Utilisateur:Dunkleosteus77/Brouillon

Étymologie modifier

le nom de genre Castorocauda dérive de Latin "Castor" et "cauda" queue, en référence à sa queue être comme la queue d'un castor. Le nom d'espèce lutrasimilis dérive de Latin "lutra" loutre et "similis" parce que certains aspects de ses dents et vertèbres sont similaire à les loutres moderne.

Taxonomie modifier

Le spécimen d'holotype, JZMP04117 a été découvert à les Lits Daohugou sur le Formation de Tiaojishan de Mongolie-Intérieure, Chine, qui datent 164 millions d'années en le Jurassique moyen. Il est composé d'un squelette partiel compris d'un crâne incomplet mais un mâchoire inférieur bien conservée, la plupart des côtes, les membres (épargnez la patte arrière de droit), le bassin, et la queue. Les fossiles sont si bien conservés qu'il y a les éléments de s'anatomie douce et poil.

Castorocauda est un membre de l'ordre Docodonta, un groupe éteinte des mammaliaformes. Mammaliaformes composent créatures comme mammifères et couronne mammifères (tout de les descendants de la dernier ancêtre commun des mammifères vivantes). Docodonts n'était pas couronne mammifères. Quand Castorocauda a été décrite en 2006, nous pensions qu'il était plus étroitement liée à Krusatodon et Simpsonodon. En une revue de Docodonta en 2010, Docodonta était divisé en Docodontidae, Simpsonodontidae, et Tegotheriidae, et Castorocauda était considéré comme incertae sedis. Maintenant, Simpsonodontidae est considérée paraphylétique et alors invalide, et Castorocauda semble avoir été étroitement liée à Dsungarodon, qui venait de la Dzoungarie, Chine, et probablement mangée les plantes et les invertébrées douces.

Il est un parte d'un événement diversification de le Jurassique moyen, quand mammaliaformes ont adapté à un large éventail des niches et évolué plusieurs traits modernes, tel que les dente et les os d'oreille moyenne plus ceux des mammifères modernes. Nous pensions que les mammaliaformes étaient faible et vivaient en le sol jusqu'à ce que l'extinction Crétacé-Paléogène quand les dinosaures ont disparu. La découverte de Castorocauda, et la preuve d'une diversification en le Jurassique moyen–tel que l'arrivée des eutriconodontes, multituberculés, australosphenides, métathériens, euthériens, parmi d'autres. Cela peut avoir été causé parce que le supercontinent Pangée s'est fracturé en le Jurassique précoce à moyen et ont diversifié les habitats, ou les traits modernes qui s'étaient accumulé lentement puisque les mammaliaformes ont évolué avaient atteint un point critique ce qui a permis un expansion massive à autres habitats.



La fausse orque (Pseudorca crassidens) est un grand dauphin océanique que habite les océans du monde, mais elle principalemente fréquente les régions tropicals. Elle a été décrit pour la première fois en 1846 comme une espèce de marsouin basé sur le crâne, qui a été revisé quand les carcasses ont été observées pour la première fois en 1861. Le nom "fausse orque" vient des caractéristiques similaires du crâne à l'orque (Orinus orca).

La fausse orque atteint une longueur maximale de 6 mètres, bien que la taille peut varier autour du monde. Elle est très sociable, connu pour former des gousses de 500 membres, et elle peut former des gousses avec d'autres espèces de dauphins aussi, tel que le grand dauphin (Tursiops truncatus). De plus, la fausse orque peut former des liens étroits avec d'autres dauphins. Inversement, la fausse orque a été connu pour se nourrir d'autres dauphins, bien qu'elle principalemente mange des calmars et des poissons. Elle peut plonger profondément, avec un profoundeur maximale de 927.5 mètres. Elle a une vitesse maximale de 29 kilomètres par huere.

La fausse orque adapte facilement en captivité, et elle est conservé dans plusieurs aquariums autor du monde, bien que sa agression envers les humains et les autres dauphins le rend moins souhaitable. Elle est menacé par les opérations de pêche, parce-qu'elle peut s'emmêller dans les engins de pêche, et elle est une cible pour le pêche dirigée des dauphins dans certains villages japonais. La fausse orque a tendence pour les échouages en grand nombre, en raison de sa nature sociable, avec le plus grand échouage consiste des 805 à Mar del Plata, Argentine. La plurpart de ce qui est connu de la fausse orque vient d'examiner les dauphins échouées.

Taxonomie modifier

La fausse orque a été décrit pour la première fois par le paléontologue britannique Richard Owen dan son livre de 1846 Une histoire de mammifères et d'oiseaux fossiles britanniques (en anglais) basé en le crâne decouvert en 1843 en Stamford en Angleterre. Il a trouvé le crâne comparable à celui de le globicéphale noir (Globicephala melas), le béluga (Delphinapterus leucas), et le dauphin de Risso (Grampus griseus)–en fait, il l'a donné le surnome "grampus denté épais" et l'a assigné à le genre Phocaena (un genre de marsouin) qui le dauphin de Risso aussi était assigné en 1846. Le nom spécifique crassidens signifie "denté épais."[1]

Le zoologiste John Edward Gray, en 1846, a assigné la fausse orque à le genre Orca avec l'orque (à présent Orcinus orca). Jusqu'à 1861, quand les carcasses échouées sur les rivages de la baie de Kiel en Danemark, l'espèce était cru pour être éteinte. Basé dans ces et une gousse que se sont échouée trois mois plus tard en novembre, zoologiste Johannes Theodor Reinhardt a déplacé l'espèce dans le genre nouvellement créé Pseudorca, qui l'a etabli comme ni une marsouin ni une orque.[2][3] Toutefois, le nom "fausse orque" vient de la similarité entre sa crâne et la crâne de l'orque.[4]

La fausse orque est membre de la famille Delphinidae, les dauphins océaniques. Elle est membre de la subfamille Globicephalinae.

Références modifier

  1. (en) Owen R. (trad. Une histoire de mammifères et d'oiseaux fossiles britanniques), A history of British fossil mammals and birds, J. Van Voorst, , 516–520 p. (lire en ligne)
  2. (en) Reinhardt J. (trad. Mémoires récent de le Cetacea), Recent memoirs on the Cetacea, , 190–218 p. (lire en ligne), « Pseudorca crassidens »
  3. (en) Odell D. K. et McClune K. M. (trad. Manuel des mammifères marins), Handbook of marine mammals: the second book of dolphins and the porpoises, Elsevier, (ISBN 978-0-12-588506-5, lire en ligne), « False killer whale Pseudorca crassidens (Owen, 1946) »
  4. (en) Baird R. W. (trad. Encyclopédie des mammifères marins), Encyclopedia of marine mammals, Academic Press, , 405–406 p. (ISBN 978-0-08-091993-5, lire en ligne), « False Killer Whale: Pseudorca crassidens »