Discussion:Haute-Savoie/LSV 21329

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Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.

La Yaute, un peu comme les Hauts-de-France ^^ modifier

Dernier commentaire : il y a 1 an8 commentaires6 participants à la discussion

05 mai 2022 à 10:15:14 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant 4 avis modélisés, le bot a estimé une décision d'acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (100%). Pour notifier les participants : {{Notif|SenseiAC|Jean-Paul Corlin|Ramsès Deux|GrandEscogriffe}} Pour notifier les participants : SenseiAC, Jean-Paul Corlin, Ramsès Deux et GrandEscogriffe : C08R4 8U88L35^{Dire et médire}

Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par SenseiAC le 2022-04-03 13:53:00, a été certifiée par GrandEscogriffe au niveau d'un passage appuyé par une référence et validée par Oziris (Accord de tous les participants.). Elle va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil après un passage dans l’antichambre Géographie de la France :

Carte des Savoie.

La Savoie (au sud) est en moyenne plus haute que la Haute-Savoie (au nord).

La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités (surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents.

Proposée par Erik Bovin le 20 mai 2016, et publiée le 20 août 2016. [indice de similitude 6/10]:

Les Hautes-Alpes et la Savoie sont les deux départements français comptant la plus forte densité de salles de cinéma par habitant.

Temps d'exécution total : 962 millisecondes (détails : travail du bot: 865 millisecondes, lecture des anecdotes en base: 98 millisecondes)

Analyse de l'article Haute-Savoie le 03 avril 2022 à 14:16 (bot v2.8.1) : Anecdote trouvée avec référence liée. Ouvrir pour détails

	L'anecdote a été trouvée avec un indice de [10/10] et avec une référence qui lui est liée. Merci néanmoins de vérifier.

Il semblerait que le choix du nom ait été inspiré par la délégation des quarante et un savoyards, menée par le comte Greyfié de Bellecombe, le 21 mars 1860^[1]^,^[3].L'historien et spécialiste de la période, Paul Guichonnet, à propos du choix des noms du département, précise qu'une seule source existe^[4] :

« Les noms des départements annexés ont été accordés par l'empereur lui-même, sur la proposition d'un très grand nombre de Savoisiens et, en agissant ainsi, il a donné satisfaction à l'immense majorité de nos compatriotes.La situation n'est plus la même qu'en 1792, où le pays subissait une crise suprême.Aujourd'hui, pas de rivalité avec les départements anciens ; l'esprit de nationalité y est aussi vivace que dans toute autre partie de l'Empire, l’assimilation est complète.Léman ne pouvait convenir, Genève et son littoral n'étant plus français ;Mont-Blanc ne pouvait être appliqué qu'à la Haute-Savoie, et le Mont-Cenis ne pouvait convenir à la Savoie, le Mont-Cenis ayant été laissé, dans la plus grande partie, à l'Italie.Conserver au pays son ancien nom était une idée patriotique et heureuse qu'il faut approuver. »

— La Gazette de Savoie, édition du 22 juin 1860^[5]

« Haute » dans Haute-Savoie n'est donc pas une indication d'altitude^[7], mais la position septentrionale, au nord, de cet ensemble^[8]^,^[9].

Dans la littérature régionale ainsi que l'usage chez certains régionalistes dans les années 1970, on trouve également l'expression « Savoie du Nord » pour désigner la Haute-Savoie^[10].

↑ Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».
↑ Régine Boisier, Adrien : Fils de paysan, appelé l'aristo, La Fontaine de Siloé, 2003, 363 p. (ISBN 2-84206-213-2 et 978-2-8420-6213-2), p. 191.
↑ La délégation menée par le comte Amédée Greyfié de Bellecombe, comprend pour la province de Chambéry le député d'Aix Gustave de Martinel, les conseillers provinciaux Louis Bérard, Maurice Blanc, Ernest de Boigne, les barons Frédéric d'Alexandry d'Orengiani et Louis Girod de Montfalcon, ainsi que Charles Bertier, Alexis Falcoz, Pierre-Louis Besson, l'avocat Antoine Bourbon, le docteur Dardel, Jacques Prosper Degaillon, Charles François, Jacques Prosper Degaillon, Félix Gruat, Pierre Viviand, Savey-Guerraz et le major de la Garde nationale Vuagnat.La province d'Annecy est représentée par les députés Albert-Eugène Lachenal, Joseph Ginet (Rumilly), Hippolyte Pissard (Saint-Julien) et Jacques Replat (Annecy), accompagnés par Claude Bastian (ancien député de Saint-Julien), Dufour, les barons Scipion Ruphy (Annecy) et Jules Blanc (Faverges), François Bétrix (directeur de la Banque de Savoie), le docteur Descotes, Magnin, Masset, Alexis Rollier.À noter que le Chablais, plutôt favorable à un rapprochement avec la Suisse voisine n'envoie que Édouard Dessaix, Félix Jordan, François Ramel et Gustave Folliet^[2]
↑ Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».
↑ Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».
↑ Revue savoisienne (Volume 52), Académie florimontane, Annecy, 1911, p. 243-244, citant Camille Dreyfus, André Berthelot, La Grande encyclopédie (Volume 29), 1886, p. 594.
↑ On avance souvent la présence du point culminant du pays — Mont Blanc, avec une altitude de 4 808 mètres — pour justifier cet usage, cependant la Haute-Savoie comporte plus de parties basses que sa voisine du Sud ainsi qu'une altitude moyenne de 1 160 mètres contre 1 500 mètres pour la Savoie^[6]
↑ Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».
↑ Victor Adolfe Malte-Brun, La France illustrée, géographie - histoire -administration : statistique, t. 3, J.Rouff, 1882, p. 195.
↑ Pierre Préau, « La Savoie dans l'organisation régionale française », dans Collectif, La région et la vie régionale : actes du Colloque sur la région et la vie régionale tenu à l'Université de Saint-Étienne, les 16, 17, 18 novembre 1973, Université de Saint-Etienne, 1975 (lire en ligne), p. 64.

