Ranton

commune française du département de la Vienne

Ranton
Ranton
Le château de Ranton.
Blason de Ranton
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Pascal Brault
2020-2026
Code postal 86200
Code commune 86205
Démographie
Population
municipale
204 hab. (2021 en augmentation de 10,87 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 03″ nord, 0° 01′ 39″ ouest
Altitude Min. 45 m
Max. 123 m
Superficie 6,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ranton
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Ranton

Ranton est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation modifier

À l'extrême nord-ouest du département de la Vienne, la commune de Ranton est limitrophe des Deux-Sèvres (commune de Pas-de-Jeu).

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Ranton
Curçay-sur-Dive
  Glénouze
Pas-de-Jeu
(Deux-Sèvres)
Saint-Laon

Géologie et relief modifier

La région de Ranton présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de champs ouverts. Le terroir se compose[1] :

  • pour 11 % de vallées tourbeuses,
  • pour moins de 1 % de terrasses alluviales calcaires de la Charente,
  • pour 45 % de calcaire sableux et pour 2 % de tuffeau jaune sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien,
  • pour 19 % de champagnes ou aubues (sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires)
  • et pour 23 % de tuffeau blanc sur les autres collines.

En 2006, 90,4 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 3,3 % par des forêts et des milieux semi-naturels, et 5,4 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

Hydrographie modifier

Elle est arrosée au sud-ouest par un sous-affluent de la Loire, la Dive, longée à moins de 300 mètres par l'ancien canal de la Dive.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 654 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudun à 8,55 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Le bourg de Ranton est traversé par la route départementale 19 et se situe en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'ouest de Loudun et quinze à l'est de Thouars. La commune est également desservie par les routes départementales 57 au nord-est et 59 au sud-est.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ranton est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,3 %), prairies (8,8 %), zones urbanisées (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), forêts (3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Ranton est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive et le canal de la Dive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[18],[16].

Ranton est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[19]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[20], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [21],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ranton.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 54 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[26]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Toponymie modifier

Le nom du village proviendrait de l'anthroponyme latin Anto[28].

Histoire modifier

Comme le reste de la France, Ranton accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. Mais le curé de la paroisse l’abat, et est condamné à mort pour cela (1794)[29].

La tradition des arbres de la liberté perdure :

  • en 1919, un ormeau est planté aux Grands Cailloux, pour célébrer la victoire de la République et du droit des peuples lors de la Première Guerre mondiale. Il meurt en 1967 ;
  • en 1944, pour fêter la Libération de Paris, un autre ormeau est planté au même endroit, mais est arraché par la tempête[30].

En 1989 un érable est planté par la municipalité de Ranton au lieu-dit la Fontaine de Ranton pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française, une bouteille cachetée contenant la liste des conseillers municipaux est enterrée au pied de cet arbre.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1976 mars 2001 Serge Dutour -  
mars 2001 mars 2008 Pierre Méningand    
mars 2008 mars 2014 Bernard Petit    
mars 2014 En cours Pascal Brault    

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 204 habitants[Note 5], en augmentation de 10,87 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408525552427413434447443442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
459447460421384390397381400
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
379381360329349313299292296
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
253227219174195202193192183
2017 2021 - - - - - - -
193204-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que huit exploitations agricoles en 2010 contre douze en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 702 hectares en 2000 à 498 hectares en 2010. 55 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et un peu d'orge), 30 % pour les oléagineux (colza et tournesol), et 1 % pour les protéagineux[35].

Les élevages de volailles ont disparu au cours de cette décennie[35].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine civil modifier

  • Château de Ranton, érigé au XIVe siècle, entouré de douves sèches[36]. Sa porte d'entrée est flanquée de deux hautes tours à mâchicoulis. Le château est protégé par une vaste enceinte octogonale avec des tours. Sa restauration débute après la Seconde Guerre mondiale, avec la vente du château à l'artiste sculpteur Dominique Piéchaud et à sa femme[37]. Le château est revendu en 1969.
  • Musée paysan : son joyau est la « cave », une ancienne habitation troglodytique. En fait, chaque maison possède son propre labyrinthe de caves taillées dans le roc et consolidées par d'impressionnantes voûtes de pierre.
  • Lavoir des Lourdines et lavoir de Saint-Martin.

Patrimoine religieux modifier

  • Église Saint-Léonard dans le bourg. C'est l'ancienne chapelle du château. C'est un édifice en tuffeau, qui a été entièrement transformé au début du XXe siècle. Le clocher-mur est alors remplacé par le clocher actuel. De l'édifice roman, il ne reste, de nos jours, que le porche. La base de l'édifice date de l'époque carolingienne.
  • Ancienne église paroissiale Saint-Martin, isolée à 500 mètres au sud-ouest du bourg. L'édifice est construit en tuffeau. La chapelle était longue à l'origine d'une trentaine de mètres. Mais elle a été raccourcie en 1925, l'édifice étant en trop mauvais état. Son clocher-mur abritait deux cloches à l'origine. Aujourd'hui, il n'en reste plus qu'une datée de 1541, baptisée en 1614.
  • Église Notre-Dame-de-Pitié de Ranton qui était un lieu de pèlerinage important dans les années 1870. Elle est entièrement bâtie en tuffeau.

Patrimoine naturel modifier

  • Un site est inscrit en tant que monument naturel : Le Village.
  • Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[38], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont un vieux cormier situé au lieu-dit les Vignes Briant[39],[40] et un noyer commun situé au lieu-dit la Fontaine des Lourdines.
  • Le vélo est notamment une pratique largement répandue grâce à la magnifique topographie offerte dans le secteur et la douceur des paysages divers et variés.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Dominique Piéchaud, artiste-sculpteur, médailleur, restaurateur du château de Ranton dans les années 1960[41]. Les armes de la famille Piéchaud sont devenues les armes de la commune.

Héraldique modifier

  Blason
Coupé : au 1er d'azur à deux têtes de lévrier coupées d'argent surmontées d'une étoile d'or, au 2e de gueules au soleil d'or[42].
Détails
Ces armes sont celles de la famille Piéchaud de Combelle, ancienne propriétaire du château de Ranton.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Cartes modifier

Références modifier

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Ranton et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Loudun) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Loudun) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loudun », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Ranton », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Ranton », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  28. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes, Éditions Flohic, 2002, (ISBN 2-84234-128-7).
  29. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 122-123.
  30. Robert Petit, op. cit., p. 225.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  36. Site du château de Ranton
  37. www.rantoncastle.com/history Site internet du château de Ranton
  38. Poitou-Charentes Nature, 2000
  39. « Le cormier des Vignes Briant, Ranton (Vienne). » sur le site Les têtards arboricoles.
  40. Le panneau explicatif près du cormier de Ranton.
  41. [1]
  42. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).