Musée Soulages

musée français d’art contemporain à Rodez
Musée Soulages
Informations générales
Ouverture
Surface
6 200 m2
Visiteurs par an
135 657 (2019)[1]
Site web
Collections
Collections
Nombre d'objets
plus de 500 (œuvres et documents)
Label
Localisation
Pays
France
Commune
Adresse
Jardin public du Foirail
Avenue Victor-Hugo
Coordonnées
Carte

Le musée Soulages est un musée d'art contemporain situé à Rodez, dans l'Aveyron, en région Occitanie.

Construit pour exposer des œuvres du peintre français Pierre Soulages, il reçoit également des expositions temporaires d'autres artistes contemporains. Il obtient le label « Musée de France » le , avant même que la première pierre ne soit posée. Il est construit sur le plateau du Foirail, aux portes du centre historique de Rodez et de la cathédrale Notre-Dame. L'inauguration se déroule en présence du président de la République, François Hollande, le .

Le projet modifier

Genèse modifier

L'idée de construire un musée vient de Marc Censi, maire UMP de Rodez de 1983 à 2008. Cette idée est validée par l'artiste en raison de la proximité de la cité ruthénoise et du village de Conques :

« J'ai accepté, car ce projet est lié à l'abbatiale de Conques, un lieu proche de Rodez, auquel je suis très attaché. Adolescent, j'ai tellement été bouleversé par la beauté de l'architecture de cette église que j'ai décidé de me consacrer à l'art. Lorsqu'on m'a demandé de réaliser ses vitraux, je n'ai pas hésité. Ce travail a occupé sept années de ma vie [entre 1987 et 1994]. La proposition, faite par Marc Censi, de montrer les maquettes qui ont conduit à leur fabrication m'a enthousiasmé[2]. »

Malgré l'accord de l'artiste, le musée ne rencontre pas au départ un enthousiasme général, l'idée entraînant polémiques et débats : « Il a eu ses défenseurs et ses détracteurs » précise Christian Teyssèdre, maire de Rodez aux commandes en 2008[3]. Beaucoup se demandent comment une agglomération de 52 000 habitants, comportant déjà deux musées, pourrait financer un troisième. Un sondage de 2009 montre une très large hostilité au projet de la part de la population locale[3].

Le , le musée Soulages - encore en projet - entre dans le cercle du label des musées de France. En et après de nombreuses études en termes d'impact économique et touristique, le conseil de la communauté d'agglomération du Grand Rodez autorise la poursuite du projet en lançant un concours architectural. Avec une centaine de projets architecturaux émanant du monde entier, l'équipe RCR Arquitectes, basée à Olot en Catalogne (Espagne) est lauréate du concours de maîtrise d’œuvre. Le socialiste Christian Teyssèdre poursuit le projet[3]. Le , la communauté d'agglomération du Grand Rodez approuve la réalisation du musée. La première pierre est posée le en présence de l'artiste et de nombreux responsables politiques. Les critiques émises lors de l'avant-projet disparaissent peu à peu au fur et à mesure de l'avancement de la construction, même si des doutes subsistent sur son budget de fonctionnement[3].

Financement modifier

Le coût de construction de ce musée est d'environ 25 millions d'euros[4],[5]. La Communauté d'agglomération du Grand Rodez, maître d'ouvrage, inscrit dans son budget le montant de 26,141 millions d'euros[6].

Ce musée est un établissement public (Établissement public de coopération culturelle depuis juillet 2019) cofinancé par la communauté d'agglomération du Grand Rodez, le ministère français de la Culture et de la Communication, le conseil régional d'Occitanie et le conseil départemental de l'Aveyron.

En 2014, pour la première année d'ouverture au public, le budget de fonctionnement est évalué à 1 200 000  par an[4] pour une estimation de 100 000 visiteurs[7].

En 2019 le musée a accueilli 136 000 visiteurs et atteint le million de visiteurs en 2021[8].

Architecture modifier

 
Architecture en porte-à-faux de l'entrée du musée.

