Arpajon-sur-Cère
Arpajon-sur-Cère est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Arpajon-sur-Cère | |||||
Château de Conros. | |||||
Blason |
Logo |
||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Aurillac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Lantuéjoul 2020-2026 |
||||
Code postal | 15130 | ||||
Code commune | 15012 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arpajonnais | ||||
Population municipale |
6 315 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
33 427 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 54′ 17″ nord, 2° 27′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 566 m Max. 844 m |
||||
Superficie | 47,67 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Aurillac (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Aurillac (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arpajon-sur-Cère (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | arpajonsurcere.com | ||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Arpajon-sur-Cère se trouve dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. Elle fait partie du Massif central, au sud-ouest des monts du Cantal, à la jonction des rivières Cère et Jordanne.
Elle se situe à 4,24 km par la route[Note 1] d'Aurillac[1], préfecture du département, et à 312,22 km de Lyon[2], préfécture de la région. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Aurillac et du canton d'Arpajon-sur-Cère dont elle est le chef-lieu[I 1].
Les communes les plus proches, les distances étant mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau, sont[3] : Aurillac (2,7 km), Vézac (5,1 km), Giou-de-Mamou (5,5 km), Yolet (6,6 km), Naucelles (6,8 km), Saint-Simon (7,1 km), Roannes-Saint-Mary (7,4 km) et Ytrac (7,5 km). Les communes limitrophes sont Aurillac, Giou-de-Mamou, Labrousse, Prunet, Roannes-Saint-Mary, Vézac et Ytrac.
Arpajon-sur-Cère est limitrophe de sept autres communes.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 282 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Aurillac à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 134,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,5 | −0,8 | 1,7 | 4 | 7,6 | 10,7 | 12,5 | 12,4 | 9,1 | 6,9 | 2,8 | 0,3 | 5,6 |
Température moyenne (°C) | 3,2 | 3,6 | 6,8 | 9,2 | 13 | 16,5 | 18,5 | 18,5 | 14,8 | 11,5 | 6,7 | 4 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,9 | 8,1 | 11,9 | 14,5 | 18,4 | 22,2 | 24,6 | 24,6 | 20,5 | 16,2 | 10,7 | 7,7 | 15,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−24,5 09.01.1985 |
−18 12.02.12 |
−15,2 05.03.1971 |
−9,1 12.04.1986 |
−2,5 05.05.1979 |
0,1 06.06.1989 |
2,4 03.07.1979 |
0,7 30.08.1986 |
−2,9 21.09.1977 |
−8,1 25.10.03 |
−11,6 30.11.1978 |
−15,9 24.12.01 |
−24,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,6 01.01.22 |
23,3 27.02.19 |
23,5 15.03.12 |
26,5 07.04.11 |
31,8 21.05.22 |
38,1 27.06.19 |
38 30.07.1983 |
37,7 04.08.03 |
33,5 12.09.22 |
31,2 01.10.23 |
23,2 06.11.1992 |
20,7 29.12.1983 |
38,1 2019 |
Ensoleillement (h) | 1 053 | 1 266 | 1 761 | 1 853 | 2 113 | 2 435 | 2 722 | 2 579 | 2 109 | 1 532 | 1 038 | 1 002 | 21 464 |
Précipitations (mm) | 90 | 76,5 | 79,4 | 108,5 | 107,4 | 82,3 | 70,8 | 88,4 | 106,9 | 100,5 | 117,8 | 106,2 | 1 134,7 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Arpajon-sur-Cère est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aurillac, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[11],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), prairies (26,1 %), forêts (23,5 %), zones urbanisées (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 3 308, alors qu'il était de 3 162 en 2014 et de 2 873 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 74 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arpajon-sur-Cère en 2020 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) inférieure à celle du département (20,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation des résidences principales, 72,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,4 % en 2014), contre 70,6 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Arpajon-sur-Cère[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,2 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,4 | 20,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,4 | 11,7 | 8,2 |
Toponymie
modifierAttesté sous les formes vicaria arpajonensis en 923[15], Arpaio en 1269.
Arpaionem serait un toponyme d'origine gauloise composé avec le mot arepo = charrue, mais on y reconnaît le nom de personne latin Harpagius suivi du suffixe -onem.
La Cère doit son nom à un pré-celtique ser « couler, se mouvoir rapidement et violemment ».
En dialecte carladézien, Arpajon se prononcerait Olpotsou, selon une forme relevée sur place en 2007.
Histoire
modifierLes Entreprises Dejou Féniès & fils & Lartigue y furent implantées au XXe siècle, fabriquant des objets en bois et surtout des jouets Dejou, très recherchés par les collectionneurs.
En 1921, la commune d'Arpajon change de nom pour Arpajon-sur-Cère afin de la distinguer de la commune d'Arpajon située dans l'Essonne[16]. Elle fait partie du canton d'Aurillac-Sud jusqu'en 1973, du canton d'Aurillac-III de 1973 à 1982 et du canton d'Arpajon-sur-Cère depuis 1982, dont elle est le chef-lieu, puis le bureau centralisateur.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune d'Arpajon-sur-Cère est membre de la communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aurillac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Aurillac, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Arpajon-sur-Cère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].
Tendances politiques et résultats
modifierÀ l'élection municipale et communautaire de 2020, le vote a lieu au scrutin proportionnel compte tenu de la population de la commune en 2017 (6 217 habitants) ; il y a donc 29 postes de conseillers municipaux à pourvoir et 7 postes de conseillers communautaires. La liste d'Isabelle Lantuéjoul a obtenu la majorité au premier tour (61,01 % des voix) ; le taux de participation est de 56,52 % des votants[19].
Nuance | Liste | conduite par | Résultats 1er tour | Sièges CM/CC |
---|---|---|---|---|
divers droite | « Tout pour Arpajon » | Isabelle Lantuéjoul | 61,01 % | 24 / 6 |
union de la gauche | « Avançons pour Arpajon-sur-Cère » | Michel Roussy | 38,99 % | 5 / 1 |
Liste des maires
modifierJumelages
modifierDepuis 1972, Aurillac et sa voisine Arpajon-sur-Cère ont un comité de jumelage commun et sont conjointement jumelées avec :
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2021, la commune comptait 6 315 habitants[Note 3], en évolution de +1,01 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[25] | 1975[25] | 1982[25] | 1990[25] | 1999[25] | 2006[26] | 2009[27] | 2013[28] |
Rang de la commune dans le département | 5 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 | 3 |
Nombre de communes du département | 268 | 258 | 258 | 260 | 260 | 260 | 260 | 260 |
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,4 %) est inférieur au taux départemental (36,6 %).
En 2021, la commune comptait 3 071 hommes pour 3 244 femmes, soit un taux de 51,37 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,1 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Enseignement
modifierArpajon-sur-Cère fait partie de l'académie de Clermont-Ferrand
L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle et une école primaire[30].
Culture et festivités
modifierActivités sportives
modifierTennis, centre aquatique, skate, BMX
Écologie et recyclage
modifierLa Plantelière (parc et espaces naturels...)[31].
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac[32].
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église paroissiale Saint-Vincent
- Barrière hameau où est né Louis Laparra de Fieux.
- Pont de Cabrières, hameau et pont où il y avait un péage.
- Château de Carbonat, privé.
- Château de Conros où est né Robert d'Humières qui a traduit les œuvres de Rudyard Kipling dont le Livre de la jungle. Le château édifié vers 1130 par Astorg d'Aurillac se dresse sur un éperon rocheux qui domine une boucle de la Cère est inscrit aux monuments historiques depuis 1991. Le donjon flanqué d'un corps de logis et de deux tours rondes fut transformé à la Renaissance en une demeure de plaisance. Il abrite l'exposition Ode aux parfums et le musée des Arts et Traditions populaires de la vallée de la Cère. Le parc renferme des arbres centenaires et des fleurs odoriférantes[33].
- Château de Ganhac, actuellement maison de maître, ancien fief adjugé en 1676 à Charles de Broquin, marié avec Jeanne de Cambefort.
- Château de Montal, ancien fief avec chapelle castrale sous l'invocation de saint Michel dont est originaire la famille des seigneurs de Laroquebrou et de Conros. Appartenait ensuite à la famille de La Roque-Montal.
- Château de La Prade, acheté en 1756 par Marie-Françoise de Broglie, veuve de Charles Robert de Lignerac, qui y fit des travaux considérables. Ruiné par la Révolution.
Cinéma
modifierPlusieurs scènes du film Le Hobbit : Le Retour du roi du Cantal de Léo Pons y ont été tournées.
Personnalités liées à la commune
modifier- Louis Laparra de Fieux (Arpajon 1651 - 1706), ingénieur des fortifications et stratège.
- Louis Charles de Saint-Martial de Conros (Arpajon 1757 - 1838 Paris), homme politique, député du Cantal de 1824 à 1827 et de 1830 à 1831.
- Jean Baptiste Milhaud (Arpajon 1766 - Aurillac 1833), conventionnel, général, comte d'Empire.
- Joseph Vigier (Arpajon 1767 - 1833), homme politique, député du Cantal en 1815, lors des Cent-Jours, maire d'Arpajon-sur-Cère.
- Robert d'Humières, homme de lettres, traducteur de Kipling.
- Louis Dauzier, homme politique et maire d'Aurillac sous la Troisième République.
- Léo Pons, réalisateur.
- Antonin Dusserre (Carbonnat 1865 - 1925), romancier.
- François Sébastianoff (1932 - 2017) est un linguiste et un pédagogue français.
Héraldique
modifierLes armes de la commune se blasonnent ainsi : D’azur à la bande d’or accompagnée de six coquilles du même ordonnées en orle. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Découverte d'un sarcophage paléochrétien et de sépultures médiévales en sarcophage à Arpajon-sur-Cère
- Arpajon-sur-Cère sur le site de l'Institut géographique national
- Arpajon-sur-Cère sur le site de l'Insee
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune d'Arpajon-sur-Cère (15012). », (consulté le ).
Autres références
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Arpajon-sur-Cère et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arpajon-sur-Cère et Lyon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Arpajon-sur-Cère », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arpajon-sur-Cère et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Résultats de l'élection municipale et communautaire du 15 mars 2020 à Arpajon-sur-Cère », sur Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Listes à l'élection municipale et communautaire du 15 mars 2020 à Arpajon-sur-Cère », sur Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Isabelle Lantuejoul est officiellement maire d'Arpajon-sur-Cère, troisième ville du Cantal en nombre d'habitants », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
- « Arpajon-sur-Cère - Vie scolaire », sur Arpajon-sur-Cère (consulté le ).
- « CABA - La Plantelière », sur CABA (consulté le ).
- « Arpajon-sur-Cère - Environnement », sur Arpajon-sur-Cère (consulté le ).
- Guide du patrimoine en France : 2500 monuments et sites ouverts au public, Éditions du patrimoine - Centre des monuments nationaux, , 957 p. (ISBN 978-2-7577-0695-4), p. 33.