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Amédée Tardieu (médecin)

médecin français
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Pour le géographe, voir Amédée Tardieu.

De son vrai nom, Félix Charles Marie Tardieu, Amédée Tardieu est un médecin français, né le à Clermont-Ferrand et mort le dans le 16e arrondissement de Paris.

Amédée Tardieu
Fonction
Maire d'Aurières
à partir de
Biographie
Naissance
Décès
(à 78 ans)
Paris 16e
Nom de naissance
Félix Charles Marie Tardieu
Nationalité
Française
Activité
Famille
frère de Ambroise Tardieu
Père
Mère
Marie Peyronnet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Distinction
Blason

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Biographie modifier

Fils de Charles Gilbert Tardieu, avoué, conseiller d'arrondissement du canton d'Herment puis ingénieur des mines, et de Marie Peyronnet, il nait, le , au domicile de ses père et mère situé à Clermont-Ferrand, canton sud-ouest, au 46 rue Saint-Genès[1]. Il est le frère de l'historiographe, archéologue et généalogiste français, Ambroise Tardieu.

Il épouse, en premières noces, le , à Savigny-lès-Beaune, Bertha Marie Élisa Dumoulin, fille de Germain François Dumoulin, propriétaire et négociant, chevalier de l'ordre de la couronne d'Italie, et de Anne Élisa Paulis[2], avec laquelle il aura trois :

  • Gilberte Jeanne Marguerite (1875-1955) qui épousera, en premières noces, Félix Pierre Perrin, et, en secondes noces, Théodore Antoine Maurice Tardy de Montravel[3],
  • Olga Fernand Élisa (1876-...)[4],
  • Jeanne (1881-1881)[5],

Veuf depuis le , il épouse, en secondes noces, le , à Aurières, Marguerite Marie Julie Jupsin, fille de Jacques Joseph Jules Jupsin, négociant belge, et de Charlotte Alexandrine Peuclis[6], avec laquelle il aura une fille :

  • Berthe Olga Pauline (1889-1981)[7],

En 1902, il est président du conseil d'administration de la société des recherches des mines d'Herment et de Sauvagnat[8].

Il meurt, le , à l'âge de 78 ans, en son domicile situé dans le 16e arrondissement de Paris, au 98 rue Kléber[9].

Carrière de médecin modifier

Étudiant en médecine, il intègre la promotion du de l'internat de médecine et chirurgie des hôpitaux et hospices civils de Paris[10].

Diplômé de médecine, il exerce, en 1866, à l'Hôtel-Dieu[11].

Interne en médecine dans le service du docteur Jean-Pierre Falret, à l'Hôpital de la Salpétrière, il publie, en 1866, une note sur les tumeurs de la base du cerveau[12].

Afin de pallier l'insuffisance de médecins, l'administration propose, en 1866, aux internes des hôpitaux et hospices civils de Paris, de rejoindre Amiens où le choléra a déjà frappé 6 000 personnes et fait 3 200 victimes, afin de combattre l'épidémie. Ainsi, il part pour la Somme, accompagné des internes Liouville, Choyau, Penières et Peulevé[13].

En pratiquant une compression pour un anévrysme poplité, il a l'idée d'un appareil destiné à remplacer les doigts dans la compression digitale qu'il nommera compresseur tridactyle et dont il confiera la réalisation à Monsieur Galante, fabricant d'instruments de chirurgie[14]. Cet appareillage est présenté, par une note du fabricant, à l'académie de médecine, en sa séance du [15],[16].

En 1869, il exerce, comme interne, en médecine et chirurgie aux hôpitaux de Paris[17].

En séance du , il présente, devant la société météorologique, un mémoire visant à déterminer les rapports existants entre l'état sanitaire de Paris, en proie à des épidémies de choléra et de variole, et la direction des vents[18].

Durant la guerre franco-prussienne de 1870, il est chirurgien en chef de la 8e ambulance de campagne[19],[20].

