Liste des maires de Saint-Malo

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Cet article dresse une liste par ordre de mandat des maires de Saint-Malo.

Maire de Saint-Malo
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Titulaire actuel
Gilles Lurton
depuis le
(3 ans, 9 mois et 23 jours)

Création
Mandant Suffrage universel
Durée du mandat 6 ans
Premier titulaire Jean-Baptiste Aumaistre de Chassagne
Site internet ville-saint-malo.fr

Histoire modifier

L'Hôtel de ville modifier

 
L'hôtel de ville de Saint-Malo situé dans le château de Saint-Malo.

Liste des maires modifier

L'office de maire est créé en 1692.

Sous l'Ancien Régime modifier

Liste des syndics et maires d'Ancien Régime successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1693 1698 Jean-Baptiste Aumaistre de Chassagne    
1699 1701 Jean Goret   Sire de la Coudre
1701 1704 Jean Baptiste Séré   Sire de la Villemalterre
1704 1708 René Guillaudeu (1656-1737)   Sire du Plessis
1708 1710 François Le Fer   Sire du Pin
1710 1713 François-Auguste Gouin   Sire de Langrolay
1713 1716 Nicolas Géraldin   Sire de la Penty
1716 1719 Thomas Gravé   Sire de la Chaisse et de la Motte
1719 1722 Alain Gaillard   Sire de Launay
1722 1725 Pierre Éon   Sire de Ponthaye
1725 1728 Alain Le Breton   Sire de la Plussinais
1728 1731 Gabriel Macé   Sire de la Villéon
1731 1738 François Le Fer   Sire de Beauvais
1738 1740 François-Joseph Guillaudeu (1687-1776)   Sire du Plessis
1740 1751 Guillaume Joliff (1689-1752)   Sire du Clos
1751 1755 Michel Picot   Sire du Bois Feuillet
1755 1758 Pierre Le Breton   Sire de la Vieuville
1758 1765 Pierre Le Fer (1703-1777)   Sire de Chantelou
1765 1770 Nicolas White   Sire de Boisglé
1770 1773 Alain Le Breton de la Vieuville (1711-1789)   Sire de la Vieuville
1773 1777 Nicolas-François Magon de la Villehuchet    
1777 1786 Alain Le Breton de la Vieuville (1711-1789)   Sire de la Vieuville
1786 1789 Dominique-François Sébire de Longpré dit l'aîné    
Dominique-François Sébire de Longpré dit l'aîné
Louis Blaize de Maisonneuve
Jean de Varennes
Jean Le Cudenet
  Présidents successifs du Conseil permanent

