Crion

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Crion
Crion
Mairie et salle communale.
Blason de Crion
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Sânon
Maire
Mandat
Marc Gérardin
2020-2026
Code postal 54300
Code commune 54147
Démographie
Gentilé Crèonais et Crèonaises[1]
Population
municipale
109 hab. (2021 en augmentation de 17,2 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 27″ nord, 6° 31′ 41″ est
Altitude Min. 227 m
Max. 292 m
Superficie 8,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Crion
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Crion

Crion est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie modifier

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 23 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Crion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), forêts (40,3 %), zones urbanisées (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Formes anciennes du toponyme :

Crion en 1249 ; la ville de Crion en 1499[15] ; Cryon en 1550[16] ; Créon en lorrain-roman[17] (patois).

Histoire modifier

Le journal de la société d'archéologie lorraine de 1863 fait état d'un lieu proche du village, en direction de Raville, contenant de nombreux débris d'os humains, de vases, de fragments de verre, de fibules en bronze et de morceaux de fer oxydés. Les pièces de monnaie trouvées sur place laissent penser que le site était occupé pendant la période gallo-romaine[18].

En 1588, Barbe Marchal veuve de Jean Jacquemin est brûlée pour sorcellerie[19].

Justices, seigneuries, dîmes et privilèges modifier

En 1249, le duc Mathieu donne à la maison du temple de Saint-Georges de Lunéville la dîme de Crion ainsi que celles d'autres communautés voisines. Il les avait achetées à Renaut, seigneur de Romont[19].

En 1251, c'est Verion de Neuviller qui donne à la même maison ce qu'il possède sur les dîmes des mêmes communautés et le trait sur leurs églises[19].

Au mois de janvier 1503, Antoine de Chastel seigneur de Ruz reconnaît, entre autres possessions et privilèges, que 7 hommes de Crion lui doivent la taille deux fois l'an[20].

Le 17 août 1588 Catherine d'Haraucourt vend au nom de Théodore de Saulx seigneur d'Arc-sur-Thil les droits et actions ès terres et seigneuries à Crion, au profit d'Antoine de Lorraine comte de Vaudémont[20].

En 1562, Rose du Hautoy veuve de Jean Guillaume de Saintignon donne son dénombrement pour la seigneurie de Crion[19].

Le 5 septembre 1614, les habitants de Crion donnent leurs reversales au duc de Lorraine[19].

Le 29 septembre 1614, Nicolas Pierron mayeur de Sionviller et sa femme Jeanne vendent au duc de Lorraine le pressoir de Crion et la place de la grange où il est construit[19].

Il existe les actes de foi et hommage de portion de la seigneurie de Crion appartenant à Joseph Duhalt datés de 1708[20].

En 1712, les haute, moyenne et basse justice de la seigneurie de Crion appartiennent au comte D'Arnolet et aux minimes de Nancy[19].

Le 22 mars 1715 Charles Henri comte de Ficquelmont fait ses foi et hommage pour la seigneurie de Crion[20].

En 1771 Hubert-Dieudonné de Ravinel, baron du Saint empire est seigneur de Crion[21].

Jusqu'à la Révolution française, Crion fut un fief qui relevait de la châtellenie d'Einville[16]. Sous l'ancien régime, la forêt de Crion dépendait de deux seigneuries distinctes : Crion-les-bourguignons et Crion-les-lorrains[16]. Selon les archives du domaine d'Einville, le duc de Lorraine était seul haut justicier de Crion. Le prévôt d'Einville avait le pouvoir de créer un maire à Crion et de cette mairie, le prévôt recevait les profits de son office de prévôt. Les grosses rentes de Crion se partageaient par moitié entre le duc de Lorraine et les seigneurs De La Roche. Le maire de Crion devait 20 sols pour une « droiture » appelée port d'office[19].

Guerre de Trente Ans modifier

Le village subit un énorme préjudice pendant la guerre de Trente Ans. En 1637, on ne compte plus que dix conduits (foyers) pauvres sur les quarante recensés avant la guerre. Cette année, aucune vendange n'est faite car les habitants survivants sont réfugiés dans les bois. Le greffe de Bonviller et de Crion fut confié à Jean Camesat mais il ne put en faire fonction à cause des troubles de la guerre.

En 1642, il n'y a plus de laboureur et il ne reste que deux paysans pauvres.

En 1643, il n'y a que quatre paysans manouvriers.

En 1644, il est constaté que les greffes de Bonviller et de Crion n'ont plus de fonction depuis 1634. Cette année 1644, il n'y a plus ni maire, ni habitant, ni bétail.

En 1647, il n'y a qu'un ménage.

De 1654 à 1658, le village est désert.

En 1660, il n'y a qu'un ménage et demi[19].

Ancien Régime modifier

En 1712, la communauté est composée de 19 habitants et 3 veuves[19].

L'église Saint-Jean-Baptiste de Crion a été reconstruite en 1760[19].

