Monchy-le-Preux

commune française du département du Pas-de-Calais
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Monchy-le-Preux
Monchy-le-Preux
Blason de Monchy-le-Preux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Olivier Degauquier
2020-2026
Code postal 62118
Code commune 62582
Démographie
Population
municipale
658 hab. (2021 en diminution de 4,36 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 14″ nord, 2° 53′ 39″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 113 m
Superficie 9,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arras-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Monchy-le-Preux
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Monchy-le-Preux
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Monchy-le-Preux
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Monchy-le-Preux

Monchy-le-Preux est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 592 habitants en 2020.

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine, qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Géographie modifier

 
Une entrée de la commune.

Localisation modifier

 
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Communes limitrophes de Monchy-le-Preux
Fampoux Pelves
Feuchy   Boiry-Notre-Dame
Wancourt Guémappe Vis-en-Artois

Hydrographie modifier

 
Borne de nivellement sur le mur de l'église - Altitude 113 m.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le Cojeul, cours d'eau de 25 km, qui prend sa source dans la commune de Douchy-lès-Ayette et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Éterpigny[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ARRAS (62) - alt : 74m, lat : 50°15'20"N, lon : 2°52'12"E
Records établis sur la période du 01-01-1987 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,4 5,1 8,4 11,2 13,1 13,1 10,7 7,9 4,4 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,3 7,2 10 13,3 16,2 18,4 18,4 15,4 11,5 7,2 4,3 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,2 11 14,9 18,1 21,2 23,6 23,7 20,1 15,2 9,9 6,7 14,8
Record de froid (°C)
date du record
−14,1
12.01.1987
−13,3
07.02.1991
−9,4
13.03.13
−4,4
20.04.17
−1,3
07.05.1997
2,3
05.06.1991
5,1
31.07.15
4,4
02.08.15
0,5
30.09.18
−4
24.10.03
−8,6
24.11.1998
−12,8
29.12.1996
−14,1
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18,2
26.02.19
24,3
31.03.21
26,8
20.04.18
30,5
12.05.1998
34,4
18.06.22
41,7
25.07.19
37,6
06.08.03
34,6
15.09.20
29,3
01.10.11
19,9
07.11.15
16,1
07.12.00
41,7
2019
Précipitations (mm) 56,7 48,7 50,2 42,7 61 60,9 64,9 62,9 57,6 65,4 64 76,4 711,4
Source : « Fiche 62873001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le marais de Wancourt-Guemappe, d’une superficie de 76 hectares et d'une altitude variant de 51 à 70 mètres. Ce site constitue un vaste espace humide entouré par de l’agriculture intensive, il est composé d’un complexe de prairies alluviales anciennement exploitées, à courtes périodes d’inondations et est souvent asséché l'été[8].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée, d’une superficie de 50,53 km2 et d'une altitude variant de 30 à 45 mètres. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Monchy-le-Preux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Monchiacum (1235) ; Monchi le Perreus (1261) ; Monchiacum Petrosum (1270) ; Monci-le-Perreus (1308) ; Monchy-le-Preus (1322) ; Monchy-le-Preulx (xve siècle) ; Monchy-Perreus (1330) ; Moncy-le-Perreur (1419) ; Monchy-lez-Perreux (1515) ; Monchy-Proeux (1613) ; Monchy-lez-Preux (1785)[16].

Preux est une variante de Perreux.

Histoire modifier

Monchy-le Preux-constituait une position stratégique importante près d'Arras lors de la guerre 1914-1918. Des combats sanglants s'y déroulèrent. C'est à partir du village que les Allemands bombardèrent Arras et détruisirent le beffroi. Cependant c'est sur le territoire de Monchy que l'on peut voir le long de la RD 939 une borne marquant la limite de l'avancée de l'armée allemande pendant la Première Guerre mondiale. À la suite des bombardements le village a dû être reconstruit et en 1921 le village fut entièrement reconstruit grâce à Fréderic Mhinnai

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton d'Arras-2.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

 
La mairie.
 
