Famille Berlier de Vauplane (Provence)
La famille Berlier de Vauplane est une famille subsistante d'ancienne bourgeoisie française, originaire de Barcelonnette, en Provence. Famille de juristes connue depuis la fin du XVe siècle, elle a formé plusieurs branches dont seule subsiste la branche de Vauplane. Elle compte parmi ses membres des avocats, des hommes politiques dont des maires de Draguignan et de Tourtour, des officiers et des magistrats.
Famille Berlier de Vauplane | |
Armes | |
Blasonnement | D'azur à un bélier d'argent, au chef de gueules chargé de trois besants d'or[1] |
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Devise | Pretium non vile laborum[2] |
Branches | Berlier Vauplane Tourtour |
Période | XVe siècle - aujourd'hui |
Pays ou province d’origine | Provence |
Fiefs tenus | Vauplane Tourtour |
Charges | Juge-mage, consuls |
Fonctions militaires | Officiers supérieurs |
Fonctions ecclésiastiques | Chanoine |
Récompenses civiles | Officiers de la Légion d'honneur |
Récompenses militaires | Ordre royal et militaire de Saint-Louis, ordre national de la Légion d'honneur |
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Onomastique
modifierLe patronyme Berlier s'est aussi écrit jusqu'à la fin du XVIe siècle Berlieri ou Berliery[3]. Plusieurs individus de cette famille sont dénommés comme tels dans les registres paroissiaux de Tourtour ou dans les minutes notariales de Tourtour.
Bien que les armes des Berlier représente un bélier, il faut chercher ailleurs le sens du mot. L’animal « bélier » en provençal est désigné par le mot aret, étymologiquement éloigné de Berlier, plus proche de l’italien ariete (bélier) et du latin aries (bélier) que du français[4].
Le Trésor du Felibrige[5] rapproche ce nom de « berlo », éclat de bois, mais aussi de la berle (nom identique en provençal), qui, selon Dauzat et Rostaing[6], a donné de nombreux noms de lieux. Dans le Recueil des mots de la basse latinité de Maigne d’Arny[7], « Berla » peut indiquer en langage agricole, dans certaines provinces gauloises, « un grand troupeau de moutons » et « berliera », la bélière, à savoir un anneau de cuir auquel est suspendue la cloche, la clarine du bétail.
Le rattachement à la terre la berlière en Provence est aussi explication de l'origine du nom. Toutefois, le rattachement de cette famille avec les Villeneuve et la branche Villeneuve La Berlière est à écarter, malgré le lien avec les troubles pendant les guerres de religion[8],[9].
Le choix du bélier comme signe représentatif du patronyme peut s’expliquer tout autant par le nom d’un lieu (bergerie) ou d’une terre (berlière) ou d’une activité (berger) que par les symboles que représente l’animal. Ce qui explique pourquoi certaines villes ont comme armoiries un bélier (comme Quimper en Bretagne), et que d’autres familles que les Berlier retiennent le bélier comme signe distinctif. On peut ainsi citer les familles Blégiers (Comtat-Venaissin), La Boissonade (Rouergue), ou encore les Roblelin d’Ogny (Bourgogne)[10].
Histoire
modifierLa famille Berlier est une famille provençale connue à partir de la fin du XVe siècle, originaire de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence). Balthazard Berlier (1489-1560), le premier ancêtre connu[11], était juge-mage[12]. Au siècle suivant un membre de cette famille s'établit à Tourtour, puis à Draguignan (Var) au XVIe siècle, où plusieurs de ses descendants furent consuls ou maires de ces deux localités[13]. Elle se caractérise par sa présence dans la judicature et plus généralement les métiers d'avocat, magistrat, notaire ou juriste de façon ininterrompue depuis le début du XVI° siècle.
Au XVIIe siècle César Berlier (1659-1734)[14], conseiller du roi, fait inscrire son blason à l'Armorial général de France de 1696[15].
Le nom de la seigneurie de Vauplane est venu à la suite du mariage de Marc-Antoine Berlier avec Marguerite d'Arnoux de Vauplane[16] et d'une convention passée en 1773 entre celui-ci et sa belle-mère Anne-Thérèse Circlot, veuve de Guillaume d'Arnoux[12]. Un décret du ratifie l'usage établi depuis la fin de l'Ancien Régime par la famille Berlier de joindre à son nom celui de Vauplane[8]. Les Berlier de Vauplane s'installent à Marseille au début du XIXe siècle, puis à Paris au milieu du XXe siècle.