De 1790 à 1967 modifier

Liste des maires successifs de Saint-Malo avant la fusion[1]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Claude Guy Louvel   Seigneur du Parc
Avocat et notaire
Premier « maire constitutionnel » de Saint-Malo
1791 1793 Bernard Thomas Tréhouart   Armateur
Député à la Convention nationale (1793 → 1795)
Commandant de la garde nationale de Saint-Malo
Adjoint au ministre de la Marine (1793)
1793 1793 Nicolas Perruchot de Longeville   Exécuté en 1794
1793 1794 Charles Moullin Jacobin Apothicaire à l'amirauté de Saint-Malo
Président du Comité révolutionnaire
1794 1795 Laurent Louvel   Avocat et notaire
Fils de Claude Guy Louvel
1795 1797 Nicolas de Brecey   Magistrat
1797 1799 Louis Pierre Martin   Officier de santé. Maître en clinique
1799 1800 Henri-Louis Hovius   Imprimeur-libraire, magistrat
1800 1801 Charles Augustin Étienne Dolley   Négociant-armateur
Commandant de la Garde nationale de Saint-Malo fin 1797
Démissionnaire
1801 1808 Nicolas de Brecey   Magistrat
1808 1815 Augustin Thomas   Négociant-armateur, armateur-corsaire
Président de la chambre de commerce de Saint-Malo en 1808
Révoqué à la Restauration
1815 1815 Louis Thomazeau   Armateur-corsaire
Beau-frère d'Augustin Thomas
Maire par intérim après la chute de Napoléon Ier
1815 1829 Auguste Jean-Marie Bizien du Lézard Légitimiste Conseiller général d'Ille-et-Vilaine[réf. nécessaire] (1829 → 1831)
1829 1830 Henri Jean Joseph
Apuril de Kerloguen
(1776-1875)
Légitimiste Maire provisoire de décembre 1829 à juillet 1830
1830 1855 Louis-François Hovius Majorité ministérielle Armateur
Fils de Henri-Louis Hovius, gendre d'Augustin Thomas
Député d'Ille-et-Vilaine (1830 → 1832)
1855 1870 Charles Pierre Rouxin Bonapartiste Avocat
Député au Corps législatif (1869 → 1870)
1870 1871 Achille Jouaust   Avocat
Maire provisoire à la chute du Second Empire
1871 1878 Armand Houitte de La Chesnais   Magistrat
Conseiller général de Saint-Malo et Saint-Servant (1848 → 1864)
Maire de La Gouesnière (1881 → 1888)
1878 1882 Auguste Hovius Républicain Fils de Louis-François Hovius
Armateur
Président du tribunal de commerce
Président de la chambre de commerce de Saint-Malo en 1875
Député d'Ille-et-Vilaine (1878 → 1889)
Conseiller général de Saint-Malo (1877 → 1896)
1882 1883 Louis Félix Martin Républicains progressistes Avocat
Conseiller général d'Ille-et-Vilaine[réf. nécessaire]
Démissionnaire
1884 1887 Paul Follen   Capitaine au long cours puis négociant
Président du tribunal de commerce
1887 1887 Jean-Marie Hamon   Maire par intérim
1887 1891 Louis Félix Martin Républicains progressistes Avocat
Conseiller général d'Ille-et-Vilaine[réf. nécessaire]
Décédé en fonctions
1892 1896 Jean-Marie Hamon   Commerçant, juge puis président du tribunal de commerce
Président de la Société d'histoire et d'archéologie de l'arrondissement de Saint-Malo (1900 → 1901)
1896 1902 Charles Jouanjan Républicain Avocat
Conseiller général de Saint-Malo (1900 → 1913)
1902 1904 Auguste Le Ny[2]   Officier d'infanterie de Marine
1904 1912 Charles Jouanjan Républicain Avocat
Conseiller général de Saint-Malo (1900 → 1913)
1912 1941 Alphonse Gasnier-Duparc Radical-socialiste Avocat
Ministre de la Marine (1936 → 1937)
Sénateur d'Ille-et-Vilaine (1932 → 1940)
Président de la délégation spéciale qui gère Saint-Malo à la Libération (1944 → 1945)
Destitué par le régime de Vichy
1941 1944 Auguste Briand
(1884-1972)
  Capitaine au long cours
Nommé par le régime de Vichy[3]
René Delannoy    
Guy La Chambre CNIP Maire de Saint-Servan (1932 → 1940)
Député d'Ille-et-Vilaine (1928 → 1940 et 1951 → 1958)
Conseiller général de Dinard (1930 → 1940 et 1951 → 1958)
Ministre
Maurice Callame
(1905-1984)
  Ancien administrateur général des Affaires maritimes