Il exerce la médecine à Clermont-Ferrand, durant l'hiver, et, à compter de 1879[21], à la station thermale du Mont-Dore, pendant les mois d'été[20]. Convaincu des bienfaits des eaux thermales et notamment celles du Mont-Dore, il intervient, à de nombreuses reprises, au sein de la Société d'hydrologie médicale de Paris, pour exposer notamment des cas de guérisons qu'il attribue à ces eaux[22]. Ses prises de position sont loin de faire l'unanimité au sein de la société et chacune de ses communications suscitent des débats, voire une pointe de moquerie chez certains de ses confrères[23],[24],[25],[26].

Il est le médecin de Son Altesse Royale Marie de Hohenzollern-Sigmaringen, Comtesse de Flandre[27].

La Société d'hydrologie médicale de Paris modifier

Au sein de la Société d'hydrologie médicale de Paris, il œuvre pour la création d'une chaire d'hydrologie disposant d'assistants qui effectueraient les recherches nécessaires dans les stations thermales[28].

Le , en session d'ouverture du IVe congrès international d'hydrologie, de climatologie et de géologie qui se tient à Clermont-Ferrand et auquel participe également son confrère, le docteur Germain Léon Marie Louis Heulz, médecin-chef de l'hôpital thermal de La Bourboule[29], il est élu secrétaire de la section géologie[30].

Il participe au Ve congrès international d'hydrologie, de climatologie et de géologie qui se tient à Liège, du au , au cours duquel il fait un exposé sur les gaz et les vapeurs qui se dégagent des eaux minérales et de leurs transformations[31].

Inscrit à la correspondance, Il est nommé membre titulaire, en séance du [32],[22].

Carrière politique modifier

Au conseil général du Puy-de-Dôme modifier

Se présentant aux élections au conseil général du Puy-de-Dôme, organisées le , comme candidat de l'Union républicaine[33], il est crédité, au premier tour de scrutin, de 202 voix, contre 378 suffrages en faveur de Georges Pouyet et 222 à Monsieur d'Autier. Mis en situation de ballotage, un second tour de scrutin est organisé dans le canton d'Herment[34]. À l'issue de ce scrutin de ballottage, organisé le suivant et marqué par une forte abstention, il est élu par 440 voix contre 382 à son opposant politique[35]. Son élection sera contestée au motif qu'il n'aurait pas été inscrit sur les listes électorales du canton d'Herment et ne possèderait aucune propriété dans le département du Puy-de-Dôme. La 3e commission du conseil général ayant acquis la certitude qu'il était propriétaire d'immeubles dans le département validera son élection, en séance du [36].

En séance du suivant, il est nommé à la 3e commission, pour l'arrondissement de Clermont-Ferrand, et dont les attributions portent sur les chemins de fer, les routes nationales et départementales, la navigation, la pêche et les services hydrauliques[37]. Il sera nommé à cette même commission, pour la deuxième session ordinaire de 1872[38] et de 1873[39].

En sa qualité de médecin au sein du conseil général, il est adjoint, à la demande du président de la commission départementale, à la commission spéciale du Mont-Dore[40].

Durant ce mandat, il cosigne des vœux relatif à la création d'un hospice, destiné à recevoir, durant la saison des eaux, les soldats blessés et les malades indigents, à la station thermale de Châteauneuf[41], relatif à la surveillance médicale dans les stations thermales et dans toutes les stations de bain, en général. Ainsi, il demande que le principe de surveillance médical soit maintenu mais également qu'il y soit apporté, par le nouveau règlement alors en cours d'élaboration par l'Assemblée nationale, les modifications réclamées par le public et par une partie du corps médical[42], cosigne le vœu présenté par Monsieur Bardoux, en séance du , tendant à demander à l'assemblé nationale de discuter, dans un bref délai, la loi d'organisation municipale afin qu'il soit procédé, le plus tôt possible, aux élections des corps municipaux[43].

En séance du , il est élu, par 23 voix, à la Commission de surveillance des enfants en bas âge[44].

