Discussion:Chat/Archive 2

Dernier commentaire : il y a 15 ans par Abujoy dans le sujet Marronage
Archives

Archive 1 (9 novembre 2004 → 8 août 2007)
Archive 2 (8 août 2007 → 19 mars 2009)

Chats et huile d'olive modifier

Au sujet des chats adorants l'huile d'olive un de mes amis a remarqué que ses chattes allaient toujours lècher les restes de sauce à salade au fond du saladier. Comme il utilisait toujours de l'huile d'olive pour la confectionner ceci pourrait donc conforter cette hypothèse.

quelle est la longévité d'un chat ? modifier

?

La version anglaise de Wikipédia évoque 14 à 20 ans, avec semble-t-il un record de 36 ans (voir http://en.wikipedia.org/wiki/Cat#Cats_as_pets pour plus de détails) — MetalGearLiquid [blabla] 31 août 2007 à 14:49 (CEST)
Pourquoi le mot longévité n'apparaît-il pas dans l'article et qu'une fourchette n'est pas donnée ? DocteurCosmos (d) 7 janvier 2009 à 18:09 (CET)

Parce que l'article chat comporte encore bien des lacunes. Je corrige ça ce soir, promis ! --Abujoy (d) 7 janvier 2009 à 19:34 (CET)

Modif en cours modifier

Reclassement et regroupement de la seconde moitié de l'art. (culture, histoire, littérature, etc.). Rien n'a été supprimé, sauf les doublons. Si une référence littéraire ou autre semble avoir disparu, elle se trouve en fait replacée dans l'art. connexe chats de fiction. Il faudrait ajouter des illustrations dans la "section arts et littérature" pour aérer les listes, mais je ne sais pas le faire pour l'instant (sur WK depuis à peine 2 semaines). Remaniement en cours des "proverbes et expressions", qui ont vraiment leur place dans cet art., amha. Mais que faire pour la suite (chansons, BD, mangas), qui est en doublon par rapport à l'art. chats de fiction ? Addacat 16 août 2007 à 00:23 (CEST)

Suppressions modifier

J'ai supprimé les deux interventions sous IP du 17 août vers 17 h : l'une répétait ce qui est déjà dit dans la section "rejets', l'autre avançait une hypothèse non sourcée ("selon certains vétérinaires, le chat miaulerait pour imiter l'homme") et fort improbable : les chats miaulent de toute façon. Addacat 18 août 2007 à 16:29 (CEST) (signature oubliée sur le moment)

Bébert modifier

Bébert, le chat de Louis-Ferdinand Céline, n'a rien à faire parmi les chats célèbres, mais parmi les chats d'écrivains (du moins si vous avez lu l'article avant de faire ce rajout). A noter : dans les listes d'écrivains "avec chats", on a pris grand soin d'éviter tout commentaire, y compris pour des auteurs comme Chateaubriand, Pétrarque, Hugo et quelques autres, sans quoi l'article eût été beaucoup trop long. D'autre part, le qualificatif de "chat le plus célèbre de la littérature française" pour Bébert peut se discuter : pour moi, ce sont les chats de Théophile Gautier et de Colette, par exemple. Dernier point : est-il souhaitable d'ajouter Céline parmi les autres auteurs - parmi des écrivains que l'on apprécie ou non, mais dont aucun, semble-t-il, n'a prôné l'extermination d'une partie du genre humain ? A mon avis, cela ne s'impose pas. Ou alors en note de bas de page. Mais rien n'interdit un débat sur ce thème. Tout en gardant à l'esprit qu'il s'agit d'un article "tous publics". Addacat 28 août 2007 à 21:43 (CEST)

Je ne partage pas votre point de vue sur la "non célébrité" de Bébert. Que Céline soit un odieux antisémite nul ne le conteste, mais ce qui me paraît fondamentalement vicié c'est le raisonnement qui consiste à le retrancher du monde des très grands écrivains français sous prétexte qu'il était ce qu'il était.
Quant à l'expression "le chat le plus célèbre de la littérature française" elle n'est pas de moi mais de Frédéric Vitoux si je me souviens bien -c'est pour cela que j'ai laissé la citation entre guillemets..
Je classe Céline comme bien supérieur à ce brave Théophile Gautier ou à Colette qui n'ont ni l'un ni l'autre innové en littérature. Quant au génial Chateaubriand (un de nos meilleurs stylistes, doté d'un ego insoutenable) j'ai relu récemment les Mémoires d'Outre Tombe et je n'ai pas souvenance de chat particulièrement remarquable.
Ce pauvre Bébert -paix à sa petie âme féline- ne me paraît donc pas mériter d'être relégué aux enfers de l'indignité nationale sous prétexte que son maître s'est abandonné à des éructations racistes insupportables.
De plus les chats cités dans l'article, tous anglo-saxons si je ne m'abuse ne doivent ils pas leur palmares à la regrettable prédominance de cette culture dans le monde contemporain : qui les connaît en France ?
Je ne remettrai pas mon additif en ligne car après tout ce que je pense peut tout à fait ne pas être partagé par d'autres, mais la dernière partie de votre intervention est porteuse, inconsciemment, d'un danger : ne justifiez vous pas, sans le vouloir je présume, une certaine forme de censure ? Après tout on pourrait très bien citer Celine parmi les écrivains à chats, ce qui n'est pas le cas si je relis le paragraphe qui leur est consacré et qui comporte quelques très très médiocres contemporains (les 3 derniers cités en particulier)...Mais je laisse ce soin :à ceux qui le jugeront bon, de crainte de me voir ostracisé à mon tour...
Chat-leureusement votre,
Marscion
Les quatre malheureux "chats célèbres" sont anglo-américains parce que... il n'en existe pas d'équivalents en France, sauf erreur. S'il en existe (chats acteurs, chats qui ont leur statue, etc.), il sera excellent de les ajouter... Vous ne connaissez pas Diamants sur canapé ? Dommage. Bébert, lui, s'il avait sa place, devrait figurer parmi les "chats d'écrivains". Votre adoration pour Céline et votre mépris pour les autres ne regardent que vous. Il n'y a pas lieu, dans cet article, de porter des jugements de valeur littéraires - ni ici, ni sur WK en général. Quant à la présence ou non de Céline, inutile de me faire un procès d'intention : je ne tranche pas, justement. Il vaudrait mieux que ce soit décidé "aux voix" ; ainsi que je l'ai dit, si vous avez bien lu, il y a matière à débat. Mais, tant que d'autres contributeurs n'auront pas donné leur avis, Céline reste "en réserve".
Addacat 31 août 2007 à 13:43 (CEST)

Réponse à Addacat : Mais d'où tirez vous donc, Cher Monsieur - ou Chère Madame - , que je ne connais pas Diamants sur canapé ??? Serait ce que lorsque qelqu'un n'a pas la chance de partager votre point de vue ce ne peut être qu'un béotien et un inculte ? Qu'est ce qui vous habilite à distribuer des satisfecit ou des blâmes ? ..."Adoration, mépris"..... Mais c'est vous cher Addacat qui portez des jugements de valeur en interprétant ce que j'ai écrit... Je n'ai ni adoration pour le Dr Destouches ni mépris pour les écrivains dits "mineurs". Chacun à sa place justement... et chacun a (sans accent) sa place en littérature. Bien d'accord avec vous pour le jugement démocratique... a condition qu'il ne débouche pas sur la "Peopolisation de Wikipedia"... Au fait, citer "Humphrey" parmi les chats célèbres c'est un peu "People"... Non ?

Chat-ritablement vôtre...

