Fédération des associations générales étudiantes

association nationale française représentative des étudiants de l'enseignement supérieur
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La Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) est une association de droit local alsacien-mosellan[1] d'étudiants en France. Elle est présente dans 35 villes ou territoires universitaires[5]. Elle est la première organisation étudiante au CNOUS avec l'Union étudiante (3 élus sur 8[6],[7]) et au CNESER (6 élus sur 11). La FAGE se définit comme étant « plus qu'un syndicat étudiant, une organisation d'éducation populaire » et comme « organisation représentative au sens de la loi du 10 juillet 1989 ». Elle se présente comme non partisane et indépendante des partis politiques, des syndicats de travailleurs et des mutuelles étudiantes.

Fédération des associations générales étudiantes
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Association de droit local alsacien-mosellan[1]
But Défense des intérêts matériels et moraux des étudiants
Zone d’influence Enseignement supérieur
Fondation
Fondation 1989
Identité
Siège Montrouge (siège administratif)[2]
Strasbourg (siège social)[3]
Présidente Maëlle Nizan
Affiliation européenne Union des étudiants d’Europe
Financement Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche[4]
Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l'Éducation populaire et de la Vie associative
Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie
Cotisations des associations membres[1]
Représentativité Élus au CNOUS :
3  /  8

Élus au CNESER :
6  /  11
Slogan « La vie étudiante, certains en parlent, nous la faisons. »
Site web www.fage.org

Histoire modifier

Création modifier

L'assemblée générale constitutive de la FAGE s'est tenue le à la Faculté de pharmacie de Paris avec des fédérations associatives locales (membres actifs) et des fédérations mono-disciplinaires (membres consultatifs)[8]. Elle a été créée afin de pouvoir regrouper à l'échelle nationale différentes fédérations locales d'associations étudiantes. Cette création est le fruit d'une initiative de l'AGE de Nantes par une circulaire du , suivie par les fédérations d'Angers, de Brest, de l'Institut catholique de Lille, de Toulouse, de Montpellier et surtout de Strasbourg (soutien décisif compte tenu du poids de cette AGE en 1989) et avec l'appui d'associations locales dont Droit Dijon et Pharma Paris V et Paris Dauphine (qui constitueront pour l'occasion une fédération parisienne)[9]. La FAGE a été créée en réponse à la loi Jospin, dans laquelle les organisations étudiantes doivent être présentes dans les instances nationales (CNESER et CNOUS) pour être reconnues comme organisations représentatives[10].

Le nom FAGE est une référence aux AGE de l'UNEF des années 1950[11]. La FAGE peut d'ailleurs être considérée comme une scission de l'UNEF[9].

Son siège social est fixé à Strasbourg[3] en raison du poids de son association locale, l'Association fédérative générale des étudiants de Strasbourg (Afges)[12] et du droit local alsacien-mosellan qui est favorable à son activité économique.

En 1992, elle place son siège administratif à Reims, puis au printemps 1995 à Paris[13].

Sa création a été marquée, dès le , par un clivage fort entre la volonté de certaines fédérations pluridisciplinaires (Nantes, Strasbourg, Lille, Montpellier) d'assumer seules la plénitude de la représentation nationale des étudiants et de confier aux fédérations mono-disciplinaires la seule défense des intérêts professionnels comme à l'époque de la grande UNEF et celle des fédérations mono-disciplinaires de droit et de santé et de la fédération régionale de Lyon de préserver les postes d'élus nationaux acquis non sans difficulté dans les années 1980 et souhaitant limiter les AGE à une coordination locale sans vocation de représentation nationale. Ce clivage donnera lieu rapidement à une scission et à la création de Promotion et défense des étudiants (PDE) par Lyon et les fédérations mono-disciplinaires[9].

La FAGE est reconnue association d'éducation populaire depuis 1997[14] par le ministère de la Jeunesse et des Sports et fait partie des associations étudiantes représentatives au terme de la loi Jospin du .

En 1991, la FAGE devient provisoirement la FAGEM avec pour objectif de donner plus de poids aux fédérations mono-disciplinaires (qui n'avaient jusque-là qu'une voix consultative)[15]. Cette initiative n'aboutissant pas, elle reprend le nom de FAGE en . Plus tard, au début des années 2000, les fédérations mono-disciplinaires seront définitivement intégrées avec le même poids que les fédérations locales[16].

En 1994, la FAGE participe à la création de l'AFIJ.

Le , elle publie une analyse critique du rapport Laurent du [17].

En 2003, la FAGE rejoint le conseil d'administration de l'UCPA[18].

En 2011, la FAGE rédige un rapport commun avec l'UNEF sur la santé des étudiants[19][source insuffisante].