La conception architecturale du musée est confiée début 2008 à l'agence catalane RCR Arquitectes (Olot) associés à Passelac & Roques Arquitectes[9],[10]. Le bâtiment est construit dans le parc du Foirail, à quelques centaines de mètres du centre historique de la cité et de la Cathédrale Notre-Dame de Rodez. Conçu comme « un musée dans un jardin », il prend la forme d'un long socle duquel émergent cinq volumes d'acier rouge corrodé (acier Corten). Les architectes ont pleinement tiré parti de son implantation sur un talus et, ainsi, libéré des vues sur le paysage lointain (plateau de l'Aubrac), offrant de la sorte une ré-interprétation contemporaine des fenestras de Rodez (petits squares panoramiques qui jalonnent les boulevards du tour de ville). Mais ce musée n'est pas exclusif à Pierre Soulages, une salle de 500 m2 est offerte à des expositions temporaires d'artistes modernes et contemporains[11].

Le , le cabinet d'architecture RCR Arquitectes reçoit le prix d'architecture espagnole internationale, décerné par la Fondation espagnole pour l'architecture contemporaine[12].

Le , le collectif se voit décerner le Prix Pritzker[13].

Emplacement modifier

Le musée s'implante sur l'ancien site du jardin public du Foirail. Cette localisation, emblématique site historique d'animation de la vie des grands Ruthénois, offre un grand espace pour la culture et les loisirs, associant un cadre paysager soigné à un ensemble d'équipements culturels. Le plateau du Foirail assure la jonction entre le quartier de Bourran et la cathédrale de Rodez. Occupant notamment l'emplacement des Halls Charles, détruits en 2007, et de l'ancienne salle des fêtes, d'autres équipements culturels et économiques viennent compléter l'offre du musée Soulages.

  • Près du Haras et du stade Paul-Lignon, la salle des fêtes de 2 800 m2 a été inaugurée le par son concepteur, Emmanuel Nebout et des représentants politiques[14]. D'une architecture futuriste et originale[15], elle marque la césure totale entre le centre historique et ce nouveau quartier. Elle a la particularité d'offrir une vaste zone découverte, et sa configuration lui permet d'accueillir, grâce à ses équipements (loges, vestiaires, moyens audio-visuels, grand écran, scène), des salons, expositions, fêtes, manifestations d'associations, d'entreprises. À cette salle, en est juxtaposée une autre (qui peut être scindée en deux). Elle peut faire office de vestiaire ou de bar, voire de salle de réunion. Enfin, dans les étages, 3 salles de réunions sont disponibles. L'ensemble du bâtiment entre en synergie et complémentarité avec la restructuration et l'agrandissement du stade Paul-Lignon, et, d'une manière plus large, avec le Multiplexe et le musée afin de répondre à des manifestations économiques ou culturelles.
  • Sur l'esplanade du Foirail et jouxtant le musée, un complexe cinémas / congrès comprenant 10 salles, pour un total de 1 600 places, réparties sur deux niveaux, dont la plus grande contient près de 500 places assises, est livrée en [16]. Double accès (côté giratoire de l'Europe et avenue Victor-Hugo). Un espace de restauration est intégrés dans l'enceinte du pôle cinématographique comprenant également deux autres commerces[17]. Ce complexe cinématographique, avec des espaces d'animations et d'expositions, a la particularité d'offrir, dans l'ensemble de ses salles, des diffusions entièrement en numérique ; par ailleurs, il est équipé pour visionner des films en 3D. Enfin, ce complexe peut également servir de lieu de conférences, conventions ou encore de congrès, grâce aux moyens audio-visuels et de vidéo-conférence. Il est évoqué, en outre, la possibilité de retransmissions culturelles ou sportives.
  • Édifié à 10 m de profondeur et sur deux niveaux sous l'esplanade, un parking de 400 places est accessible.

Ces nouvelles constructions s’insèrent dans la trame du jardin, et dans un nouveau cheminement reliant l'avenue Victor-Hugo et l'avenue du 122e RI. Elles se situent à la fois en proximité et en continuité de ceux du Vallon des Sports (Centre nautique, Gymnase-Dojo, le centre culturel L’Amphithéâtre) d'un côté, et du patrimoine et autres équipements culturels du centre historique de l'autre.

Inauguration modifier

L'inauguration du musée a lieu le [18],[19] en présence de Pierre Soulages, du président de la République François Hollande, de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, la ministre du Logement et de l'Égalité des territoires Sylvia Pinel[20], le président du conseil régional de Midi-Pyrénées Martin Malvy[21], les députés Yves Censi et Marie-Lou Marcel, la préfète Cécile Pozzo di Borgo, le maire de Rodez et président du Grand Rodez Christian Teyssèdre, l'ancien Premier ministre Michel Rocard[20].

