Cheissoux

commune française du département de la Haute-Vienne

Cheissoux
Cheissoux
L'église de la Nativité-de la-Vierge.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité CC des Portes de Vassivière
Maire
Mandat
Vincent Echasserieau
2023-2026
Code postal 87460
Code commune 87043
Démographie
Gentilé Cheissounauds
Population
municipale
221 hab. (2021 en augmentation de 22,1 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 03″ nord, 1° 38′ 57″ est
Altitude Min. 334 m
Max. 548 m
Superficie 10,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives 1re circonscription de la Haute-Vienne
Localisation
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Cheissoux
Liens
Site web https://www.cheissoux.fr/

Cheissoux est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est limitrophe du département de la Creuse.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Auriat, Saint-Moreil, Bujaleuf, Champnétery et Saint-Julien-le-Petit.

Géologie et relief modifier

La commune de Cheissoux (1 021 ha) a un relief de plateau, au sous-sol formé de roches métamorphiques. Ce plateau n'est pas « vraiment » plat, comme en donne pourtant l'impression la route qui traverse la commune, qui est la partie la plus occidentale du plateau de Millevaches.

Le territoire communal est ainsi fait d'une vaste partie centrale, entre 430 et 460 m d'altitude : le plateau est parsemé de petites collines, et fortement entaillé à l'est par le vallon du ruisseau de Cheissoux. Au nord-est au contraire, le relief s'élève au-dessus de 500 m : le point culminant est à 547 m. Les monts d'Auriat, ici le versant sud, sont un véritable château d'eau[1].

Hydrographie modifier

 
Carte hydrographique de la commune.

La Maulde constitue la limite sud-est du territoire communal. C'est un affluent droit de la Vienne, donc un sous-affluent de la Loire.

On trouve aussi quelques cours d'eau, dont le plus important – le « ruisseau de Cheissoux » – limite la commune à l'est. La présence de l'eau est plus spectaculaire encore avec les nombreuses sources, dont l'importance est perceptible dans la toponymie (voir article spécifique). Les paysages, très verdoyants, alternent bois, prairies et champs. On est ici au « pays de l'arbre et de l'eau »[1],[2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 171 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eymoutiers à 12,76 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 170,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages modifier

La commune se trouve dans dans un site vallonné et contrasté, où la forêt alterne avec un paysage de prairies, de rivières et de ruisseaux. Les résineux dominent la partie nord, montueuse et accidentée. Peu de champs aujourd'hui, les sols étant pauvres[1]

Urbanisme modifier

Les constructions traditionnelles sont édifiées en granit et sont marqué par l'activité agricole[10],[11].

Typologie modifier

Cheissoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,1 %), prairies (32,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement modifier

En 2015 et 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 177, alors qu'il était de 173 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 58,2 % étaient des résidences principales, 33,3 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cheissoux en 2020 en comparaison avec celle de la Haute-Vienne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (33,3 %) supérieure à celle du département (7,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,7 % en 2015), contre 62,3 % pour la Haute-Vienne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cheissoux en 2020.
Typologie Cheissoux[I 1] Haute-Vienne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 58,2 82,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 33,3 7,7 9,7
Logements vacants (en %) 8,5 9,7 8,2

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Cheissoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels et technologiques modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cheissoux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 12,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de la Creuse, sur la Maulde. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cheissoux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie modifier

Encore nommée usuellement Cheissoux-la-Chapelle au début du XXe siècle[25].

La commune est dénommée Chaisson la Chapèla en occitan.

La toponymie locale est développée dans le site municipal[26]

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

L'occupation humaine de la commune est très ancienne, comme l'atteste la petite église romane.

On connaît peu de textes pour la période médiévale si ce n'est une donation (1130) : les terres et l'église étaient données par le prieur d'Aureil à celui de Saint Léonard. L'existence d'une paroisse est attestée en 1318. Ensuite, elle est alternativement intégrée soit dans celle de Bujaleuf (v. 1558), puis de Champnètery, et à nouveau de Bujaleuf (1825)

Le village de Villetelle, au sud-ouest a appartenu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de la commanderie de Charrières et du grand prieuré d'Auvergne[27].

Temps modernes modifier

Avec l'apparition des registres paroissiaux (fin XVIIe siècle), on peut voir se développer une micro-société assez banale, dans le cadre des paroisses successives. Curieusement, on trouve un certain nombre de mariages avec des habitants de Royère-en-Poitou (aujourd'hui Royère-de-Vassivière), en amont, et Saint Léonard (aujourd'hui Saint-Léonard-de-Noblat), en aval. Il semble que Cheissoux ait été une étape importante sur la route des "maçons creusois" vers l'Angoumois et l'Aquitaine.

Époque contemporaine modifier

La fin du XIXe siècle voit la création de deux écoles, non mixtes. En 1896, il y avait 136 élèves (66 garçons, 70 filles). J.Dubois donne la liste des instituteurs, dont le couple Chapoulaud en 1888.

La commune est créée en 1905, par détachement de celle de Bujaleuf[28].