Cette branche comprend de nombreux avocats dont Honoré Berlier (1522-1592), Blaise Berlier (1730-1793), avocat puis juge de paix à Draguignan, maire de Draguignan, guillotiné le 11 décembre 1793 pour conspiration fédéraliste, Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920), magistrat puis avocat, bâtonnier du barreau de Tours, défenseur de nombreuses congrégations religieuses après la loi de 1880 d'expulsion des congrégations religieuses, défenseur du comte de Sabran de Pontevès devant la Haute Cour de Justice, président du comité royaliste de Tours, commandeur de l’ordre de Saint Grégoire, président de la conférence Olivaint, Henri Berlier de Vauplane (1853-1937), avocat au barreau de Marseille, professeur de droit à la Faculté de droit libre de Marseille, critique musical sous le pseudonyme Eklektik dans Le soleil du Midi, quotidien marseillais, président et fondateur de la Société de Musique de chambre de Marseille, spécialiste de Richard Wagner, chevalier de l'ordre du Libérateur (Venezuela), chevalier de l'ordre du Médjidié (Empire Ottoman), Hubert Berlier de Vauplane, docteur en droit, avocat, membre de l'Académie catholique de France[17].
Elle comprend aussi de nombreux gens d'église dont François Berlier de Vauplane (1883-1939), jésuite, aumônier militaire dans l'infanterie coloniale pendant la guerre de 1914-1918, puis de la 8e division coloniale pendant l'occupation de la Sarre, directeur du lycée privé Saint-Louis de Gonzague à Paris, recteur du Lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles de 1937 à 1939, officier de la Légion d'honneur et croix de guerre 1914-1918.
Elle comprend également de nombreux officiers tant sous l'Ancien régime que récemment.
Un de leurs représentants actuels est membre de la Société des Cincinnati et du Jockey Club. Elle est membre de l'association des Vieux noms français subsistants (VNFS)[18].
Des Berlier de Vauplane est issue la branche Berlier-Tourtour qui prend au début du XVIIIe siècle le nom de la seigneurie qu'elle possédait à Tourtour[a],[19] et le rameau cadet de celle-ci ajoute le nom de la terre de La Rémolle à la fin du XVIIIe siècle[14]. Cette branche comprend parmi ses membres Étienne de Berlier-Tourtour (1743-1827), maire de Draguignan (an III et 1813), conseiller général du Var (1800-1807), président du conseil général du Var (1806), lieutenant-colonel, se retire de l'armée au début de la Révolution, chevalier de Saint-Louis. Également François-Augustin de Berlier-Tourtour de La Rémolle (1748-1832), capitaine dans le régiment d'Auxonne pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, organisateur de l’Arsenal de Lyon, s'est retiré de la vie militaire comme colonel au début de la Révolution, rejoint Bonaparte comme commandant de l'artillerie à Antibes lors du siège de Toulon (1793), avant d'être écarté pour sympathies monarchistes, chevalier de Saint Louis, maire d'Eygières (1817-1830). Cette branche s'est éteinte avec Félicien de Berlier-Tourtour (1899).
Filiation
modifier- Balthazard Berlier (1489-1560), dont :
- Honoré Berlier (1522-1592), avocat à Draguignan, aide le comte de Suze, gouverneur de Provence, en levant une troupe de quatre cents hommes à ses frais, lors des troubles de 1578-1579 qui accompagnèrent en Provence la formation de la Ligue[20],[14]. Selon les auteurs du nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône[20], à la suite de cet évènement, celui-ci aurait reçu des lettres d’anoblissement en 1569, confirmées en 1694, sans toutefois que des traces n'en soient gardées[12].
- Honoré Berlier (1552-1609)
- César Berlier (1590-1670), conseiller-auditeur des comptes[12] à Draguignan, seigneur de Tourtour, auteur des branches de Berlier-Tourtour et de la branche de Toulon ci-dessous
- Joseph Berlier (1620-1699), avocat à Draguignan, receveur des vigueries et des tailles.
- César Berlier (1653-1734), maire de Draguignan, avocat, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[12],[21], maître de la compagnie du Saint-Sacrement.
- François Berlier (1686 - 1718), lieutenant au régiment de Vieille-Marine.
- Joseph Berlier (1672-1749), avocat à Draguignan.
- Marc-Antoine Berlier (1709-1793), capitaine dans les milices de Provence, participe à la Guerre de Succession d'Autriche, maire de Draguignan (1756), chevalier de Saint-Louis [12].