Depuis 1967 modifier

Liste des maires successifs depuis la fusion de 1967 avec les communes de Saint-Servan et Paramé[1]
Période Identité Étiquette Qualité
[4] [5],[6] Marcel Planchet[7],[8] SE
puis CD[9],[10]
puis CDS
Entrepreneur du BTP
Maire de Saint-Servan (1965 → 1967)
Conseiller général de Saint-Malo-Sud (1967 → 1977 et 1985 → 1998)
Conseiller régional de Bretagne (1972 → 1976)
[11] Louis Perrault   Premier adjoint faisant fonction de maire
Maurice Callame
(1905-1984)
  Ancien administrateur général des Affaires maritimes
Président de la délégation spéciale[12]
[13],[14] Marcel Planchet[7],[8] CDS Entrepreneur du BTP
Maire de Saint-Servan (1965 → 1967)
Conseiller général de Saint-Malo-Sud (1967 → 1977 et 1985 → 1998)
Conseiller régional de Bretagne (1972 → 1976)
[15] Louis Chopier PS Agriculteur (maraîcher)
Président de la chambre d'agriculture d'Ille-et-Vilaine (1964 → 1967)
[16] Paul Antonin   Ancien administrateur en chef de la France d’Outre-mer
Président de la délégation spéciale (cf. municipales 1978)
[17],[18] Louis Chopier[19] PS Agriculteur (maraîcher)
Conseiller général de Saint-Malo-Nord (1982 → 1994)
Député européen (1988 → 1989)
Marcel Planchet[7],[8] DVD Entrepreneur du BTP
Conseiller général de Saint-Malo-Sud (1967 → 1977 et 1985 → 1998)
René Couanau UDF-CDS
puis UDF-FD
puis UMP
puis DVD[20],[21]
Inspecteur général de l'administration de l'Éducation nationale
Secrétaire général adjoint de l'UDF[22]
Député d'Ille-et-Vilaine (7e circ.) (1986 → 2012)
Conseiller régional de Bretagne (1983 → 1989)
Président de Saint-Malo Agglomération (2001 → 2007)
[23],[24] Claude Renoult DVD Ingénieur et cadre EDF retraité
Président de Saint-Malo Agglomération (2014 → 2020)
En cours Gilles Lurton LR Cadre supérieur du secteur privé
Député d'Ille-et-Vilaine (7e circ.) (2012 → 2020)
Président de Saint-Malo Agglomération (2020 → )

Biographie des maires modifier

Biographie du maire actuel modifier

Gilles Lurton ( à Saint-Malo - )

Attaché parlementaire de René Couanau pendant plus de vingt ans, il commence sa carrière politique en 1995 en entrant au conseil municipal de Saint-Malo. Réélu en 2001 et 2008, il devient adjoint au maire chargé du logement et des quartiers. En 2011, il remporte les élections cantonales à Saint-Malo-Sud[25], en enlevant le siège détenu jusque-là par Jacky Le Menn.

L'année suivante, il est candidat à la succession de René Couanau dans la 7e circonscription. Arrivé en deuxième position au premier tour, derrière la candidate socialiste mais devant le candidat officiel de l'UMP, il est élu député à l'issue du second tour avec 51,04 % des voix contre 48,96 % pour Isabelle Thomas.

Cette élection au Palais Bourbon le conduit à céder son siège de conseiller général à Christine Lequertier en raison du non-cumul des mandats.

En 2014, candidat sur la liste du maire sortant, il est réélu conseiller municipal mais n'occupe plus de fonction exécutive, René Couanau étant arrivé troisième derrière Claude Renoult et Stéphane Perrin. Trois ans plus tard, il est largement réélu député en remportant 56,21 % des suffrages.

Le 18 octobre 2019, il annonce sa candidature à la mairie de la cité corsaire[26]. Au premier tour des élections municipales de 2020, il arrive très largement en tête, distançant de près de 35 points, la candidate UDI Anne Le Gagne et au second, il recueille 10 676 voix (70,70 %) et 37 sièges au conseil municipal. Il devient officiellement premier édile le 3 juillet[27] puis président de Saint-Malo Agglomération le 16[28].

Biographies des anciens maires modifier

Claude Renoult ( à Macey - )

Ingénieur et cadre EDF retraité, il est élu conseiller municipal en mars 2008 puis est nommé troisième adjoint au maire René Couanau, chargé des grands projets, du développement durable et des affaires maritimes. Aux municipales de 2014, il monte sa propre liste[29], après que le maire sortant, revenant sur sa décision de ne pas se représenter, ait annoncé sa candidature. Virant légèrement en tête au premier tour, il est élu le 30 mars à l'issue d'une triangulaire. Officiellement désigné maire quelques jours plus tard, il devient par ailleurs président de la communauté d'agglomération.