Marscion 02/09/07

Images modifier

 
Chaton ne faisant rien

Il y a quelque chose comme un an, on avait fait le ménage au niveau des images, pour retirer toutes les photos de type "blog", de faible qualité et de faible contenu informatif. Je pense qu'il faudrait renouveler l'opération... et commencer à réfléchir sur une manière de dissuader les gens de mettre la photo de leur chat dans cet article. Arnaudus 4 septembre 2007 à 11:20 (CEST)

Tout à fait d'accord ! Addacat 12 septembre 2007 à 01:34 (CEST)
Bravo Jborme ! Addacat 20 septembre 2007 à 19:44 (CEST)
Bravo aussi à Albanoreau ! Ce que tu as ajouté correspond exactement à ce que disent les vétérinaires. Et en plus, c'est bien sourcé ! La seule chose : la place de ce § pourrait être juste en dessous de "maladies". Si quelqu'un pouvait faire un copier-coller...
Beaucoup moins sympathique : le vandalisme de certaines IP. Ne pourrait-on placer cet article sous demi-protection, ou autre ? Ce serait dommage pour les IP constructives, qui apportent d'excellentes précisions, mais... ??? Le crypto-chat Addacat 26 septembre 2007 à 20:39 (CEST)
Abujoy, tu as supprimé ma photo de chaton et tu as fort bien fait, elle n'apportait rien à l'article (surtout qu'elle s'était retrouvée dans la section "Comportement" et que l'animal n'y fait strictement rien à part regarder l'objectif). Mais comme elle est mignonne, je la remets ici où elle ne peut pas faire de mal. -- Jplm Répondez de préférence ici, sinon Discuter -- 21 décembre 2008 à 19:08 (CET)

Chute du chat - copyvio ? modifier

Je ne suis pas convaincu qu'il soit souhaitable (voire permis en fait) de copier-coller des paragraphes entiers, même lorsqu'on en site la source. Ne disposant pas du texte d'origine, je ne puis m'assurer qu'il s'agit d'un simple copier-coller ou d'un résumé du contenu de l'article de Science et Vie Junior, j'invite donc la personne disposant du magazine de corriger/reformuler le cas échéans. — MetalGearLiquid [blabla] 27 septembre 2007 à 07:23 (CEST)

 
NB : Que le système du chat ne fonctionne pas pour une chute de moins de 2 mètres, c'est exact. Dans ce cas, le chat n'a pas le temps de se retourner. Une chute d'un seul mètre, pour un chaton, peut être mortelle s'il tombe "mal" ; et ses os ne sont pas encore très solides. Addacat 6 octobre 2007 à 04:06 (CEST) PS : Peut-être 2 photos à supprimer, car elles ne sont pas très informatives : dans la section "comportement", le chaton gris (certes craquant) et les 2 persans blancs. (Mais bon, je ne me lance pas.) Cela mettrait + en valeur l'extraordinaire photo qui est en dessous, celle du chat se hissant. Pour la série "chasse", il y a une photo qui pourrait en remplacer une autre. Celle à droite. Belle composition, amha.

Manuel pour l'entretien d'un chat ou Encyclopédie ? modifier

Je me pose honnêtement la question, qu'elle est l'intérêt encyclopédique de savoir comment bien brosser, bien nourrir et bien s'occuper en général de son chat ? 90.31.156.163 19 octobre 2007 à 10:37 (CEST)

Aucun interêt en effet, mais c'est comme qui dirait une "page sensible" qui touche beaucoup de lecteurs/contributeurs et qui donc, comme tous les articles sur les "pets", dérive régulièrement. Il est alors plus facile de faire un seul grand nettoyage de temps à autre  . Réponse anonyme.
Tous les articles sur les animaux plus ou moins domestiques doivent être nettoyés de temps en temps. C'est dommage, ça a par exemple empêché à celui-ci de rester "Article que Qualité". Arnaudus 23 octobre 2007 à 19:51 (CEST)
Encyclopédique : qui fait le tour de la question. Et pour beaucoup la question est de bien brosser, bien nourrir et bien s'occuper puisque le chat est un animal familier, voire familial. Pas de raison donc d'exclure cet aspect, mais bien sûr sans tomber dans le gâtisme ou l'interpellation du lecteur. Ceci dit, il manque à l'article des aspects très importants comme les ravages écologiques causés par les chats et comment cuisiner le chat (miaou miam miam). --Channer [koz a mwin] 23 octobre 2007 à 22:59 (CEST)
D'accord avec Channer : encyclopédique = qui fait le tour de la question. D'autant que la section "soins, santé, etc." n'a rien d'envahissant. Pas d'accord avec Channer sur sa dernière affirmation : perso, je préfère le teckel, c'est plus goûtu. Addacat 23 octobre 2007 à 23:08 (CEST)
Non non, "qui fait le tour de la question", c'est "exhaustif", pas "encyclopédique". Bon, c'est pas vraiment l'endroit où redémarrer une énième discussion sur la signification d'"encyclopédique", mais en gros, ce qui est certain, c'est que les conseils sont bannis: "il faut brosser son chat", "il faut veiller à son alimentation en lui fournissant des croquettes à la vitamine A", etc, c'est... du pipi de chat :-) Ces conseils sont des légendes urbaines, propagées par bouche à oreille (ou par des publicités), qui n'ont rien d'intéressants en tant que tels (ils mériteraient par contre d'être analysés par des sociologues, par exemple pour synthétiser l'évolution des soins conseillés pour les animaux domestiques au cours du XXe siècle). L'endroit pour y lister des conseils ou des "trucs" d'élevage, c'est Wikilivres, pas Wikipédia. Toute affirmation dans Wikipédia doit être sourcée et vérifiable, et la source doit être fiable (donc exit les sites perso, les plaquettes de pub qu'on trouve chez les vétos, etc). Ça réduit quand même énormément le champ des possibles! Je pense qu'il faut absolument se débarrasser de l'idée que Wikipédia doit fournir au lecteur ce qu'il cherche. Arnaudus 28 octobre 2007 à 20:47 (CET)
Je vois mieux. D'accord. Alors, que penserais-tu de "nettoyer" un peu tout ça en ne gardant que les généralités médicales (intolérance au lait, maladies, etc.) ? L'ennui, me semble-t-il, c'est que dans cet article toute la section "comportement, anatomie, etc." est globalement satisfaisante, mais non sourcée. C'est donc aux successeurs - à nous, humbles mortels - d'essayer de re-sourcer toutes ces affirmations, qui me semblent valables. Et ça (chat) prend du temps... Qu'en penses-tu ? Qu'en pensent les autres ? Et qui va se dévouer, le chat échéant ? Addacat 28 octobre 2007 à 21:16 (CET)
à MGL : C'est sûr, les cailles qui margottent n'impliquent pas du tout que le verbe soit employé pour les chats. Celui qui a ajouté ce verbe pourrait-il indiquer une source ? Il me semble que c'est un ajout assez récent. Addacat 30 octobre 2007 à 00:55 (CET)

Vétérinario-centrage modifier

En corrigeant le style et la neutralité de la partie "stérilisation" et "dégriffage", je me suis vraiment rendu compte que cet article n'était qu'une succession de conseils et de faits entièrement centrés sur la société occidentale bien pensante du début du XXIe siècle. Par exemple, "la sérilisation des mâles est une opération qui se pratique sous anesthésie générale...". J'avais pas tiqué la première fois, mais en y repensant, cette phrase est simplement fausse. Elle n'est vraie que dans certains quartiers de certaines villes de certains pays, dans un certain milieu social, qui est simplement sur-représenté sur Wikipédia. Par exemple, mon beau-père a toujours castré tous les chats du village pour pas un rond à la lame de rasoir, ça prend 30 secondes et apparemment, les chats ne se sont jamais plaint :-) Et au pifomètre, je dirais que 90% des castrations de chat dans le monde ne se font pas sous anesthésie générale. On peut débattre sans fin sur le fait qu'une mutilation sous anesthésie est plus "humaine" (sic! c'était texto dans l'article), m'enfin dans le fond, l'article ne reproduit que le point de vue d'une société bourgeoise bien pensante, limite gâtouillante avec ses animaux domestiques, influencée par les discours cupides des vétérinaires (les croquettes qui détartrent les dents, la nutrition équilibrée avec des petits légumes, et je passe le nombre de ridiculités du genre...). Je pense qu'il n'est pas facile de trouver une solution à ça et un juste équilibre, mais il faut quand même en être conscients. Arnaudus 31 octobre 2007 à 12:00 (CET)