- Jean Berlier (1710 - 1793), capucin à Draguignan.
- César Berlier (1711 - 1793), capucin à Draguignan.
- François Berlier de Vauplane (1771-1860), propriétaire à Draguignan
- Hippolyte Henri Berlier de Vauplane (1799 - 1895), propriétaire à Mascara, Algérie
- Louis-Edmond Berlier de Vauplane (1858 - )
- Marcel Berlier de Vauplane (1891 - 1949)
- Louis-Edmond Berlier de Vauplane (1858 - )
- Eugène Polieucte Berlier de Vauplane (1811 - 1831), élève officier à Saint-Cyr.
- Adolphe Berlier de Vauplane (1807-1875), avocat, rentier.
- Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920), avocat, chef de cabinet du Garde des Sceaux et ministre de la justice, substitut du procureur général à Lyon, défenseur du comte de Sabran de Pontevès devant la Haute Cour de Justice, commandeur de l’ordre de Saint Grégoire, président de la conférence Olivaint.
- François Berlier de Vauplane (1883-1939), jésuite, directeur du lycée privé Saint-Louis de Gonzague à Paris, recteur du lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles de 1937 à 1939, officier de la Légion d'honneur.
- Henri Berlier de Vauplane (1853-1937), avocat au barreau de Marseille, professeur de droit à la Faculté de droit libre de Marseille, critique musical sous le pseudonyme Eklektik dans Le soleil du Midi, quotidien marseillais, spécialiste de Richard Wagner, chevalier de l'orden del Libertator (Vénézuela) et chevalier de l'ordre du Médjidié (Empire Ottoman).
- Jacques Berlier de Vauplane, (1885 - 1914), lieutenant au 7ème régiment de cuirassiers, mort pour la France, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914-1918 avec palme.
- Hervé Berlier de Vauplane (1893 - 1923), jésuite, mort pour la France, croix de guerre 1914-1918 avec palme.
- Robert Berlier de Vauplane (1896 - 1917), engagé volontaire, maréchal des logis au 19ème régiment d'artillerie, croix de guerre 1914-1918, mort pour la France.
- Marcel Berlier de Vauplane (1890-1941), agent de change à la bourse de Marseille, adjoint au syndic de la compagnie des agents de change, croix de guerre 1914-1918.
- Jacques Berlier de Vauplane (1917 - 1944).
- Henri Berlier de Vauplane (1920-2003), juriste d'entreprise
- Hugues Berlier de Vauplane, sciences po Paris, administrateur et gérant de sociétés.
- Hubert Berlier de Vauplane, docteur en droit, avocat[22],[23].
- Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920), avocat, chef de cabinet du Garde des Sceaux et ministre de la justice, substitut du procureur général à Lyon, défenseur du comte de Sabran de Pontevès devant la Haute Cour de Justice, commandeur de l’ordre de Saint Grégoire, président de la conférence Olivaint.
- Hippolyte Henri Berlier de Vauplane (1799 - 1895), propriétaire à Mascara, Algérie
- François Berlier de Vauplane (1771-1860), propriétaire à Draguignan
- Blaise Berlier (1667 - 1739), avocat à Draguignan
- Joseph-César Berlier (1703 - 1783), avocat à Draguignan
- Blaise Berlier (1730-1793), avocat puis juge de paix à Draguignan, maire de Draguignan, guillotiné le [24] pour conspiration fédéraliste[25].
- Joseph-César (1758 - 1824), avocat à Aix-en-Provence
- Marc Grégoire Berlier ( - ), procureur du roi à la sénéchaussée de Brignoles[26].
- Joseph-César Berlier (1703 - 1783), avocat à Draguignan
- César Berlier (1653-1734), maire de Draguignan, avocat, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[12],[21], maître de la compagnie du Saint-Sacrement.
- Joseph Berlier (1620-1699), avocat à Draguignan, receveur des vigueries et des tailles.
- Blaise Berlier (1631-1697), auteur de la branche de Tourtour, qui suit.
- César Berlier (1590-1670), conseiller-auditeur des comptes[12] à Draguignan, seigneur de Tourtour, auteur des branches de Berlier-Tourtour et de la branche de Toulon ci-dessous
- Honoré Berlier (1552-1609)
- Jean Berlier ( - ), notaire royal à Tourtour en 1531
- Honoré Berlier (1522-1592), avocat à Draguignan, aide le comte de Suze, gouverneur de Provence, en levant une troupe de quatre cents hommes à ses frais, lors des troubles de 1578-1579 qui accompagnèrent en Provence la formation de la Ligue[20],[14]. Selon les auteurs du nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône[20], à la suite de cet évènement, celui-ci aurait reçu des lettres d’anoblissement en 1569, confirmées en 1694, sans toutefois que des traces n'en soient gardées[12].