Comme partout, la guerre de 1914-1918 est très meurtrière : 25 noms figurent sur le monument aux morts dédié "à nos enfants victimes de la guerre". Tous ces "poilus" étaient des 2e classe. Le plus jeune avait 20 ans, le plus âgé 39. L'un est même mort après l'armistice, en captivité, le 12 décembre 1918. Pour 10 d'entre eux, on n'a pas retrouvé leurs corps. Ils ont été déclarés décédés par décision de justice[29].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis sa création en 1905 dans l'arrondissement de Limoges du département de la Haute-Vienne.

Elle faisait partie depuis 1905 du canton d'Eymoutiers[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Eymoutiers porté de 12 à 32 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Vienne.

Intercommunalité modifier

Cheissoux est membre de la communauté de communes des Portes de Vassivière, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
février 1988 novembre 1997 Alain Ohier[31] PCF Musicien
Démissionnaire
novembre 1997 mars 2023[32] Thierry Menucelli PS Cadre retraité
Démissionnaire
juillet 2023[33] En cours
(au 30 novembre 2023)
Vincent Echasserieau   Cadre territorial

Population et société modifier

Les habitants s'appellent les Cheissounauds et les Cheissounaudes[34].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 6], en augmentation de 22,1 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
608587521507451427385339287
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
261259210192209210211188181
2020 2021 - - - - - - -
217221-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église de la Nativité-de la-Vierge   Classé MH (1984)[38],[39], du XIIIe siècle et sa croix monumentale. Un panneau explicatif est visible à l'entrée à droite. Simple et clair, on découvre l'essentiel. La restauration des fresques murales a mis en valeur des œuvres sobres, et surtout d'une grande beauté. Pas besoin d'être croyant pour apprécier
  • Le Puy des Roches, hauteur surmontée d'un énorme bloc granitique[40]. Un circuit pédestre passe à proximité.
  • Le monument aux morts[41] : Érigé en bas du bourg, près de l'église, il ne présente a priori pas de caractéristiques remarquables. Il ressemble à la grande majorité des monuments limousins. Sur un grand bloc de granite, en forme d'obélisque, sont gravés 25 noms de soldats « morts pour la France » (selon la terminologie officielle). Seule figure l'initiale du prénom. On y trouve deux décors assez banals : un rameau avec feuilles de palmes et deux « croix de guerre ». En observant plus attentivement, on peut s'apercevoir que quelques feuilles de chêne ont été ajoutées; il s'agit d'une marque identitaire assez originale (pas de trace ailleurs dans le canton, et même au-delà sur le Plateau de Millevaches). Les distinctions militaires sont une concession à un modèle assez classique, et ne veulent pas signifier un quelconque militarisme. Aucun casque, aucune arme, encore moins de représentation d'un soldat en pied. Par contre, l'inscription est plus originale. Elle apporte une nette connotation pacifiste, comme nombre de monuments dans l'est de la Haute-Vienne : « La commune de Cheissoux à ses enfants victimes de la guerre ». C'est bien le mot « victime» qui est ici important. Les élus des années 1920 ont décidé de souligner le sacrifice plutôt que l'héroïsme. On conviendra que cette nuance n'est pas très apparente, l'ensemble du monument, sans référence religieuse, se voulant avant tout consensuel.
  • Croix monumentales des XVe et XIXe siècles[42].


Personnalités liées à la commune modifier

Blasonnement modifier

  Blason
D'azur au mont de trois coupeaux d'argent, sommé d'une colombe contournée et couvant d'or, surmontée d'un croissant d'argent[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

  • Joseph Dubois : le canton d'Eymoutiers (1900, réédité en 1996).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Cheissoux » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Cheissoux - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Cheissoux - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Haute-Vienne » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  2. Atlas agroclimatique du Limousin (Météo-France)
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Cheissoux et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Présentation de la commune de Cheissoux », Vie municipale, sur https://www.cheissoux.fr/ (consulté le ).
  11. « Maisons et fermes », notice no IA00031213, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Cheissoux », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. selon l'ouvrage de Françoise Myrh
  26. « Toponymie de Cheissoux : l’origine des noms de lieux », Tourisme et acteurs de la vie touristique, sur https://www.cheissoux.fr (consulté le ).
  27. Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 11 (39 H 4)
    Reconnaissance des habitants du Burgt (Rempnat) et de Villetelle en 1727. L'auteur indique La Villetelle, commune de Bujaleuf, ce qui a été le cas jusqu'en 1869 mais ce lieux fait dorénavant partie de la commune de Cheissoux.
    .
  28. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. sources : association "Patrimonia"[réf. incomplète]
  30. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  31. Thierry Menucelli, « Hommage à Alain Ohier », Lettre d'information,‎ , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ) « Alain fut aussi maire de Cheissoux du 27 février 1988 au 18 novembre 1997 [...] À sa demande, le 18 novembre 1997, je lui succédais à la tête du conseil municipal ».
  32. « Le maire de Cheissoux, Thierry Menucelli, démissionnera en mars », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Église paroissiale de la Nativité-de la-Vierge, Saint-Antoine-de-Padoue », notice no IA00031215, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Eglise de la Nativité de la Sainte-Vierge et de Saint-Antoine de Padoue », notice no PA00100282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « La légende du Puy des Roches : Les Pierres ou Rochers de la Vierge ou Roches de Narfouilloux (Villemonteix) », Tourisme et acteurs de la vie touristique, sur https://www.cheissoux.fr/ (consulté le ).
  41. « Monument aux morts », notice no IA00031299, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Croix monumentales », notice no IA00031214, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).