La collection modifier

 
Pierre Soulages en 2019.

Première donation en 2005 modifier

Pierre Soulages consent une première donation d'environ 250 œuvres à la communauté d'agglomération du Grand Rodez[22]. La première donation effectuée en comprend 21 peintures sur toile, 100 peintures sur papier, 49 eaux-fortes (avec les plaques de cuivre), 41 lithographies, 26 sérigraphies, trois bronzes, un fonds documentaire (livres, films, photographies, correspondances, articles, documents) ainsi que la totalité des travaux liés à la création des vitraux de l'abbatiale de Conques (vitraux, essais de verre, cartons grandeur nature, archives et documents divers) mais aussi un ensemble unique, dont des gouaches, des encres et les Brous de noix. La valeur de l'ensemble est estimée, à ce moment-là, à 16,2 millions d'euros[23]

Seconde donation en 2012 modifier

La valeur en est estimée à près de 7 millions d'euros. Parmi les nouvelles pièces figure un « outrenoir » de 3,24 m sur 3,62 m, datant de 1986[24]. Il est estimé à un million d'euros. Les « outrenoir(s) » qui ont contribué à la reconnaissance internationale de l'artiste manquaient au fonds ruthénois. Pierre Soulages a également offert à Rodez treize peintures de la période 1946-1948, une période très recherchée[24],[25]. Au total, lors de l'ouverture, c'est un fonds de 500 œuvres et documents qui auront été données par l'artiste.

Troisième donation en 2020 modifier

Parmi les nouvelles pièces figure un « outrenoir » de 3,90 m sur 1,30 m, datant de mars 2019. Pierre Soulages offre également à Rodez dix-huit peintures sur papier datant des années 1940-50 (les brous de noix dès 1946 et aussi des gouaches, fusains ou encres sur papier), quatre grandes toiles emblématiques datant de 1949 à 2000[26], ainsi qu'un vase réalisé par la Manufacture de Sèvres (produit seulement en dix exemplaires, dont un se trouve au Palais de l'Élysée) à la demande du Président Jacques Chirac, destiné à être remis en guise de trophée lors d’un grand prix de Sumo à Nagoya au Japon en 2000[27], unique création céramique de l'artiste[28],[29]. Ces œuvres rejoignent les murs du musée en février 2021[30].

Quatrième donation en 2023 modifier

Ce nouveau don décidé par Colette Soulages, effectué en juin, comprend sept peintures dont quatre polyptyques de grandes dimensions, trois verticaux et un horizontal : Peinture 324 × 181 cm, , Peinture 324 × 181 cm, , Peinture 244 × 362 cm, et Peinture 324 × 181 cm, . Les trois autres toiles témoignent des créations les plus récentes du peintre : Peinture 175 × 175 cm, , Peinture 130 × 81 cm, et Peinture 102 × 130 cm, [31]. Le musée devient, avec cette donation, le seul au monde à présenter l'œuvre peint complet de l'artiste, des premières peintures figuratives de 1934 à la toute dernière toile[32].

Autres dons modifier

En , le galeriste Karsten Greve, ami du peintre, fait don du polyptyque Peinture 324 × 181 cm, 19 janvier 1997, œuvre considérée comme majeure[33],[34]. Il s'agit de la première donation d'un particulier dont bénéficie le musée[35].