-
François Esprit Emmanuel Berlier de Vauplane (1771-1860)
-
Adolphe Berlier de Vauplane (1807-1875)
-
Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920)
-
Henri Berlier de Vauplane (1853-1937)
-
Père François Berlier de Vauplane, S.J (1883-1939)
Branche Berlier-Tourtour
modifierContrairement à ce qu'affirmait Gustave Chaix d'Est-Ange, la branche Berlier-Tourtour est une branche cadette de la famille Berlier.
- César Berlier (1590 - 1670), conseiller auditeur à la cour des comptes de Draguignan, co-seigneur de Tourtour
- Blaise Berlier (1631 – 1697), receveur des tailles à Draguignan, seigneur de Tourtour.
- César Berlier (1665 - 1723), prince d'amour à Aix, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan [28], seigneur de Tourtour[29].
- Étienne-Augustin de Berlier-Tourtour (1705 – 1783), fils du précédent, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[28], seigneur de Tourtour[29].
- Étienne de Berlier-Tourtour (1743-1827), fils du précédent, lieutenant-colonel d'artillerie sous Louis XVI, seigneur de Tourtour, maire de Draguignan (1793 et 1813-1814), président du conseil général du Var (1800-1806)[30], impliqué au sein du parti "ultra" lors de la Restauration[31], notamment avec Jean Antoine de Paul de Châteaudouble (1774-1846), chevalier de Saint-Louis.
- Adolphe de Berlier-Tourtour (1797 - 1863), fils du précédent, avocat, puis magistrat au tribunal de Draguignan
- Félix de Berlier-Tourtour (1829 - 1869), fils du précédent, capitaine d’état-major, aide de camp du général Abadie, médaille de Crimée et chevalier de la Légion d’honneur[32].
- Adolphe de Berlier-Tourtour (1797 - 1863), fils du précédent, avocat, puis magistrat au tribunal de Draguignan
- Melchior de Berlier-Tourtour (1745 - 1820), docteur en Sorbonne, chanoine de Paris.
- François-Augustin de Berlier-Tourtour de La Rémolle (1748-1832), frère du précédent, participe à la guerre d'indépendance des États-Unis comme capitaine dans le régiment d'Auxonne sous les ordres du comte d'Estaing[33], organisateur de l’Arsenal de Lyon, s'est retiré de la vie militaire comme colonel, et finalement rejoint Bonaparte comme commandant de l'artillerie à Antibes lors du siège de Toulon (1793)[34],[30], chevalier de Saint-Louis. Maire d'Eygières (1817 - 1830)[35].
- Alphonse de Berlier-Tourtour, (1802 - 1860) avocat à Aix
- Félicien de Berlier-Tourtour (1837 - 1899)
- Adrien de Berlier-Tourtour (1844 - 1894)
- Alphonse de Berlier-Tourtour, (1802 - 1860) avocat à Aix
- Étienne de Berlier-Tourtour (1743-1827), fils du précédent, lieutenant-colonel d'artillerie sous Louis XVI, seigneur de Tourtour, maire de Draguignan (1793 et 1813-1814), président du conseil général du Var (1800-1806)[30], impliqué au sein du parti "ultra" lors de la Restauration[31], notamment avec Jean Antoine de Paul de Châteaudouble (1774-1846), chevalier de Saint-Louis.
- Étienne-Augustin de Berlier-Tourtour (1705 – 1783), fils du précédent, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[28], seigneur de Tourtour[29].
- César Berlier (1665 - 1723), prince d'amour à Aix, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan [28], seigneur de Tourtour[29].
- Blaise Berlier (1631 – 1697), receveur des tailles à Draguignan, seigneur de Tourtour.
-
Colonel de Berlier-Tourtour (1743-1827), maire de Draguignan, président du conseil général du Var
-
Félix de Berlier-Tourtour (1829 - 1869), capitaine d'État major
Autres branches
modifierLa souche de la famille Berlier a formé par ailleurs une branche mentionnée à Toulon qui fut l'aînée de cette famille provençale. Et une branche à Dijon mais dont le rattachement reste à confirmer.[réf. nécessaire]
Branche Berlier (Toulon)
modifierÀ la fin du XVIe siècle la branche aînée de la famille Berlier s'installe à Toulon et donne de nombreux chirurgiens de la marine ainsi que des officiers du génie qui ont participé à l'épopée napoléonienne dont notamment François Toussaint Berlier (1767-1849) et Jean-Charles Berlier (1788-1837)[36].
