Lagney

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Lagney
Lagney
La nouvelle mairie.
Blason de Lagney
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Bernard Chenot
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54288
Démographie
Gentilé Lagnotains, Lagnotaines [1]
Population
municipale
497 hab. (2021 en diminution de 0,8 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 01″ nord, 5° 50′ 25″ est
Altitude Min. 224 m
Max. 300 m
Superficie 14,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lagney
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Lagney
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Lagney

Lagney est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie modifier

D’après les données Corine land Cover , le ban communal de 1434 hectares comprend en 2011, plus de 27 % de terres arables, 27 % de prairies, 35 % de foret et seulement près de 2 % de zones urbanisées[2].

Le ban communal est fortement arrosé par les ruisseaux[2] suivants : Le Terrouin (sur 2,819 km) ,Ruisseau de Menil-La-Tour (sur 3,308 km), Ruisseau du Moulin de Lacore (sur 4,186 km), Ruisseau de la Naue (sur 1,533 km), Ruisseau de Rehanau (sur 0,219 km), Rupt de Bagneux (sur 0,005 km)

Le territoire est limité à l'ouest par le Terrouin qui ceinture avec le ruisseau des Frax (?) un vaste espace boisé : le bois de Lagney, la route départementale n° 904 ferme l'espace à l'est.

Le bourg de type village-rue, situé au sud de la forêt de la Reine, semble avoir évolué le long de l'actuelle RD 908 à partir du lieu-dit très ancien le Rozoy (le Rosoir).

Étant donné la proximité du site des Roises[3] à Lucey, il est possible de voir ainsi une toponymie possible de cet ancien lieu, lié à l'activité de rouissage du chanvre.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Lagney
Sanzey Sanzey Ménil-la-Tour
Trondes   Bouvron
Lucey Lucey Lucey

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 849 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lagney est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35 %), prairies (27,7 %), terres arables (27,6 %), cultures permanentes (6,7 %), zones urbanisées (3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Larneyum, Laviniacum (1033) ; Capella de Lagniaco (1051) ; Vineæ de Lagneio (1179) ; Laugney (1299) ; Langney (1352) ; Langneyum (1402) et Lagny (1594), sont les différentes graphies recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[17].

Le toponyme est formé de l'anthroponyme latin Lavinius et du suffixe gallo-romain -acum, formation typique de l'Antiquité tardive et de l'époque mérovingienne. Il semble apparaître sous la forme Larneio dès 622/654[18],[19].

Dans un article des études touloises, il est indiqué que le village pourrait aussi avoir tiré son nom du vignoble (Vinea)[20]

Histoire modifier

Les répertoires archéologiques[21] mentionnent une voie se rendant de Ménil-la-Tour à la Meuse qu'il est difficile de positionner au nord de la commune ou sur la commune voisine de Sanzey :

«Voie antique de Ménil-la-Tour à la Meuse, par Boucq, passant à l'extrémité Nord-Ouest du territoire.» ou «Restes d'une voie allant du Sud au Nord à l'extrémité orientale du territoire. Un embranchement s'en détachait, allant vers la Meuse, par Sanzey et Boucq. »

Préhistoire et antiquité modifier

Beaupré signale dans son ouvrage sur la Meurthe[21] :

« En 1837, en reconstruisant l'église, on déterra des squelettes ensevelis dans des troncs d'arbres ; quelques-uns étaient accompagnés d'armes. À la Haye le-château, et au lieu-dit d'éventé, traces d'anciennes habitations ; en ce dernier endroit, médailles, dont une en or. »

La nécropole située sous l’église a été rattachée à la civilisation mérovingienne par les archéologues[22], la carte archéologique de Gaule[23] est plus circonspecte quant aux trouvailles sur les autres lieux-dits, bien que la logique voudrait que ces indices soient ceux d'une occupation gallo-romaine (Villa ?).

Les communes voisines de Lucey et surtout Royaumeix ont été assez riches en découvertes archéologiques, aujourd'hui présentées dans les musées de Toul et de Nancy.

Moyen Âge modifier

Les sources indiquent qu'en 1051[24], le village dépendait de l'abbaye de Poussay et n'était alors qu'une chapelle, et qu'il passa au chapitre de la cathédrale de Toul en 1334[25]. Par ailleurs la présence de deux pressoirs à vin, habituellement de privilège du temporel laisse supposer la main mise de deux seigneurs sur la commune.