En septembre 2019, il annonce qu'il ne briguera pas un second mandat[30] mais la majorité sortante présente une liste dirigée par Jean Coudray, son adjoint à la jeunesse et à l'animation[31]. Le 15 mars 2020, ce dernier arrive en quatrième position derrière le député Gilles Lurton (LR), la conseillère départementale Anne Le Gagne et le candidat du Mouvement radical, Stéphane Perrin.

René Couanau ( à Saint-Malo - )

Titulaire d’une licence de psychologie et diplômé de l'ENA, il mène une carrière au sein de l'Éducation nationale. En 1983, il est élu conseiller municipal et devient premier adjoint au maire Marcel Planchet. Trois ans plus tard, il est candidat aux législatives sur la liste CDS-PR conduite dans le département par Pierre Méhaignerie : s'il n'est pas élu, il devient malgré tout député après la nomination de ce dernier au gouvernement.

En 1988, avec le rétablissement du scrutin uninominal à deux tours, il se présente dans la 7e circonscription sous l'étiquette du Centre des démocrates sociaux (composante de l'UDF) et est élu avec 55,39 % des suffrages exprimés. L'année suivante, il remporte les élections municipales, en battant le candidat socialiste et ancien maire Louis Chopier.

Réélu député UDF puis UMP à quatre reprises et reconduit dans ses fonctions de premier édile en 1995 (dès le premier tour), 2001 et 2008, il annonce en mars 2012 qu'il ne sera pas candidat aux législatives de juin et aux municipales de 2014[32].

Cependant, il revient sur sa décision et présente au scrutin municipal une liste intitulée « Saint-Malo gagnant ! Des valeurs partagées ». Distancé au premier tour par son ancien adjoint Claude Renoult, il est défait au second en arrivant en troisième position derrière la liste divers droite victorieuse et le candidat de l'union de la gauche, Stéphane Perrin[24].

Marcel Planchet ( à Bain-de-Bretagne - à Saint-Malo)
 
Marcel Planchet, maire de 1967 à 1977 et de 1983 à 1989.

Puisatier puis entrepreneur de travaux publics, il s'établit à Saint-Servan en septembre 1944. Il est candidat aux municipales de 1965 dans la cité servannaise et bat le maire sortant Lucien Huet, qui lui avait proposé de figurer sur sa liste.

En 1967, la fusion entre Saint-Malo, Saint-Servan et Paramé étant actée, il est candidat au scrutin municipal du « Grand Saint-Malo ». À la tête d’une « liste d’action » sans étiquette comprenant des membres de la FGDS et du PSU, il bat largement le secrétaire d'État Yvon Bourges, qui avait quitté ses fonctions de maire de Dinard quelques mois auparavant, et le candidat communiste André Lemaître. La même année, il entre en conseil général en remportant le canton de Saint-Malo-Sud.

Réélu premier magistrat en 1971, il est démissionné d’office en novembre 1976 et est remplacé par son premier adjoint Louis Perrault, démissionnaire à son tour. Une délégation spéciale, présidée par Maurice Callame, est alors nommée mais après une décision du Conseil d’État, Marcel Planchet est rétabli dans ses fonctions de maire. Cependant, il ne retrouve pas son mandat de conseiller général.

Aux municipales de 1977, il n’est pas candidat mais soutient la liste dirigée par le centriste Marie-Ange Réhel. Aux deux tours de scrutin, il termine en troisième position derrière le socialiste Louis Chopier et le RPR François Debonnet. Saint-Malo bascule ainsi à gauche.