Le , la FAGE et GAELIS ouvrent la première AGORAé (épicerie solidaire étudiante) à Lyon[20],>[21], suivie quelques mois plus tard, par une seconde ouverture à Nice avec la FACE06[22].

En 2016, le projet AGORAé devient lauréat de l'appel à projet, dédié aux projets d'innovation sociale, « La France S'Engage ». Cette reconnaissance salue les cinq ans du projet qui ont permis l'ouverture de 13 AGORAé, l'accueil de 3 019 bénéficiaires et 122 volontaires en service civique, etc.[23][source insuffisante].

Scissions et réunions modifier

En , la FAGE, conduite par Philippe Touzeau-Menoni depuis le Congrès de Reims de , arrive en tête aux élections du CNESER, devenant la première organisation représentative. Certaines fédérations mono-disciplinaires, dont les animateurs sont aussi élus de mutuelles étudiantes, faute de ne pouvoir imposer leurs vues, décident de créer une deuxième fédération d'associations étudiantes : Promotion et défense des étudiants (PDE). Il était reproché à la FAGE une dérive syndicale, ainsi que le choix du faible poids accordé aux fédérations mono-disciplinaires dans la structure, au bénéfice des fédérations de ville, qui sont les éléments fondateurs de la FAGE.

Plusieurs tentatives de rapprochement ont eu lieu sans pour autant aboutir à une fusion. Des changements d'adhésion de mono-disciplinaires interviennent au cours des ans, comme le départ du BNEI de la FAGE pour PDE en 2003 En 2006, ce sont l'ANEPF et la Fédération nationale des syndicats d'internes en pharmacie (FNSIP-BM) qui quittent PDE pour la FAGE, l'Union nationale des étudiants en AES (UNEAES) se sépare de PDE, tandis que la Fédération nationale des étudiants en sciences exactes naturelles et techniques (FNEB) s'en sépare puis y revient. En , la FENEPSY quitte PDE pour la FAGE, pour ensuite revenir à PDE le .

Sa représentation modifier

La FAGE est présente (comme certaines autres organisations étudiantes nationalement représentatives) dans plusieurs instances nationales et internationales afin d'assurer la représentation des étudiants et des jeunes, notamment :

  1. La FAGE partageait cette adhésion avec l'Unef, avant de devenir, en 2020, la seule organisation étudiante française représentative auprès de l'ESU.

Représentativité modifier

En , la liste de la FAGE « Associations étudiantes » arrive pour la première fois en tête aux élections du CNESER avec 3 élus.

Aux élections du CNESER de 2006, la FAGE arrive deuxième (trois élus), en en prenant un à PDE, derrière l'UNEF qui conserve ses cinq élus. PDE, l'UNI et la Confédération étudiante obtiennent un élu chacun.

Au CNOUS en 2006, la FAGE obtient quatre élus sur huit, devant l'UNEF (deux élus), qui a appelé au boycott des élections[25], PDE et UNI (un élu chacun). L'UNEF conteste les résultats CROUS et CNOUS 2006, dénonçant les conditions du scrutin CROUS 2006 qui se sont tenus pendant le mouvement contre le CPE. Les élections au CNOUS seront maintenues en par décisions du tribunal d'instance de Paris, malgré l'annulation du vote pour l'élection de plusieurs CROUS.

Au CNOUS en 2008, la FAGE obtient deux sièges[26]. Cependant, un mois après son élection, un des deux élus décide de quitter la FAGE pour rejoindre PDE.

En 2010, la FAGE obtient 3 élus au CNOUS et 2 au CNESER.

En 2012, la FAGE est la seule organisation à progresser en nombre de représentants au CNESER. Elle obtient 3 élus et 3 suppléants.

En 2013, après l'annulation des élections de 2012 elle réalise son meilleur score aux élections CNESER avec 4 élus.

À l'issue de l'année universitaire 2013-2014 les listes soutenues par la FAGE aux conseils centraux des universités obtiennent 51,2 %[27] des suffrages exprimés près de 22 points devant la seconde organisation. La FAGE est ainsi la force étudiante majoritaire dans 55 % des universités. Il faut néanmoins nuancer avec le fait que seuls entre 10% et 20% des étudiants votent lors des élections dans leur université.

La FAGE et les mutuelles étudiantes modifier

Depuis , la FAGE est favorable à la fin du régime délégué de sécurité sociale et donc la gestion directe de la sécurité sociale des étudiants par le régime général.

La question du régime délégué et des mutuelles étudiantes est loin d'être anodine pour la FAGE, à l'origine même de cette organisation, des conflits avaient eu lieu : certaines mutuelles régionales voyaient avec la création de la FAGE le moyen de contrebalancer l'alliance MNEF-UNEF. Certaines associations étudiantes favorables au lien avec les mutuelles régionales se sont alors tournées vers PDE lors de sa création, ce qui explique aujourd'hui l'implication des dirigeants de cette dernière au sein des conseils d'administration de ces mutuelles.