Expositions temporaires modifier

  • De Picasso à Jasper Johns, l'atelier d'Aldo Crommelynck : du 14 novembre 2014 au 8 mars 2015[36].
  • Le bleu de l'œil, Claude Lévêque : du 24 avril au 25 septembre 2015[37].
  • Soto, une rétrospective : du 12 décembre 2015 au 30 avril 2016[38].
  • Picasso au musée Soulages : du 11 juin au 25 septembre 2016[39].
  • Tant de temps! : du 3 décembre au 30 avril 2017[40].
  • Calder. Forgeron de géantes libellules : du 24 juin au 29 octobre 2017[41].
  • Les Soulages du Centre Pompidou : du 7 juin 2017 au 7 janvier 2018.
  • Le Corbusier : du 27 janvier au 20 mai 2018[42].
  • Gutai l'espace et le temps : du 7 juillet au 4 novembre 2018[43].
  • Pierre Soulages, œuvres sur papier - une présentation : du 4 décembre 2018 au 31 mars 2019[44].
  • Pixels Noir Lumière, Miguel Chevalier : du 19 avril au 26 mai 2019[45].
  • Yves Klein, des cris bleus : du 21 juin au 3 novembre 2019[46].
  • Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculpture : du 14 décembre 2019 au 31 octobre 2020[47] .
  • Le Chat visite le musée Soulages : du 24 octobre 2020 au 26 septembre 2021[48].
  • Gilles Barbier, machines de production : du 18 décembre au 26 septembre 2021[49].
  • Chaissac & CoBrA, sous le signe du serpent : du 16 novembre 2021 au 8 mai 2022.
  • Fernand Léger, la vie à bras-le-corps, du 6 juin au 6 novembre 2022[50].
  • Les derniers Soulages. 2010-2022 : du 24 juin 2023 au 7 janvier 2024[51]. Exposition composée de 39 œuvres datant des douze dernières années[52].
  • Discrete Series. Pierrette Bloch, l'amie du peintre : du 10 février au 19 mai 2024[53].

Fréquentation modifier

En un an (de à ), le musée a reçu 250 000 visiteurs[54]. Le , celui-ci franchit le cap des 500 000 visiteurs[55]. Le musée fête son millionième visiteur le [56],[57]. Au , le musée a reçu un total de 1 336 319 visiteurs[58].

Source : Plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture[59]