Époques récentes modifier

Le , le duc Charles IV, à l'exemple de quelques-uns de ses prédécesseurs,prend sous sa sauvegarde et protection les habitants de Lagney près Lucey, moyennant une redevance de 12 deniers par ménage[25].

En 1626, l'abbaye de Poussay céda son droit de nommer l'officiant de Lagney au chapitre de la cathédrale de Toul. Les deux tiers des grosses et petites dimes revenaient aux chanoines toulois et le dernier tiers au curé. En 1695, la nef de l'église de Lagney fut apparemment remise en état par les paroissiens ; le chapitre de Toul confirma, en 1741, que des réparations ont bien été effectuées[26].

E. Grosse indique, en 1836, dans son dictionnaire statistique, quelques chiffres économiques : le territoire est de 1434 hectares cadastrés, dont 636 en terres arables, 453 en forêts, 140 en près et 135 en vignes, dont les produits sont assez estimés[27].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Pascal Chénot    
avril 2014 juillet 2020 Frédérique Sauvat[28]   Professeure du secondaire et technique
juillet 2020 En cours Bernard Chenot[28],[29]   Agriculteur sur moyenne exploitation

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 497 habitants[Note 4], en diminution de 0,8 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
643705780754846829797778763
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
687671635785587564585543509
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
571504433397307289277277283
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
272299346418413460467491506
2021 - - - - - - - -
497--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

Liste des curés modifier

  • M. l'abbé Bayon (1668-1676) - Enterré devant le maître-autel
  • M. l'abbé Nicolas Paille (1676-1696) - Enterré devant le maître-autel
  • M. l'abbé François Rouyer (1696-1737) - Scolarise les jeunes filles du village.
  • M. l'abbé Blampain (1737-1781) - Enterré devant le maître-autel
  • M. l'abbé François Clément (1782-1791) - Exilé à cause de la Révolution, mort à Nancy en 1820.
  • M. l'abbé Berseaucourt (1791-1803) - prêtre jureur
  • M. l'abbé Dominique Beaudot (1803-1816), mort à Nancy.
  • M. l'abbé François-Xavier Sauret (1816-1853) - chanoine de Notre-Dame-de-Bonsecours pendant 10 mois.
  • M. l'abbé Jean-Nicolas Perrin (1853-1891) -enterré dans le cimetière de Lagney
  • M. l'abbé Léon Renaud (1891-1901) - En 1893, il restaure la Belle-Croix, érigée au bas de la Grande Rue.
  • M. l'abbé Joseph-Modeste Demange (1901-1920) - créateur de la légion Jeanne-d'Arc
  • M. l'abbé Charles-Émile Rolin (1921-1927) - chevalier de la Légion d'honneur
  • M. l'Abbé Alfred-Félix Partoy (1927-1935)
  • M. l'abbé Aurélien-Joseph-Alfred Laroppe (1935-1936)
  • M. l'abbé Gérard (intérim de 1936-1942, curé de Lucey)
  • M. l'abbé Maurice Roset (1942-1951)
  • M. l'abbé Bouvier (1951-1959)
  • M. l'abbé Cayotte (1959-1967)
  • M. l'abbé Marc Demange (1967-1979) - dernier prêtre domicilié dans la commune.
  • Actuellement, Lagney appartient au "secteur pastoral" Saint-Gérard-du-Toulois-Nord.
    • M. l'abbé Bernard Forin (1979-2013)
    • M. l'abbé Roger Thsimanga (depuis 2013).

Économie modifier

E. Grosse[27] indique, en 1836, dans son dictionnaire statistique, quelques chiffres économiques :

le territoire est de 1434 hectares cadastrés, dont 636 en terres arables, 453 en forêts, 140 en près et 135 en vignes, dont les produits sont assez estimés.(cf. carte historique du vignoble lorrain)

Secteur primaire ou Agriculture modifier

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[34]), la commune de Lagney était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 848 hectares (supérieure à la surface cultivable communale) en nette augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 400 à 322 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 8 (10 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 19 unités de travail[Note 7]. (15 auparavant).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