- César Berlier (1590 - 1670), co-seigneur de Tourtour.
- Joseph Berlier (1620-1699) : auteur de la branche Vauplane qui précède.
- Balthazar Berlier (1617 - 1701), premier consul de Draguignan.
- Antoine Berlier (1675 - 1746)
Branche Berlier (Dijon)
modifierUne autre branche est mentionnée comme faisant partie de la famille Berlier originaire de Provence mais le point de jonction avec les autres est à confirmer. Xavier de Montclos pour sa part indique que les Berlier de Dijon sont une branche de cette famille mais il ne donne toutefois pas une indication sur un ancêtre commun[40],[41],[b].
Cette branche fut illustrée par Théophile Berlier (1761-1844), député de la Côte d'Or à la Convention nationale, vote la mort du roi, président de la Convention nationale, membre du Comité de salut public, député et président du Conseil des Cinq-Cents, président du Conseil des Prises, conseiller d'État, comte d'Empire, l'un des principaux rédacteurs du code civil, du code pénal, et du code d'instruction criminelle.
Également par Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
Cette branche aujourd'hui éteinte avec Raymond Berlier (1958) serait aussi liée aux Berlier établis dans le Forez, comme en attesterait un litige successoral[42].
- Claude Berlier (-)
- Mathieu Berlier (- 1700)
- Guillaume Berlier (1699 - 1765)
- Antoine Berlier (1731 - 1777)
- Théophile Berlier (1761-1844), Député de la Côte d’Or sous la Convention, il vote la mort du roi, président de la Convention nationale du au , membre du Comité de salut public du au , député au Conseil des Cinq-Cents du au , président du Conseil des Cinq-Cents du au , comte d'Empire, rédacteur du code civil, notamment sur les aspects du droit de la famille[43].
- Théophile (1733 - 1794) : conseiller du roi, puis garde marteau Chatillon-sur-Seine, guillotiné à Dijon le 20 mai 1794.
- Antoine (cadet) (1754 - 1826), avocat, puis notaire à Dijon.
- Antoine Berlier (1731 - 1777)
- Louis-Guillaume Berlier (1740 - )
- Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
- Hercule Berlier (1818 - 1875), colonel de zouaves.
- Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
- Guillaume Berlier (1699 - 1765)
- Mathieu Berlier (- 1700)
-
Théophile Berlier (1761-1844) - président de la Convention Nationale et du Conseil des Cinq-Cents, conseiller d'État
-
Buste du général Hercule Berlier (1769 - 1821), baron d'Empire, officier de la Légion d'honneur et chevalier de Saint-Louis
Armes et titres
modifierArmes de Théophile Berlier, comte d'Empire
Figure | Blasonnement |
Parti : au 1, de sable, au bélier d'argent ; au 2, d'argent, à un mât de pourpre ; franc-quartier de comte conseiller d'État.[44] |
Armes de Pierre-André-Hercule Berlier, baron d’Empire
Figure | Blasonnement |
Écartelé : aux I et IV, d'argent à trois lionceaux de sable ; au II, de gueules à une épée d'argent qui est des barons militaires ; au III, de gueules à une lance d'argent. |
Châteaux et demeures
modifier- Château Berlier-Tourtour, hameau de Rebouillon à Chateaudouble (Var)
- Château de Genas à Cléon d'Andran (Drôme)
- Château de Launay à Tuffé (Sarthe)
- Mas Berlier à Eyguieres (Bouches-du-Rhône)
- Hôtel Berlier-Tourtour à Draguignan (Var)
- Hôtel Berlier à Draguignan (Var)
- Mas Morière à Soliès-Toucas (Var)
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Château de Genas vue aérienne
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Château Berlier, hameau de Rebouillon
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château de Launay à Tuffé
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Hôtel Berlier-Tourtour
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Mas Les Morières à Solliès-Toucas
Personnalités liées
modifier- Gaspard de Tressemanes de Brunet, fils de Madeleine Berlier;
- Bruno-Louis de Lenfant, fils de Anne Berlier;
- André Rostand, beau père de Henri Berlier de Vauplane ;
- Général Henry Marabail, grand père de Henri Berlier de Vauplane;
- Jules Pighetti de Rivasso, beau père de Henri Berlier de Vauplane ;
- Sirus Pirondi, grand père de Henri Berlier de Vauplane;
- Jean-Antoine de Paul de Chateaudouble, beau-père de Adolphe de Berlier-Tourtour ;
- Charles de Ribbe, gendre de Adolphe de Berlier-Tourtour;
- Didier Pérouse de Montclos, fils de Jeanne Berlier de Vauplane;
- Xavier Pérouse de Montclos, fils de Jeanne Berlier de Vauplane.
