Plainville (Eure)

commune française du département de l'Eure

Plainville
Plainville (Eure)
L'église Saint-Saturnin, Logo monument historique Classé MH (1886).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Jean-Louis Vila
2020-2026
Code postal 27300
Code commune 27460
Démographie
Gentilé Plainvillais
Population
municipale
204 hab. (2021 en augmentation de 6,81 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 08″ nord, 0° 30′ 00″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 185 m
Superficie 6,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bernay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bernay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Plainville

Plainville est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie modifier

Plainville se situe à l'Ouest du département de l'Eure dans le Lieuvin[1] et le canton de Bernay.

Communes limitrophes modifier

Les villages bordant Plainville sont Saint-Vincent-du-Boulay au nord, Saint-Martin-du-Tilleul au nord-est/est, Caorches-Saint-Nicolas au sud-est, Saint-Victor-de-Chrétienville au sud, Capelles-les-Grands au sud-ouest et Saint-Mards-de Fresne à l'ouest.

Le village est composé de plusieurs hameaux, lieux-dits et triages : le triage du Bois d'Aufresne, le Tourmesnil, la Héberdiere, le Village, le Vast, les Épines, le Château, le Lieu de Bas, la Vassourie, la Londe et le Bosc-Ricard.

Voies de communication et transports modifier

Transport ferroviaire modifier

La ligne Paris-Cherbourg modifier

Depuis 1855, Plainville est traversée en son milieu par la ligne Paris-Cherbourg.

La ligne Bernay-Cormeilles modifier

De 1905 à 1934, Plainville est desservie par une ligne à voie unique reliant Bernay à Cormeilles, longeant la limite nord/nord-est de Plainville (entre Tourmesnil et La Croix Blanche (Saint-Vincent-du-Boulay) avant de suivre l'actuelle RD 22. La desserte est assurée au moyen d'une petite gare installée aux abords de cette limite. Ce projet de gare fut défendu devant le conseil général de l'Eure par le conseiller du canton de Brionne Arthur Join-Lambert[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernay à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Plainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), forêts (2,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Il est fait mention de Plainville à partir du XIIe siècle sous la formes latinisée Peleavilla (cartulaire de Lyre)[17]. Au XVe siècle, on trouve le nom de Pelleville et Tortmesnil dans les archives du notariat de Bernay, puis Plainville-Tour-Menil jusqu'au début du XIXe siècle. Le Tourmesnil est aujourd'hui un hameau de la commune.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville, appellatif issu du gallo-roman VILLA « domaine rural ». L'interprétation du premier élément Plain- pose problème et a divisé les toponymistes.

  • Albert Dauzat et Charles Rostaing ont vu dans le premier élément un nom de personne germanique Pellin[18]. En effet, la plupart des toponymes en -ville sont formés avec un anthroponyme. Cependant, la forme la plus ancienne, qu'ils ne devaient pas connaître, ainsi que celles des autres Plainville s'opposent à cette interprétation.
  • François de Beaurepaire se fonde sur les formes anciennes et propose la traduction « ville pelée » en référence à une terre peu fertile. Cette proposition a l'avantage de correspondre aux formes anciennes des différents Plainville. En outre, même si cette interprétation semble a priori obscure, elle est confortée par quelques toponymes en -ville se référant à la nature du sol du domaine rural, de manière dépréciative ou positive. Ainsi, trouvait-on jadis en Seine-Maritime, Merdeuseville, aujourd'hui Belleville-en-Caux[19] et dans la Manche, Merdosavilla au XIIe siècle aujourd'hui La Bonneville[20]. Inversement, Richeville se réfère probablement à la fertilité de la terre ou à la richesse domaine rural. Il existe aussi un type Grigneuseville (Seine-Maritime), Grenieuseville (Eure) dont le premier élément représente l'ancien français grignos « triste »[21]. Ces formations toponymiques sont toutes composées à partir d'un adjectif roman.
  • René Lepelley reprend la proposition du précédent.