Le monument aux morts.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2001 François Buziaux SE Retraité SNCF
mars 2001 mars 2008 Serge Lemette[17] SE Agriculteur
mars 2008 mai 2020[18] Michel Zéchel[19],[20],[21]   Ancien directeur divisionnaire des impôts
mai 2020[22] mai 2020[22],[23] Jean-Claude Warambourg   Démissionnaire dès son élection
mai 2020 En cours
(au 25 septembre 2020)
Olivier Degauquier SE Directeur d'établissement médico-social[24],[25],[Note 5],[26],[Note 6],[27]

Jumelages modifier

La commune est jumelée avec Monchy-sur-Eu (France, Seine-Maritime), depuis 1990.

Population et société modifier

Démographie modifier

 
L'église.

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 658 habitants[Note 7], en diminution de 4,36 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
632648763825795770801825797
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
698702705707696728732715726
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
717688656216403426438482470
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
437465423455487521554550612
2014 2019 2021 - - - - - -
681647658------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 319 hommes pour 330 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,0 
3,4 
75-89 ans
6,7 
17,9 
60-74 ans
14,6 
24,8 
45-59 ans
22,5 
21,6 
30-44 ans
23,1 
11,3 
15-29 ans
11,9 
20,4 
0-14 ans
21,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie et Industrie modifier

  • Importante boulangerie industrielle du groupe belge Vandemoortele, 150 p.[34] (auparavant connue sous le nom de Croustifrance).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monument en bronze du sculpteur britannique Basil Gotto érigé pour commémorer le sacrifice des membres du régiment royal de Terre-Neuve qui ont tenu leur position le .

Le caribou, emblème de ce régiment, se dresse sur les ruines d'une cave fortifiée par les Allemands, en direction de la Colline de l'Infanterie, cairn granitique d'où l'armée allemande organisait sa défense. Des caribous semblables se trouvent à Masnières, Beaumont-Hamel, Gueudecourt et Courtrai.

Personnalités liées à la commune modifier

L'architecte et théoricien Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), à qui l'on doit la restauration et la sauvegarde de très nombreux édifices en France (Vézelay, Notre-Dame de Paris et Notre-Dame d'Amiens, Carcassonne, Saint-Sernin de Toulouse, etc.) avait conçu les plans d'une petite chapelle de style gothique pour monsieur Louis Florent, élu député du Pas-de-Calais à plusieurs reprises.

Il fit venir les sculpteurs amiénois Aimé et Louis Duthoit, forts réputés en leur temps et dans cette région, pour sculpter un petit autel de pierre et y placer une belle statue de Vierge à l'Enfant (vers 1863), attribuée à Jean-Baptiste Carpeaux (exposée dans un musée d'Arras).

Cette chapelle fut rasée pendant la Première Guerre mondiale. Elle dépendait d'un château occupé par les Allemands, d'où le Kromprinz (Frédéric-Guillaume, fils de l'empereur Guillaume II) vint suivre les épisodes du siège d'Arras. Le château (et sa chapelle) de la famille Florent fut reconstruit après la Grande Guerre, ainsi que la totalité du village. Pour l'édifice initial, le château de Pau avait servi de modèle d'inspiration à l'architecte[35].

L'entraineur de football, Guy Roux a habité le village lorsqu'il entrainait le Racing Club de Lens au début de la saison 2007/2008.

