Marboué

commune française du département d'Eure-et-Loir
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Marboué
Marboué
L'église Saint-Pierre
Logo monument historique Classé MH (1908)[1].
Blason de Marboué
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Gaëlle Chasseloup
2020-2026
Code postal 28200
Code commune 28233
Démographie
Population
municipale
1 139 hab. (2021 en augmentation de 1,79 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 50″ nord, 1° 19′ 50″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 158 m
Superficie 26,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Marboué
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Marboué
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Marboué
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Marboué
Liens
Site web http://www.marboue.fr

Marboué est une commune française située dans le sud du département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Situation et géographie générale modifier

Le village de Marboué est situé dans la vallée creusée par la rivière le Loir. Le territoire de la commune s'étend jusque dans les dernières plaines de Beauce à l'ouest, où se situent quelques hameaux dépendants de cette commune : Mortiers, Vilsard, Anouillet, le Plessis, le Tronchet et Villarmoy.

L'occupation du sol est dominée par la culture d'openfield sur une mince couche de limons fertiles posé sur un calcaire de Beauce assez argileux. Les cultures s'étendent jusque dans la plaine alluvionnaire de la vallée du Loir. La commune est désormais en situation périurbaine de la ville de Châteaudun.

Communes limitrophes modifier

Hameaux, lieux-dits et écarts modifier

  • Anouillet : sur la route de Logron à Marboué, compte 24 habitants.
  • Écoublanc : lieu avec un moulin qui appartenait aux religieuses bénédictines de l'abbaye Saint-Avit-les-Guêpières. En , l'abbesse Catherine I d'Illiers de Balsac passe un marché devant le notaire Charles Mauduit pour faire procéder à la réparation des chaussées de ce moulin[2].
  • Mortiers : un hameau de 21 habitants, à proximité de Logron et de son hameau Le Grand Juday, également relié à Flacey et son hameau Chanteloup par un chemin herbeux.
  • Le Plessis : sur la route de Châtillon-en-Dunois, compte 40 habitants. L'ancienne seigneurie comportait un château dont il ne reste que des communs et un pigeonnier, devenu gîte rural, et était connue sous le nom de Le Plessis-Hugon.
  • Le Tronchet : au sud-ouest de la commune, compte 39 habitants et a conservé sa mare.
  • Villarmoy : dont le nom signifie « maison éloignée des importuns »[réf. nécessaire], compte 30 habitants.
  • Vilsard : du latin « maison bien tenue »[réf. nécessaire], est un hameau de 30 habitants.

Voies de communication et transports modifier

Réseau routier modifier

La commune est située en zone périurbaine de Châteaudun, à 5 km au nord et sur un axe routier important la route nationale 10, ce qui explique sa croissance démographique positive depuis 1982. Plus à l'ouest, la D 955, l'ancienne route nationale 155 reliant Orléans à Saint-Malo traverse également le territoire de la commune.

 
Sources : Les contributeurs d'Openstreetmap, Corine Land Cover (European Environment Agency), Institut géographique national.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 631 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteaudun », sur la commune de Jallans à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 603,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marboué est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80 %), forêts (11,4 %), prairies (3,8 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Marboué est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Loir. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2021[17],[15].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marboué.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[18]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 553 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 448 sont en aléa moyen ou fort, soit 81 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Marboetum vers 1100[22].

Histoire modifier

Préhistoire et antiquité modifier

De nombreuses traces d'occupation gallo-romaine concernent les environs de Marboué et, en premier lieu, la villa gallo-romaine de Mienne qui attira les spécialistes au XIXe siècle lorsqu'elle fut mise au jour lors de la construction du pont actuel sur le Loir. Les toponymes des hameaux Vilsart (ferme bien tenue) et Villarmoy (ferme en recul) en sont d'autres exemples.

Moyen Âge, Renaissance et Grand Siècle modifier

 
Porte présumée appartenir à l'ancien château du Plessis-Hugon. Détermination par géoréferencement du cadastre napoléonien.

Le Moulin d'Écoublanc, dont le nom se réfère à la confluence entre la Conie et le Loir, est connu dès le XIIIe siècle. Le Plessis-Hugon, dit aujourd'hui plus simplement Le Plessis, fut le siège d'une seigneurie avec une famille ayant plusieurs propriétés dans les environs. Du château, il ne subsiste que des communs.

La route royale de Paris à Bayonne est bâtie vers 1777. Elle effectue un coude dans le village par une avenue jusqu'à un fragile pont de bois sur le Loir immédiatement à l'est de l'actuelle piscine, longe cette rivière momentanément et reprend sa course sur le plateau pour dépasser Châteaudun.

Époque contemporaine modifier

XIXe siècle modifier

Au XIXe siècle, l’État entreprend plusieurs travaux dans le village. Il construit un pont et une déviation pour la route de Paris à Bayonne et améliore le moulin d'Écoublanc.

En 1828, Marboué absorbe une partie de la commune de Saint-Lubin-d'Isigny et de ses hameaux, située sur le plateau ouest. Ce village disparait.

Le maréchal Ney logea au château des Coudreaux.