  • Globalement, je partage ton point de vue. Les croquettes et le reste : oui, c'est très connoté, et en plus c'est loin d'être "prouvé". Pour ma part, je suggérerais quand même de garder les remarques (même s'il s'agit de "conseils" à peine déguisés) utiles et "gratuites". Ce sont des remarques de ce genre : les chats n'ont pas besoin de bain (en fait, c'est même dangereux), le lait (de vache) est nocif pour beaucoup de chats, ce n'est pas plus mal de brosser son chat, même à poil ras, une fois par semaine, pour telle raison, etc. Là, il y a information du lecteur, ce lecteur étant très souvent quelqu'un qui s'intéresse aux chats et qui cherche à "bien faire".
  • Ce n'est pas le but de WP ni sa vocation, je suis d'accord, mais on ne pourra pas empêcher le lecteur de chercher ici, parce que WP est ultra connue, facile d'accès, etc., des renseignements pratiques. Et en l'occurrence, perso et POV, je milite moins pour l'idée de satisfaire le lecteur à tout prix que pour essayer de faire le point sur un certain nombre d'idées reçues qui risquent d'être dangereuses pour les chats. Tant qu'on ne fait pas l'apologie de ce que tu dénonces à juste titre, tant qu'on se limite à des remarques générales et utiles pour le lecteur et pour les chats, ma foi...
  • La section "dégriffage" me paraît informative, donc acceptable ; elle précise d'ailleurs que cette pratique est interdite dans la plupart des pays d'Europe. Mais si quelqu'un veut supprimer cette section ou d'autres, a priori pourquoi pas ? Dans la foulée, il ne serait pas non plus inutile de supprimer la dernière remarque de l'intro, sur les hybridations, sauf si quelqu'un veut bien la sourcer : cette remarque ne fait que compliquer un sujet en réalité assez confus et qui n'offre pas, semble-t-il, un intérêt primordial dans le cadre de cet article. Il s'agit ici du chat domestique, tout le monde le comprend dès la première ligne, donc inutile de s'égarer dans des débats sur les sous-espèces. Le passage "felis silvestris", lui, me paraît honnête tel quel, de même que plus loin la question des "harets", où l'on précise bien qu'en réalité il s'agit de chats domestiques, et non pas de "chats sauvages" comme beaucoup le croient.
  • Comme d'habitude, on en revient au même constat : nous "héritons" d'un article qui a beaucoup de qualités (la section éthologie, sens, etc. me semble excellente) et nous essayons de recentrer. (Pour ma part, mes interventions se situent dans la partie "histoire et culture". Je n'ai aucune compétence "vétérinaire", juste une certaine pratique, par exemple celle des amis qui font prendre des bains à leur chat, leur donnent des croquettes de tel type ; et ils croient bien faire... ) En résumé : s'il faut voter, de ma part aucune objection contre un nettoyage. Addacat 31 octobre 2007 à 18:07 (CET)
    Le problème, c'est bien de définir ce qu'il faut dire, et comment le dire. Il n'est pas spécifique à cet article, il est même très général sur Wikipédia, et on ne va pas le régler ici en deux coups de baguette magique. Mon problème, c'est que c'est déja assez compliqué comme ça sans qu'on mêle le lecteur à ça. Autrement dit, je pense qu'il faudrait réfléchir à ce que devrait être l'article, sans jamais penser à ce que le lecteur est supposé y chercher. Sinon, on ne va pas s'en sortir; si le lecteur veut l'adresse des vétérinaires ou le prix d'un chat dans la Creuse, on ne peut pas fournir ces informations parce que ce n'est pas le but de Wikipédia.
    Juste pour partager mes doutes sur le "niveau" de l'écriture des articles, je pense qu'on peut donner des exemples comme ceux là:
    • Niveau 0: expérience personnelle, opinion: Certains font retirer les griffes des chats, c'est très cruel et ça leur fait mal.
    • Niveau 1: opinions neutralisées: Certains propriétaires font retirer les griffes des chats. Des associations (sources) militent pour l'interdiction d'une telle pratique, qu'elles estiment cruelle..
    • Niveau 2: documentation professionnelle: Le dégriffage s'est répandu dans les années 50 dans les milieux aisés de la côté Est américaine (source 1). La pratique du dégriffage est répandue en Amérique du Nord et au Canada, où 47% des chats sont dégriffés (source 2). En Europe, elle est interdite dans la majorité des pays, et on estime que seulement 7% des animaux ont été opérés (source 3). Les associations X et Y ont réalisé en 2004 une étude comparative sur la survie des chats griffés et dégriffés dans la province de Montréal, et ont montré que l'espérance de vie d'un chat dégriffé passe de 14.8 ans à 12.3 ans (source 4). Elles militent pour l'interdiction de cette pratique depuis 1976 (source 5), ce qui a permi le développement d'une législation contraignante en Europe à partir de 1982 (source 6).
    • Niveau 3: analyse professionnelle sociologique/recherche: Les mutilations assumées, comme le cas du dégriffage, sont à rapprocher de l'appropriation de l'animal par son propriétaire. A. Duchmol (source 1) propose d'ailleurs que le rapport homme/animal domestique s'inscrit dans une logique de complexe de domination, où la souffrance de l'animal est acceptée du fait de l'idée que l'animal retire du plaisir à s'adapter au désirs de ses maîtres. Une telle pratique n'est pas rare, et s'étend au domaine des simples objets utilitaires à affectif positif aux relations humaines et déviances sado-masochistes selon le professeur Mironton (source).
    Les exemples sont fantaisistes, bien sûr, mais je voulais juste illustrer que l'augmentation de la qualité d'un article passe systématiquement par l'augmentation de la qualité des auteurs des sources : au niveau 0, la source est l'éditeur lui-même, puis on passe aux "professionnels" du secteur (associations/vétérinaires, niveau 1), aux professionnels de la recherche sur ce secteur (niveau 2) pour finir à une méta-synthèse sociologique et scientifique (niveau 3). Personnellement, ce que je peux faire, c'est essayer de faire passer l'article du niveau 0 au niveau 1, mais le chemin est encore long vers quelque chose qui résulterait d'un mélance niveau2 - niveau3... On est alors bien loin des conseils sur la fréquence des douches ou la marque des croquettes, et on a un vrai article encyclopédique, qui propose une synthèse professionnelle. Arnaudus 31 octobre 2007 à 19:39 (CET)
    • Ce niveau 3 me fait un peu peur  . Par ailleurs, je viens de lire les articles "chien" et "rat domestique" pour comparer ce qui est comparable : ils sont beaucoup plus vétérino-centrés que "chat", beaucoup plus "conseils pratiques", etc. Mais il est vrai que ce n'est pas un argument. Le niveau 3, s'il est sociologique, me paraîtrait quand même un peu curieux dans le portail "zoologie". Un "mix" des niveaux 1 et 2 me semblerait intéressant, mais ce n'est que mon avis. Addacat 31 octobre 2007 à 22:12 (CET)

J'aime bien les chats mais est-ce pertinent ? modifier

« À l’approche de la mise-bas (entre 61 et 70 jours après la conception), la chatte s’agite, et il est important que son maître soit près d’elle pour la soutenir. »

Alors quoi ? ... si le maître ne s'en occupe pas pendant cette période, qu'arrive-t-il ? Réclamera-t-elle trois ans de physchotérapie et/ou le divorce car se serait sentie délaissée durant cette période si critique pour la femme euh la chatte ?  