En séance du , il est nommé membre de la 2e commission ayant compétence sur l'instruction publique, les souscriptions et recherches scientifiques, les travaux et recherches de mines, les cultes, l'école secondaire de médecine, l'école d'accouchement, la maison de refuge, les salles d'asile, les sourds-muets, l'école de Volvic, l'école vétérinaire de Lyon, l'École d'Arts et Métiers d'Aix, les souscriptions littéraires, la conservation des monuments historiques, les archives, les subventions ecclésiastiques, l'École normale et la vaccine[45].

Par arrêté préfectoral en date du , il est nommé membre du comité départemental pour la protection des enfants du premier âge. Ne faisant plus partie du conseil général, il est définitivement remplacé au sein du Comité départemental pour la protection des enfants du premier âge par Monsieur Pommerol, à la session d'[46].

Il conserve ce mandat jusqu'au , date à laquelle il est remplacé par Monsieur Pouyet père[20].

À la mairie d'Aurières modifier

Il est élu maire de la commune d'Aurières, sans étiquette, aux élections municipales du , avec pour adjoint, Pierre Fournier, républicain[47].

À la suite des élections municipales des 4 et , organisées en application des dispositions de la loi du précédent, le conseil municipal nouvellement élu procède, en séance du suivant, à l'élection du maire et du premier adjoint. L'ancienne municipalité d'Aurières est réélue et il est ainsi reconduit dans ses fonctions de maire[48].

Il conserve son mandat jusqu'aux élections des 6 et où son ancien adjoint, Pierre Fournier, est élu maire[49].

Aux élections municipales du 3 mai 1896, il porte une liste républicaine qui est intégralement élue, dès le premier tour de scrutin[50]. En séance du suivant, le conseil municipal, nouvellement constitué, l'élit, à l'unanimité, maire[51].

Au premier tour de scrutin des élections municipales, organisé le , dix conseillers sur douze de sa liste sont élus. Le scrutin du suivant, confirme sa liste républicaine et la municipalité est ainsi reconduite, à l'unanimité[52],[53]. Cette même année, il est indiqué par le journal Le Moniteur du Puy-de-Dôme, dans son édition du , comme arrivant en tête de liste de la mairie d'Herment, avec Monsieur Chassaigne. S'agit-il d'une confusion avec son frère, Ambroise[52]?

Il n'est pas réélu à l'issue des élections des 1er et 8 mai 1904[54].

Distinctions modifier

En 1867, le ministre de l'Agriculture, du commerce et des travaux publics lui décerne une médaille d'or, pour son rôle dans l'épidémie cholérique de 1866, dans le département de la Somme[55].

En 1869, à la publication de son ouvrage consacré aux fractures du bassin, il est membre de la société météorologique de France, lauréat (médaille d'or) du Gouvernement, épidémies cholériques de Paris de 1865 et d'Amiens de 1866, et médaille de bronze de l'assistance publique[17].

Par décret du , rendu sur le rapport du ministre de la guerre, il est nommé chevalier de la légion d'honneur, en sa qualité de médecin de la société de secours aux blessés militaires[56].

En séance du , il est élu, au second tour de scrutin, membre correspondant de l'académie des sciences, belles-Lettres et arts de Clermont-Ferrand[57].

Présenté par Messieurs Saint-Marc Girardin et le docteur Guéneau de Mussy, il est inscrit comme membre fondateur de la société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer dite Croix-rouge française[58]. Sur l'annuaire des années 1891-1892 et 1894, il y figure comme membre correspondant, pour le Mont-Dore, du comité départemental du Puy-de-Dôme, dépendant le 13ème Région militaire comprenant les départements du Puy-de-Dôme, de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et de la Loire[59],[60].

En 1900, il est nommé chevalier de l'ordre de Léopold de Belgique[61].