XXe siècle modifier

En juin 1938 est ouverte la piscine-plage de Marboué[réf. nécessaire]. Première en date du département, elle est remplie d'eau de la rivière.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'Occupation, le réseau Comète fait transiter les aviateurs alliés tombés au-dessus du Nord de la France et de la Belgique vers le camp de Fréteval, maquis de la Résistance.

En , quelques jours après le débarquement, un groupe d'aviateurs (Johnson, Wickman, Hyde, Taylor, Blair, Krol) auparavant pour la plupart cachés à Paris, est en route vers le maquis de Fréteval à travers petites routes et chemins. Ils sont guidés par Virginia d'Albert-Lake et son mari Philippe, qui contribue au réseau à Paris, et Daniel Cogneau, professeur de gymnastique et résistant local sous le pseudonyme Henri.

Le convoi est surpris à la sortie sud du lieu-dit le Plessis[23], alors qu'une voiture d'Allemands s'engage sur la petite route menant au hameau. Virginia, arrêtée alors que le reste du convoi réussit à s'enfuir dans les bosquets en lisière du hameau, ne révèle ni les noms et adresses des résistants Dunois rencontrés durant la route, ni aucune information mettant en danger le camp de Fréteval.

Elle est déportée jusqu'à sa libération[24] et décorée de la Légion d'honneur.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Mars 1995 26 mai 2020 Serge Fauve PS Cadre bancaire
Conseiller général du canton de Châteaudun (1998-2015)
26 mai 2020 En cours Gaëlle Chasseloup   Assistante commerciale en disponibilité


Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 139 habitants[Note 3], en augmentation de 1,79 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6906456266868301 0441 0241 0471 107
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0871 0801 0901 017976971934948942
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0051 0281 001832830799793855900
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0069519291 0151 0521 1171 1501 1571 113
2017 2021 - - - - - - -
1 1471 139-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

La commune a accueilli dans les années 2000, et à cinq reprises, le festival de la Vache Folle, un festival de musiques actuelles.[réf. nécessaire]

Au début du XXIe siècle, le village accueillit une série de festivals musicaux (électlivals)[réf. nécessaire].

Économie modifier

Sur le bord de la route nationale 10 existe une zone d'activités économiques avec notamment la présence de l'usine Ebly.

La commune héberge aussi une centrale de méthanisation du groupe Vol-V qui injecte du biométhane dans le réseau de GRDF depuis 2018[29].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Château des Coudreaux modifier

  Inscrit MH (1984)[30]. Le château fut construit au XVIIIe siècle sur l'emplacement d'un ancien manoir. le maréchal Ney y habita[31].

Église Saint-Pierre modifier

  Classé MH (1908)[1]. L'église possède un clocher commencé au XIIIe siècle et terminé à la Renaissance.

Villa gallo-romaine du Croc-Marbot modifier

Elle fut fouillée au XIXe siècle. Une mosaïque et des chapiteaux du Ve siècle sont en dépôt au musée des Beaux-Arts et d'Histoire naturelle de Châteaudun.

Cimetière mérovingien modifier

Il est situé à l'est du village.

Carrières de pierres modifier

Ce sont des carrières souterraines, installées dans le coteau du Loir en aval du village, transformées en partie en champignonnière. On peut y voir des restes d'un four à chaux troglodytique.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Clément Marot (1496-1544) séjourna à Marboué dans l'ancien manoir des Coudreaux[30] ;
  • Le maréchal Ney (1769-1815) résida au Château des Coudreaux de 1808 à 1815[30] ;
  • Jules Péan (1830-1898), chirurgien, est né à Marboué le . Une rue de la commune et de la ville de Châteaudun porte son nom.

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

taillé au 1) d’azur à l’église d’argent, au 2) coupé de gueules et d’azur au pont droit de quatre arches d’argent maçonné de sable mouvant du flanc senestre et des traits de partition.

Anecdote modifier

La commune est le lieu d'une anecdote devenue légende locale, La complainte des amants de Marboué : au début du XIXe siècle, deux amants, les amants de Marboué, se sont suicidés, ne pouvant obtenir l'accord pour se marier de leurs familles respectives[32].

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b « Clocher de l'église », notice no PA00097149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Archives départementales d'Eure-et-Loir, no E.3530.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Marboué et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Châteaudun », sur la commune de Jallans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Châteaudun », sur la commune de Jallans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Marboué », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marboué », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 39.
  23. (en) Judy Barrett Litoff, The Diary and Memoir of Virginia d'Albert-Lake, an American Heroine in the French Resistance.
  24. Ludovic Lebreton, Août 1944, l'été de la Libération, Mémoire et Histoire, , 42 p., p. 14.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « À Marboué, l'usine de méthanisation inaugurée aujourd'hui produit gaz et engrais », sur lechorepublicain.fr/, (consulté le ).
  30. a b et c « Château des Coudreaux », notice no PA00097148, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Frédéric Levent, « Quand le château des Coudreaux, à Marboué, était la propriété du maréchal Ney », sur lechorepublicain.fr, .
  32. Albert Sidoisne, Les Amants de Marboué, Chartres, Impr. de M. Marchand, s.d., 27 p., In-8° (BNF 31364393).