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Charles Buisine-Rigot
Charles Buisine-Rigot, photographie anonyme,
bibliothèque municipale de Lille.
Biographie
Naissance
Décès
(à 72 ans)
Nom de naissance
Charles François Alexis Buisine
Formation
Ecoles académiques de Lille (Beaux-Arts)
Activité
Père
Désiré Buisine
Enfant
Edouard Buisine
Autres informations
Élève

Charles Buisine-Rigot, né Charles François Alexis Buisine à Lille le [1] et mort dans la même ville le [2] est un ébéniste et sculpteur français.

Biographie modifier

Les Buisine et l'atelier familial de menuiserie. modifier

Charles-Alexis-François Buisine naît le 17 juillet 1820 à Lille au sein d'une famille catholique pieuse et royaliste[3]. Il est le fils de Désiré Buisine, maître-menuisier, et de Catherine Lavaine[4].

Au moment de sa naissance, le grand-père de Charles, Jean-François, est le doyen de la corporation des maître-menuisiers de la ville de Lille. Il dirige l'atelier lillois de menuiserie qui se transmet de père en fils depuis 1676[5]. Au fil des générations, l'atelier avait pris une tournure de plus en plus artistique[6] et le père de Charles, Désiré, a notamment réalisé une clôture de chapelle et une clôture de fonts baptismaux ouvragées pour l'église Saint-André[7].

La famille Buisine est pieuse[8] et le père comme le grand-père de Charles sont membres de la Confrérie du Saint-Sacrement[9],[10].


En 1821, Désiré hérite de l'atelier de son père[4] et le destin du petit Charles semble déjà tout tracé : travailler comme ouvrier-menuisier pour son père puis reprendre un jour son atelier.

Des études et un apprentissage difficile modifier

Premières écoles modifier

Le jeune Charles est d'abord placé par ses parents sous la direction des Frères de la doctrine chrétienne[11]. Si son premier maître semble comprendre la nature un peu "rude" de son élève et parvint à la canaliser, le second le maltraite et lui inflige des fréquentes corrections avec sa férule (ancêtre de la règle avec laquelle les instituteurs corrigeaient les élèves)[11]. Les parents décident donc de retirer leur enfant pour le placer dans une autre école dirigée par un certain Monsieur Buisine, un homonyme habitant le quartier[11]. Une fois parvenu à un âge avancé, alors qu'il compose ses mémoires, Charles se souvient : "On ne s'y trouvait pas très bien mais il n'y était pas question de férule"[11]. Le petit Buisine arrêtent ses études généralistes après sa première communion[12].

Les écoles académiques de Lille (future école des Beaux-Arts) modifier

Afin de le préparer à son futur métier de menuisier, ces parents l'inscrive aux Ecoles Académiques de la ville de Lille[12], ancêtre de l'école des Beaux-Arts de cette même ville. Malheureusement, Charles ne semble pas y trouver sa place[12]. Les méthodes d'enseignement de son professeur ne lui conviennent pas et passer des "lecons entières sur un oeil, sur un nez" l'ennuie[12]. Il souhaiterait avancer plus vite[12]. De plus, catholique pieux et royaliste, il est victime des moqueries et brimades de ses camarades dont la moralité lui paraît douteuse[13]. A nouveau, ses parents décident de le retirer de l'école et, le jugeant assez âgé, le place comme ouvrier dans l'atelier familial[13].

Ouvrier dans l'atelier familial modifier

D'après son biographe, Edmond Huard, les premières années de Charles dans l'atelier ne sont "pas très brillantes"[13]. Il apprend facilement l'art de la menuiserie mais s'ennuie de la monotonie de l'atelier[14]. Il prend plaisir à en sortir pour aller sur les chantiers avec les ouvriers[14].