Bon blague à part, cette phrase me semble à remanier voire à supprimer tout simplement (du moins la seconde partie que j'ai mis ici en italique) !

MetalGearLiquid [m'écrire] 1 février 2008 à 00:21 (CET)

Anatomie modifier

Tout ce qui est dit dans anatomie devrait être rapatrier vers felix silvestris ou dans un article à part, car non spécifique au chat domestique. Un court chapitre devrait l'expliquer et inviter le lecteur cliquer sur le bon article. Vincnet G discuss 26 mars 2008 à 22:53 (CET)

Parasites, illustrations, etc. modifier

PARASITES DU CHAT

dans la section Parasites du chat il conviendrait d'ajouter les parasites internes qui sont trés courants.

Les deux principaux parasites du chat sont, par ordre de "fréquentation" :

- le dipylidium (taenia canimum)(vers plat ou cestode).

- les ascaris (vers rond ou nématode).

Le dipylidium a un cycle qui passe par la puce (la larve de la puce mange les oeufs (larves?) du vers).

Le chat ingère des puces infestées lors de lèchages. Les larves du dipylidium deviennent matures au bout de 3 semaines environ.

Le dipylidium, comme tous les taenias dispose d'une tête appelée scolex à la périphérie de laquelle se trouve 4 ventouses. A l'extrémité de la tête, le rostre comporte une double rangée de crochets.

Le corps du taenia est également constitué d'une série d'anneaux. Les anneaux terminaux sont les plus matures et contiennent les oeufs (larves? a vérifier). Ces anneaux blancs se détachent et sont éliminés dans les selles du chat.

On les voit apparaitre sur l'anus du chat ou dans les selles.

Cet anneau mobile, s'applati, se gonfle, se rétracte et s'allonge. Il mesure environ 5 à 8 mm. Rapidement l'anneau se désèche pour devenir un fin comme un tout petit fil de tissu (à mon avis on parle à tord de forme en grain de riz car la taille et surtout l'épaisseur est beaucoup plus fine). Il est présent sous cette forme autour de l'anus ou dans les poils de la queue du chat. C'est l'apparition de ces anneaux qui montre l'infestation du chat par le dipylidium. La dissication n'est pas un obstacle à la survie des oeufs (larves?) qui ont trés grande résistance, y compris au froid et aux insecticides.

Des vermifuges spécifiques aux cestodes peuvent être administrés au chat.

Prochaines mise à jour de mes informations :

- les molécules actives sur les cestodes et nématodes du chat (idem pour le cheval).

IMAGES

Etant moi-même photographe professionnel (dans un organisme de recherche) je suis amené a effectuer 15 à 20 000 photographies chaque année. Personnellement j'en produis 2 à 3 000 par an. Bien évidemment je réalise des photographies de mes animaux (chats, chevaux) mais ausi des animaux sauvages (oiseaux principalement, fleurs, insectes) ou encore des animaux de mes amis. Je ne vois pas pourquoi la fourniture gratuite de photographies personnelles seraient à banir de ce site encyclopédique. A mon avis seuls les éléments de pertinence et de qualité sont intéressants à retenir.

La photographie d'animaux personnels permet variété, multitude et qualité (tri des plus belles). Je n'en ai pas encore proposé alors que je possède une bibliothèque de qualité avec une variabilité sur les attitudes, robes, lieux, animaux, ...

CHATS CELEBRES

Colette est connue pour ses chats Chartreux bien qu'elle ait eu des chat d'autres races ou Européens.

Ronsard lui aussi avait un chartreux "BELOT" (de mémoire, orthographe à vérifier) dont il parle dans un poème.

A mon avis le chat de Ronsard n'était pas un chartreux pur race car Ronsard parle de son pelage en parti blanc.

J'ai moi-même des chats Européens dont trois bleus qui ne sont pas au standard du Chartreux (couleur des yeux, nature du pelage, parents Européens sauf un dont la mère est Ragdoll).

A SUIVRE pour la partie PARASITES INTERNES

Timmygris 29 avril 2008

Réponse (partielle) à Timmygris

Pour les chats d'écrivains : ils figurent dans la section "les écrivains et les chats". Chaque écrivain concerné est cité avec si possible le nom d'un ou de ses chats (3 maximum pour ne pas allonger la liste !). Colette y était déjà, mais non pas Ronsard. En effet. Et je crois bien moi aussi que c'est "Belot". J'ai donc ajouté Ronsard-Belot, en espérant que quelqu'un pourra vérifier. Merci très cordialement. Addacat (d) 29 avril 2008 à 13:14 (CEST)


Les origines du chat siamois modifier

les chats siamois ont des caractéristiques trés marqués: il ont les yeux qui louchent car quand les égiptiennes prennaient leur bain elles mettaient leurs bagues autour de la queue du chat (ils survaillaient la bague) et pour ne pas que la bague tombe il mettait leur queue en forme de point d'interrogation. j'ai moi même un chat siamois et j'ai pus constatée que les caractéristiques son vrai.(sourse: le livre du chat) 26 juillet 2008 à 12:43 (CEST)

Pillule contraceptive pour chattes modifier

"Ces méthodes de stérilisation sont soupçonnées d’avoir des effets secondaires comportementaux et cancérigènes[réf. nécessaire]"

Ce n'est pas un soupçon (concernant les effets secondaires cancérigènes) mais ça a été prouvé par la Commission Nationale de Pharmacovigilence Vétérinaire. Je pense donc que la phrase est a corriger, mais il semblerait que le sujet est sensible. Je viens donc en parler ici avant. Calista (d) 8 août 2008 à 10:54 (CEST)

Deux choses: (i) il faudrait des références exactes vers les publications scientifiques correspondantes, et (ii) il ne faut pas faire de faux sens sur "prouver". Une étude scientifique seule ne peut pas "prouver" quelque chose, elle peut soutenir ou connfirmer une hypothèse, estimer un risque, etc. Mais pour "prouver" quelque chose, il faut beaucoup, beaucoup plus de données et de travaux. Je pense que la phrase serait correcte simplement en ajoutant la référence qui va bien; on peut aussi remplacer "soupçonnées" par quelque chose d'un peu plus fort (considérer?), mais ce n'est pas à nous de décider si un résultat scientfiique est suffisamment robuste pour être considéré comme "prouvé". Arnaudus (d) 8 août 2008 à 11:13 (CEST)
Oui ok, je comrends ! J'ai ici le rapport d'expertise. Je n'ai jamais rajouté de références, donc je vais voir comment faire et le rajouter simplement sans changer la phrase. Calista (d) 8 août 2008 à 11:20 (CEST)

Le toucher modifier

Je lis qu'il ne faut pas couper les vibrisses du chat car elles ne repoussent pas ! C'est totalement faux (qu'elles ne repoussent pas donc, pas qu'il ne faille pas les couper) puisque comme tout poils, il pousse, puis tombe et un autre repousse. Qui n'a jamais trouvé des moustaches de son chat et remarqué des différences de longueur, ce n'est jamais figé ?! C'est en plus un texte qui demande une référence... J'attends vos avis ! Calista (d) 14 août 2008 à 13:23 (CEST)

