Jean-François Millet
Jean-François Millet (prononcé [mi'le], Mi-lé), né le au hameau de Gruchy et mort le à Barbizon, est un artiste-peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du XIXe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est célèbre notamment pour ses scènes champêtres et paysannes réalistes.
Naissance | Gruchy, Gréville-Hague |
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Maître |
Mouchel, Langlois de Chèvreville, Paul Delaroche |
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Pierre Millet (d) |
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Pauline Virginie Ono-dit-Biot (d) (depuis ) |
Distinction |
BiographieModifier
Jean-François Millet est le fils de Jean Louis Nicolas Millet (originaire de Saint-Germain-le-Gaillard) et de Aimée Henriette Adélaïde Henry. Il est né à Gruchy, hameau de Gréville-Hague, commune intégrée à la commune nouvelle française de La Hague depuis le . Aîné d'une famille nombreuse de paysans, berger dans son enfance et plus tard laboureur, il est élevé dans un milieu éclairé. Notamment grâce à son oncle, curé lettré[1], il lit la Bible, mais aussi Montaigne, La Fontaine, Homère et Virgile, Shakespeare, Milton, Chateaubriand et Victor Hugo[2].
Il travaille à la ferme familiale jusqu'en 1834, puis, doué en dessin, il est envoyé à Cherbourg par son père, grâce à des relations dans la bourgeoisie locale, pour apprendre le métier de peintre auprès de Paul Dumouchel et de Théophile Langlois de Chèvreville[3]. À cette époque, s'ouvre le musée Thomas-Henry, et Millet s'y exerce en copiant les toiles de maîtres et s'initie aux maîtres hollandais et espagnols.
Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage à Paris. Il s'y installe en 1837 et étudie à l'École des beaux-arts à partir du [2] dans l'atelier du peintre Paul Delaroche. Deux ans plus tard, il est 18e sur 20 au premier essai pour le prix de Rome. Il perd alors sa bourse et doit quitter les Beaux-Arts.
Il revient à Cherbourg où il vit de la vente de quelques portraits de proches et de bourgeois, ainsi que de peintures érotiques[1]. Son portrait de l'ancien maire de Cherbourg, le colonel Javain, est refusé par le conseil municipal. Il se marie en 1841 avec Pauline Ono, fille de tailleur, qui meurt 3 ans plus tard d'une tuberculose.
De retour à Paris, il se détourne du modèle officiel à la mode après 1840, et subit l’influence d’Honoré Daumier. Il expose au Salon à partir de 1842. À Cherbourg, il rencontre Catherine Lemaire, ancienne servante, qu'il épouse en 1853. Elle lui donnera neuf enfants. En 1847, son Œdipe détaché de l'arbre par un berger attire l'œil des critiques parisiens.
Au Salon de 1848, il expose Le Vanneur, qu'Alexandre Ledru-Rollin lui achète pour cinq cents francs. C'est la première œuvre inspirée par le travail paysan, veine qu'il développe à partir de 1849 en s'installant à Barbizon avec Charles Jacque pour s’appliquer à peindre beaucoup de scènes rurales souvent poétiques. Là naissent Les Botteleurs (1850), Des Glaneuses (1857), L'Angélus (1859), La Tondeuse de moutons (1861) et La Bergère (1864), des peintures qu'il classe dans l'influence du courant réaliste, glorifiant l'esthétique de la paysannerie. Un rapide retour dans la Hague en 1854, à la suite du décès de sa mère, lui inspire Le Hameau Cousin, La Maison au puits, Le Puits de Gruchy, une première version du Bout du village… En 1860, Jean-François Millet s'inspire de l'œuvre Madame Bovary de Gustave Flaubert pour sa peinture La Leçon de couture[réf. nécessaire].
Peu à peu, il délaisse les seules scènes de travail paysan pour s'intéresser davantage aux ambiances, aux paysages. Alors que les Prussiens envahissent la France, Millet revient avec sa famille à Cherbourg, en 1870 durant un an et demi, avant de retourner à Barbizon. À cette époque, il travaille davantage les jeux de lumière, la pénombre et le clair-obscur, signant un travail annonciateur de l'impressionnisme, à travers les tableaux de L'Église de Gréville, Le Prieuré de Vauville ou du Bateau de pêche, ou même, avec Le Rocher du Castel, proche des recherches de Paul Cézanne.
Il meurt à Barbizon en Seine-et-Marne, le [4], et est enterré dans le cimetière communal qui, à l'époque, était à Chailly-en-Bière, Barbizon n'étant qu'un hameau de cette commune jusqu'en 1903.
Sa maison à Barbizon est au no 29 de la Grande Rue, il l'occupa de 1849 à 1875. Elle est devenue un musée en 1922.
ImagerieModifier
Ses tableaux, comme Des Glaneuses (1857), dépeignant les plus pauvres des femmes de la campagne se penchant pour glaner les restes d'un champ moissonné, sont une présentation forte de la classe paysanne qui résonne encore à ce jour (Des Glaneuses sont conservées à Paris au musée d'Orsay).
Son Angélus (1858) a été très largement reproduit sur différents objets et supports et copié ou réinterprété par d'autres artistes des XIXe et XXe siècles. Salvador Dalí en particulier a été fasciné par ce travail, lui consacrant tout un livre, El Mito Tragico De El Angelus De Millet[5]. Des variations de ce tableau de Millet apparaissent dans plusieurs de ses propres peintures.
Millet est un peintre réaliste qui a eu une grande influence sur des impressionnistes comme Claude Monet et Camille Pissarro, ainsi que sur Vincent van Gogh, qui a interprété certaines de ses scènes rurales. Son œuvre a également influencé l'autrichien Albin Egger-Lienz.
Sa maison natale, au village de Gruchy dans la commune de Gréville-Hague, a été reconstruite à l’identique et meublée comme une maison paysanne du XIXe siècle. On y peut découvrir de nombreuses copies de ses tableaux.
ŒuvresModifier
Les plus grandes collections d'œuvres de Millet sont à Paris au musée d'Orsay, au musée des beaux-arts de Boston, au musée Thomas-Henry de Cherbourg-en-Cotentin et au Metropolitan Museum of Art de New York.
- Portrait de Pauline Ono (1841), musée Thomas-Henry, Cherbourg-en-Cotentin
- Sarcophage antique, Musée d'art classique de Mougins.
- Intérieur de cuisine Normande (1842), musée des beaux-arts et d'archéologie de Châlons-en-Champagne
- Femme nue couchée (1844), musée d'Orsay, Paris[6]
- Portrait de Charles-André Langevin (1845), huile sur toile, musée d'Art moderne André-Malraux, Le Havre[7]
- Baigneuse au bord de l'eau (v. 1846 / 1847), huile sur panneau de bois, 27.5 x 19 cm, musée des beaux-arts de Dijon, Dijon[8]
- Un vanneur (1848), National Gallery, Londres[9]
- Le Repos des faneurs (1848), musée d'Orsay, Paris[10]
- Le Semeur (1850), huile sur toile, musée des beaux-arts de Boston[11]
- Le Départ pour le Travail (1851), huile sur toile, collection privée
- Notre-Dame de Lorette (v. 1851), huile sur toile, 232 x 132.5 cm, musée des beaux-arts de Dijon, Dijon[12]
- La Récolte des pommes de terre (1855), Walters Art Museum, Baltimore[13]
- La Précaution maternelle (1855-1857), musée du Louvre, Paris[14]
- Hameau Cousin à Gréville (1855-1874), musée des Beaux-Arts, Reims[15]
- Les Glaneuses (1857), musée d'Orsay, Paris[16]
- La Charité (1858), musée Thomas-Henry, Cherbourg-en-Cotentin
- La Petite Bergère (1858), musée d'Orsay, Paris[17]
- L'Angélus (1859), musée d'Orsay, Paris[18]
- La Becquée (1860), 70 x 60 cm, Musée national Zabana d'Oran, Algérie[19]
- La Mort et le Bûcheron (1859)
- L'Homme à la houe (1860-1862)
- L'Hiver aux Corbeaux (1862), Österreichische Galerie, Vienne
- Les Planteurs de pommes de terre (1862), musée des beaux-arts, Boston[20]
- Bergère avec son troupeau (1863-1864), musée d'Orsay, Paris[21]
- La Méridienne (1866), musée des beaux-arts, Boston[22]
- Le Printemps (1868-1873), musée d'Orsay, Paris[23]
- La Leçon de tricot (1869), Saint Louis Art Museum, Missouri[24]
- Meules, Automne (1868-1874), Metropolitan Museum of Art, New York[25]
- L'Église de Gréville (1871-1874), musée d'Orsay, Paris[26]
- Le Bouquet de marguerites (1871-1874), musée d'Orsay, Paris[27]
- Chasse des oiseaux avec les feux (1874), Philadelphia Museum of Art[28]
- Le Retour du troupeau, musée d'Orsay, Paris[29]
- Nature morte aux navets, Musée national des Beaux-Arts d'Alger, Algérie
Quelques expositionsModifier
- 1867 : Exposition universelle à Paris
- 1887 : rétrospective à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris
- 1964 : Cent cinquantième anniversaire de la naissance de Millet au Musée Thomas-Henry de Cherbourg-en-Cotentin
- 1975 : "Jean-François Millet" au Grand Palais de Paris
- 1984 : "Jean-François Millet" au Musée des beaux-arts de Boston
- 1998 : "Millet / Van Gogh" au Musée d'Orsay
- 2002 : "Jean-François Millet, Voyage en Auvergne et Bourbonnais[30], 1866-1868 au Musée d'art Roger-Quilliot de Clermont-Ferrand
- 2003 : "Jean-François Millet et le Naturalisme en Europe" à Tokyo et Fukuoka
- 2008 : "Millet et son temps" au Musée national d'histoire de Taipei
- 2010 : "Millet et la France rurale" au Musée des beaux-arts de Boston
- 2017 : "J.F. Millet, rétrospective" et "Millet USA"[31] au Palais des beaux-arts de Lille
ÉlèvesModifier
- Robert Mols (1848-1903)
GalerieModifier
L'Homme à la pipe ou Portrait d'Armand Ono, vers 1843, huile sur toile, 100,8 × 80,8 cm, Cherbourg-en-Cotentin, musée Thomas-Henry.
Femme nue couchée, 1844-1845, huile sur toile, 33 × 41 cm, Paris, musée d'Orsay.
A l'abri de l'orage, vers 1846, huile sur toile, 46,4 × 38,1 cm, New York, Metropolitan Museum of Art
La Baigneuse, vers 1846-1848, huile sur panneau de bois, 18,5 × 24,1 cm, Washington D.C., National Gallery of Art
La Fournée, 1854, huile sur toile, 55 × 46 cm, Otterlo, musée Kröller-Müller.
Bergère assise sur un rocher, 1856, huile sur bois, 35,9 × 28,3 cm, New York, Metropolitan Museum of Art
Femme avec un rateau, vers 1856-57, huile sur toile, 39,7 × 34,3 cm, New York, Metropolitan Museum of Art
La Becquée, vers 1860, huile sur toile, 74 × 60 cm, Oran, Algérie, Musée national Zabana d'Oran.
La leçon de couture, vers 1860, fusain et pastel, 38 × 31 cm, Crocker Art Museum.
La Bouillie, 1861, eau-forte, 15 × 12 cm.
L'Homme à la houe, vers 1860-1862, huile sur toile, 31,5 × 39 cm, Los Angeles, Getty Center.
Les Planteurs de pommes de terre, vers 1861, huile sur toile, 82,5 × 101,3 cm, Boston, Musée des Beaux-Arts
Bergère avec son troupeau, 1863 ou 1864, huile sur toile, 81 × 101 cm, Paris, musée d'Orsay.
Le Semeur, 1865, Pastel et crayon de bois sur papier, 1865, 47 x 37.5 cm, Clark Art Institute
L'appel des vaches, vers 1872, huile sur bois, 94,6 × 64,8 cm, New York, Metropolitan Museum of Art
Meules - Automne, vers 1872, huile sur toile, 85,1 × 110,2 cm, New York, Metropolitan Museum of Art
Notes et référencesModifier
- Jean-François Millet, un peintre de la Hague, Documentaire avec Lucien Lepoittevin
- Geneviève Lacambe, Henri Soldani et Bertrand Tillier, L'ABCdaire de Millet, Flammarion, 1998
- (en) Jon Thompson, How to Read a Modern Painting: Lessons from the Modern Masters, Harry N. Abrams, 2006, page 28
- Archives départementales de Seine-et-Marne, commune de Chailly-en-Bière, acte de décès n°5, vue 46 / 319
- « Le Mythe tragique de l’Angélus de Millet »).
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- « MILLET, Portrait de Charles-André Langevin | MuMa Le Havre : site officiel du musée d'art moderne André Malraux », sur www.muma-lehavre.fr (consulté le 18 janvier 2019)
- « collections du musée des beaux-arts de dijon - Affichage d'une notice », sur mba-collections.dijon.fr (consulté le 8 novembre 2016)
- « Jean-François Millet | The Winnower | NG6447 | National Gallery, London », sur www.nationalgallery.org.uk (consulté le 18 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- (en) « The Sower », sur Museum of Fine Arts, Boston, (consulté le 18 janvier 2019)
- « collections du musée des beaux-arts de dijon - Affichage d'une notice », sur mba-collections.dijon.fr (consulté le 8 novembre 2016)
- (en) « The Potato Harvest », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le 18 janvier 2019)
- « Site officiel du musée du Louvre », sur cartelfr.louvre.fr (consulté le 18 janvier 2019)
- « Découvrez [[:Modèle:Les collections]] », sur Portail officiel des Musées de Reims (consulté le 18 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- Ambassade d'Algérie en France, « Restitution à l’Algérie de l’œuvre de Jean-François Millet « Femme faisant manger ses enfants » dite aussi « la becquée » », sur amb-algerie.fr, (consulté le 13 mars 2020)
- (en) « Potato Planters », sur Museum of Fine Arts, Boston, (consulté le 18 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- (en) « Noonday Rest », sur Museum of Fine Arts, Boston, (consulté le 18 janvier 2019)
- Musée d'Orsay : Jean-François Millet, Le Printemps
- (en-US) « The Knitting Lesson », sur Saint Louis Art Museum (consulté le 18 janvier 2019)
- (en) « Jean-François Millet. Haystacks: Autumn », sur The Met, (consulté le 17 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- « Philadelphia Museum of Art - Collections Object : Bird's-Nesters », sur www.philamuseum.org (consulté le 18 janvier 2019)
- « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le 17 janvier 2019)
- Louis Passelaigue, Le peintre Jean François Millet et l'Auvergne, le Gonfanon n°44, Argha
- Emmanuelle Jardonnet, « Jean-François Millet, inventeur d’icônes américaines », sur lemonde.fr, (consulté le 1er novembre 2020)
SourcesModifier
- Jean-François Millet, un peintre de la Hague, Documentaire avec Lucien Lepoittevin.
- Jean-François Millet, picturalissime.com
- Jean-François Millet de Gréville, Yves-Marie Bonnissent, site de Gréville-Hague
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Abcdaire de Millet, Paris, Flammarion (Coll. Abcdaires), 1999 (ISBN 978-2080126504)
- (es) Salvador Dalí, El Mito Tragico De El Angelus De Millet (rééd.) TusQuets, 2004 (ISBN 978-8483109342)
- Dominique Gros, La Hague de Jean-Francois Millet, Isoète, Cherbourg-Octeville, 2001 (ISBN 978-2913920095)
- Pierre Leberruyer, Jean-François Millet, Orep, Nonant, 2008 (ISBN 2915762678)
- Maurice Lecoeur, " Le Portrait de Pauline" (réédition) Isoète, 2011, (ISBN 9782357 760387)
- Lucien Lepoittevin, Jean-François Millet. Images et symboles, Isoète, Cherbourg, 1990 (ISBN 2905385324)
- Lucien Lepoittevin, Jean-François Millet. Au-delà de l'Angélus, Éditions de Monza, 2002 (ISBN 978-2908071931)
- Lucien Lepoittevin, Une Chronique de l´amitié. Correspondance intégrale du peintre J.F. Millet, Le Vast 2005.
- Laurent Manœuvre, Jean-François Millet. Pastels et dessins, Bibliothèque de l'image, Paris, 2002 (ISBN 978-2914661409)
- Alfred Sensier et alli, La vie et l’œuvre de Jean-François Millet (rééd. de 1881), éditions des Champs, 2006 (ISBN 978-2910138172)
- (de) Andrea Meyer, Deutschland und Millet, Deutscher Kunstverlag, Berlin und Munchen, 2009 (ISBN 978-3-422-06855-1)
- André Billy, Les beaux jours de Barbizon, Éditions du Pavois, Paris, 1947
- Alexandre Piédagnel, J.-F. Millet: souvenirs de Barbizon, Paris : chez Veuve A. Cadart, 1876. (lire en ligne)
IconographieModifier
- Henri Chapu, Théodore Rousseau et Jean-François Millet, 1884, bas-relief en bronze encastré dans un rocher en forêt de Fontainebleau à Barbizon (fonte Barbedienne).
Articles connexesModifier
- Maison natale de Jean-François Millet
- Charles Heyman, son petit-fils, peintre et graveur
Liens externesModifier
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- (en) Smithsonian American Art Museum
- (en) Te Papa Tongarewa
- (en) Union List of Artist Names
- « Estampes de Jean-François Millet », sur INHA (consulté le 11 janvier 2018).
- Site Officiel de l'Atelier de Jean-François Millet à Barbizon
- Millet sur le site de Barbizon
- (en) Jean-François Millet dans Artcyclopedia
- Jean-François Millet sur Wikimanche