Six ans plus tard, il décide de se présenter à nouveau aux suffrages des malouins. S’il arrive deuxième au premier tour, il bat le maire sortant le 13 mars 1983 en recueillant 51,84 % des voix. En 1985, il reprend son siège de conseiller général et succède à Robert Desnos qui ne se représentait pas. Candidat à sa réélection en 1989, il ne parvient pas à se qualifier pour le second tour, battu par le candidat de l’union de la gauche et par son premier adjoint René Couanau. Ce dernier lui succède à la tête de la cité corsaire.

En 1998, il quitte son dernier mandat politique en ne se représentant pas dans le canton de Saint-Malo-Sud.

Louis Chopier ( à Paramé - à Saint-Malo)

Maraîcher et syndicaliste agricole, il commence sa carrière politique en 1959 en étant élu conseiller municipal de Paramé sous l'étiquette MRP. En mars 1977, il devient maire socialiste de Saint-Malo à l'issue du second tour des municipales, faisant ainsi basculer la ville à gauche. Il est largement réélu l'année suivante (mais sans les communistes qu'il écarte de sa majorité) après l'invalidation du scrutin municipal et la tenue d'une élection partielle.

En 1982, il fait son entrée au conseil général en battant le candidat de la majorité départementale Christian Morvan dans le canton de Saint-Malo-Nord.

De nouveau candidat aux municipales en 1983, il est défait par son prédécesseur à la mairie, Marcel Planchet. Il est exclu du Parti socialiste en 1986 après avoir monté avec Michel Phlipponneau une liste dissidente « Gauche démocrate et régionaliste » (où il figurait en dernière position) aux élections régionales[33].

À la faveur de la démission de Marie-Noëlle Lienemann, élue députée de la septième circonscription de l'Essonne, il devient député européen en 1988 et le reste un peu plus d'un an. Tête de liste de l'union de la gauche aux municipales de 1989, il ne parvient pas à reprendre le siège perdu six ans plus tôt : il est battu au second tour par René Couanau.

Il perd son siège de conseiller général en 1994 face à la candidate UDF-CDS Catherine Jacquemin et aux municipales de 1995, il arrive second derrière le maire sortant, réélu dès le premier tour avec 54,30 % des suffrages.

Depuis 2015, une rue de la ville porte son nom[19],[34].

Conseil municipal actuel modifier

Les 43 sièges composant le conseil municipal de Saint-Malo ont été pourvus le à l'issue du second tour de scrutin. À l'heure actuelle, il est réparti comme suit :

 

Groupe Effectif Statut
« Saint-Malo notre lien » (LR) 37 majorité
« Saint-Malo au cœur des possibles » (UDI) 6 opposition

Résultats des élections municipales modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La ville est une sous-préfecture de l'Ille-et-Vilaine et a été le chef-lieu du canton de Saint-Malo de 1793 à 1967, année où celui-ci est scindé. La commune devient alors le chef-lieu des cantons de Saint-Malo-Nord (formé d'une partie de Saint-Malo) et de Saint-Malo-Sud (autrefois canton de Saint-Servan-sur-Mer) formé d'une partie de Saint-Malo et des communes de La Gouesnière et Saint-Jouan-des-Guérets[35].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Saint-Malo est désormais le bureau centralisateur de deux nouveaux cantons, celui de Saint-Malo-1 et celui de Saint-Malo-2[36].

Pour l'élection des députés, Saint-Malo fait partie depuis 1988 de la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine.

Saint-Malo est jumelée avec Port-Louis, capitale de l'Île Maurice, depuis 1999[37].