Sans source, je préfère de ne pas trop en débattre sur le sujet, mais en tant que témoin j'ai déjà retrouvé un moustache dans le panier où il a l'habitude de dormir la nuit, et vu la longueur et l'épaisseur, ça ne pouvait pas être un poil... --Nicol@Sh@g(d-dwp) 15 août 2008 à 09:28 (CEST)
Parce que le fait que ça ne repousse pas est vraiment une légende et je ne crois pas que ça ait trop sa place ici. Je suis assez étonnée d'ailleurs. Je vais chercher des sources mais ça semble tellement logique que c'est peu mentionné... Calista (d) 16 août 2008 à 16:40 (CEST)
Sans aucun doute, c'est une légende (qu'elles ne repousseraient pas), néanmoins on peut laisser l'information comme quoi elles sont très probablement utiles au chat pour s'orienter dans un environnement obscur (avez-vous constaté qu'un chat à poil très long a généralement des vibrisses encore beaucoup plus longues que le reste de son pelage), en l'informant lors du contact entre celles-ci et un obstacle. Donc il ne faut pas les couper pour ne pas le priver de ce sens, quand bien même cela ne serait pas irréversible.MetalGearLiquid [m’écrire] 17 août 2008 à 00:06 (CEST)
Oui c'est dans ce sens là que la phrase devrait être tournée. Ca me semble plus correcte ! Elles sont utiles autant pour s'orienter dans le noir que de plein jour afin d'évaluer les distances des passages étroits, etc, .... Calista (d) 17 août 2008 à 12:39 (CEST)
En effet, dans ce cas, il serait mieux de reformuler la phrase, mais d'également trouver une source à ce que tu avances --Nicol@Sh@g(d-dwp) 20 août 2008 à 11:47 (CEST)
Oui, dès que je serais chez moi, je vais parcourir les livres que j'ai car il y avait un chapitre très complet et intéressant à ce sujet ! Je fais au plus vite mais je suis en vacances et donc pas d'internet en permanence Calista (d) 20 août 2008 à 11:55 (CEST)

Le chat et l'homme modifier

Dans le chapitre sur le chat et l'homme, ne devrions-nous pas également y faire une sous-partie portant un titre du genre "Le chat en Chine" et y expliquer les traditions chinoises càd: fourrure enlevé au chat encore conscient et vivant, utilisation de chalumeau sur un chat encore vivant et suspendu dans les airs à l'aide d'une sorte de pique (technique utilisée pour rendre le "chat plus croustillant"? --Nicol@Sh@g(d-dwp) 15 août 2008 à 09:23 (CEST)

Modification apportée par moi-même suite aux sources que j'ai trouvé venant d'un site sérieux, qui est, celui de la PETA --Nicol@Sh@g(d-dwp) 15 août 2008 à 10:49 (CEST)


Section "Obligations légales en Europe" modifier

"En Suisse, le propriétaire d'un chat domestique doit faire en sorte que son animal aient des contacts quotidien avec des êtres humains" --> que son animal ait des contacts quotidiens

Bonjour, merci de votre aide. La correction a été effectuée. Cordialement, --Abujoy (d) 27 janvier 2009 à 20:37 (CET)

Transfert vers Wikibooks modifier

Cette section contient des éléments déplacés de la page principale en vue d'un transfert futur vers Wikibooks.

Comportements modifier

La socialisation du chaton s’établit durant les premières semaines de sa vie. Pendant cette période, c’est le nombre d’humains avec lesquels il est en contact et l’attitude de sa mère avec ceux-ci qui déterminera son caractère affectueux ou distant.

Les phases de sommeil paradoxal permette au chat de garder un équilibre au niveau mental (puisqu'il rêve de chasse, de ce qu'il fait durant le temps ou il est éveillé). Il est donc très important pour le chat d'avoir des temps ou il peut dormir tranquillement, sans être dérangé et ce afin de bénéficier de son sommeil paradoxal.

Griffades modifier

Les griffades sont des marquages visuels et olfactifs. Ce comportement est un outil de communication. Le lieu du marquage est important pour l’animal. Les griffades ont pour objectif d’être le plus visible possible, même s’il n’y a pas d’autre chat. On les retrouvera le plus souvent dans les passages très fréquentés comme l’entrée, ou sur le canapé et les meubles des pièces à vivre.

Dans un appartement, il sera donc conseillé de placer des griffoirs, des buches de bois ou des paillassons à cordes, aux endroits choisis par votre chat, (sur le sol et fixés à la verticale).

Lorsque le chat veut attirer notre attention : il choisira un support bruyant pour se faire entendre afin de provoquer notre réaction. Ceci, à un but précis : soit pour obtenir de la nourriture, de l’attention, des caresses, du jeu, de l’activité… Les nuits et les journées en appartement sont bien longues pour le chat qui a un rythme de sommeil différent du nôtre, et un comportement de chasse qu’il ne peut plus pratiquer.

Reproduction, gestation, mise bas modifier

La femelle connaît de nombreuses périodes de chaleur, généralement situées du printemps à l’automne. Durant celles-ci, les chattes adoptent un comportement hyperactif et passablement désagréable pour leurs propriétaires : recherche de caresses, frottements, roulades sur le sol et miaulements stridents pour signaler leur état aux mâles alentours.

Les mâles, quant à eux, marquent leur territoire en émettant des jets d’urine très odorants. S’ils ont la possibilité de sortir, ils se battent souvent avec d’autres mâles, s’amaigrissent et se négligent, ce qui multiplie les risques de maladies et de contaminations en tout genre (coryza, leucose, FIV…). En considération de tous ces éléments, la stérilisation précoce est conseillée, dès lors que le maître n’envisage pas la venue d’une portée.

La gestation dure 63 à 65 jours et une portée compte en moyenne quatre chatons. À trois semaines, les mamelles de la femelle grossissent et rosissent. Puis son ventre commence à gonfler et son appétit ira en grandissant jusqu’à la mise bas. Durant la gestation, la chatte a tendance à rechercher de l’affection. Il est conseillé de caresser délicatement et fréquemment le ventre de la femelle pour habituer les petits au toucher humain. À sept semaines, elle commencera à chercher un endroit calme et convenable pour accoucher (placard, carton, …). À l’approche de la mise-bas (entre 61 et 70 jours après la conception), la chatte s’agite, etil est important que son maître soit près d’elle pour la soutenir.

Environ vingt minutes après ses contractions, la chatte met bas son premier chaton, puis selon le cas, soit les autres suivront rapidement, soit ils mettront plusieurs heures pour sortir. Les chatons arrivent dans une poche, la chatte lave immédiatement ses petits à coups de langue pour stimuler leur première inspiration. Ensuite, elle mange le placenta, qui est très nutritif, et coupe le cordon ombilical.

Le chaton cherche tout de suite à téter, et ce, toutes les 20 minutes environ. Il est nécessaire de manipuler les petits tous les jours (mais pas plus de cinq minutes) dès la naissance, afin que ceux-ci soient habitués à l’homme.

Les chats adultes ont, par instinct, le sens de l’éducation ; ils s’occupent très bien des chatons, les surveillent, passent du temps avec eux et les disciplinent au besoin. En général, ils s’arrangent pour qu’un adulte soit présent pour les surveiller lors des sorties découvertes des chatons. Chez certaines races, le mâle participe activement à l’éducation des petits.

Soins et santé modifier

Le comportement des chats domestiques peut apparaître comme capricieux, et comme chez tous les animaux, chaque individu a un comportement et un caractère qui lui est propre. C’est un animal rituel qui apprécie bien les situations récurrentes (heures fixes pour les repas par exemple). Le chat a en général tendance à affirmer son indépendance vis-à-vis des autres occupants d’un lieu, car c’est un animal avant tout territorial. Un chat n’aime pas changer d’environnement, un déménagement est donc souvent une expérience traumatisante.

Entretien modifier

 
Chatte après une séance de brossage

En fonction de leurs pelages respectifs, tous les chats ne nécessitent pas le même type d’entretien.

Les chats à poils longs sont ceux qui demandent le plus de soins. Lors de leur toilette, ils avalent de nombreux poils morts qui s’accumulent dans l’estomac, formant des boules de poils, appelées trichobézoards. Cela perturbe leur transit intestinal et ils sont obligés de les régurgiter afin d’éviter une occlusion intestinale. Pour éviter cela, il est nécessaire de procéder à un démêlage quotidien de leur fourrure à l’aide de brosses ou de peignes, ce qui permettra également d’éviter la formation de nœuds dans le pelage. À l’occasion, il faut également éclaircir le poil en les coupant à certains endroits (comme derrière les pattes et autour de la zone anale) pour éviter qu’ils n’accrochent la saleté. Parmi les nombreuses races de chats à poils longs, certaines comme les persans sont encore plus demandeuses en termes d’entretien. En effet, à cause de leur museau aplati, ils sont souvent l’objet d’écoulements nasaux ou oculaires qui salissent leurs poils. On leur nettoie donc le museau et les yeux de manière quotidienne avec une solution spéciale.

