La Chapelle-Saint-Sulpice

commune française du département de Seine-et-Marne

La Chapelle-Saint-Sulpice
La Chapelle-Saint-Sulpice
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Bruno Pelliciari
2020-2026
Code postal 77160
Code commune 77090
Démographie
Gentilé Capélosulpiciens
Population
municipale
240 hab. (2021 en augmentation de 0,84 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 18″ nord, 3° 10′ 44″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 151 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web la-chapelle-saint-sulpice.fr

La Chapelle-Saint-Sulpice est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Localisation de la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice dans le département de Seine-et-Marne.

La Chapelle-Saint-Sulpice est situé à 10 km à l'ouest de Provins, à 33 km au nord-est de Montereau-Fault-Yonne (la plus grande ville aux alentours), à 40 km à l'est de Melun (Préfecture de Seine-et-Marne).

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de La Chapelle-Saint-Sulpice
Chenoise-Cucharmoy
Maison-Rouge   Vulaines-lès-Provins
Saint-Loup-de-Naud

Géologie et relief modifier

Le village est situé à 133 mètres d'altitude. Il existait anciennement le ravin des Brodards ou aussi appelé ru des Bassinets, avant d'être comblé en 1968[réf. nécessaire].

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Carte des réseaux hydrographique et routier de La Chapelle-Saint-Sulpice.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,03 km[4].

Gestion des cours d'eau modifier

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Bassée Voulzie ».

Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[7].

Le SAGE « Bassée Voulzie » est en cours d'élaboration en décembre 2020. Il concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[9].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Voulton à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Chapelle-Saint-Sulpice est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts modifier

La commune compte 41 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[24] (source : le fichier Fantoir).

Ses principales rues sont la rue Roger Frisson, la rue Creuse, la rue des Filasses, la rue Saint-Paul, la rue de l'Église, le chemin de Mitoy et l'impasse des Bassinets.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7% ), forêts (4,3 %)[25].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification modifier

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[28].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement modifier

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 94 dont 98,9 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 1,1 % d'appartements[Note 4].

Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,2 % contre 11,8 % de locataires[30].

Voies de communication et transports modifier

L'accès principal au village se fait par la D49 qui donne directement sur la D619 (anciennement nommée N19).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Capella en 1249[31],[32] ; Capella prope Minteium en 1251[33] ; Capela Sancti Supplicii au XIVe siècle[34] ; La Chapelle Saint Supplix en 1538[35] ; La Chapelle Saint Supplis en 1602[36],[37].

La chapelle puis l'église paroissiale était dédiée à saint Sulpice[38] et à saint Antoine[32].

Histoire modifier

Le site de la Chapelle-Saint-Sulpice, bien qu'attenant au Chemin de César, ne conserve aucune trace d'une occupation ancienne. Une communauté de villageois se serait installée sur le territoire actuel de la commune à la suite des grands défrichements des XIe et XIIe siècles. Le village doit son nom à une chapelle seigneuriale construite au XIIIe siècle, la chapelle Peurchée, dont les ruines étaient encore visibles au début du XIXe siècle[39]. La paroisse est mentionnée pour la première fois sous le nom de Capella dans un rôle des fiefs champenois de 1249. Au XIVe siècle, le village prend le nom de Capella sancti Supplicii, l'église étant placée sous l'invocation de saint Sulpice. Il appartient successivement aux seigneurs de Paroy et aux seigneurs du Plessis-aux-Tournelles de Cucharmoy, qui le conservent jusqu'à la Révolution. De 1579 à 1591, il est propriété d'un des chefs huguenots, François de la Noue, proche d'Henri IV. En 1736, la seigneurie du Plessis-aux-Tournelles échoit à André de Rosset, duc de Fleury, pair de France et frère du cardinal de Fleury, le précepteur et ministre de Louis XV. À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, l'économie du village se développe : les excédents de céréales s'écoulent vers Paris depuis la gare de Maison-Rouge, distante de 2 kilomètres des exploitations agricoles capélosulpiciennes. Toutefois, les produits de basse-cour sont toujours vendus sur les marchés de Provins et Nangis[39].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1814 1825 François Caillaux    
1825 1860 Nicolas Briquet    
1860 1880 Paul Delondre    
1880 1895 Charles Chomeau    
1895 1898 Paul Delondre    
1898 1903 Albert Pinturier    
1903 1910 Charles Chomeau    
1910 1920 Paul Millot    
1920 1953 Bernard Vignier    
1953 1959 André Interlinghy    
1959 1971 Gaston Millot    
1971 1973 Maurice Thierry    
1973 1976 Roger Frisson    
1976 2007 Jean-Pierre Lantenois    
2007 2007 Alain Xandri    
2007 2020 Annick Lantenois    
2020 En cours Bruno Pelliciari    

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2020, la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice ne dispose pas d'assainissement collectif[42],[43].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[42],[45].

Eau potable modifier

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[42],[46],[47].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

En 2021, la commune comptait 240 habitants[Note 5], en augmentation de 0,84 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
148150151147175153151145144
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
158165166161166139162161158
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
134145151111127133135121132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
106103109134144171188190228
2017 2021 - - - - - - -
243240-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 82, représentant 238 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 620 euros[52].

Emploi modifier

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 20, occupant 102 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 68,9 % contre un taux de chômage de 8,8 %. Les 22,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,1 % de retraités ou préretraités et 9,5 % pour les autres inactifs[53].

Secteurs d'activité modifier

Entreprises et commerces modifier

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 12 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités immobilières, 1 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et 1 était relatif aux autres activités de services[54].

En 2019, 3 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 2 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].

  • Art déco-délire ;
  • L'atelier de sculpture et peinture ;
  • Élevage de chien de la horde du bois perdu ;
  • Entreprise « I.D.E.E.V » : Imotique Domotique Électricité Énergie Verte.

Agriculture modifier

La Chapelle-Saint-Sulpice est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[56].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[57]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 135 ha en 1988 à 199 ha en 2010[56]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chapelle-Saint-Sulpice, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à La Chapelle-Saint-Sulpice entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[56],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 3 3 2
Travail (UTA) 7 6 5
Surface agricole utilisée (ha) 406 404 398
Cultures[58]
Terres labourables (ha) 402 404 s
Céréales (ha) 261 s s
dont blé tendre (ha) 173 173 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 59 55 s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s
Élevage[56]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 5 0 0

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église Saint-Sulpice.

Lieux et monuments modifier

À proximité :

  • L’église romane de Saint-Loup-de-Naud et son portail sculpté de style gothique primitif

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Chapelle-Saint-Sulpice », p. 1238–1239
  • Provins et ses environs - René-Charles Plancke — Promenades dans le Passé : tome 5 - M.J.C. de Provins - Éditions Amatteis
  • L'Almanach de Seine-et-Marne de 1910
  • Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne — Henri STEIN & Jean HUBERT (archives de l'Évêché de Meaux)
  • Monographie de la commune de La Chapelle-Saint-Sulpice — réalisée par M. Laurein, instituteur à La Chapelle-Saint-Sulpice en 1881 (archives départementales de Seine-et-Marne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « La Chapelle-Saint-Sulpice - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

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  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Dragon (F2326000) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ravin de la Forge (F2326100) » (consulté le ).
  4. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 décembre 2018.
  5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  6. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  8. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  14. « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chapelle-Saint-Sulpice », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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