Publications et communication modifier

  • Tumeur de la base du cerveau (1866)[12],
  • Des fractures du bassin (1869)[17],
  • Note sur l'emploi de l'acide phénique (1870)[62],
  • De la vaccine par rapport à l'épidémie de variole régnante, communication lue, le , à la conférence médicale de Paris[63],
  • 8e ambulance de campagne de la Société de secours aux blessés (campagnes de Sedan et de Paris) - - - Rapport historique, médical et administratif ()[19],
  • L'existence du fluor dans les eaux du Mont-Dore, mémoire soutenu à l'académie de médecine (1888)[64],[65],
  • De l'Asthme et de son traitement par les eaux thermales du Mont-Dore (1889)[66],
  • Des gaz et des vapeurs qui se dégagent des eaux minérales et leurs transformations (1898)[31],
  • Le Mont-Dore préhistorique, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[67],[68],
  • Indications et contre-indications des Eaux du Mont-Dore ou résumé de trente-deux années de pratique montdorienne, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[23],[61],
  • Quelques cas intéressants de guérison par les eaux du Mont-Dore, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[69],
  • Le fluor dans les eaux du Mont-Dore, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[65],
  • La guérison des maladies contagieuses épidémiques, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[26],[70],
  • Guérison d'un sourd-muet de 10 ans, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[71],
  • La respiration et les voies respiratoires, communication lue, le , devant la Société d'hydrologie médicale de Paris[71],

Notes et références modifier

  1. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre des naissances de la ville de Clermont-Ferrand pour l'année 1841 - 6 E 113/77 - p. 180 et 181/208 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta8f36f8f5b82a51e7/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_9bcb05a012d222f92ca3c43d0a9e0918#id:782071533?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1896.500,-1360.500&zoom=6&rotation=0.000)
  2. ↑ Archives départementales de la Côte-d'Or - Registre de l'état-civil de la ville de Savigny-lès-Beaune pour l'année 1874 - FRAD021EC591/016 - p. 26 et suivantes/252 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta8f36f8f5b82a51e7/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_9bcb05a012d222f92ca3c43d0a9e0918#id:782071533?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1896.500,-1360.500&zoom=6&rotation=0.000)
  3. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre de l'état-civil de la ville d'Aurières pour l'année 1875 - 6 E 20/4 - p. 25/27 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta0adc4ed6890a4157/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_d29ad98156771de2b847414df5ed14d5#id:2061548584?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1432.740,-327.921&zoom=9&rotation=0.000)
  4. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre de l'état-civil de la ville d'Aurières pour l'année 1876 - 6 E 20/5 - p. 4/12 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta4520d2b2e2c06836/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_1061e4734aacd3e37cf80a58b47a179b#id:391928382?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00)
  5. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre de l'état-civil de la ville d'Aurières pour l'année 1881 - 6 E 20/10 - p. 3/10 et 8/10 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta8163751ac132d416/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ff1ccf709f3795e9b74e1b3deb4e4dc0#id:1597674632?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=976.000,-690.000&zoom=6&rotation=0.000)
  6. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre de l'état-civil de la ville d'Aurières pour l'année 1884 - 6 E 20/13 - p. 7 et suivantes/9 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vta8e70531f916dce79/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_4306adcbeb46dee1be198fbc51ff25f0#id:104215972?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=470.088,-964.408&zoom=6&rotation=0.000)
  7. ↑ Archives départementales du Puy-de-Dôme - Registre de l'état-civil de la ville d'Aurières - 6 E 20/18 - p. 3/10 (http://www.archivesdepartementales.puydedome.fr/ark:/72847/vtaf6119eaab1cda50f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_41fa35a2747caff8ff391cef63366950#id:1919936392?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00)
  8. ↑ « Avis - Demande de concession de mines », Journal officiel de la République française,‎ , p. 6324 (lire en ligne)
  9. ↑ Archives de Paris - Registre de décès de l'année 1920 - 16D 119 - p. 28/31 (http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDEtMTkiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjY2MDQ5O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-219%2C-520&uielem_islocked=1&uielem_zoom=151&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F)
  10. ↑ Raymond Durand-Fardel, L'internat en médecine et chirurgie des hôpitaux et hospices civils de Paris - Centenaire de l'internat 1802-1902, Paris, G. Steinheil, (lire en ligne), p. 266
  11. ↑ « Société d'hydrologie médicale de Paris - Séance du 4 décembre 1911 - Communications scientifiques - Le débit gazeux des sources thermales de la Bourboule par M. G. Cany - Discussion », La Gazette des eaux,‎ , p. 1004 (lire en ligne)
  12. ↑ a et b Amédée Tardieu, « Tumeur de la base du cerveau », Bulletins de la Société anatomique de Paris,‎ , p. 195 et suivantes (lire en ligne)
  13. ↑ Raymond Durand-Fardel, L'internat en médecine et chirurgie des hôpitaux et hospices civils de Paris - Centenaire de l'internat 1802-1902, Paris, G. Steinheil, (lire en ligne), p. 115 et suivante
  14. ↑ « Compression digitale mécanique », Gazette médicale de Lyon publiant les actes de la Société impériale de Médecine, de la Société des Sciences médicale et de l'Association de prévoyance et de secours des médecins du Rhône,‎ , p. 59 (lire en ligne)
  15. ↑ « Appareil compresseur tridactyle », La Gazette des hôpitaux civils et militaires,‎ , p. 43 (lire en ligne)
  16. ↑ « Travaux des sociétés savantes - Académie de Médecine - Séance du 21 janvier 1868 - Présidence de M. Ricord - Correspondance », L'Abeille médicale,‎ , p. 30 (lire en ligne)
  17. ↑ a b et c Amédée Tardieu, Des fractures du bassin, Paris, Victor Masson et fils, (lire en ligne)
  18. ↑ Dorré, « La variole et la voirie de Bondy », La Presse,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  19. ↑ a et b Amédée Tardieu, 8e ambulance de campagne de la Société de secours aux blessés (campagnes de Sedan et de Paris) - août 1870 - février 1871 - Rapport historique, médical et administratif, Paris, Adrien Delahaye, Libraire-Éditeur, (lire en ligne)
  20. ↑ a b et c « Informations - Nécrologie », La Gazette des eaux,‎ , p. 31 (lire en ligne)
  21. ↑ Amédée Tardieu, Indications et contre-indications des eaux du Mont-Dore, Issoudun, Imprimerie H. Gaignault, (lire en ligne), p. 3 et suivantes
  22. ↑ a et b « Société d'hydrologie médicale de Paris », La Presse thermale et climatique - ancienne Gazette des Eaux,‎ , p. 222 (lire en ligne)
  23. ↑ a et b Amédée Tardieu, « Société d'hydrologie médicale de Paris - Séance du 8 janvier 1912 (suite) - Présidence de M. Carron de la Carrière et de M. Laussedat - Indications et contre-indications des eaux du Mont-Dore ou Résumé de trente-deux années de pratique montdorienne », La Gazette des eaux,‎ , p. 109 et suivantes (lire en ligne)
  24. ↑ A. Piatot, « Les travaux de la Société d'hydrologie (1912-1913) - Rapport annuel », La Gazette des eaux,‎ , p. 1406 (lire en ligne)
  25. ↑ Raymond Durand-Fardel, « Société d'hydrologie médicale de Paris - Séance du 16 décembre 1912 (suite) - Présidence de Monsieur Laussedat - Les travaux de la Société d'hydrologie en 1912 - Rapport annuel », La Gazette des eaux,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  26. ↑ a et b Amédée Tardieu, « Communications scientifiques - La guérison des maladies contagieuses épidémiques », La Gazette des eaux,‎ , p. 203 et suivante (lire en ligne)
  27. ↑ « Échos et nouvelles », Mont-Dore - Du journal du Mont-Dore,‎ , p. 239 (lire en ligne)
  28. ↑ « Communications scientifiques - Mémoire en réponse à M. Breuillard par M. Binet (de Saint-Honoré) », La Gazette des eaux,‎ , p. 80 et suivante (lire en ligne)
  29. ↑ « Congrès international d'hydrologie, de climatologie et de géologie - IVe session - Clermont-Ferrand 1896 (suite). - Rapport III - Section d'hydrologie. (Suite.) - Actions des eaux minérales sur la nutrition. », La Gazette des eaux,‎ , p. 301 et suivantes (lire en ligne)
  30. ↑ « Congrès international d'hydrologie, de climatologie et de géologie - IVe session - Clermont-Ferrand - 1896 - Au Palais des Facultés », La Gazette des eaux,‎ , p. 296 (lire en ligne)
  31. ↑ a et b « Ve Congrès international d'hydrologie, de climatologie et de géologie tenu à Liège du 25 septembre au 3 octobre 1898 (de notre correspondant particulier) - Section d'hydrologie (suite) - Des gaz et des vapeurs qui se dégagent des eaux minérales et leurs transformations par le Dr Tardieu », La Gazette des eaux,‎ , p. 331 (lire en ligne)
  32. ↑ « Société d'hydrologie médicale de Paris », La Gazette des eaux,‎ , p. 58 (lire en ligne)
  33. ↑ « Chronique locale - Élections au Conseil général - Scrutin de ballottage », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 3/4 (lire en ligne)
  34. ↑ « Élections au Conseil général », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 3/4 (lire en ligne)
  35. ↑ « Chronique locale », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 3/4 (lire en ligne)
  36. ↑ Procès-verbal des opérations du Conseil général du Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Imprimerie et Librairie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 11
  37. ↑ Procès-verbal des opérations du Conseil général du Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Imprimerie et Librairie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 257
  38. ↑ Conseil général du Puy-de-Dôme, Rapport de Monsieur Albert Delmas, Préfet du Département - 2e session ordinaire de 1872, Clermont-Ferrand, Imprimerie et Librairie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 291
  39. ↑ Albert Delmas, Rapport présenté au Conseil général du Puy-de-Dôme par M. Albert Delmas, Préfet du département à la session d'août 1873, Clermont-Ferrand, Imprimerie G. Mont-Louis, Libraire, (lire en ligne), p. 14
  40. ↑ Conseil général du Puy-de-Dôme, Rapport de M. Albert Delmas, Préfet du département - 2ème session ordinaire de 1872, Clermont-Ferrand, Imprimerie et Librairie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 298
  41. ↑ Procès-verbal des opérations du Conseil général du Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Imprimerie et Librairie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 584
  42. ↑ Procès-verbal des opérations du Conseil général du Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Typographie Armand Pestel, (lire en ligne), p. 123
  43. ↑ Joseph Michon, Rapport présenté au Conseil général du Puy-de-Dôme par M. Joseph Michon, Préfet du département, à la session d'avril 1874, Clermont-Ferrand, Typographie G. Mont-Louis, (lire en ligne), p. 213
  44. ↑ Conseil général du Puy-de-Dôme, Conseil général - Session d'avril 1875 - Rapports du Préfet - Compte-rendu de la commission départementale - Procès-verbaux des délibérations, Clermont-Ferrand, Imprimerie G. Mont-Louis, Libraire, (lire en ligne), p. 194