Ce choix de demander très clairement la fin du régime délégué pourrait être un moyen de s'affirmer face à l'UNEF (qui elle est favorable au maintien du régime délégué et à son renforcement). La FAGE bénéficie d'une implantation locale non négligeable mais a besoin d’acquérir une stature nationale et cela passe par l'affirmation de revendications précises[28].

Organisation interne modifier

 
L'organisation de la FAGE

La FAGE est administrée par un conseil d'administration où siègent les fédérations territoriales et de filières membres de la structure.

Le congrès national a lieu tous les ans en fin d'année. Il élit le bureau national dont le mandat est d'un an. Il permet de fixer les grandes orientations du projet de la FAGE pour l'année à venir.

Le Congrès national, les « Assoliades » (« universités d'été »), le séminaire national des « élus étudiants » (SNEE), le Séminaire National des Arts et de la Culture Étudiante (SNACE) et le Séminaire National des associations étudiantes dans l'Économie Sociale et Solidaire (SNESS) sont des moments d'échanges et de formation des militants de la FAGE ainsi qu'à celles et ceux souhaitant y prendre part.

Le président est élu tous les ans et peut se représenter une seule fois à sa propre succession.

Le rapport au pouvoir politique est particulier : l'organisation en plus des financements qu'elle reçoit en tant qu'organisation représentative reçoit des financements dans le cadre d'une convention pluriannuelle d’objectifs signée avec le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche[29]. Cette dernière vise à financer les projets d'intérêts généraux que développe l'association, l'aide totale de l'État pour 2012 s'élève à 150 520 euros[30].

Le réseau de la FAGE modifier

La FAGE représente en 2019[Quand ?] plus de 2 000 associations d'étudiants regroupées au sein de 24 fédérations de filières, et de 35 fédérations territoriales (fédérations regroupant des associations étudiantes d'une même ville ou d'une même région)[31][source insuffisante].

Des associations locales (de filière par exemple) peuvent aussi adhérer lorsqu'elles n'ont pas de fédération dans leur ville ou dans leur filière.

Liens avec d'autres organisations modifier

Avec les partis politiques modifier

Tout comme l'UNEF, la FAGE et les associations étudiantes représentatives ont longtemps été le terrain d’apprentissage de nombreuses personnalités politique. Après l'élection d'Emmanuel Macron, plusieurs cadres de l'association rejoignent les rangs de La République en marche, dont notamment le chef de cabinet de Frédérique Vidal, Ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation[32]. Après plusieurs lois décriées par les étudiants et le monde universitaire en général (loi ORE, Bienvenue en France, LPR), ils se tournent plutôt vers le Parti socialiste. L'ancienne présidente de la FAGE, Orlane François, rejoint la campagne d'Anne Hidalgo pour l'élection présidentielle de 2022[33].

Autres modifier

Détail des résultats électoraux nationaux modifier

Au CNESER modifier

Année Voix % Sièges Variation Rang Commentaire
1989 18,89
2  /  11
2e
1991 20,81
2  /  11
2e
1994 374 29,17
3  /  11
1er Liste appelé "Association étudiante". Cette dernière regroupe la FAGE ainsi qu'un certain nombre d'associations de filières monodisciplinaire (AFNEUS, UNECD, FFAEH, FNEG...)[34].
1996 430 27,34
3  /  11
2e Liste appelé "Association étudiante". Cette dernière regroupe la FAGE ainsi qu'un certain nombre d'associations de filières monodisciplinaire (AFNEUS, UNECD, FFAEH, FNEG...)[34].
1998 408 25,45
3  /  11
2e
2000 431 27,93
3  /  11
2e La FAGE se présente sous la casquette de la CNELIA (Confédération Nationale des Élus Indépendants et Associatifs).
2002 429 25,41
3  /  11
2e La FAGE se présente sous la casquette de la CNELIA (Confédération Nationale des Élus Indépendants et Associatifs).
2004 351 18,61
2  /  11
2e
2006 429 22,3
3  /  11
2e
2008 394 19,5
2  /  11
2e
2010 404 19,65
2  /  11
2e
2012 377 23,14
3  /  11
2e
2013 527 33,52
4  /  11
2e
2015 562 38,92
5  /  11
2e
2017 554 38,5
5  /  11
1er
2019[35] 636 47
6  /  11
  1 1er
2021[36] 626 46,1
5  /  11
  1 1er
2023[36] 47
6  /  11
  1 1er

Au CNOUS[7] modifier

Année Voix % Sièges Variation Rang
2008 38 22,09
2  /  8
  2 2e
2010 65 37,14
3  /  8
  1 2e
2013 65 35,33
3  /  8
  2e
2015 78 42,39
4  /  8
  1 2e
2017 91 48,66
5  /  8
  1 1er
2019 85 51,23
5  /  8
  1er
2022[6] 71 40,34
3  /  8
  2 1er

Publications modifier

  • Philippe Loup (dir.), Enguerran Aubert (rédacteur en chef) et al., Guide du responsable associatif et du bénévole étudiant, FAGE, , 2e éd.
  • Julien Blanchet (dir.), Bastien Cousaert (directeur de rédaction) et al., Guide de l'élu, FAGE, , 4e éd.

