Ochey

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Ochey
Ochey
Ochey, vue du clocher.
Blason de Ochey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Philippe Parmentier
2020-2026
Code postal 54170
Code commune 54405
Démographie
Gentilé Cadans
Population
municipale
523 hab. (2021 en augmentation de 0,38 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 59″ nord, 5° 56′ 36″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 345 m
Superficie 18,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Ochey
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Ochey
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Ochey
Liens
Site web http://www.mairie-ochey.fr

Ochey est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie modifier

Le Bourg d'Ochey (zonage AB du cadastre sur le plan) , dans sa configuration actuelle de type village-rue, est implanté sur la RD 78. Au centre du ban communal (d'une surface de 1800 hectares) il est aujourd'hui bordé à l'est par le site de la base aérienne de Nancy et à l'ouest et au nord par des massifs boisés partagés avec les communes voisines (zonages OA, OC et OG du cadastre).

Il n’existe pas de ruisseau ni d’écoulement permanent dans le périmètre. Le Ruisseau de l'Arot (Arrot et parfois Larot) est le principal cours d'eau qui concerne la commune d'Ochey et le vallon de la Deuille (résurgence du Larot) accueille toutefois un écoulement intermittent en hiver et au printemps.

Le territoire communal s'inscrit dans un vaste plateau s’élevant vers l’est, entaillé par des vallons.Les altitudes extrêmes varient de 221 m (à la frontière avec la commune de Bicqueley) à plus de 330 m (au niveau du bois de Renaucôte au nord-est du village).

Le vallon des Ainés (Fond de Valotte), à l'ouest, et ses annexes forme la limite communale le long du ruisseau du Chahalot. Le vallon de la Deuille au nord-est un exemple du système de résurgences karstiques de lorraine : les deuilles[1].

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 855 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records NANCY-OCHEY (54) - alt. : 336 m, lat : 48°34'51"N, lon : 5°57'35"E
Records établis sur la période du 01-11-1966 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,1 2,2 4,9 8,6 11,8 13,8 13,7 10,2 7,2 3,3 0,7 6,3
Température moyenne (°C) 2,1 3,1 6,5 9,9 13,7 17,2 19,3 19,1 15 10,9 6 3 10,5
Température maximale moyenne (°C) 4,6 6,2 10,7 14,9 18,8 22,5 24,8 24,5 19,9 14,6 8,7 5,3 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−19,1
12.01.1987
−16,2
07.02.12
−15,5
06.03.1971
−7,2
12.04.1986
−1,6
06.05.1979
0,8
01.06.1975
4,5
17.07.1980
4
25.08.1980
−0,3
17.09.1971
−4,7
29.10.12
−13,2
23.11.1998
−15,8
03.12.1973
−19,1
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
16
05.01.1999
21,2
27.02.19
25,7
31.03.21
27,3
21.04.18
32,2
28.05.17
36,6
26.06.19
39,6
25.07.19
38,4
12.08.03
34,2
15.09.20
27,4
13.10.23
22
02.11.20
18,4
16.12.1989
39,6
2019
Précipitations (mm) 66,7 60,1 58,8 50,5 74 62 68,8 71,7 66,9 72,6 75,5 82,8 810,4
Source : « Fiche 54405001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,6
−0,4
66,7
 
 
 
6,2
−0,1
60,1
 
 
 
10,7
2,2
58,8
 
 
 
14,9
4,9
50,5
 
 
 
18,8
8,6
74
 
 
 
22,5
11,8
62
 
 
 
24,8
13,8
68,8
 
 
 
24,5
13,7
71,7
 
 
 
19,9
10,2
66,9
 
 
 
14,6
7,2
72,6
 
 
 
8,7
3,3
75,5
 
 
 
5,3
0,7
82,8
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ochey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,1 %), terres arables (23,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones urbanisées (1,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le village a eu différentes appellations, dans un diplôme de Charles-le-Chauve en 870, portant confirmation des biens de l’abbaye de Saint-Evre de Toul, il est mentionné ORCADOE.

Le toponyme apparaît au Xe siècle sous la forme latine Oscadum[14]. Le XIIe siècle présente les formes françaises Oschier, Oschers, Oscheir, Oscher et Oschir[14]. La graphie actuelle apparait en 1793[15].

Le terme vient peut-être du gaulois olca, terrain labourable, devenu ouche en francien et osche en patois toulois[16]. Albert Dauzat a proposé oscatum issu de osca, enclos[17], et Ernest Nègre l'ancien français oschié, ébréché, terme qui décrirait la forme du village[18].