Héraldique modifier

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

de sable à l'écusson d'argent chargé d'un arbre de sinople, accompagné de quatre clefs adossées d'argent, les pannetons vers la pointe ordonnées 2 à 2.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Mars 2021 : Démission du 1er Adjoint Frédéric Legland.
  6. Juin 2021 : Démission du 3ème Adjoint Eric Dewever.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cojeul (E1560650) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Monchy-le-Preux et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « ZNIEFF 310030032 - Marais de Wancourt-Guemappe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 256.
  17. « À la mémoire de Monsieur Serge Lemette », sur memoire.lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  18. « À Monchy-le-Preux, de nombreuses réalisations pour le dernier mandat du maire : https://www.lavoixdunord.fr/620178/article/2019-08-01/monchy-le-preux-de-nombreuses-realisations-pour-le-dernier-mandat-du-maire », La Voix du Nord,‎ (Michel Zéchel a œuvré avec sa municipalité à équiper et à dynamiser le village. Alors qu’il s’apprête à passer la main, le maire dresse le bilan de ce deuxième mandat, consulté le ) « Michel Zéchel ne se représentera pas en mars pour un nouveau mandat de maire. «  J’arrête, ma décision était déjà prise dès l’entame de ce mandat en 2014. Être maire, ça use et ça prend beaucoup de temps.  » Pour les municipales de 2020, le maire apporte son soutien à son premier adjoint, Jean-Claude Warembourg, qui sera accompagné de membres du conseil sortant ».
  19. Nicolas André, « Bilan des maires - Monchy-Le-Preux - Michel Zéchel: « Assurez le développement tout en veillant à conserver l’identité rurale » : Michel Zéchel, élu en mars 2008 avait succédé à Serge Lemette. Cet ancien directeur divisionnaire des impôts s’est tout naturellement familiarisé avec la paperasserie et les finesses de la gestion communale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Monchy-le-Preux : Michel Zechel, réélu pour un second mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Sarah Bardis, « Les projets du maire de Monchy-le-Preux: un béguinage et la mairie rénovée : Son projet phare ? Un béguinage. Pour son second mandat à la tête de Monchy-le-Preux, Michel Zechel ne se laisse pas abattre par la morosité. Il continue sur sa lancée pour améliorer la qualité du patrimoine foncier », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a et b « Coup de théâtre à Monchy-le-Preux : aussitôt élu le maire démissionne et est remplacé ! : À peine élu maire, Jean-Claude Warambourg a démissionné, celle qu'il voyait première adjointe ayant été battue par Olivier Degauquier qui est finalement devenu… maire ! », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Nathalie Labreigne, « À Monchy-le-Preux, Jean-Claude Warambourg renonce au fauteuil de maire : Il avait sollicité la préfecture pour faire invalider l’élection d’Olivier Degauquier. Mais devant la lourdeur de la procédure, Jean-Claude Warambourg préfère jeter l’éponge », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Laurent Boucher, « Monchy-le-Preux : déception et tensions en marge du conseil municipal : L’élection d’Olivier Dugauquier après la démission de Jean-Claude Warambourg, alors que ce dernier venait tout juste d’être élu maire, complique la conduite des affaires municipales. En atteste l’ambiance mardi soir à la salle polyvalente », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Laurent Boucher, « Monchy-le-Preux : Olivier Degauquier, un maire « surprise » qui a vite pris ses marques : Élu dans la foulée de la démission surprise de Jean-Claude Warambourg lors d’un conseil municipal rocambolesque, le 25 mai, Olivier Degauquier n’a pas tardé à entrer dans le vif du sujet à la tête de la mairie. Il ne manque pas de projets pour dynamiser le village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Monchy-le-Preux : la démission du premier adjoint, signe de tensions municipales persistantes », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  27. « Monchy-le-Preux : le maire veut voter le retrait de sa délégation, l’adjoint lui coupe l’herbe sous le pied », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchy-le-Preux (62582) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. « Le belge Vandemoortele poursuit son expansion à Arras - Quotidien des Usines », sur usinenouvelle.com/ (consulté le ).
  35. R. Delas, auteur d'une thèse de doctorat sur l'œuvre d'Aimé (1803-1869) et de Louis Duthoit (1807-1874) à l'Université de Picardie Jules-Verne (Amiens).