Notes et références modifier

  1. a b et c Statuts de la FAGE, version modifiée le
  2. « Présentation Générale de la FAGE », sur le site de la FAGE : « Elle se dote alors d’un siège administratif à Paris. »
  3. a et b « Présentation Générale de la FAGE », sur le site de la FAGE : « notre siège social est à Strasbourg »
  4. « Rapport d'activité 2011 », FAGE
  5. « Nos fédérations territoriales adhérentes », sur le site de la FAGE
  6. a et b CNOUS, « Elections des représentants étudiants au conseil d’administration du Cnous », sur Étudiant.gouv, (consulté le )
  7. a et b « CA du CNOUS », sur Élections-étu.fr (consulté le )
  8. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 26
  9. a b et c Hadrien Mathoux, « Tout comprendre à la scission de l'Unef », sur www.marianne.net, 2019-05-22utc10:30:00+0000 (consulté le )
  10. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 26-27
  11. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 29
  12. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 32
  13. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 36-37
  14. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 46
  15. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 33-34
  16. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 53
  17. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 40
  18. Qu'est-ce que la FAGE ?, p. 52
  19. FAGE, UNEF, « Santé des étudiants : la taxe de trop », (consulté le )
  20. Élisa Riberry (photogr. C. Villemain / 20 minutes), « Agoraé, un projet pérenne contre la précarité », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  21. « Ouverture de la première épicerie solidaire étudiante Agoraé à Lyon » [archive], sur epiceries-solidaires.org (consulté le )
  22. Gui. B, « L'épicerie solidaire pour étudiants est ouverte à Nice ! », sur archives.nicematin.com, (consulté le )
  23. « « AGORAé » - Espaces d’échanges et de solidarité - La France s'engage », La France s'engage (consulté le )
  24. Décret no 2016-1377 du 12 octobre 2016 portant création du Conseil d'orientation des politiques de jeunesse, (lire en ligne)
  25. Actualités anciennes
  26. Résultats des élections étudiantes au conseil d'administration du CNOUS,
  27. http://www.fage.org/ressources/documents/2/1635,14_05_12_FAGE_DP_Resultats_election.pdf
  28. Élections étudiantes : l'UNEF doit partager son leadership avec la FAGE
  29. Mission interministérielle - Projets annuels de performance - Annexe au projet de loi de finances pour 2010, page 198
  30. PLF 2012 - Jaunes budgétaires
  31. « FAGE », sur fage.org (consulté le ).
  32. Marion Mourge, « Graig Monetti ou les ambitions législatives d'un adjoint de Christian Estrosi à Nice », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  33. Eric Nunès, « La FAGE, école de terrain pour les futurs responsables politiques », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  34. a et b « HISTOIRE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES FRANÇAISES selon la FAGE – Faluche.info » (consulté le )
  35. Avis relatif à la proclamation des résultats des élections des représentants des étudiants des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel au CNESER (lire en ligne)
  36. a et b « Résultats élections CNESER 2021 »

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Qu'est-ce que la FAGE (préf. Jean-Baptiste Mougel), Paris, L'Archipel, coll. « L'information citoyenne », , 121 p. (ISBN 2-84187-424-9)
  • Didier Fischer, L'Histoire des étudiants en France, Flammarion,
  • Jean-Philippe Legois, Alain Monchablon et Robi Morder, Cent ans de mouvements étudiants, Éditions Syllepse,
  • « La FAGE veut « peser sur le débat politique », assure Jean-François Martins », AEF, no 64979,‎
  • Nicolas Barthe, Approche sociologique de la formation d'un groupe d'intérêt : la FAGE, Université de Montpellier-I,
  • Mickaël Cabon et Frédéric Cuignet, « Associations étudiantes : qui êtes vous ? », La Revue de l'Université, no 17,‎
  • FAGE, États généraux de l'Université, contribution aux débats,
  • Tariq Ragi, L’Engagement syndical et associatif des jeunes : la FAGE, L’Harmattan, coll. « Agora débat/jeunesse »,
  • Bruno Vincent, « Fage, une image gestionnaire », La Revue de l'Université « hors série »,‎

Liens externes modifier