A la même période, il prend des cours de violon auprès d'un certain Monsieur Noguerre[14]. Il apprend rapidement à jouer de cet instrument puis participe à des animations de soirées familiales[14]. Sa mère, voyant que son travail dans l'atelier pouvait pâtir de ses sorties et de ses distractions, lui interdit de continuer d'en jouer[15]. Bon gré, mal gré, il se consacre pleinement à la menuiserie et surtout à la sculpture[15].

Un brillant autodidacte modifier

Il reprend son apprentissage en autodidacte[15]. Dans ses moments de loisir, il se perfectionne en dessin et se met sérieusement à la sculpture[15]. Dans ce cadre, il prend l'empreintes de belles sculptures de porte qu'il cherche ensuite à reproduire[15]. Ses parents voyant ses efforts songe un temps à lui faire reprendre ses études auprès d'un bon sculpteur[15] mais ceux-ci abandonnent face au coût d'un tel enseignement[16]. Cela ne décourage aucunement Charles qui continue de travailler dur en autodidacte[16].

En 1840, à 20 ans, son père lui confie la gestion d'un projet consistant en la création de deux autels pour une église de village[16]. Les parties les plus simples sont confiés à un menuisier local tandis que les parties artistiques sont confiés à M.Buisine[16]. Charles et deux ouvriers sont envoyés sur place pour exécuter le travail[16]. Jour après jour, il note les coûts et toutes les dépenses[16]. Néanmoins, à la fin du chantier, en calculant les bénéfices, il se rend compte que son père est en perte de 100 francs[17]. A partir de ce jour, il devient très vigilant sur les dépenses et les prix de revient[17].

La maturité modifier

Charles est désormais un homme mûre aussi bien artistiquement que psychologiquement. Il s'éprend un temps d'une femme mais ses parents s'oppose à cette relation naissante[17].

 
Chapelle du Lazaro

Vers 1842, il réalise les sculptures décoratives du Café français à Lille grâce à son cousin Stalars[18] qui obtient le marché de sa décoration[19]. L'œuvre terminée, la critique est très positive et les journaux rendent hommage à son talent[19]. Les commandes se mettent alors à affluer[19]. Cette même année 1842, il fournit les sculptures de la chaire de l'ancienne église de Wazemmes puis, en 1843, les parties sculptées en pierre de la chapelle du Lazaro[20].

 
Palmyre Rigot, épouse de Charles Buisine

Charles songe alors à fonder une famille[19]. Il se marie à Lille le 30 janvier 1844 avec Palmyre Rigot[21] (1825-1887) en l'église Sainte-Catherine de Lille. Par la suite, il ajoute le patronyme de son épouse au sien et se fait appeler Buisine-Rigot.

Charles et Palmyre sont profondément épris l'un de l'autre et cet amour durera toute la vie de Charles[22]. Ensemble, ils ont douze enfants dont les naissances s'échelonnent de 1844 à 1870[22].

Charles à la tête de l'entreprise familiale modifier

En 1845, Charles prend la direction de l'atelier de menuiserie de son père Désiré Buisine (1793-1881)[23]. A une époque indéterminée, il procède à un agrandissement par l'achats de propriétés voisines[24]. Les grands travaux peuvent être montés sous des lanterneaux (baies vitrées ouvrantes) élevés à la hauteur des voûtes d'église[24]. Le bureau du patron domine l'espace et permet de voir l'ensemble des ouvriers d'un seul regard[24]. Ces derniers sont, au maximum, 80[24].