Alliances
modifierLa famille Berlier s'est notamment alliée aux familles Clemens (1551), Boyer (1588), d'Audiffret (1659), Brunel de Vilepeys (1679), Brun de Boadès (en) (1684), Bœuf de Villepey (1686), de Raimondis (1688), Tressemanes de Brunet (1705), Muraire (1707), de Lenfant (1707), Renom de La Baume (1742), d'Arnoux (1759), de Leuze du Cheyla (1794), de Chieusse de Combaud (1796), de Paul de Châteaudouble (1828), de Gabrielli de Gubbio (1853), de Ribbe (1855), d'Estienne (1865), Vialète d'Aignan de Mortarieu (1872), Pighetti de Rivasso (1884), de Régis de Gâtimel (1888), Jaubert d'Aubry de Puymorin (1899), de Courrèges (1907), Pérouse de Montclos (1909), Bouvet de La Maisonneuve (1946), Rostand (1952), Richebé (1978), Abbo (1982), Odart de Rilly d'Oysonville (1984), Rioufol (1984), Robert de Lézardière (2012), Barbier de Préville (2014), Lemaistre (2017), Thierry d'Argenlieu (2018), Gaubert (2018), de Hercé (2023).
Postérité
modifier- Station de ski Vauplane (Alpes de Haute Provence), terre féodale détenue par la famille Berlier[45].
- La rue Général-Berlier, à Crest (Drôme), du nom du général Hercule Berlier.
- La rue Berlier, à Dijon (Cote d'Or), du nom de Théophile Berlier.
- La rue Berlier, à Eyguières (Bouches-du-Rhone), du nom de François-Augustin de Berlier-Tourtour de la Rémolle, ancien maire.
- Bâtiment Vauplane au Lycée Saint-Louis de Gonzague à Paris, du nom du Père François Berlier de Vauplane[46],[47].
-
Station de ski Vauplane
-
Crest, rue Berlier
-
Paris, Lycée Franklin - Bâtiment Vauplane
-
Rue Théophile Berlier à Dijon
Notes et références
modifierNotes
modifier- « Tourtour le village du Var dans le ciel », sur terresdeprovenceimmobilier.com (consulté le ).
- Hubert Berlier de Vauplane rapporte que Xavier de Montclos indique clairement que la branche de Dijon et celle de Tourtour/Draguignan sont liées mais qu'il ne donne pas ses sources. Hubert Berlier de Vauplane ajoute que selon ses propres recherches cet auteur se fonde sur les archives de la bibliothèque Paul Arbaud d'Aix où dans le dossier Berlier il est fait mention de liens entre ces deux branches via les livres de raison et les recherches effectuées par Régis de Gâtimel sur la famille Berlier. Il ajoute encore qu'il est possible aussi que Xavier de Montclos soit allé voir les archives de Draguignan dans le dossier Berlier établi par Frédéric Mireur sur les familles de Draguignan où ce lien est aussi mentionné. De même, du côté Berlier de Dijon, les archives familiales (versées aux archives de Dijon) mentionnent aussi le lien entre ces deux branches. Extraits du livre de Xavier de Montclos : "À la fin du XVIe siècle un Berlier s'installe à Lyon ; il est l'auteur des Berlier de Dijon (...)". Les deux éditions du livre de Montclos sont identiques sur ce point. Hubert Berlier de Vauplane rapporte également que les actes d'archives (archives départementales de Dijon, Saint-Étienne, Draguignan) donnent le rattachement comme suit : Balthazard Berlier (1534 - ?), fils de Balthazard (1489-1560) et frère de Gaspard (notaire à Tourtour mais pas de date de baptême : les registres paroissiaux ne sont pas tenus avant 1554 à Tourtour) quitte Tourtour pour Lyon où il se marie; d'où notamment Jaques (1588 - ?), puis Claude ( ? - ?) à Saint Étienne, d'où Mathieu (1674 - 1700 ?) à Saint Étienne, d'où Guillaume (1699-1765) à Dijon; d'où Antoine (1731-1777) et Théophile (1733-1794), conseiller du roi à Dijon puis garde marteau à Chatillon-sur-Seine guillotiné à Dijon le 20 mai 1794. Pas d'idées sur les métiers exercés pour les premiers degrés : Guillaume (1699-1765) est mentionné marchand dans son acte de mariage, Antoine (1731-1777) est mentionné selon les actes avocat puis quincailler (il reprend l'activité de son père). Hubert Berlier de Vauplane indique par ailleurs ne pas avoir le détail du dossier à la bibliothèque Paul Arbaud à Aix. Cette origine commune est donc dans l'attente d'une confirmation.