Temps d'exécution total : 555 millisecondes (détails : travail du bot: 32 millisecondes, récupération de l'article: 523 millisecondes)

La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités (surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents.

Proposée par Erik Bovin le 20 mai 2016, et publiée le 20 août 2016. [indice de similitude 6/10]:

Les Hautes-Alpes et la Savoie sont les deux départements français comptant la plus forte densité de salles de cinéma par habitant.

Temps d'exécution total : 1 sec (détails : travail du bot: 953 millisecondes, lecture des anecdotes en base: 79 millisecondes)

Proposant : SenseiAC (discuter) 3 avril 2022 à 13:53 (CEST)Répondre

Discussion :

Effectivement ! Cela s'explique très bien géographiquement. Il suffit d'acheter ces fameuses cartes en relief que l'on peut trouver dans toutes les bonnes librairies (Arthaud à Grenoble, Coilibri-ex Chemain à Voiron et Garin à Chambéry -on m'y voit souvent- ) pour le comprendre--J-P C ^{Des questions ?} 3 avril 2022 à 18:32 (CEST)Répondre
Le plat pays qui est le mien.--Ramsès Deux (discuter) 3 avril 2022 à 19:31 (CEST)Répondre
--l'Escogriffe (✉) 8 avril 2022 à 20:28 (CEST)Répondre

Il me semble que ça fait un bail qu’elle est en carafe, celle-là, et je n’arrive pas à voir pourquoi. Ghoster : au secours ! —-Fanfwah (discuter) 2 mai 2022 à 12:55 (CEST)Répondre

SenseiAC : la clôture de ta proposition sera traitée en principe le 6 mai à 01h00. GhosterBot ^{(10100111001)} 5 mai 2022 à 09:45 (CEST)Répondre

Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot ^{(10100111001)} 6 mai 2022 à 01:01 (CEST) Répondre

SenseiAC : ton anecdote proposée le 2022-04-03 13:53:00 et acceptée le 2022-05-05 09:45:07 a été traitée par le bot. GhosterBot ^{(10100111001)} 6 mai 2022 à 01:02 (CEST)Répondre

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[1] Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».

[2] Régine Boisier, Adrien : Fils de paysan, appelé l'aristo, La Fontaine de Siloé, 2003, 363 p. (ISBN 2-84206-213-2 et 978-2-8420-6213-2), p. 191.

[3] La délégation menée par le comte Amédée Greyfié de Bellecombe, comprend pour la province de Chambéry le député d'Aix Gustave de Martinel, les conseillers provinciaux Louis Bérard, Maurice Blanc, Ernest de Boigne, les barons Frédéric d'Alexandry d'Orengiani et Louis Girod de Montfalcon, ainsi que Charles Bertier, Alexis Falcoz, Pierre-Louis Besson, l'avocat Antoine Bourbon, le docteur Dardel, Jacques Prosper Degaillon, Charles François, Jacques Prosper Degaillon, Félix Gruat, Pierre Viviand, Savey-Guerraz et le major de la Garde nationale Vuagnat.La province d'Annecy est représentée par les députés Albert-Eugène Lachenal, Joseph Ginet (Rumilly), Hippolyte Pissard (Saint-Julien) et Jacques Replat (Annecy), accompagnés par Claude Bastian (ancien député de Saint-Julien), Dufour, les barons Scipion Ruphy (Annecy) et Jules Blanc (Faverges), François Bétrix (directeur de la Banque de Savoie), le docteur Descotes, Magnin, Masset, Alexis Rollier.À noter que le Chablais, plutôt favorable à un rapprochement avec la Suisse voisine n'envoie que Édouard Dessaix, Félix Jordan, François Ramel et Gustave Folliet^[2]

[4] Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».

[5] Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».

[6] Revue savoisienne (Volume 52), Académie florimontane, Annecy, 1911, p. 243-244, citant Camille Dreyfus, André Berthelot, La Grande encyclopédie (Volume 29), 1886, p. 594.

[7] On avance souvent la présence du point culminant du pays — Mont Blanc, avec une altitude de 4 808 mètres — pour justifier cet usage, cependant la Haute-Savoie comporte plus de parties basses que sa voisine du Sud ainsi qu'une altitude moyenne de 1 160 mètres contre 1 500 mètres pour la Savoie^[6]

[8] Guichonnet 1999, p. 19, « La formation de la Haute_Savoie ».

[9] Victor Adolfe Malte-Brun, La France illustrée, géographie - histoire -administration : statistique, t. 3, J.Rouff, 1882, p. 195.

[10] Pierre Préau, « La Savoie dans l'organisation régionale française », dans Collectif, La région et la vie régionale : actes du Colloque sur la région et la vie régionale tenu à l'Université de Saint-Étienne, les 16, 17, 18 novembre 1973, Université de Saint-Etienne, 1975 (lire en ligne), p. 64.

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