Histoire modifier

Jules Baupré signale dans son répertoire archéologique[19] pour cette commune :

(au lieu-dit le Court-billon) « En avril 1843, au canton dit Haut de la Croix, à 500 mètres au Nord-E. d'Ochey, en deçà de la bifurcation du chemin d'Ochey et de la grande route de Toul à Vézelise, des fouilles amenèrent la découverte de substructions, avec fragments de tuiles et de poteries, et d'une grande quantité de monnaies romaines en bronze (Vespasien, Néron et Hadrien). Ruines d'habitations à la Grande haye, à la Haye de la foire, à la Terre Gadel et à la Haute borne. Le Musée Lorrain reçut, en 1862, une tête d'enfant en marbre, venant de cet endroit. »

Les monnaies en bronze du Haut Empire découvertes ont permis de dater ces sites des IIIe et IVe siècles[20].

Lors des sondages archéologiques réalisés en février 2008, avant l'aménagement du Clos des Potiers, dans le village, des vestiges d’habitations gallo-romaines ont été trouvés. Les fouilles ont permis de découvrir une forge et deux fours de potiers. Le mobilier céramique prélevé sur le terrain permet de dater leur phase abandon à environ 30 ans avant notre ère.

La voie romaine de Toul - Vézelise - Sion a été repérée au nord de la commune, sur la RD 78 et plusieurs vestiges d'habitats gallo-romains ont été découverts. D’autres indices montrant l’apparition de l’influence romaine sont présents le long de cet axe routier notamment à Thuilley-aux-Groseilles où une tête sculptée attribuée au dieu Mithra a été découverte (Cf J Beaupré).

Il est signalé également un vieux chemin, dit Chemin de Toul, longeant parallèlement la grande route actuelle, à la distance de 1 kilomètre au nord du village, et faisant suite au chemin de la Blanche- Dame.

Une charte d'Henri de Lorraine, évêque de Toul (1127-1168) confirme la donation faite à l'abbaye de Clairieu (près de Villers-lès-Nancy) des près et des terres situées sur le ban de Ochey.

En l'an 1096, Renaud III, comte de Toul, partant en Terre Sainte, engagea le village pour 40 livres, monnaie de Toul, au duc Théodoric II, fils ainé de Gérard d’Alsace. A son retour, il retira cette terre.

Avant la Révolution, la terre d'Ochey appartenait à plusieurs seigneurs. Ainsi en 1771, Jean de Malartu Maures en détenait quatorze trente deuxièmes, contre douze trente deuxièmes à monsieur le comte Le Begue de Germeny et le reste aux seigneurs de Germiny[21].

Par arrêté préfectoral en date du 22 juin 1973, les communes d'Ochey et de Thuilley-aux-Groseilles avaient fusionné en une seule commune dénommée Ochey-Thuilley. Le conseil municipal d'Ochey-Thuilley, par délibération en date du 15 février 1985, a demandé la dissolution de la fusion-association Ochey-Thuilley. Il a été mis fin à cette fusion-association à compter du .

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 26 mai 2020)
Philippe Parmentier[22],[23]
Réélu pour le mandat 2020-2026
PS Ancien cadre, président de la communauté de communes

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 523 habitants[Note 4], en augmentation de 0,38 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
455447433414434475511502540
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
490480439401402341305274265
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
280261200170145136130146176
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
152398602242324419428475521
2020 2021 - - - - - - -
524523-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Henri Lepage[27] et E. Grosse[28] donnent quelques indications à caractère économique dans leurs ouvrages de 1836 et 1843 sans s'accorder sur la surface totale de la commune :

« Surf.territ.: 1810 hect. , dont de 841 à 882 en forêts, de 850 à 944 en terres arables, 10 en vignes et 17 en prés.»

indiquant tous deux le caractère agricole voire modestement viticole de l'activité.

Secteur primaire ou Agriculture modifier

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[29]), la commune d'Ochey était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de fruits et sur d'autres cultures permanentes[Note 6] (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 174 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en baisse légère depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 208 à zéro entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 2 (4 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 4 unités de travail[Note 8]. (7 auparavant).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Ancienne maison seigneuriale XVIe.
  • Plusieurs maisons ont conservé des vestiges XVe et XVIe.
  • Église néo-gothique Saint-Maurice XIXe.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

  Blason
D'or à deux lions léopardés de gueules passant l'un au-dessus de l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Article connexe modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Vignes, vergers, petits fruits • les pépinières ligneuses ornementales, fruitières, viticoles ou forestières ….
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Alain KIENTZ, « Les deuilles en pays de Colombey », Etudes touloises (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nancy-Ochey » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Nancy-Ochey » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)..
  19. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 108.
  20. Chauvet JY, « L'inventaire du Toulois (partie 2) : Sites archéologiques », sur etudes-touloises.fr (consulté le ).
  21. Calmet, Augustin, 1672-1757., Notice de la Lorraine, qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, l'électorat de Trèves, les trois évêchés, Metz, Toul et Verdun; l'histoire ... des villes, bourgs, villages ... Nouvelle édition., 1835, 1836 (OCLC 558042145, lire en ligne), p. 209.
  22. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Première partie : statistique historique et administrative , Nancy, Imprimerie PEIFFER, 1843, p. 444 (lire en ligne)
  28. E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne).
  29. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».