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Jan Lisman est un artiste numérique et vidéaste contemporain né le 16 novembre 1984 à Anvers en Belgique mais ayant toujours vécu à Monaco.

Présentation

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Acteur de l'Art post-internet, Jan Lisman évolue dans l'un des mouvements artistiques les plus innovants du XXIème siècle. Il jongle constamment entre la vidéo, la photographie et la peinture numérique. Par l’utilisation de ces outils pour créer ses pièces, il tente de définir un nouveau rapport au travail et à l’espace. Jan Lisman dépeint ce qui suscite son intérêt et l’intuition est le fil conducteur de son processus de création. Il transpose ses pensées et émotions au travers de formes abstraites ou de couleurs vives

Parcours

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Jan Lisman est diplômé de l'Université Américaine de Paris option Finances et obtient son master II en ingénierie immobilier de Paris Nanterre/La Défense.

Il marche dans les pas de son père et démarre une carrière comme directeur des investissements immobiliers. Il commence sa vie professionnelle toujours entre deux avions, globe-trotter contemporain muni d’une tablette ou d’un iPad, et travaille entre Monaco, Londres, New York et l'Asie.

Il découvre alors certaines applications de tablettes et commence à les apprivoiser, puis se prend au jeu. Très vite, il développe une réelle addiction et se découvre une passion pour la composition et l'harmonie de couleurs, pourvu qu'elles soient pop.

A 26 ans, Safia El-Malqui le repère et lui dédie une exposition à la galerie Sem-Art [Notes et références 1] durant le Grand Prix Automobile de Monaco, aux côtés d'artistes tels que Ron Arad ou Andy Warhol, et dont il reverse une partie des bénéfices à l’association Fight Aids Monaco [Notes et références 2].

Le 8 mars 2013, pour la Journée Internationale de la Femme, Jan Lisman crée le logo Art Beat et diffuse son court-métrage Some words to make a change durant la Fashion Week de Paris Automne/Hiver 2013 et dans lequel apparaît des figures féminines emblématiques, notamment Arizona Muse, Cara Delevingne, Karlie Kloss, Isabeli Fontana, Lindsey Wixson, Clotilde Courau, Virginie Ledoyen, Amanda Seyfried, Cecile Cassel, Joséphine de La Baume, Caroline de Maigret ou encore Carine Roitfeld [Notes et références 3].

En mai 2013, ses œuvres figurent dans le film événementiel Art Couture qu'il co-produit en l’honneur des maisons de couture et de l’exposition au Metropolitan Museum of Art de New York, et qui sera projeté sur les murs de New York à cette occasion. Jan Lisman y apparaît aux côtés des mannequins Daphne Groeneveld et Irina Lazareanu.

A partir de 2014, Jan Lisman se recentre sur ses créations et explore de nouveaux procédés et de nouvelles finitions pour les faire exister d'une manière innovante.

En 2015, le bar de Molitor expose du 23 janvier au 1er mars une quinzaine de ses œuvres sous le parrainage de Pierre Cornette de Saint Cyr et Artsper, plateforme numérique dédiée à la vente en ligne d'oeuvres d'art contemporain sur laquelle il est représenté [Notes et références 4]. En avril de la même année, il participe à une exposition collective "Art & Care" au Palais de Tokyo à Paris [Notes et références 5].

En mai 2015, Jan Lisman est choisi avec cinq autres artistes aux influences multiples pour participer à la première édition à Paris de "Bus-Expo", une exposition itinérante d'art contemporain dont l'objectif est de faire descendre l'art dans la rue et le mettre à la portée de tous. A cette occasion, une de ses oeuvres est affichée sur 6 m² à l'arrière des 25 navettes Air France qui sillonnent la capitale et les deux aéroports de Roissy et Orly durant trois semaines, soit une visibilité de plus de 3,5 millions de contacts touchés. [Notes et références 6] [Notes et références 7] [Notes et références 8] [Notes et références 9]

Il sera l'un des artistes vendus lors de la première vente aux enchères d'art numérique mondiale qui se tiendra sous le marteau du commissaire-priseur pionner en la matière, Pierre Cornette de Saint Cyr.

Il travaille également à un projet de festival d'art numérique mondial voulant ainsi faire converger son activité dans l'immobilier avec celle artistique en mettant à disposition d'artistes, qui souffrent d'un manque de lieux pour s'exprimer, certains de ses emplacements.

Notes et références

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Liens externes

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