Références
modifier- Ch. d'Hozier, Armorial général de France : dressé en vertu de l'édit de 1696, t. XXX (Provence, II) (lire en ligne), p. 1252
- Séverin Icard, Armorial de la Provence, du comtat Venaissin, de la principauté d'Orange, des baronnies, du Gapençais, de l'Embrunois, du Briançonnais et du comté de Nice, Marseille, Institut historique de Provence, (lire en ligne), p. 431
- Hubert de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, Paris, Jourdan, , 402 p. (ISBN 9782874667213), p. 28
- Hubert de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, Paris, Jourdan, , 402 p. (ISBN 9782874667213), p. 24
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- Hubert de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, Paris, Jourdan, , 402 p. (ISBN 9782874667213), p. 26
- Guy de Combaud, « Commentaires sur Famille Berlier de Vauplane », Héraldique & Généalogie, , p. 449
- Xavier de Montclos, L'ancienne bourgeoisie en France. Émergence et permanence d'un groupe social du XVIe au XXe siècle, Paris, Éditions Christian, , 358 p. (ISBN 978-2-86496-135-2, lire en ligne), p. 167-177
- Les maires de Draguignan
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Evreux, Maison Hérissey, 1903 - 1929, complément apporté au t.4 à la suite de la communication du baron du Roure
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- la terre de Vauplane était tenue en fief par la famille d'Arnoux : cf. M.Z Isnard, État documentaire & féodal de la Haute-Provence, Digne, 1913, p. 437.
- Académie Catholique de France, Rapport Annuel 2024, "Liste des membres sociétaires du corps académique", p. 15.
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- Nicole et André Cabau, Tourtour, chroniques d'un village du Haut-Var, Nice, Serre, , 333 p. (ISBN 978-2-86410-125-3, lire en ligne), p. 91, 97 et suiv.
- H. Gourdon de Genouillac et marquis de Piolenc, Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône, Paris, E. Dentu, , p. 45
- Valérie Pietri, « Une charge très honorable : service du roi et reconnaissance sociale en Provence orientale aux XVIIe et XVIIIe siècles », Annales du Midi, , p. 163 - 185 (lire en ligne)
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- E. Poupé, Le tribunal révolutionnaire du Var, Draguignan, Latil Frères, , pp. 21 et 165
- Lettre de provision, arch. nat. V/1/483, pièce 2,
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- Frédéric Mireur, La Sénéchaussée de Draguignan, notice historique, 1535 – 1791., Draguignan, impr. Olivier-Joulian, , p. 75
- Nicole et André Cabau, Tourtour, chronique d'un village du Haut-Var, éditions Serre, , 333 p. (ISBN 9782402122856)
- Frédéric Mireur, Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques, Le Livre d'Histoire, (ISBN 978-2-84373-661-2), p. 38-39
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- basé Léonore, Dossier individuel, https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/28824
- Ministère des Affaires Etrangères, Les combattants français de la guerre américaine, 1778-1783 : listes établies d'après les documents authentiques déposés aux Archives Nationales et aux Archives du Ministère de la guerre, Paris, Maison Quantin, , 372 p., p. 314
- Correspondances de Napoléon, t. 1, no 23, 26, 33 et 34
- Les maires d'Eygières : https://fr.geneawiki.com/index.php/13035_-_Eygui%C3%A8res#Les_maires
- Hubert de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, Paris, Jourdan, , 402 p. (ISBN 9782874667213), p. 29
- Amis et Passionnés du Père Lachaise, « Cimetière du Père Lachaise ».
- base Léonore, « Notice détaillée ».
- Basé Léonore, « notice détaillée ».