Les chats à poils courts n’ont besoin que d’un brossage hebdomadaire pour éliminer les poils morts. Certains éleveurs utilisent également en massage un gant de soie ou une peau de chamois pour lustrer le pelage de leurs animaux et leur donner ainsi plus de brillant.

Les chats sans poils, comme les sphynx, ont besoin d’une attention toute particulière. En effet, leur peau produit comme tous les autres chats un liquide gras : le sébum. Or, contrairement aux autres, ce sébum n’est arrêté par aucun poil. C’est pourquoi les sphynx se salissent très vite, car la poussière se colle littéralement à leur peau. Ce sont donc les seuls chats à devoir prendre des bains, en général deux ou trois fois par mois.

Les autres chats n’ont pas besoin de bains. Ils consacrent une grande partie de leur temps à se toiletter en se léchant sur l’ensemble du corps. Leur langue râpeuse leur permet d’enlever la plupart de leurs poils morts et de lisser leurs fourrures. La salive qu’ils produisent est quant à elle un puissant agent anti-bactérien. De plus, ils redoutent souvent l’eau.

Cependant, si un bain se révélait nécessaire, il conviendrait d’utiliser un shampooing adapté aux animaux, en évitant soigneusement les yeux, le nez et les oreilles, tout en veillant à bien rincer l’animal afin qu’il n’avale pas un reste de produit en faisant sa toilette par la suite. Pour le séchage, on l’enveloppe dans une grande serviette-éponge et on le sort de la salle de bains pour qu’il ne se sente plus en danger. Une fois qu’il est rassuré, on le frotte doucement en tâchant de n’oublier aucun endroit (entre les coussinets des pattes, par exemple).

Alimentation et boisson modifier

Le chat est essentiellement carnivore et ne reniera jamais sa prédation naturelle. En effet, il a besoin de taurine, un acide aminé qu’il synthétise en quantité insuffisante et qu’il peut trouver dans la viande. La carence en taurine entraîne chez lui des troubles oculaires, cardiaques, des déficits immunitaires et des problèmes de reproduction chez les femelles.

À cause de cette particularité, son régime alimentaire reste difficile à reconstituer parfaitement à l’aide d’une alimentation ménagère. L’alimentation vendue dans le commerce est donc la meilleure façon d’assurer un apport optimal en taurine, vitamines et oligo-éléments.

Une alimentation basée à 100 % sur les croquettes est possible. Elles ont en outre une action détartrante qui contribue à préserver la santé bucco-dentaire de l’animal. Les aliments pour animaux vendus dans le commerce font l’objet de contrôle de qualité, toutefois certains préfèrent opter pour des aliments recommandés et vendus chez les vétérinaires ou dans les animaleries, réputées de qualité supérieure. On trouve désormais des aliments adaptés à l’âge (chaton, chat adulte, chat âgé), la condition physique (chat d’intérieur ou d’extérieur, castré ou non), et la race du chat.

 
Un chat mangeant une souris
 
Affiche de Steinlen. Les chats réclament… mais le lait est déconseillé.

Une alimentation entièrement végétarienne est aussi possible, dans la mesure où la nourriture a été formulée spécialement pour les chats (incluant taurine, acide linoléique, acide arachidonique, vitamine A). De telles croquettes sont facilement disponibles par correspondance.

Il est possible d’offrir occasionnellement aux chats d’autres types d’aliments, au maximum deux à trois fois par semaine, au risque de les voir se désintéresser de leur nourriture, préférant quémander auprès du maître.

  • De manière générale, il convient de ne pas leur donner de viande crue, car la cuisson permet de neutraliser l’absorption de parasites et de limiter fortement les risques de toxoplasmose.
  • Le régime boîte de thon en permanence est fortement déconseillé, car il est trop salé, même si les chats en raffolent.
  • Les os sont eux aussi à éviter : en les croquant, les chats peuvent se transpercer le palais avec des morceaux saillants.
  • Enfin, les chats apprécient souvent les aliments à base de lait, tels que les yaourts, les fromages, les biscuits, les madeleines… ; à donner avec précaution et parcimonie, puisque le chat ne se brosse pas les dents.
  • Un comprimé de levure de bière en guise de friandise quotidienne apportera un supplément de vitamines et assurera au chat âgé de garder un beau poil brillant.

Pour la boisson, il convient de laisser en permanence à disposition du chat un bol d’eau fraîche et propre, surtout si son alimentation est à base d’éléments secs comme les croquettes. L’odeur du chlore de l’eau du robinet peut toutefois rebuter l’animal : il faudra donc la laisser décanter. Les chats préfèrent lorsque leur bol d’eau se trouve éloigné de leur nourriture. Les chats apprécient généralement le lait, mais la plupart des vétérinaires le déconseillent car beaucoup d’individus présentent une intolérance au lactose, surtout les chatons. À noter qu’il existe du lait spécifique pour chat sous forme lyophilisée.

Les boissons sucrées ou alcoolisées sont potentiellement très dangereuses, et donc à exclure absolument.

Rejets modifier

Les chats, dans la nature, choisissent un coin de terre meuble pour y faire leurs besoins naturels. Ils les recouvrent ensuite de terre, en grattant cette dernière avec leurs pattes avant. Cette technique leur permettait à l’état sauvage de ne pas faire repérer leurs odeurs par les prédateurs. Elle est donc quasiment instinctive, et est inculquée très tôt par la mère aux chatons. Si l’animal est sédentaire, il ne change que rarement d’endroit, à moins que celui-ci soit saturé.

 
Il est aussi possible d’entraîner les chats à utiliser des toilettes en quelques semaines, par étapes progressives[1].

Les chats « d’intérieur » font leurs besoins dans une litière. Un bac plastique, garni d’un fond de papier journal et d’une fine couche de litière suffira à leur bonheur. Il convient néanmoins de l’entretenir régulièrement, sous peine de voir l’animal choisir un autre endroit plus propre à ses yeux pour y déféquer. Les chatons apprennent spontanément à aller faire leur besoins dans une litière en suivant tout simplement l’exemple de leur mère, dès l’âge de 1 mois. Cependant, il est nécessaire d’attendre l’âge de trois mois pour qu’ils soient totalement éduqués à ce sujet et sociabilisés. C’est pour cela qu’il est déconseillé d’adopter un chaton avant que ce délai ne soit écoulé. Dans le cas d’un chaton qui n’aurait pas reçu cette « éducation », il est possible de la lui apprendre. En lui faisant gratter le sable de sa litière, il se rappellera qu’il doit faire ses besoins à cet endroit.

Les chats adorent l’odeur de l’eau de Javel ainsi que celle de l’huile d’olive : en mettre quelques gouttes dans le fond de la litière peut aider à les y attirer. Pour les mêmes raisons, il faut éviter de nettoyer les bêtises du chat avec de l’eau de javel, car il risque de recommencer au même endroit. Le vinaigre, ou un produit désinfectant à base d’agrumes, ou encore des tranches de boule à mites, (odeurs répulsives) sera donc plus adapté[2].

Avec le vieillissement de l’animal, le volume d’urine peut croître à cause de fréquents problèmes bénins d’hyperthyroïdie[3], il est donc important d’en tenir compte dans la composition et le renouvellement de ladite litière.

  1. (en) How to Toilet-Train Your Cat, consulté le 15 février 2008.
  2. Laurie Richard, Un animal dans le décor, Cyberpresse, mercredi 7 mars 2007. Consulté le 7 septembre 2008.
  3. Site du Docteur vétérinaire Henin ou "Quand votre chat prend de l’âge" sur E-Santé. Consultés le 26 septembre 2008.