  45. ↑ M. de Bassoncourt, Rapport présenté au Conseil général du Puy-de-Dôme par M. de Bassoncourt, Préfet du département, à la session d'août 1875, Clermont-Ferrand, Typographie et lithographie Mont-Louis, (lire en ligne), p. 345 et suivante
  46. ↑ Paul Glaize, Rapport présenté au Conseil général du Puy-de-Dôme, par M. Paul Glaize, Préfet du département, à la session d'avril 1879, Clermont-Ferrand, Typographie et lithographie G. Mont-Louis, (lire en ligne), p. 56 et 129
  47. ↑ « Chronique locale », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  48. ↑ « Chronique locale - Élections du Puy-de-Dôme - Arrondissement de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  49. ↑ « Les élections municipales dans le département - Arrondissement de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  50. ↑ « Chroniques locales - Les élections municipales - Dans le département », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  51. ↑ « Les élections municipales », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  52. ↑ a et b « Chronique locale - Le scrutin du 6 mai - Arrondissement de Clermont », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  53. ↑ « Les nouvelles municipalités », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  54. ↑ « Chronique locale - Élection des municipalités », Le Moniteur du Puy-de-Dôme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  55. ↑ « Médailles décernées - Médailles d'Or », L'Abeille médicale,‎ , p. 95 (lire en ligne)
  56. ↑ Base Léonore - dossier de la Légion d'Honneur n°LH/2568/13 (http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH266/PG/FRDAFAN83_OL2568013V001.htm)
  57. ↑ Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Mémoires de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Ferdinand Thibaud, Imprimeur-Libraire, (lire en ligne), p. 585 et suivante
  58. ↑ « Membres fondateurs dont les noms ne figurent pas dans l'annuaire de 1885 (Suite de la liste publiée dans le bulletin de janvier 1886) », Bulletin de la Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer (Croix-Rouge française),‎ , p. 85 (lire en ligne)
  59. ↑ Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer (Croix-Rouge française), « 13e Région militaire comprenant les départements du Puy-de-Dôme, de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et de la Loire - Puy-de-Dôme - Comité départemental à Clermont-Ferrand - Membres correspondants - Arrondissement de Clermont-Ferrand », Bulletin de la Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer (Croix-Rouge française,‎ 1891-1892, p. 236 (lire en ligne)
  60. ↑ Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer (Croix-Rouge française), « 13e Corps d'armée (Clermont-Ferrand) comprenant les départements du Puy-de-Dôme, de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et de la Loire - Puy-de-Dôme - Comité départemental à Clermont-Ferrand (92 membres) - Membres correspondants - Arrondissement de Clermont-Ferrand », Bulletin de la Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer (Croix-Rouge français),‎ , p. 253 (lire en ligne)
  61. ↑ a et b Amédée Tardieu, Indications et contre-indications des eaux du Mont-Dore, Issoudun, Imprimerie H. Gaignault, (lire en ligne)
  62. ↑ A.B., « Revue de la presse - Journaux français - Encore l'acide phénique », L'Opinion médicale et scientifique,‎ , p. 378 (lire en ligne)
  63. ↑ Amédée Tardieu, « De la vaccine par rapport à l'épidémie de variole régnante », Journal des connaissances médicales pratiques et de pharmacologie,‎ , p. 243 (lire en ligne)
  64. ↑ « Nouvelles », La Gazette des eaux,‎ , p. 121 (lire en ligne)
  65. ↑ a et b Amédée Tardieu, « Communications scientifiques - Le fluor dans les eaux du Mont-Dore », La Gazette des eaux,‎ , p. 304 (lire en ligne)
  66. ↑ Amédée Tardieu, De l'Asthme et de son traitement par les eaux thermales du Mont-Dore, Bruxelles, A. Lefèvre, Imprimeur,
  67. ↑ Amédée Tardieu, « Société d'hydrologie médicale de Paris - Séance du 20 mars 1911(suite et fin) - Présidence de M. Carron de la Carrière - Communications scientifiques - Le Mont-Dore préhistorique », La Gazette des eaux,‎ , p. 316 et suivantes (lire en ligne)
  68. ↑ Amédée Tardieu, Le Mont-Dore préhistorique, Issoudun, H. Gaignault,
  69. ↑ Amédée Tardieu, « Communications scientifiques - Quelques cas intéressants de guérison par les eaux du Mont-Dore », La Gazette des eaux,‎ , p. 1140 (lire en ligne)
  70. ↑ Amédée Tardieu, Mont-Dore. Méthode à suivre pour la guérison des maladies contagieuses aériennes, Issoudun, H. Gaignault,
  71. ↑ a et b Amédée Tardieu, « Communications scientifiques 1° Guérison d'un sourd-muet de 10 ans 2° La respiration et les voies respiratoires », La Gazette des eaux,‎ , p. 209 et suivante (lire en ligne)

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