Notes et références modifier

  1. a et b Les maires de Saint-Malo
  2. [1]
  3. Jacqueline Sainclivier, L'Ille-et-Vilaine, 1918-1958 : Vie politique et sociale, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 484 p. (ISBN 978-2-86847-176-5, lire en ligne), paragraphe 69 sur Google Books.
  4. « M. Planchet est élu maire du Grand Saint-Malo », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  5. « Le maire de Saint-Malo est démis de ses fonctions », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. « Saint-Malo : une grande confusion », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. a b et c « L’ancien maire de Saint-Malo Marcel Planchet est décédé », Le Pays malouin,‎ (lire en ligne)
  8. a b et c « Nécrologie : Marcel Planchet, ancien maire de St-Malo », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  9. « Le maire de Saint-Malo a-t-il utilisé le plan d'urbanisme à des fins personnelles ? », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  10. « Le maire de Saint-Malo est condamné à six mois de prison avec sursis », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  11. « M. Marcel Planchet, maire de Saint-Malo, a été démissionné d'office : Le premier adjoint chargé « provisoirement » de le remplacer », Ouest-France,‎
  12. La délégation spéciale est mise en sommeil après la décision du Conseil d'État rétablissant dans ses fonctions le conseil municipal dissous.
  13. « La municipalité de Saint-Malo est rétablie dans ses droits par le Conseil d'État », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  14. « Saint-Malo : la dissolution du conseil municipal est annulée », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  15. « Louis Chopier maire de Saint-Malo », Ouest-France,‎
    « M. Louis Chopier, du Parti socialiste et tête de liste de l'Union de la gauche, a été élu maire de Saint-Malo, dimanche matin. »
  16. « La délégation spéciale est entrée en fonction à Saint-Malo : M. Paul Antonin élu président », Ouest-France,‎
  17. « M. Louis Chopier retrouve la mairie », Ouest-France,‎
  18. « M. Louis Chopier, élu maire de Saint-Malo », Ouest-France,‎
    « Comme on pouvait s'y attendre, M. Louis Chopier a été élu à l'unanimité et une abstention. »
  19. a et b « Louis Chopier. L'ancien maire PS a sa rue », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  20. « Saint-Malo. Le député-maire René Couanau quitte l'UMP », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  21. « Le député et maire de Saint-Malo, René Couanau, quitte l'UMP », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  22. « L'UDF désigne huit secrétaires généraux adjoints », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  23. « Municipales 2014 : zoom sur Saint-Malo », sur France Bleu Armorique,
  24. a et b « Municipales à Saint-Malo : Claude Renoult élu, une veste pour René Couanau », sur France 3 Bretagne,
  25. « Gilles Lurton fait basculer le canton à droite », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  26. Benjamin Fontaine, « Municipales à Saint-Malo : le député LR Gilles Lurton est candidat », sur France Bleu Armorique,
  27. « Municipales : Gilles Lurton a pris les commandes de la ville de Saint-Malo », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  28. Émilie Chassevant, « Saint-Malo. Gilles Lurton est élu à la tête de l’agglomération », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  29. « Municipales. Claude Renoult se veut le candidat du renouveau », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  30. Émilie Chassevant, « Municipales à Saint-Malo. Le maire Claude Renoult ne se représentera pas », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  31. « Élections municipales : Jean Coudray, candidat à la mairie de Saint-Malo », Le Pays malouin,‎ (lire en ligne)
  32. « Saint-Malo : René Couanau ne se représente pas aux élections législatives », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  33. Gauche démocrate et régionaliste - Bulletin de vote, sur collections.musee-bretagne.fr
  34. Rue Louis Chopier, sur maps-streetview.com
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Malo », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
  36. La partie de la commune incluse dans le canton de Saint-Malo-2 est celle située au sud d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : plage des Bas-Sablons, rue de l'Amiral-Magon, place Bouvet, rue Ville-Pépin, place de la Roulais, rue de la Nation, rue de la Pie, rue de la Marne, boulevard des Talards, rue Pierre-de-Coubertin, rue des Antilles, rue Michel-de-la-Bardelière, avenue du Général-de-Gaulle, rue de la Guymauvière, rue du Grand-Jardin, rue du Mottais, rue des Bregeons, rue de la Ville-es-Cours, route départementale 2, ligne de chemin de fer de Rennes à Saint-Malo, jusqu'à la limite territoriale de la commune de Saint-Jouan-des-Guérets. Le surplus fait partie du canton de Saint-Malo-1
  37. Jumelage avec Port-Louis

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier