Grotte du Mas-d'Azil
La grotte du Mas-d'Azil est une grotte préhistorique sur la commune du Mas-d'Azil dans le département de l'Ariège, au centre des Pyrénées françaises, région Occitanie (anciennement en Midi-Pyrénées), en France.
Coordonnées | |
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Pays |
France |
Région | |
Département | |
Commune | |
Massif | |
Vallée | |
Voie d'accès |
Type | |
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Altitude de l'entrée |
370 m |
Longueur connue |
2 100 m |
Période de formation | |
Cours d'eau | |
Occupation humaine | |
Patrimonialité |
La cavité est traversée par une route et par la rivière Arize qui l'a creusée. Il s'agit d'une des rares grottes au monde à pouvoir être traversée en voiture[1].
Elle a été occupée à différentes époques préhistoriques et historiques et a donné son nom à une culture préhistorique, l'Azilien.
Situation
modifierLa grotte est située en rive droite (côté est) de l'Arize à 1 km au sud du village du Mas-d'Azil, dans l'ouest du département de l'Ariège[2]. Saint-Girons (sous-préfecture de la commune) est à 25 km au sud-ouest, Pamiers à 29 km à l'est et Foix à 30 km au sud-est.
Elle fait partie du massif du Plantaurel. Le massif de l'Arize commence à seulement 3 km au sud.
Description
modifierCette cavité aux dimensions imposantes a un développement[n 1] de 2 100 m[3].
La « Porte de l'Arize », qui marque l'entrée de la rivière par le sud, est un porche de 51 mètres de haut pour 48 mètres de large.
Une partie de la grotte est un tunnel naturel, long de 420 m pour une largeur moyenne de 50 m, emprunté par la route départementale D 119 qui longe l'Arize sur 410 m. La construction de cette route est à l'origine des découvertes archéologiques.
Avec la grotte de Cuevona (es) des cuevas de Junco (es) (grottes del Agua (es)) dans les Asturies, c'est l'une des très rares grottes en Europe pouvant être traversée en voiture[4].
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L'Arize, avec l'entrée sud de la grotte (en aval) en arrière-plan. -
Intérieur de la grotte. -
Route traversant la grotte. -
Entrée nord de la grotte,
résurgence de l'Arize.
Géologie
modifierLa grotte s'ouvre dans les calcaires du Thanétien supérieur.
La limite Crétacé-Tertiaire (limite KT) est visible dans cette grotte, formée il y a deux millions d'années par l'érosion provoquée par l'Arize. La rivière coulait autrefois en surface dans la vallée, 60 m plus haut que son niveau actuel. Elle s'est enfoncée dans le réseau karstique, agrandissant les failles, déblayant les marnes crétacées. 500 à 600 mètres de longueur auraient ainsi été creusés[5] et se trouve dans le nord du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises[2].
À la suite de la surrection des Pyrénées, l'Arize a plus ou moins d'alluvions à transporter selon les variations climatiques du quaternaire. Lors des phases glaciaires, les éboulis la surchargent en alluvions si bien que la rivière se surélève sur ses propres sédiments au point de boucher sa percée hydrogéologique (la grande galerie). L'Arize creuse alors d'autres galeries. Lors des phases interglaciaires, elle redébouche la grotte, ce qui permet aux Aurignaciens et aux Magdaléniens (à l'Holocène) de s'y installer[6].
Fouilles
modifierDès 1857, la grotte subit une transformation radicale afin d'aménager une route impériale le long de la berge de l'Arize.
À la même époque et pendant près de 40 ans, l'abbé Jean-Jacques Pouech étudie la cavité. Géologue, il recherche principalement des ossements fossiles, notamment dans la salle du Théâtre qu'il nomme « l'étable aux rennes ». L'abbé Pouech topographie l'ensemble de la grotte, sa restitution est la plus fidèle. Le travail est repris dans les années 1980 par François Rouzaud mais reste inachevé.
Félix Garrigou, médecin passionné par la question de l'ancienneté de l'Homme, rassemble ses données avec celles de Pouech et publie un article en 1867. Cet article met en avant la grotte du Mas-d'Azil et la rend célèbre en France. Après la crue de l'Arize en 1875, de nouvelles fouilles sont organisées par Félix Régnault et Tibulle Ladevèze[7].
Durant la seconde moitié du xixe siècle, les chercheurs se consacrent essentiellement à l'étude des ossements, à la paléontologie et à la géologie[8].
Dès 1887, Édouard Piette s'intéresse fortement à la salle du Théâtre ; il explore la Rotonde et « le fourneau », qui porte aujourd'hui son nom. Il établit une chronologie préhistorique en se basant sur l'évolution des productions artistiques : sculpture, gravure, etc. Henri Breuil étudie l'art pariétal lors de sa première venue dans la grotte du Mas d'Azil sans déterminer l'ancienneté des œuvres[9].
Ces travaux scientifiques permettent d'accompagner le développement de la préhistoire en tant que science. Le Mas d'Azil est un site éponyme, la grotte laisse son nom à une culture : l'Azilien. Cette culture comble l'intervalle (le hiatus) des derniers chasseurs des temps glaciaires et les premiers groupes du Néolithique. Cette culture se retrouve dans l'Ouest de l'Europe, de l'Espagne jusqu'aux îles Britanniques[10]. Après une période creuse entre les travaux de Breuil et les années 1920, les recherches reprennent au milieu du XXe siècle avec les époux Péquart. En 1937, ils explorent la galerie des Silex et font la découverte d'un des plus importants habitats magdalénien des Pyrénées. Ils y découvrent des objets exceptionnels tels que le Faon aux oiseaux et le bâton percé au protomé de cheval. Joseph Mandement explore la rive droite de la grotte en désobstruant et dégageant des galeries et cavités inédites. Avec sa femme, il cherche obstinément des sépultures du Magdalénien et trouve un crâne dit de " Magda "[11].
Une mise valeur du site touristique est réalisée après la sortie de la seconde guerre mondiale, à la faveur de l'afflux des vacanciers, suscité par les politiques du Front populaire avec des aménagements importants notamment l'utilisation de l'électricité.
André Alteirac mène une série de fouilles et d'études durant les années 1960-1970. Il crée le musée de la Préhistoire en 1981. En 1977, il invite Denis Vialou, membre du Muséum national d'histoire naturelle à étudier l'art pariétal de "la galerie Breuil".
Dans les années 1980, François Rouzaud, archéologue et spéléologue, réalise un plan de la grotte pour le ministère de la Culture, malheureusement inachevé à la suite de son décès prématuré[12].
De 2011 à 2013, de nouveaux aménagements sont réalisés, notamment la construction d'un centre d'interprétation pour accueillir le public. La rive droite du site du Mas d'Azil est réputée quasiment stérile, cependant lors de la construction du centre d'interprétation, une fouille préventive est réalisée par l'Inrap. Les travaux sont dirigés par Marc Jarry[13] et Céline Pallier[14]. Des découvertes inédites sont faites : on y retrouve des habitats de -35 000 années avant notre ère, de la période Aurignacienne.
Une équipe de chercheurs, coordonnée par Marc Jarry[13], Laurent Bruxelles, Céline Pallier[14], de l'Inrap et François Bon[15], de l'université de Toulouse II Jean-Jaurès, y travaille depuis 2013[16]. Elle réalise un important état des lieux général de la grotte et de tout le massif. Plusieurs axes de recherches sont développées autour de la cartographie, la géologie, l'archéologie ou la description morphokarstique[Quoi ?]...
Préhistoire
modifierLa grotte est d’abord fréquentée par des animaux et les galeries intérieures sont riches en ossements de mammouths laineux[n 2], ours des cavernes et rhinocéros laineux.
Puis des groupes préhistoriques s'y installent. La grotte est connue pour ses nombreux vestiges préhistoriques dont le Faon aux oiseaux, un très beau propulseur daté Magdalénien moyen (15 000 à 13 500 ans AP) découvert par Marthe et Saint-Just Péquart en 1940, ainsi que le Coco des roseaux[17], une scène de chasse du magdalénien à figuration humaine rudimentaire, gravée sur un fragment d'omoplate animale[18]. On y a également découvert un bouton gravé d'un aurochs femelle ainsi que de son veau sur l'autre face, et un crâne de jeune fille, « Magda » (14 000 ans) avec deux plaques d’os taillées simulant les yeux dans les orbites[19].
Outre la richesse et la diversité de son matériel mobilier, la grotte renferme également plusieurs galeries ornées :
- salle Breuil : bisons, chevaux, cervidés, poissons, un possible félin et des signes géométriques ;
- galerie du Renne : nombreuses gravures d’animaux se superposant ;
- salle du Four : arrière-train de cheval, tête de bouquetin, visage humain sur un contour rocheux naturel.
- Un boyau difficile d'accès renferme une vulve gravée[20].
Le site a donné son nom à l'Azilien, une culture préhistorique de l'Épipaléolithique (environ 12 000 à 9 500 avant le présent) comprise entre le Magdalénien et le Mésolithique définie par Édouard Piette. On y retrouve une industrie microlithique, des harpons plats, de nombreux galets peints aziliens (galets colorés d'ocre rouge datant de 10 000 ans)[n 3].
Au Néolithique, de nombreux dolmens, datant d'il y a 4 000 ans, ont été dressés tout autour de la grotte (Bidot (classé), Cap-del-Pouech et Seignas (classé)). Des poteries ont été retrouvées à l'entrée de la grotte.
Mobilier préhistorique
modifierPropulseur dit « Faon aux oiseaux »
modifier-
Vue intégrale du propulseur orné dit Le faon aux oiseaux.
-
Vue partielle du propulseur orné dit Le faon aux oiseaux[21].
-
Détail de la sculpture du Faon aux oiseaux.
Autres sculptures
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Tête de cheval sculptée.
MAN -
Propulseur de sagaie sculpté de 3 têtes de chevaux à trois âges différents (bois ou os de cervidé). MAN
Industrie osseuse
modifier-
Harpon azilien.
Muséum de Toulouse -
Harpons
- MAN. -
Fragment osseux peint
- MAN.
Industrie lithique
modifier-
Perçoirs
- Musée d'archéologie nationale (MAN). -
Pointes
- MAN.
Galets peints
modifier-
Galet peint
- Muséum de Toulouse -
Galet peint
- Muséum de Toulouse -
Galet peint
- Muséum de Toulouse -
Galets peints
- Musée d'archéologie nationale. -
Galets peints
- Musée d'archéologie nationale.
Galets gravés
modifierHistoire
modifierAu IIIe siècle les premiers chrétiens, alors persécutés, y établirent un lieu de prières.
La grotte servit également de refuge, probablement aux cathares du XIIIe siècle (pas d'indice formel) ; puis aux protestants au XVIIe siècle, qui s'y réfugièrent à l'occasion du siège infructueux conduit en 1625 par le maréchal de Thémines contre la cité. En représailles, Richelieu fit prévoir dans les clauses de la paix d'Alès la destruction du plafond de la salle du Temple à l'intérieur de la grotte, et des fortifications de cette dernière.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la grotte du Mas d'Azil fut réquisitionnée à partir du pour la Société nationale des constructions aéronautiques du Midi (anciennement Dewoitine) qui envisageait d'y établir une usine de pièces pour ses avions. Des travaux commencèrent (aplanissement, constructions, éclairage), mais devaient cesser début juillet de la même année à la suite de la défaite des armées françaises. Les troupes d'Occupation allemandes envisagèrent fin 1943 de reprendre l'idée pour y installer, elles aussi, des ateliers de réparations pour leurs avions, en complément de l'usine pour les Junkers prévue dans la grotte de Bédeilhac. Devant le refus obstiné des autorités françaises essentiellement dû au problème de circulation induit par l'occupation de la route traversant la grotte, leur projet fut abandonné au printemps 1944[22].
Protection
modifierEn 1942, la grotte est classée au titre des monuments historiques[23].
En 2009, le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises est créé, dont fait partie le territoire du Mas-d'Azil. Les abords de la grotte bénéficient donc de la protection imposée par les règles du parc.
Visites
modifierOn pense que la plupart des vestiges de la présence humaine sont enfouis dans le remblai, à l'entrée de la grotte.
Un vestige d'habitat préhistorique peut être visité dans les parties supérieures des galeries, hors de portée des crues.
Complémentaire de la grotte, un musée relatant l'histoire préhistorique de la région est présent dans le bourg du Mas-d'Azil.
Notes et références
modifierNotes
modifier- En spéléologie, le développement correspond à la longueur cumulée des galeries interconnectées qui composent un réseau souterrain.
- Estimation de l'âge à 60 000 ans environ
- Plusieurs hypothèses sur la fonction de ces galets coexistent: Pour les uns il s'agirait d'éléments d'un jeu sacré divinatoire, pour d'autres il s'agirait d'une première tentative d'écriture ou d'un système numérique archaïque in Daniel Bernet Guide de la France avant la France Pierre Horay éditeur 1984 p.174 (ISBN 2-7058-0139-1)
Références
modifier- grotte-du-mas-d-azil.arize-leze.fr
- « Le Mas-d'Azil, carte IGN interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- Jean-Yves Bigot, « Spéléométrie de la France. Cavités classées par département, par dénivellation et développement », Spelunca Mémoires, no 27, , p. 24 (ISSN 0249-0544, lire en ligne [PDF] sur spelunca-memoires.ffspeleo.fr).
- (es) « Cuevona de Cuevas del Agua », sur turismoasturias.es (consulté le ).
- « Le Mas-d'Azil, carte géologique interactive » sur Géoportail.
- « Formation de la grotte »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur grotte-masdazil.com (consulté le ).
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 16
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 18
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 20
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 22
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 26-28
- Pauline Ramis / Marc Jarry, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 30
- traces.univ-tlse2.fr
- traces.univ-tlse2.fr
- traces.univ-tlse2.fr
- Pauline Ramis, Les carnets du Mas d'Azil : Préhistoires du Mas d'Azil, p. 32-34
- Pales, Léon, « Le « Coco des Roseaux » ou la fin d'une erreur », Bulletin de la Société préhistorique française, Persée, vol. 67, no 3, , p. 85–88 (DOI 10.3406/bspf.1970.4231, lire en ligne, consulté le ).
- https://www.academie-stanislas.org/academiestanislas/images/seances_ordinaires/2015-10-16-Le_Tacon.pdf
- Marc Azéma et Laurent Brasier, Le beau livre de la préhistoire : De Toumaï à Lascaux 4, Dunod, , 420 p. (ISBN 978-2-10-075789-3, présentation en ligne).
- « Les premiers Cro-Magnon de la grotte du Mas d'Azil (Ariège) », sur France Culture (consulté le )
- L'interprétation initiale identifie un faon sculpté en ronde-bosse dans la partie distale du propulseur. Il « tourne la tête sur la droite vers son arrière-train pour observer deux oiseaux perchés sur quelque chose de cylindrique sortant de son corps (présumément un « boudin » de matière fécale), la queue de l'un d'eux servant de crochet au propulseur ». Contrairement à cette interprétation, « l'animal représenté n'est pas un faon, mais, selon les détails anatomiques perceptibles, plutôt un isard ou un bouquetin, sans doute assez jeune. Les « oiseaux », eux, ne seraient que de simples stries ornant le propulseur (l'art magdalénien étant plus riche en signes qu'en figures animales). Quant au « boudin », il s'agirait en réalité d'une poche placentaire et l'animal serait ainsi une femelle d'isard en train de mettre bas ». Cf Marc Azéma, Laurent Brasier, Le beau livre de la préhistoire. De Toumaï à Lascaux 4, Dunod, , p. 232.
- Jean-Jacques Pétris, L'occupation des grottes de Bédeilhac et du Mas d'Azil durant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Girons, Archives ariégeoises, (ISBN 978-2-9534325-8-9), P. 201-233
- « Grotte du Mas-d'Azil », notice no PA00093817, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Musée de préhistoire du Mas-d'Azil
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Bibliographie
modifier- [Breuil 1903] Henri Breuil, « Les fouilles de la grotte du Mas d'Azil (Ariège) », Bulletin archéologique, (lire en ligne [PDF] sur documents.univ-toulouse.fr, consulté en ).
- [Bruxelles et al. 2016] Laurent Bruxelles, Marc Jarry, Jean-Yves Bigot, François Bon, Didier Cailhol, Grégory Dandurand et Céline Pallier, Association française de karstologie, « La biocorrosion, un nouveau paramètre à prendre en compte pour interpréter la répartition des œuvres pariétales : l’exemple de la grotte du Mas d’Azil en Ariège », Karstologia, Paris, Fédération française de spéléologie / Association française de karstologie, no 68, 2e semestre 2016, p. 21-30 (ISSN 0751-7688, lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ).
- [Le Guillou, Dieulafait & Paulin 2003] Yanick Le Guillou, Christine Dieulafait et Jean Paulin, « Mas-d'Azil, prospection diachronique », dans Marie-Geneviève Colin (coord.) & Laurent Sévègnes (fonds cartographiques), Bilan scientifique 2003 (pour le Mas d'Azil, poursuite de l'inventaire diachronique des sites de la commune), Toulouse, DRAC Midi-Pyrénées, service régional de l'archéologie (SRA), , 209 p. (lire en ligne [PDF] sur culture.gouv.fr), p. 31-32.
- [Piette 1896] Édouard Piette, « Les plantes cultivées de la période de transition au Mas d'Azil », L'Anthropologie, t. 7, no 1 « Études d'ethnographie préhistorique », , p. 5-24 (lire en ligne [sur gallica]).
Liens externes
modifier
- Ressource relative à l'architecture :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- « Site officiel de la grotte et du musée du Mas-d'Azil »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Visite virtuelle et réalité augmentée, grotte du Mas d'Azil en Ariège » (consulté le ).
- « La grotte du Mas d'Azil » (consulté le )
- « Musée de la Préhistoire » (consulté le )