  • Église XIXe s. dédiée à saint Clément (pape et martyr). Reconstruction de l'église en 1837. Dans l'église diverses statues dont celle de saint Pierre Fourier et une chasse contenant des reliques de saint Pierre Fourier.
  • Calvaires de la commune (utilisés lors des processions des rogations)
    • Chemin de la croix le Parrain (3 calvaires)
    • Chemin de la croix Colas au puits Morson (3 calvaires)
    • Entrée côté Boucq : calvaire érigée en 1926
    • Entrée côté Lucey : calvaire
    • Calvaire au N° 56, rue du Rosoir
    • Calvaire du cimetière
    • Calvaire rue du Petit-Rosoir
    • La croix Jurée (restaurée dans les années 80)
    • La Belle-Croix (Grande-Rue) - 2 statues

Patrimoine civil modifier

  • Monument aux morts.
  • Le bâtiment de l'ancienne mairie-école, la mairie mitoyenne aux deux écoles, à droite celle des garçons, à gauche celle des filles, qui était aussi asile.
  • Lavoir communal.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

  Blason
De gueules à trois cailloux d'argent au chef du même chargé d'une ancre de marine de gueules accostée de deux grappes de raisins de pourpre feuillées de sinople.
Détails
Lagney dépendait du Chapitre de la cathédrale de Toul d’où les cailloux. L’ancre de marine symbolise Saint Clément, patron de la paroisse. Les grappes de raisin indiquent la richesse du pays.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse », sur brgm.fr (consulté le ).
  3. « Roises de Lucey - Description », sur ac-nancy-metz.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Lagney et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  18. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
  19. Cote : NUMM-33691 Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy) LAGNEY. Voie supposée romaine, de Ménil-la-Tour à la Meuse, par Boucq, passant à l'extrémité nord-ouest du territoire. Ancien village déjà indiqué dans les chartes au VIIe siècle et en possession d'une cure au Xème (C.). En reconstruisant l'église, en 1857, découverte de sépultures déposées dans des troncs d'arbres en guise de tombeaux quelques-unes étaient accompagnées d'armes. A la Haie-le-Château et au Haut-d'Eventé, traces d'anciennes habitations en ce dernier canton, il a été trouvé des monnaies...
  20. https://www.etudes-touloises.fr/archives/58/art2.pdf
  21. a et b Jules (1859-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 80.
  22. Jacques Guillaume, « Legoux René, La nécropole mérovingienne de Cutry (Meurthe-et-Moselle). (Mémoires publiés par l’Association française d’Archéologie mérovingienne, Tome XIV). Saint-Germain-en-Laye, 2005, 543 p. dont 16 en couleur, 201 pl., 1 pl. h.t. », Revue archéologique de l’Est, no Tome 54,‎ , p. 402–405 (ISSN 1266-7706, lire en ligne, consulté le ) :

    « Quant aux douze tombes en tronc d’arbres, fort intéressantes, car de haute époque et regroupées dans un même secteur, signalons qu’elles sont connues dans d’autres nécropoles de Meurthe-et-Moselle, notamment à Andilly, Burthecourt-aux-Chênes, Crion et Lagney. »

    .
  23. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 890475393, lire en ligne).
  24. Augustin Calmet, Histoire ecclésiastique et civile de Lorraine, qui comprend ce qui s'est passé de plus mémorable dans l' archevêché de Trèves, et dans les évêchés de Metz, Toul et Verdun, depuis l'entrée de Jules César dans les Gaules jusqu'à la mort de Charles V, duc de Lorraine, arrivée en 1690, avec les pièces justificatives... Le tout enrichi de cartes géographiques, de plans de villes... par le R. P. Dom Augustin Calmet,..., Jean-Baptiste Cusson, (lire en ligne), p. 431 Preuves de l'Histoire de Lorraine - Fondation de l'Abbaye de Poussay.
  25. a et b Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 1 : par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 530

    « Par lettres datées de la Saint-Remy 1344, le chapitre de la cathédrale de Toul rachète d'Henri,comte de Bar, les villages de Lucey et de Langney,qui avaient été engagés à son père Edouard par l'évèque Thomas de Bourlémont, et déclare quitter ledit comte des prises et dommages qu'il a pu faire sur les terres de son église pendant lesguerres qu'il avait eues, en 1342 , avec le duc de Lorraine. »

    .
  26. https://www.etudes-touloises.fr/autres/inedits/Chronologie_Toulois.pdf
  27. a et b E. Grosse (abbé), Dictionnaire historique et statistique du département de la Meurthe, Creusat, , p. 142.
  28. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».