Le succès d'abord régional devient national. Edmond Huard, biographe de Charles, mentionne des œuvres dans les villes françaises suivantes [25]:

« Lille, Arras, Amiens, Saint-Omer, Calais, Boulogne, Dunkerque, Rouen, Vannes, Brest, Paris, Dijon, Soissons, Laon, Vervins, Saint-Quentin, Beauvais, Senlis, Chartres, Chateauneuf, Châteauroux, Toulouse, Lyon, Montpellier, Perpignan, Strasbourg [...], Cette, Agde, Cannes, etc. »

Enfin, sa réussite est mondiale avec des œuvres présentes sur tout les continents [25]:

« Citons en Angleterre : Londres, Glascow, Leeds, Manchester, Liverpool, Limerick, etc. En Chine, plusieurs églises à Shang-Haï. En Afrique, ce sont des travaux considérables à l'Ile Bourbon et à Durban (Cap). Enfin en Amérique, c'est une chaire monumentale pour la cathédrale d'Aréquipa. »

Si tout va bien au point de vue professionnel, Charles vit une première épreuve dans la mort de sa fille bien-aimée, Louise, le 26 janvier 1877[26]. Mariée en 1870, elle était tombé malade suite à sa première grossesse et était devenu infirme suite à la deuxième[27].

L'apogée modifier

La fin des années 1870 et le début des années 1880 marque l'apogée de la carrière de Charles Buisine-Rigot.

En 1878, il remporte le marché pour la fourniture de la chaire de la cathédrale d'Arequipa, et ce, face à d'autres concurrents basés en Espagne, Italie, Belgique, Royaume-Uni. Elle nécessite 15 mois de travail et est acheté au prix de 25 000 francs. Le projet est confié à Juan Mariano de Goyeneche, comte de Guaqui, ambassadeur du Pérou en France. C'est une réussite esthétique incontestable, don de Madame Javiera Lizárraga de Alvarez Comparet. L'œuvre est encore célèbre aujourd'hui dans la région d'Aréquipa notamment en raison du diable représenté dans la partie basse. C'est un monstre semblant sortie des entrailles de la terre, à la queue de dragon, aux ailes de chauves souris et à la partie haute humaine. Son visage exprime la folie . Sa queue couverte d'écailles s'enroule autour de la colonne soutenant la cuve tandis que, poing levé dans un geste désespéré, il semble adresser sa colère à Dieu. La chaire est livrée en 1879, en pleine guerre du Pacifique opposant la Chine et le Pérou. Elle est bénit le 1er janvier 1880. En 2011-2012, la chaire a subit une importante restauration.

mai 1880 : il reçoit la médaille de l'ordre de Saint Grégoire le Grand[28]. (page73)

1881 : mort de Désiré Buisine

1885 : pèlerinage à Rome (page 93)

Le temps des épreuves modifier

Perte de sa femme en 1887 (page 101)

Perte de son fils Charles-Prosper en 1888 (page 108)

Incendie des ateliers en 1890 (page 119)

Fin de vie et décès modifier

Il meurt à 72 ans, pieusement, le 2 mai 1893 à Lille[29].

Personnalité modifier

Caractère et apparence modifier

Charles Buisine était un homme à l'esprit fort et indépendant. Talentueux, peut être surdoué dans son enfance, il se révèle un brillant autodidacte. Son apparence un peu rude[30] le fait ressembler à un soldat. Il aime vivre simplement, ne boit pas et se nourrit frugalement[31]. S'il ne souhaite aucun luxe dans ses vêtements, il aime néanmoins qu'ils soient parfaitement propres[32]. Il est aussi très ordonné dans son quotidien[32]. Il se déplace avec une canne de jonc et ne tolère aucun parapluie[31]. Un de ses plaisirs est de fumer sa pipe en terre grise[31] qui, si elle se brise, est remplacée automatiquement par une identique.

Néanmoins derrière cette apparence un peu rude, il s'avère être un homme raffiné, sensible voir émotif[33]. Profondément amoureux de sa femme, il n'a pas de plus grand bonheur que d'être avec elle et avec ses nombreux enfants[34]. Accordant beaucoup d'importance aux valeurs familiales[34], il s'occupe de son père dans son grand âge et de sa sœur non mariée en les accueillant à son domicile[32].

Ses ouvriers l'apprécient et derrière les apparences devinent rapidement la bonté de son cœur[30].