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. 136 000 visiteurs en 2019, l'année du centenaire du peintre a réussi au musée Pierre Soulages de Rodez par Laurence Boffet sur le site de franceinfo du 6 janvier 2020.
  2. « Lumière sur le musée Soulages » sur L'Express, 21 août 2008
  3. a b c et d « VIDEO. Peinture fraîche au musée Soulages », sur LExpress.fr, (consulté le )
  4. a et b « Rodez. Chauzy s'interroge sur le financement du musée Soulages », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi,
  5. « Musée Soulages: le maire de Rodez aurait voulu plus d'aide de l'Etat », sur LExpress.fr, (consulté le )
  6. « L'enfant de Rodez », sur L'Obs, (consulté le )
  7. « Rodez : 100 000 visiteurs espérés au musée Soulages », sur midilibre.fr, Les Journaux du Midi, (consulté le ) : « Selon une étude de 2007, le musée Soulages pourrait accueillir 100 000 visiteurs dès la première année »
  8. « Rodez : un million de visiteurs au musée Soulages ! », sur Centre Presse,
  9. Brève in : « Le noir a son lieu de culte », Vogue Paris, Condé Nast, no 948,‎ , p. 68 (ISSN 0750-3628)
  10. « RCR arquitectes musée Soulages Rodez », (consulté le ).
  11. Pierre Soulages : « Je refuse d'être un mausolée » entretien dans Le Figaro du 10 mars 2013.
  12. Le Musée Soulages de Rodez remporte la plus haute distinction architecturale espagnole sur France 3 régions, 4 novembre 2015
  13. « Les catalans RCR remportent le Prix Pritzker-2017 d'architecture », les Échos.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. La nouvelle salle des fêtes a conquis ses nombreux visiteurs sur midilibre.fr, 8 janvier 2012
  15. Le mariage éblouissant des arts et de l’architecture, sur les flancs de Rodez, Le Monde, 29 mai 2014
  16. Rodez. Multiplexe du Foirail : « Un plus pour la ville » - Aveyron : Ladépêche.fr sur La Dépêche.fr, 30 décembre 2012
  17. Multiplexe à Rodez : le bon coût de la mairie sur La Dépêche, 21 janvier 2011
  18. Inauguration du musée Soulages à Rodez sur La Dépêche, 30 mai 2014
  19. Soulages, soleil noir de Rodez sur Le Parisien.fr, 30 mai 2014
  20. a et b « Le président de la République François Hollande a inauguré le musée Pierre Soulages à Rodez », sur France 3 Occitanie (consulté le )
  21. « À Rodez, François Hollande inaugure le musée Soulages, en présence du "peintre vivant le plus exceptionnel" », sur La Tribune, 2014-05-30cest15:04:17+0200 (consulté le )
  22. « Le musée Soulages », sur Rodez Agglomération (consulté le )
  23. « Rodez (12) - Donation Soulages: un trésor de 16 M€ contre un musée », sur ladepeche.fr (consulté le )
  24. a et b « Rodez : un 2e don de Pierre Soulages », sur midilibre.fr (consulté le )
  25. « Le peintre Pierre Soulages fier de son futur musée à Rodez », sur Franceinfo, (consulté le )
  26. Pierre Soulages, « Troisième donation Pierre et Colette Soulages au Musée Soulages », sur pierre-soulages.com,
  27. Ph. R., « Le cadeau de Pierre et Colette Soulages au musée de Rodez », sur ladepeche.fr,
  28. AFP, « Pierre Soulages fait don d'une vingtaine d'œuvres au musée de Rodez qui lui est dédié », sur lefigaro.fr,
  29. Claire Stathopoulos, « Le peintre Pierre Soulages fait don de nouvelles œuvres au musée de Rodez », sur ladepeche.fr,
  30. Véronique Dalmaz, « À Rodez, le musée Soulages accroche la dernière donation du peintre », sur francetvinfo.fr,
  31. Une donation exceptionnelle et un nouvel horizon pour le musée Soulages à Rodez Communiqué de juin 2023 sur le site du Musée Soulages.
  32. Pierre Soulages : sa toute dernière œuvre donnée au Musée de Rodez par Maud Guilbeault dans le quotidien La Croix du 26 juin 2023.
  33. « Musée Soulages à Rodez : don d'un outrenoir majeur par le galeriste Karsten Greve », sur France Bleu, (consulté le )
  34. Agence France-Presse, « France: le musée Soulages s’enrichit d’un outrenoir « majeur » », sur Mediapart (consulté le )
  35. Une nouvelle œuvre majeure du maître de l'outrenoir offerte au musée Pierre Soulages de Rodez par Laurence Boffet sur le site francetvinfo.fr le 22 septembre 2020.
  36. « "De Picasso à Jasper Johns. L'atelier d'Aldo Crommelynck" : la nouvelle exposition du musée Soulages », sur ladepeche.fr (consulté le )
  37. « "Le bleu de l'œil" de Claude Lévêque scintille au musée Soulages », sur Franceinfo, (consulté le )
  38. « Une magnifique exposition consacrée à Soto au musée Soulages de Rodez », sur midilibre.fr (consulté le )
  39. Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, « « Picasso au Musée Soulages », un événement à ne pas manquer », sur Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, (consulté le )
  40. « «Tant de temps», l'art contemporain s'installe à Rodez », sur ladepeche.fr (consulté le )
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  47. « A Rodez, le musée Soulages rend hommage aux artistes femmes des années 50 », sur Franceinfo, (consulté le )
  48. « A Rodez, Le Chat s’installe jusque fin septembre au musée Soulages », sur leparisien.fr, (consulté le )
  49. « Le plasticien Gilles Barbier inaugure la réouverture du musée Soulages avec ses "Machines de production" », sur Franceinfo, (consulté le )
  50. Aveyron. La rétrospective événement Fernand Léger arrive enfin au musée Soulages
  51. Rodez. Art. "Les derniers Soulages, 2010-2022", l’exposition de l’été au musée Soulages
  52. Caroline Brun, « Les derniers Soulages. 2010-2022 : Le rayonnement du noir », Challenges, no 795,‎ , p. 88 (ISSN 0751-4417)
  53. Rodez : Pierrette Bloch vivait dans l'œuvre de Pierre Soulages, elle s'y dévoile dans son musée par Salima Ouirni dans le quotidien Centre Presse (Aveyron) du 9 février 2024.
  54. Le Musée Soulages se hisse en 3e place des musées de province, Site officiel du musée Soulages
  55. Le Point magazine, « Le musée Soulages franchit le cap des 500.000 visiteurs », sur Le Point, (consulté le )
  56. « Le musée Soulages à Rodez célèbre son millionième visiteur : "Ce n’est pas une fin en soi, juste une étape" », sur midilibre.fr
  57. « Le Musée Soulages de Rodez a accueilli son millionième visiteur le 10 septembre », sur Bilan (consulté le )
  58. [PDF] Dossier de presse des 10 ans du musée
  59. « Fréquentation des Musées de France », sur data.culture.gouv.fr (consulté le )
  60. « Les Bras entrent au musée », sur .lefigaro.fr, (consulté le ).