Stérilisation modifier

La stérilisation est une opération chirurgicale destinée à empêcher la reproduction de l’animal. Chez le mâle, elle est appelée castration et consiste en l’ablation des testicules. Chez la femelle, la stérilisation est effectuée par l’ablation des ovaires (ovariectomie). C’est une intervention bénigne, dont l’animal se remet rapidement (quelques heures à quelques jours).

Outre l’arrêt de la reproduction (limitation de la taille de population), la stérilisation modifie le comportement et la physiologie de l’animal. Chez le mâle, une stérilisation précoce (avant la puberté) limite le comportement territorial et diminue la tendance au marquage (urine, griffades). Il est moins indépendant et devient plus affectueux. Les chaleurs des femelles s’arrêtent. Les changements hormonaux accompagnant la stérilisation peuvent provoquer une prise de poids car les besoins énergétiques sont réduits et le chat ne se rationnant pas toujours de lui-même, elle augmente l’espérance de vie ; l’animal fugue moins, est moins bagarreur et réduit la taille de son territoire, ce qui diminue les blessures dues aux combats entre animaux, les risques d’accidents routiers et la contamination par des virus (PIF, FIV, leucose, typhus, etc.) qui peuvent également être transmis lors de l’accouplement, réflexe qu’un chat neutré n’a plus[1].

Pour les femelles, la prise de pilules ou de piqûres contraceptives, qui bloquent le cycle de reproduction et fait disparaître les chaleurs, sont parfois utilisées comme une alternative à la stérilisation chirurgicale. La pilule, qui se présente sous la forme d’un comprimé (voie orale) une fois tous les 15 jours. Les injections, quant à elles, permettent de stériliser provisoirement une femelle sur de plus longues périodes. En général, leurs effets s’étalent sur 3 mois lors de la première injection, puis sur 5 mois si l’on poursuit régulièrement le même traitement. Étant incompatibles avec un état de gestation, elles doivent être administrées de préférence en dehors des périodes de chaleurs, sous peine de risques d’infections. Ces méthodes de stérilisation sont soupçonnées d’avoir des effets secondaires comportementaux et cancérigènes[2].

  1. Cf. Le traité rustica du chat, Chapitre 13 : la reproduction, éditions Rustica
  2. Voir le rapport d’expertise de la Commission Nationale de Pharmacovigilence Vétérinaire[PDF]

Dégriffage modifier

 
Les griffes permettent l’escalade
 
Les griffes sont bien pratiques pour maintenir le chat dans une situation périlleuse.

La pousse des griffes du chat est continue, et compense leur usure naturelle. Le chat peut ajuster la longueur et aiguiser ses griffes en les frottant contre une surface rugueuse : il « fait ses griffes ». Ce comportement est susceptible de dégrader l’intérieur des habitations, et peut être réduit par le dégriffage de l’animal.

Cette opération chirurgicale, l’onyxectomie, se fait sous anesthésie générale et consiste en l’ablation totale de la griffe et l’amputation de la troisième phalange sur laquelle celle-ci est insérée. Le plus souvent, elle n’est réalisée que sur les pattes antérieures. Le temps de convalescence est long (plus de 10 jours) et on recommande 2 jours de bandage au minimum. Certains chats changent de caractères. C’est un processus douloureux pour le chat qui peut en ressortir changé… et certains chats ne regagneront jamais leurs complètes capacités après l’onyxectomie, tous deviennent « amputés ».

La plupart des associations de défense des animaux condamnent cette opération, considérée comme cruelle[1]. L’animal privé de ses griffes, incapable de se défendre ou de grimper aux arbres, devient également plus vulnérable puisqu’il ne peut échapper à ses prédateurs. L’ablation des griffes est couramment pratiquée aux États-Unis et au Canada. Cette opération est en revanche interdite dans 29 pays, principalement européens[2].

À part l’onyxectomie, d’autres types d’opérations existent. Par exemple, la brûlure des nerfs des griffes par un laser ; empèchant ainsi la repousse. Par ailleurs, les vétérinaires du Québec ont aussi commencés à recommander un autre type d’opération : la tendinectomie. Elle consiste à couper le tendon de la griffe. Le chat n’est donc plus capable de sortir la griffe. À la différence des interventions précédentes, les bandages ne sont pas essentiels. De plus, le chat pourra marcher sans aucune douleur, 24 heures après l’intervention.

Par contre, vu que l’usure des griffes n’est plus possible, celles-ci devront être taillées régulièrement. Cette opération requiert donc du propriétaire qu’il taille les griffes du chats, de la même manière que le propriétaire coupe ses propres ongles. Le temps de convalescence requis de cette opération, plus court, est de 24h. C’est une opération moins invasive et moins invalidante pour le chat.

Parasites modifier

Les puces sont des parasites universels et tous les chats en attrapent un jour. Elles sont fréquentes au printemps et en été. Les puces boivent le sang de leur hôte en les piquant et provoquent ainsi des démangeaisons. Un chat infesté se gratte souvent. Cela se soigne à l’aide d’insecticides en mousse, en poudre ou en vaporisateur. Il existe aussi des collier anti-puces.

Paragraphes non sourcés modifier

Paragraphes de l'article principal dont la source n'a pu être trouvée ; à replacer dans l'article avec une référence <ref>Site ou livre sérieux expliquant/parlant du paragraphe.</ref>.

Partie Griffades modifier

Si plusieurs chats cohabitent plus ou moins bien sur le même lieu, les griffades seront beaucoup plus fréquentes, pour affirmer leur statut et leur territoire.

Les griffades permettent au chat d’impressionner ses congénères qui l’observent. En effet, le chat s’étire de tout son long, se grandit dans l’espace afin de paraître plus intimidant et donc plus fort que les autres. Les marques laissées par ces griffades vigoureuses seront très visibles, puisqu’il souhaite montrer sa puissance.

Partie Odorat modifier

Les chats adorent l’odeur de l’eau de Javel ainsi que celle de l’huile d’olive.[réf. nécessaire]

Partie Chasse modifier

Même s’ils sont friands de poissons, il est rare de voir un chat pêcheur, puisque généralement ceux-ci n’aiment guère l’eau (exception : le chat turc). Ce genre de proie étant rare et difficile d’accès, les chats profitent surtout des restes de cadavres de poisson laissé par les ours ou les loutres pour en consommer[réf. nécessaire].

Partie superstitions modifier

L’idée que le chat noir porte bonheur a longtemps incité les Britanniques à littéralement « enrôler » des chats de cette couleur à bord de leurs navires de guerre ou de commerce, surtout du XVIIIe au XXe siècle : au minimum, un chat noir par bateau.[réf. nécessaire] On en trouve la trace dans les registres de bord datant de cette époque, avec des mentions telles que « Tomcat, marin », par exemple, parmi la liste des membres de l’équipage.[réf. nécessaire] Toutefois, ce rôle de mascotte restait indissociable de l’activité propre au chat, c’est-à-dire la destruction des rats et des souris qui menaçaient de dévorer les provisions. C’est pourquoi la célèbre compagnie Lloyds de Londres n’acceptait d’assurer les navires qu’à condition que ceux-ci aient à leur bord un nombre précis de chats, dont au moins un noir ; ce nombre était calculé d’une façon minutieuse, en fonction du tonnage du bateau et du volume de ses provisions, et la présence de ces chats devait être stipulée en toutes lettres dans le contrat d’assurance.[réf. nécessaire] Selon une légende, le chat noir qui portait bonheur à Charles Ier d’Angleterre aurait mystérieusement disparu la veille de l’arrestation de ce roi. Selon une légende inverse, Napoléon aurait croisé un chat noir au matin de la bataille de Waterloo, ce qui expliquerait tout : le félin aurait porté chance aux Anglais.[réf. nécessaire]