Religion modifier

Catholique pieux[35], il assiste régulièrement aux offices religieux avec sa famille[36] et prie régulièrement au cours de sa journée de travail[35]. A Lille, il avait l'habitude de se découvrir et de réciter un Ave Maria quand il passait devant une statue de la Vierge Marie[35].

Sociable, il est membre, comme toute sa famille, de la société de Saint Joseph[37]. Cette société fondé par Edouard Lefort.en 1836 regroupe des jeunes de toutes conditions. Il s'agit d'un des premiers patronages catholiques où les gens se rassemblent pour se divertir.

Charitable[38], il fait partie de la société de Saint Vincent de Paul et nourrit parfois lui-même les pauvres[39].

Opinion Politique modifier

Royaliste comme tout les membres de sa famille, il rencontre en 1848 le Comte de Chambord à Wiesbaden pour lui présenter ses hommages[40]. Après la guerre de 1870, il est même un des "membres les plus ardents du parti légitimiste de Lille"[41]. Il organise des banquets en 1879 et 1880 dans ses ateliers destinés à sensibiliser l'opinion à la cause royaliste[42]. Quelques temps après la guerre, il se présente également comme candidat royaliste au Conseil municipal du faubourg Saint-Maurice mais il n'est pas élu[43].

Bien que naturellement fortement opposé à la république et ayant même été arrêté brièvement pour avoir osé crier " A bas la république !"[44], il finit par l'accepter suite au ralliement de Léon XIII[44].


Charles Buisine incarne donc cet idéal bourgeois catholique de la fin du XIXème siècle, celui d'un homme ayant prospéré grâce à son travail et son talent, bon père de famille, charitable et bon chrétien.

Elèves et apprentis modifier

Charles Buisine-Rigot a formé au cours de sa carrière plusieurs apprentis dans ses ateliers :

  • Gustave Pattein, sculpteur, fondateur de l'entreprise portant son nom à Hazebrouck et spécialisé dans l'ameublement d'église et la statuaire religieuse. Il est présent dans les ateliers vers 1872[45].
  • Léopold Lefebvre, sculpteur, fondateur des ateliers Lefebvre-Lenclos de Beuvry et spécialisé dans l'ameublement d'église et la statuaire religieuse.
  • Albert Darcq (1848-1895), sculpteur, présent dans l'atelier vers 1866[46].
  • Charles van de Poele (1846-1892), fils d'un fabricant de meubles, il est présent dans l'atelier vers 1865[47]. Il s'intéresse à l'électricité très tôt et déménage aux Etats-Unis en 1869. Van Depoele dépose 249 brevets dont celui sur le chemin de fer électrique en 1883 et surtout le tramway électrique en 1890.

Descendance modifier

 
Edouard Buisine par Louis Piccolati

Son fils, Édouard Buisine (1856-1935), reprend les Ateliers Buisine[48] et les établis au nord de Paris.

Sa fille, Thérèse Buisine (1849-1922), se marie avec un certain Régis Héaulme en 1874. Ensemble, ils reprennent un commerce lillois de broderie et d'ornements d'église[49]. La société appelée "Héaulme-Buisine" se transmet dans la famille sur plusieurs générations et ferme finalement ses portes entre 1975 et 1978[50].

Distinction et récompenses modifier

  • 1863 : Médaille de vermeil décernée par la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille[51].
  • 1866 : Médaille d'or décernée par la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille[52].