Période Moderne modifier

Le 6 mars 1826, la construction du presbytère est mise en adjudication[22]. Le 31 juillet de la même année; ce sont des travaux à l'église et au cimetière qui sont mis en adjudication[23].

En 1872, Henri Lepage publie un supplément au « Tableau d'honneur de la Meurthe » qui donne la liste complémentaire des personnalités émérites de la guerre de 1870. Un habitant de Crion, Monsieur Charles-François Thinselin y est mentionné[24].

Le bureau de bienfaisance a été créé en 1912. Sa dotation financière avait pour origine la saisie des biens de l'église locale[25]. Cela sous-entend que la commune ne s'était pas conformée aux lois de séparation de l'église et de l'État qui prévoyaient la création d'une association cultuelle pour gérer les biens de l'église. Le bureau de bienfaisance fut supprimé par un décret daté du 14 novembre 1933[26].

Le musée lorrain possède une statue en pierre de saint Urbain trouvée dans la tour du clocher de Crion[27].

Première Guerre Mondiale modifier

Pendant l'occupation de Lunéville par les troupes allemandes, un acte de barbarie eut lieu à Crion le 26 août 1914. Les Allemands avaient arrêté le maire et le curé de Deuville au motif que ce dernier, l'abbé Joseph Thiriet, «avait fait des signes ». Il n'était rien reproché au maire, Jules Bajolet. Arrivé dans le village de Crion, ils furent fusillés sans aucune forme de procès, dans la plus grande indifférence des officiers supérieurs allemands présents[28],[29],[30],[31].

La coopérative de reconstruction des communes de Bonviller, Sionviller et Crion a été dissoute le 8 septembre 1932[32]. Le dernier président était monsieur Eugène Houillon[33].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1825   Rayel[34]    
1852   François Vuillemin[35]    
avant 1863   Malgras[36]   nommé par le préfet
1888   Malgras[37]   élu
avant 1923   Masson[38]    
         
mars 2001 mars 2008 Fabrice Romac    
mars 2008 octobre 2008 Norbert Bertrand    
octobre 2008 2020 Jean-Marie Humbert    
octobre 2020 En cours
(au 04/08/2023)
Marc Gerardin   Ancien agriculteur exploitant

Population et société modifier

Démographie modifier

Comptait 1000 habitants au XVIe siècle.[réf. souhaitée]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 109 habitants[Note 4], en augmentation de 17,2 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
195208204214242316309314296
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
260246216240223247226219205
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
182178152133121118114105105
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
938710311210196938493
2020 2021 - - - - - - -
108109-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Découverte au XIXe siècle de sépultures antiques.
  • Église Saint-Jean-Bosco et autel XVIIIe siècle.
  • Monument aux morts.
  • Croix de chemin.
  • Éolienne de pompage.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Parti, d’or à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent, et d’azur au sautoir d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Jean Spaite, Saint patronage et sobriquets, Nancy, Imprimerie Apache Color, 4e trimestre 1999, 247 p., page 56.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Crion et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Aude Wirth, Les noms de lieux en Meurthe & Moselle, , 313 p. (ISBN 2914554435), p. 124
  16. a b et c Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe / réd. sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine par M.Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 37
  17. Christian Herbé, « Cartographie des blason populaires en Lorraine romande et en Picardie » (consulté le ).
  18. Jules (1859-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes / par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 120
  19. a b c d e f g h i j et k Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 255-256
  20. a b c et d Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 484
  21. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 493
  22. « Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 6.
  23. « Journal, affiches, annonces et avis divers du département de la Meurthe », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 6.
  24. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Supplément au Tableau d'honneur de la Meurthe, par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 38
  25. « L'Éclair de l'Est », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 2.
  26. « Revue des établissements & des œuvres de bienfaisance : paraissant le 15 de chaque mois », sur Gallica, (consulté le ), p. 78.
  27. Musée lorrain au palais ducal de Nancy. Catalogue des objets d'art et d'antiquité exposés au musée. 4e. édition. Mai 1863, (lire en ligne), p. 146
  28. René (1876-1955) Auteur du texte Hogard, Le clergé du diocèse de Nancy pendant la guerre 1914-1918 : Livre d'or / l'abbé R. Hogard,..., (lire en ligne), p. 210-214
  29. Georges (1859-1941) Auteur du texte Payelle, Armand (1862-1930) Auteur du texte Mollard, Georges (1862-1941) Auteur du texte Maringer et Edmond (1857-1934) Auteur du texte Paillot, Les atrocités allemandes en France : rapport présenté à M. le Président du Conseil par la commission instituée en vue de constater les actes commis par l'ennemi en violation du droit des gens. Décret du 23 septembre 1914... / [signé : Georges Payelle, Armand Mollard, Georges Maringer et Edmond Paillot], (lire en ligne), p. 10
  30. « L'Éclair de l'Est », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 3.
  31. « DEUXVILLE 1914-1918 », sur francois.munier2.free.fr (consulté le ).
  32. « L'Éclair de l'Est », sur kiosque.limedia.fr (consulté le ), p. 6.
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  36. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63530148/f201.image.r=crion
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  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.