de quelles perspectives il s'agit ; quels lien peut-on faire entre système d'information, développement durable et démarche qualité par exemple, ni en quoi ces perspectives sont intéressantes.

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Application aux piliers du développement durable modifier

La première remarque est d'ordre méthodologique. Pour ce faire il est visiblement important de rappeler que le principe de développement durable est généralement illustré par un schéma représentant trois cercles ; les trois piliers du développement durable. L'entrelacement de ces cercles fait apparaître une zone commune aux trois. Cette zone où les exigences du pilier social, environnemental et économique sont simultanément prises en compte, représente un état de développement durable. Même si cette représentation reste très discutée, elle reste une référence dans le domaine. Du côté des mathématiques ce schéma est celui représentant le principe d'inclusion de la théorie des ensembles. Cette inclusion de trois ensembles est vérifiée par l'appartenance d'éléments communs aux trois ensembles simultanément. Autrement dit, il n'y a développement durable que si les conditions sociales, environnementales et économiques sont réunies simultanément. Par conséquent, lister une série d'exemples qui dans leur ensemble répondent aux trois piliers mais qui pris séparément ne répondent qu'à un seul, ne satisfait pas à cette rigueur théorique. Par contre, si la méthode utilisée ne permet pas de démontrer ce principe d'inclusion, donc de développement durable, elle est très utile pour montrer qu'il n'y pas inclusion, à partir du moment où un des éléments n'est pas commun, donc à partir du moment où un exemple ne satisfait pas aux attentes des trois piliers simultanément, ce dernier ne relève pas d'un développement durable.  Une autre remarque sur cette prise en compte de la définition du concept de développement durable concerne l'absence de paragraphe dédié au pilier économique. Est-ce à dire que les TIC n'ont aucune application dans ce domaine ?

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Application au pilier environnemental du développement durable modifier

L'introduction de ce chapitre évoque des contributions directes ou indirectes dont malgré les exemples donnés dans les paragraphes dédiés, il est difficile d'en cerner la définition retenue. De plus, dire que les contributions indirectes sont « certainement à terme beaucoup plus importante » est une affirmation gratuite, qui reflète au mieux le sentiment de son auteur, mais qui ne repose sur aucune analyse scientifique.  Dans le paragraphe - Première phase : contribution directe, évoquer la loi de Moore comme un objectif à respecter pour les fabricants est un non sens. Cette loi n'est pas un cadre législatif établi par une autorité souveraine mais une règle constatée.  Enfin, discuter de l'optimisation de la consommation énergétique des systèmes d'information en mentionnant comme seul exemple le cas de supers ordinateurs n'est pas très probant. Car si l'on en croit les propos d'un autre article de ce site traitant de ce sujet, ces machines sont plutôt utilisées pour des applications spécifiques d'un autre ordre.

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que l'informatique durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Application au pilier social du développement durable - Réduction de la fracture numérique modifier

Ériger en vertu la capacité des TIC à réduire la fracture numérique relève de la plaisanterie.  Il ne faut pas oublier que le principe même de la fracture numérique est une conséquence du développement de ces technologies. Même si on peut entendre que ce phénomène puisse faire l'objet d'un objectif politique dans une vision d'aménagement du territoire, de modernisation de l'administration ou de développement économique, il ne s'agit en aucun cas d'une qualité intrinsèque des TIC en faveur d'un développement durable. Au contraire, l'existence d'une fracture numérique, ne serait-elle pas à considérer plutôt comme un impact négatif si on se réfère à certains discours sur le sujet, considérant la fracture numérique comme  un facteur aggravant de la fracture sociale ?

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Système d'information durable - Les défis du développement durable ... modifier

Tout d'abord, de manière générale dans une approche académique et compte tenu des propos tenus dans la suite de ce paragraphe il serait plus judicieux de l'intitulé : défis des systèmes d'information vis-à-vis du développement durable. Ensuite, focaliser sur l'architecture des systèmes d'informations sans plus de précisions, n'est pas très compréhensibles, malgré l'énumération des exemples qui suivent. D'ailleurs parmi ces exemples, il est à souligner que les conséquences de l'augmentation de la quantité de données numériques ( et non des connaissances !) non rien de spécifique au développement durable. De même la gestion d'une relation client relève plutôt d'une démarche commerciale, au mieux d'une démarche de management de la qualité. Quant au lien entre économie circulaire et biens de consommation dont les fonctionnalités pourrait être modifiées, me semble alambiqué . Sans être un spécialiste de l'analyse de cycle de vie, il ne me semble pas que ce principe soit celui fondateur de l'économie circulaire.  Pour finir sur les commentaires de ces exemples, évoquer le respect de la réglementation ne relève pas non plus d'une approche spécifique au développement durable.  Enfin, la conclusion de ce paragraphe apparaît quelque peu naïve. Prétendre décrire LE système d'information des organisation ne veut rien dire. Il y a de plus dans ces lignes une approche très technicienne des systèmes d'information occultant les dimensions organisationnelle et informationnelle qui ne permet donc pas une vision globale.

Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr)

Je suis bien d'accord que l'article est à remanier. Je pense que la relation entre informatique (ou TIC) et développement durable est un sujet de recherche, qui mériterait certainement d'être traité dans des organismes publics (INRIA, CNRS, Centre de recherche en gestion, INRA,...). En tout cas, il faut garder en tête ceci, car tout est lié. Cordialement.Pautard (discuter) 9 novembre 2015 à 09:02 (CET)Répondre

Fusion entre Informatique durable et Green computing modifier

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Les deux articles traitent la question de la durabilité dans l’informatique. Le second donne d’ailleurs une référence en français : « Comment se diriger vers une informatique durable ». Le terme en français étant passé dans le langage courant, je propose de fusionner le second article dans le premier… genium ⟨✉⟩ 25 mai 2015 à 21:23 (CEST)Répondre

  1. J'ai participé de façon marginale à "Green computing" mais j'ignorais l'existence de la page "Informatique durable". Je ne vois pas d'inconvénient à ce que la première soit intégrée dans la seconde à condition que ne soit pas perdu ce à quoi j'ai travaillé. En tout cas, bon courage. --Elnon (discuter) 26 mai 2015 à 23:12 (CEST)Répondre
  2. Complètement   Pour, il faut garder la traduction française (càd le premier article) — Jeremy77186 (discuter) 2 juin 2015 à 16:25 (CEST)Répondre
  3.   Pour, garder l'article au titre français comme le demande Jeremy77186 - Louistisserand (discuter) 28 juin 2015 à 00:42 (CEST)Répondre
J'ai fais la fusion, j'ai notamment remplacé l'intro. J'ai également mis un bandeau "Recyclage", je trouve le plan de l'article particulièrement peu adapté. Et puis la prochaine fois, il faudrait vraiment éviter ce genre de fork (parce que à lire les historiques le doublon est intentionnel...). --Nouill 16 juillet 2015 à 07:20 (CEST)Répondre
C'est moi qui ai créé l'article « informatique et développement durable », qui a par la suite été renommé en « informatique durable ». En fait, dans mon esprit, il n'y a pas équivalence entre le green computing/green IT et l'informatique durable, dans la mesure où le green computing/green IT ne s'intéresse qu'au pilier environnemental du développement durable, et pas aux deux autres piliers. Il faudrait donc revoir la première phrase, en faisant bien la distinction pour que le lecteur comprenne. Cela permettrait peut-être d'expliquer les apparentes insuffisances du plan.Pautard (discuter) 24 septembre 2015 à 21:08 (CEST)Répondre

Supervision de la discussion de ce sujet modifier

Je trouve tout d'abord les commentaires émis sur les sujets de cette discussion très fermés, sans volonté de laisser place à la discussion et quelques peu condescendants. Ensuite, l'évocation des institutions publiques comme seules références valables pour traiter d'un sujet (quel qu'il soit) me semble en complète opposition avec les objectifs poursuivit ici. Je persiste à souligner que certains contenus de cet article relève d'une vision technophile, tandis d'autres ne sont pas cohérents entre eux et avec d'autres articles tels que celui sur le Développement durable.

Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'il faut laisser la discussion ouverte à tous les types d'intervenants, y compris privés. C'est pourquoi j'ai modifié mes commentaires en changeant « informatique durable » par « relation entre informatique (ou TIC) et développement durable » et « devrait ... idéalement » par « mériterait certainement ».Pautard (discuter) 5 février 2016 à 13:16 (CET)Répondre

Bandeau « à recycler » et remarques de Stéphane CLAUZONNIER (www.symbio-tic.fr). modifier

  1. Il me semble que les remarques faites par cette personne devraient être intégrées dans la page de l'article, plutôt qu'introduites en page de discussion avec introduction d'un bandeau à recycler.
  2. Les remarques ne sont pas signées par un user Wikipédia, mais par le nom d'une personne suivi d'un nom de société. Il n'est pas possible de discuter sur la page de discussion de ce contributeur puisqu'il n'a pas de compte. Cela ressemble à de la publicité pour la société en question, ce qui est contraire à la déontologie de Wikipédia.

En conséquence, j'enlève le bandeau. Pautard (discuter) 3 octobre 2019 à 13:39 (CEST)Répondre

Renommer la page « Informatique durable » en « Numérique responsable » ? modifier

Voir :

— Thibaut (discuter) 9 décembre 2022 à 11:35 (CET)Répondre

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