Systématique et phylogénie modifier

Je pinaille un peu, mais dans l'origine du chat il y a 3 bricoles qui me gènent :

  • il est dit qu'il est une sous-espèce du chat sauvage. Je rappel que beaucoup (pas tous) les biologistes refusent non seulement de reconnaitre un statut d'espèces aux races domestiques, mais même un statut de sous-espèces. Pour eux, il ne s'agit que d'une variété. Dès lors, on écrit le nom d'espèce suivit du nom de variété. Par exemple Felis sylvestris var. catus. Voir même Felis sylvestris lybica var. catus (si on est sur que la race domestique est issue de cette sous-espèce). Les 2 raisons de cette option sont que que les espèces et sous-espèces sont des notions évolutives (sélection naturelle) et relativement stables, quand les races domestiques sont des créations artificielles et très instables (des races de Guppys d'ornements apparaissent en permanence par exemple). Bref un petit rappel de ce débat (sous-espèce ou variété) ne me semble pas inutile, dès lors qu'on décrit les chats dans leur entierté.
  • il est dit qu'il est une sous-espèce cousine de Felis sylvestris lybica (dérivée il y a 130 000 ans), puis à un autre endroit qu'il est issu de Felis sylvestris lybica. Ce qui n'est pas la même chose.
  • Si les plus prochent parents sauvages (Felis sylvestris lybica) ont divergés il y a 130 000 ans de l'ancètre des chats domestiques, et que ceux-ci ne sont domestiqués que depuis moins de 10 000 ans, cela signifie qu'ils sont issus d'une sous-espèce sauvage non décrite et non nommée aujourd'hui disparue. Préciser ces trois points (sous-espèce sauvage non décrite, non nommée et disparue) serait une petite précision utile.

Cordialement. Christophe Cagé - M'écrire * Mes articles 16 janvier 2009 à 13:20 (CET)

Ohlala, cette conversation est loin, très loin de ma formation initiale. Je vais essayer de répondre à chacun des points, et j'espère ne pas trop dire de bêtises.
  • Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de rappeler la variabilité, qui dans ce cas-là doit plutôt être abordée dans l'article sous-espèce. Pour le chat, en tout cas, je ne suis jamais tombée sur un quelconque problème de ce genre durant mes recherches, j'ai toujours lu soit Felis catus pour les sources les plus anciennes, soit Felis silvestris catus.
Oh, ce n'est pas un débat spécifique aux chats, mais il existe. Bon, c'est du détail. Christophe Cagé - M'écrire * Mes articles 16 janvier 2009 à 15:12 (CET)
  • Je vais corriger ça.
Heu... En fait, j'arrive pas à retrouver la notion de "cousin" dans l'article  . C'est où exactement ? --Abujoy (d) 16 janvier 2009 à 16:09 (CET)
  • J'ai lu nulle part l'histoire de sous-espèce non décrite, non nommée et disparue. Si je rajoute ça, ce sera du travail inédit. D'autant plus que ce n'est pas parce que le chat a été domestiqué il y a 10000 ans que la sous-espèce n'existait pas avant la domestication.
Oui, c'est ce que je dis : elle existait forcément. Sinon les chats sont des lybitica. C'est d'aillerus ce que dit l'étude que tu site et l'arbre phylogénétique que tu publie. mais c'est vrai, il faut une source directe.Christophe Cagé - M'écrire * Mes articles 16 janvier 2009 à 15:12 (CET)
Voilà, j'espère avoir répondu correctement et pas à côté de la plaque. Pour la phylogénie, j'essaie en général de bien coller à mes sources parce que sinon je vais faire des erreurs (comme pour le point 2 par exemple).--Abujoy (d) 16 janvier 2009 à 15:04 (CET)

Marronage modifier

Il manque une partie sur les chats ré-ensauvagés. Il existe certe un article détaillé là-dessus, mais une introduction à cette question est manifestement nécéssaire dans un tel article. Et j'inclus un point sur les îles ou ces chats deviennent un danger pour la bio-diversité en détruisant des espèces locales. Cordialement. Christophe Cagé - M'écrire * Mes articles 16 janvier 2009 à 13:29 (CET)

Ça fait partie des points à rajouter pour le passage au AdQ. Pour l'instant, je ne dispose pas des sources nécessaires pour me lancer là-dedans et faire un paragraphe satisfaisant, mais ce sera fait un jour ou l'autre.--Abujoy (d) 16 janvier 2009 à 15:08 (CET)
Je viens juste de me rendre compte que c'est ce que je viens de commencer à rédiger... Quand j'ai découvert l'article, je m'étais dit que ce serait bien d'avoir un chapitre sur l'impact des chats sur l'environnement. J'espère simplement que ça ne va pas faire doublon avec un travail déjà en cours là-dessus ?
Au fait, est-ce qu'il y a d'autres points à rajouter pour un AdQ éventuel ? (Il ne reste apparemment plus rien dans le todo, et je viens juste de finir de traiter le chapitre « Aspects économiques », avec un aperçu sur le marché des dépenses de santé).
Blufrog (d) 30 janvier 2009 à 17:26 (CET)
Non, je n'avais encore rien commencé, merci et bravo pour ce travail ! Pour le passage à l'AdQ, je pense qu'il faudrait voir à améliorer le plan, regarder dans les autres langues wiki pour voir si on a oublié des choses. Je pense notamment que la partie "chat et l'homme" peut être améliorée : chat dans les cirques (rare), chat dans les autres pays que les pays européens (arrivée en Amérique, Australie, etc.) - art japonais, dans les timbres, etc. A mon avis, de nombreux articles détaillés sont à créér (Reproduction du chat par exemple, Santé du chat, etc.)--Abujoy (d) 30 janvier 2009 à 18:10 (CET)
J'ai jeté un oeil aux autres langues, si possible avec des AdQ (bon, j'ai laissé l'indonésien et le russe de côté, entre autres...). J'ai noté :
* les allergies aux chats (rhume des foins, etc.) (en espagnol) ;
* le rôle du chat comme porteur de la toxoplasmose (en esp.) ;
* les préoccupations éthiques et « humanitaires » dans les campagnes d'éradication des chats harets (en anglais) ;
* beaucoup plus de détails sur les maladies et affections (mais en français, on l'a déporté dans un article détaillé, donc RAS) ;
* les associations de protection de chats harets (en espagnol), également signalé en notes dans l'article anglais sur les chats harets ;
* la mythologie autour du chat : au Vietnam (signe du zodiac), au Tibet (gardiens de temple), les saints patrons des chats dans l'Eglise catholique (St François d'Assise,St Martin de Porres, etc.) (en espagnol).
Et c'est à peu près tout. Blufrog (d) 30 janvier 2009 à 21:50 (CET)
Merci, ça donne quand même de jolies pistes de recherches. Un autre point serait aussi de faire plus d'articles détaillés, car la page est de plus en plus longue à charger (mon ordinateur est assez âgé, et c'est le combat pour l'affichage). Je pense aussi aux remarques de Vincnet lors du passage au label BA : déplacer les infos morpho-anatomique communes aux félins vers Felinae ou Felidae, ce qui permettrait d'aérer l'article (mais j'ai aussi peur que les lecteurs se sentent perdus). Reste le problème du plan, ont peu essayer de l'améliorer en s'appuyant sur l'article type du projet zoologie.--Abujoy (d) 31 janvier 2009 à 12:26 (CET)

Bravo modifier

Félicitations pour l'obtention du label !

En route vers l'AdQ maintenant ! Tibo217 salon litteraire 30 janvier 2009 à 00:04 (CET)

Voir aussi : Discussion Wikipédia:Wikiconcours/mars 2009/Équipes/Équipe 4# Travail sur "Nourriture pour chat"

Revenir à la page « Chat/Archive 2 ».