Œuvres modifier

France modifier

  • Amiens :
    • église Sainte-Anne :
      • maître-autel, 1873-1875 ;
      • chaire à prêcher, 1874 ;
      • stalles du chœur, 1895 ;
      • autels de la Vierge, de Saint Joseph et de Saint Vincent de Paul, 1881 ;
      • lambris à panneaux figurés, clôtures des chapelle du transept ;
      • confessionnaux.
  • Arras, église Saint-Jean-Baptiste : chaire (détruite lors de la Première Guerre Mondiale)[53]

Pérou modifier

Notes et références modifier

  1. Archives du Nord, acte de mariage no 53 dressé le , vue 399 / 1130.
  2. Archives du Nord, acte de décès no 2123 dressé le , vue 15 / 593.
  3. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 13
  4. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 10
  5. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 7-9
  6. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 8
  7. Base Palissy, notice IM59001506 (lire en ligne)
  8. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 46-48
  9. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 9
  10. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 145 et 147
  11. a b c et d Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 11
  12. a b c d et e Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 12
  13. a b et c Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 13
  14. a b c et d Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 14
  15. a b c d e et f Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 15
  16. a b c d e et f Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 16
  17. a b et c Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 17
  18. Probablement Charles Prosper Stalars (1808-1876), peintre décorateur. Il est le frère de Justine Stalars, la femme de son beau-frère Prosper François Rigot.
  19. a b c et d Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 18
  20. Hippolyte Verly, Essai de biographie lilloise contemporaine, 1800-1869 : augmenté d'un supplément et accompagné de notes historiques et bibliographiques, Lille, Leleu, libraire, 11 rue du curé Saint-Etienne, , 250 p. (lire en ligne), p. 31
  21. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 19
  22. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 21-27
  23. « Ensemble de l'autel secondaire du Sacré-Cœur [Tourcoing »], notice de l'Inventaire général du patrimoine culturel.
  24. a b c et d Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 29
  25. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 30
  26. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 97
  27. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 98-100
  28. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 73-76
  29. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 132-133
  30. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 35
  31. a b et c Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 43
  32. a b et c Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 44
  33. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 96
  34. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 39
  35. a b et c Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 87-92
  36. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 42
  37. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 59-61
  38. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 72-73
  39. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 62
  40. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 63
  41. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 65
  42. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 66-67
  43. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 68
  44. a et b Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 71
  45. Aïda Tellier, « Un sculpteur flamand Gustave Pattein 1849-1924 », Annales du Comité Flamand de France, vol. 60,‎
  46. Louis Trenard et Yves-Marie Hilaire, Histoire de Lille : Du XIXe siècle au seuil du XXIe siècle, Perrin, , 539 p. (ISBN 978-2-262-01579-4), p. 164
  47. Dictionary Of American Biography, Troye - Wentworth (lire en ligne)
  48. Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin),, Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p., p. 135-138
  49. Chanoine Ed. Huard, Fleurs de Paradis, Douai, Lairre Frères, , 140 p. (lire en ligne), p. 9-10
  50. Les archives de la société Héaulme-Buisine sont conservées aux Archives Départementales du Nord, côte 109 J
  51. Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, Mémoires de la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille. Année 1863, vol. 10, Lille, L.Quarré, , 606 p. (lire en ligne), p. 520-521
  52. Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, Mémoires de la Société des Sciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille. Année 1866., vol. 3, Lille, L.Quarré, , 679 p. (lire en ligne), p. 564
  53. Dictionnaire historique et archéologique du Département du Pas-de-Calais. : Arrondissement d'Arras, t. 1, Arras, Sueur-Charruey, (lire en ligne), p. 68
  54. « Le Nouvel Autel de Saint-Sever de Rouen », Revue de l'art chrétien, 2e série, vol. 1er,‎ 17ème année, p. 244-247 (lire en ligne)
  55. AA. VV., Mitos Y Leyendas De Peru, Leyendas Perú Blogspot, (lire en ligne), p. 76

Annexes modifier

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Liens externes modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Hippolyte Verly, Essai de biographie lilloise contemporaine, 1800-1869 : augmenté d'un supplément et accompagné de notes historiques et bibliographiques, Lille, Leleu, libraire, 11 rue du curé Saint-Etienne, , 250 p. (lire en ligne), p. 31
  • Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin), Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149 p. (lire en ligne)
 
Vie de Charles Buisine par l'Abbé Huard, 1895