Saint-Esteben

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Saint-Esteben est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Esteben
Saint-Esteben
L'église de Saint-Esteben.
Blason de Saint-Esteben
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Régine Larranda
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64476
Démographie
Gentilé Donoztiritar
Population
municipale
432 hab. (2021 en évolution de −0,92 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 22″ nord, 1° 12′ 27″ ouest
Altitude Min. 118 m
Max. 465 m
Superficie 13,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Esteben
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Saint-Esteben
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Saint-Esteben

Le gentilé est Donoztiritar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Esteben se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 119 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 37 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 20 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Saint-Martin-d'Arberoue (1,2 km), Isturits (3,1 km), Hélette (4,4 km), Armendarits (5,0 km), Méharin (5,2 km), Bonloc (5,8 km), Iholdy (6,7 km), Ayherre (7,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Esteben fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire. Au sud, le territoire d'Iholdy n'est distant que d'une centaine de mètres[11].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Armendarits, Ayherre, Hélette, Isturits et Saint-Martin-d'Arberoue.

Communes limitrophes de Saint-Esteben[11]
Ayherre Isturits
  Saint-Martin-d'Arberoue
Hélette Armendarits

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Esteben.

La commune est drainée par l'Arbéroue, Garraldako erreka, un bras de l'Arbéroue, un bras de l'Arbéroue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[12],[Carte 1].

L'Arbéroue, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'Hélette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury à Orègue, après avoir traversé 8 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 454 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 15 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : les « grottes d'Oxocelhaya et d'Isturitz » (204,6 ha), couvrant 3 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24],[Carte 4] : les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du département[26].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Esteben est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[28],[29].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,4 %), prairies (32,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,1 %), forêts (4 %), terres arables (0,6 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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Quatre quartiers composent la commune de Saint-Esteben[31] :

Voies de communication et transports

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Saint-Esteben est desservie par les routes départementales D 14, D 151 et D 251.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Esteben est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Arbéroue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[34],[32].

Saint-Esteben est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[38]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[39].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Esteben.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 77,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[41].

Toponymie

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Son nom basque est Donoztiri[1] (contraction de Don-Esteben hiri[42] ou Donestiri ; littéralement « Ville de Saint Esteben »).

Le toponyme Saint-Esteben est documenté[43] sous les formes :

  • San-Estevan de Arberoa (1321, titres de la Camara de Comptos[44]),
  • Sant-Esteban (1513, titres de Pampelune[45]) et
  • Saint-Esteve d'Arberoue (1703, visites du diocèse de Bayonne[46]).

Le toponyme Sorhaburu 'limite des champs' apparaît[43] sous la forme Soraburu (1621, Martin Biscay[47]).

Histoire

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Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Garralde[48].

Héraldique

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  Blasonnement :
D'or à l'arbre de sinople sommé d'une pie au naturel[49].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 1995 Louis Mendivil    
1995 2014 Christian Durruty    
2014 En cours Régine Larranda    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Saint-Esteben fait partie de sept structures intercommunales[50] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIVU Ikas Bide ;
  • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
  • le syndicat d'assainissement Adour - Ursuia ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

La commune accueille le siège du SIVU Ikas Bide.

Population et société

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maison rurale

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

En 2021, la commune comptait 432 habitants[Note 8], en évolution de −0,92 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
700702763694678656740795712
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
678630629612561548560567552
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
571582578515494478444441434
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
457454439420391359390451416
2021 - - - - - - - -
432--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose d'une école élémentaire publique[54]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[55].

Économie

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L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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Croix de chemin.

La croix de chemin[56] située sur le bord de la route départementale D 14 date du XVIIe siècle.

L'église Saint-Étienne[57] date du XVIIe siècle.

Galerie

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Ancienne mairie.
 
Le mur à gauche Sanoki.
 
Détail du fronton de place libre.

Équipements

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Enseignement

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La commune dispose d'une école élémentaire publique, et fonctionne en RPI (Regroupement Pédagogique Intercommunal) avec l'école maternelle publique de Saint Martin d'Arbéroue.

Personnalités liées à la commune

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  • André Joseph Grassi : compositeur, chef d'orchestre, arrangeur musical et parolier français né en 1911 à Paris, et mort en 1972 à Clichy-la-Garenne. Sa mère, Jeanne Errobidart, était née à Saint-Esteben à la maison Ahuntzaenea en 1880.
  • Émile Jean Baptiste dit Rudy Hirigoyen : chanteur lyrique né en 1919 à Mendionde et décédé en 2000 à Lyon. Sa grand-mère paternelle, Jeanne Soubelet, était née à Saint-Esteben en 1867, à la maison Jaramendi.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Esteben » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Esteben », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Esteben », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Esteben », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Esteben ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Saint-Esteben », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
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  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  44. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
  45. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
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  49. Guy Ascarat
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  54. [1]
  55. [2]
  56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
  57. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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