- Xavier de Montclos, L'Ancienne bourgeoisie en France. Emergence et permanence d'un groupe social du XVIe au XXe siècle, Paris, Picard, , 150 p. (ISBN 9782708409392), p. 109
- Bibliothèque Paul Arbaud (Aix-en-Provence), dossier 525 A 1.
- Inventaire sommaire des archives départementales de la Côte d'Or (lire en ligne), cote E.85
- Leila Saada, « Les interventions de Napoléon Bonaparte au Conseil d'État sur les questions familiales », Napoleonica. La Revue, vol. 14, (lire en ligne)
- Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, , 340 p. (lire en ligne)
- M.Z Isnard, Etat documentaire & Féodal de la Haute Provence, Digne, Imp. Vial, , 496 p., p. 437
- Alain Decaux et Anne-Elisabeth Vincent, Franklin, 100 ans d'éducation pour l'avenir, Paris, Association du centenaire de Franklin, , 160 p., p. 28
- H. de Vauplane, « Connaissez-vous le bâtiment Vauplane à Franklin ? », Journal de la paroisse Notre-Dame de Grasse de Passy, no 570, , p. 16 - 17
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Tout Marseille et tout Aix, annuaire mondain, Société Anonyme de l'Indicateur Marseillais, éd. 1914, 1930, 1948, "Berlier de Vauplane" et "Vauplane"
- Hubert Berlier de Vauplane, Deux jésuites dans la grande guerre, préface Antoine de Romanet, Jourdan éd., 2020, (ISBN 2874666114).
- Hubert Berlier de Vauplane, Famille Berlier, une histoire provençale, préface Frédéric d'Agay, éd. Jourdan, 2022 (ISBN 2874667218).
- Marie Berlier de Vauplane, Notes sur la famille Berlier de Vauplane, Tours, imp. Delisle, 1911.
- Nicole et André Cabau, Tourtour, chronique d'un village du Haut-Var, Éditions Serre, 1989, 333 p., notice "Berlier", p. 97 et suiv. (ISBN 978-2-86410-125-3 et 2-86410-125-4).
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 4, Charles Hérissay impr., Evreux, 1905, p. 2 Berlier de Vauplane et t. 7 complément au t. 4, p. 423 Berlier de Vauplane.
- Ernest Flammarion, Les dictionnaires départementaux, Bouches-du-Rhône, Paris, 1901, notice "Berlier de Vauplane", p. 124 et 125.
- H. Gourdin de Genouillac et Marquis de Piolenc, Nobiliaire du département des Bouches du Rhône, Paris, Dentu, 1863, p. 45.
- Charles d'Hozier, Armorial général de France. Provence, 2e partie, vol. 30, p. 1252, "Berlier".
- Séverin Icard, Armorial de la Provence, du comtat Venaissin, de la principauté d'Orange, des baronnies, du Gapençais, de l'Embrunois, du Briançonnais et du comté de Nice : détermination des blasons par la nouvelle méthode des nombres signalétiques, les Provençaux titrés et anoblis au XIXe siècle, devises, dictons, cris de guerre, fiefs titrés et terres seigneuriales, Marseille, Institut historique de Provence, 1932, pp. 187, 270, 375, 431, "Berlier".
- Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, t. 2, p. 83, Société du Grand Armorial de France éd., 1938.
- Paul Masson, La Provence au XVIIIe siècle, 3 vol (860 p), Librairie Hachette, 1936, p. 241.
- Album photographique et biographique de personnalités de Marseille, préface Emile Ripert, La correspondance méridionale, Marseille, 1936, « Berlier de Vauplane ».
- Frédéric Mireur, Les rues de Draguignan et leurs maisons historiques, vol. 7, pp. 37 - 42 et vol. 2, pp. 490 - 492, Le livre d’histoire, éd, 2005
- Xavier de Montclos, L'Ancienne bourgeoisie en France, Picard, 2e éd., 2013, p. 20 à 22 et notice "Berlier de Vauplane", p. 109 à 115.
- J.B Rietstap, Armorial général, t.I, deuxième éd. Gouda éd. 1884, p. 176.
- Ernest de Rozière, État des familles de Provence dont on connait la généalogie imprimées ou manuscrites (...), Blois, Migault, 1900. Pet. in-4, notice "Berlier"
Articles connexes
modifier- Armorial des familles de Provence
- Liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française
- Liste de familles subsistantes armoriées en 1696
Liens externes
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- Fonds Berlier, Archives départementales de la Côte d'Or.
- Fonds Mireur, Archives départementales du Var, "Berlier".