Histoire modifier

Les origines modifier

Dans l'Antiquité, Plainville est située sur une portion de terres dépendant initialement des Lexoviens (peuple gaulois occupant un territoire situé approximativement entre la Manche, la Touques, la Charentonne et la Risle soit le territoire de l'ancien grand Lieuvin décomposé aujourd'hui en pays d'Auge (essentiellement Calvados et Orne) et l'actuel Lieuvin (Eure).

À partir du XIIIe siècle, on possède davantage d'informations sur la paroisse actuelle. Ainsi, l'église gothique fut-elle édifiée durant ce siècle et c'est à cette période que l'on retrouve plusieurs premiers écrits traitant de chartes et donations concernant le fief de Plainville et les environs et impliquant les seigneurs ou le curé.

Les familles seigneuriales de Plainville modifier

Au cours de l'histoire du village, au moins deux grandes familles seigneuriales sont répertoriées et citées fréquemment dans différents textes et ouvrages, il s'agit de la famille Néel et de la famille du Bosc-Henry. Cependant, quelque traces écrites montrent l'existence d'une famille de Pelville entre le XIIIe et le XVe siècle[22].

  • La famille de Pelville

Seules quelques traces écrites concernent cette famille. Ainsi l'on retrouve deux actes mentionnant pour le premier la présence d'un certain Cardot de Pelville lors d'une charte de Gilbert du Val et pour le deuxième la présence de Richard de Pelville pour une charte en faveur de Saint-Nicolas à Capelle-les-Grands.

  • La famille Néel

Plus de membres de cette famille sont mentionnés dans les écrits disponibles. Le premier se prénomme Antoine, il est seigneur de Plainville à partir de 1463. Il présentera son fils lors de la montre de Beaumont de 1470. Saturnin Néel possède le fief au début du XVIIe siècle ; et serait ainsi le dernier Néel qui possédera le fief.

  • La famille du Bosc-Henry

On trouve ici la famille qui aura sans doute eu le plus d'importance pour la commune de Plainville. Le premier de la lignée fut Jean du Bosc-Henry qui a rendu hommage au fief de Plainville en 1577, celui-ci fut aussi baron de Drucourt (ces enfants reprendront la seigneurie de ce village par la suite). Son frère Philbert (ce nom apparait dans les recherches de généalogie mais le nom de Philippe apparait dans certaines œuvres[22],[23]) reprit probablement la seigneurie à sa suite et sa descendance en garda la possession. Cela commença par son fils Robert, il ne posséda sûrement pas longtemps le fief étant donné qu'il mourut en 1648 seulement 3 ans après Philbert (1645). Son fils Jean-Baptiste, né en 1647, dut reprendre la seigneurie dès qu'il en fut d'âge avant de mourir en 1684. François, né en 1675 fut son héritier et ne dut passer le flambeau que très tard étant donné qu'il ne mourra qu'à l'âge de 92 ans soit en 1767.

Enfin la dernière génération de seigneurs de la famille fut plus abstraite, Esprit-Jean-Baptiste qui était communément appelé chevalier de Plainville, capitaine du régiment de Monaco et a qui l'on doit probablement la construction du château actuel (daté de 1754)[24], mourut assassiné et jeté dans la Seine à Ambourville en 1768. Lors du dépôt de ses bans de mariage en 1752 avec Marguerite Suzanne De Ragayne De Tallonay, il est décrit comme seigneur de Plainville, son père lui laissa donc probablement le fief bien avant sa mort. Cependant entre 1768 et la Révolution, il n'y a pas de trace d'un réel seigneur, Esprit-Jean-Baptiste n'ayant pas eu de fils, c'est probablement un de ses deux frères (certainement Jacques Hubert[22]) qui dut reprendre la seigneurie.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs [25]
Période Identité Étiquette Qualité
- 1798 Jean Tasdhomme (père)   Agent communal
1798 1800 François Voniey    
1800 1811 Jean Tasdhomme (fils)    
1811 1829 Charles Hourdet    
1829 1835 Nicolas-Jacques Gueroult    
1835 1840 Jean-Victor Desménages   Cultivateur
1840 1848 Ferdinand Haitte    
1848 1850 Jean-Victor Desménages   Cultivateur
1850 1870 Louis-Ernest Hubert   Propriétaire
1870 1888 Théodule Laplanche   Cultivateur
1888 1912 François Petit   Cultivateur
1912 1918 Constant Bréavoine   Cultivateur
1929 1964 Marcel Mabire   Cultivateur
1965 1977 Gaston Anne    
1977 mars 2008 Michel Bouckaert DVD Cultivateur
mars 2008 En cours Jean-Louis Vila DVD Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 204 habitants[Note 3], en augmentation de 6,81 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
331327331403360326326515278
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
260274215228225200192186162
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
178173166142153153171150134
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
140146129166171205189185192
2014 2019 2021 - - - - - -
189205204------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

La commune de Plainville compte un édifice classé au titre des monuments historiques :

  • l'église Saint-Saturnin (XIIIe, XVIe et XVIIIe),   Classé MH (1886)[30]. La nef et le portail date du XIIIe siècle. La charpente de la nef fait l'objet d'une reconstruction au XVIe siècle. Les fenêtres du chœur sont du XVIIIe siècle. Enfin, la croix monumentale porte la date 1763[31].

Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • un château du milieu du XVIIIe siècle[32]. Ce château a été bâti en 1754 d'après A. Leprevost. Le fronton porte la date 1761 ;
  • six fermes : une du XVIe siècle au lieu-dit le Val-Auger[33], deux du XVIIe siècle au lieu-dit Tourmesnil[34] et au lieu-dit le Lieu de Bas[33], une du XVIIIe siècle au lieu-dit la Héberdière[35], une des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Bosc-Ricard[36] et enfin, une du XIXe siècle au lieu-dit la Vassourie[37].

Personnalités liées à la commune modifier

L'abbé Bessin modifier

Alexandre-Jacques Bessin, ou l'abbé Bessin, né en 1754 à Glos-la-Ferrière et mort en mars en 1810 à Plainville (Plainville-Tour-Ménil à l'époque) était curé de cette dernière commune. Il était réputé pour ses poèmes tel « L'école des Sages » et ses liens avec les nombreux philosophes et grands écrivains de l'époque comme Voltaire ou Delille. Ce dernier venait même régulièrement en séjour au presbytère de Plainville, chez l'abbé Bessin, pour y écrire ses œuvres. Peu avant sa mort, Voltaire écrivit à l'abbé pour lui faire part de sa sympathie pour son travail et sa personne[38].

Héraldique modifier

  Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à la gerbe de blé d'or, au 3e d'argent au taureau arrêté de gueules[39].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. http://www.atlaspaysages.hautenormandie.fr/CONNAITRE-LES-PAYSAGES-HAUTS-NORMANDS/Les-pays-de-l-ouest-de-l-Eure/Le-Lieuvin (consulté le 27 mars 2017).
  2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  3. Rapports et délibérations - Conseil Général de l'Eure - 1904
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre Plainville et Bernay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 158.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
  19. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard 1979. p. 40.
  20. François de Beaurepaire, op. cit.
  21. François de Beaurepaire, op. cit., p. 88.
  22. a b et c M. Charpillon, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l’Eure. Histoire, géographie, statistiques, réédition 1968 (de l'original 1868 - 1879 ), F.E.R.N., Avallon, 2 volumes, Volume 2.
  23. Histoire de Saint-Martin du Tilleul par Auguste Le Prévost p. 115.
  24. Gentilhommières des pays de l'Eure, Franck Beaumont, Philippe Seydoux , Morande, 1999
  25. Archives départementales de l'Eure
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Église », notice no PA00099510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Église paroissiale Saint-Saturnin », notice no IA00018189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Château », notice no IA00018190, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. a et b « Ferme », notice no IA00018196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Ferme », notice no IA00018197, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Ferme », notice no IA00018193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Ferme », notice no IA00018192, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Ferme », notice no IA00018195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Œuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques
  39. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20058

Liens externes modifier

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