Discussion:Matthieu Gosztola

Dernier commentaire : il y a 1 an par 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 dans le sujet Article à délister
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Article à délister

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Bonjour 2A02:8440:6440:3B84:82C:A72:E155:B9D9 (u · d · b),

Je crains que vous n'ayez pas bien compris le fonctionnement de Wikipédia, lorsque vous avez de nouveau retiré certains bandeaux que j'avais placés sur l'article, avec comme seul commentaire de votre part : « il s'agit de la bibliographie, tous les ouvrages sont référencés sur le site de la bibliothèque nationale de France : https://catalogue.bnf.fr ».

Pour le dire crûment, en espérant être compris cette fois-ci : sur Wikipédia, on se contref... que « tous les ouvrages soient référencés sur le site de la bibliothèque nationale de France ». Wikipédia n'est pas une base de données, fût-elle recopiée de celle de la Bibliothèque nationale.

Un article sur Wikipédia n'est pas là pour fournir une liste exhaustive des œuvres de X ou Y, et c'est au contraire un motif légitime du retrait de telles listes lorsque la pertinence encyclopédique des ouvrages d'une bibliographie (d'une information en général, d'ailleurs) est contestée et n'est pas démontrée par des sources secondaires qui démontrent qu'on n'est pas face à une simple tentative d'exhaustivité, inappropriée ici.

J'ai donc replacé les bandeaux supprimés, en vous demandant de ne pas tenter le passage en force en les retirant une troisième fois sans avoir recueilli ici un consensus en ce sens : dois-je vous rappeler qu'ici cet article ne vous appartient pas, et que de façon générale, le retrait unilatéral répétés de bandeaux de maintenance est considéré comme une action particulièrement problématique ?

Merci d'en tenir compte. -- — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 14 février 2023 à 19:11 (CET)Répondre

Bonjour et merci de votre expertise, mais j'avoue être pour le moins perplexe. Si vous vous reportez à l'ensemble des pages Wiki des auteurs, vous verrez que, dans la très grande majorité des cas, l'ensemble de leurs ouvrages est cité dans la bibliographie. Ce qui me paraît tout à fait légitime. Il s'agit de citer les ouvrages publiés à compte d'éditeur, et non de faire la liste de l'ensemble des publications (en revues, en anthologies, etc.) Mathieu Gosztola a beaucoup publié. Doit-il être condamné pour cela ? Je vous saurai gré, dans un souci d'équité, de faire adopter même traitement à l'ensemble des pages des auteurs francophones. Car pourquoi un traitement de (dé)faveur pour ce qui est d'un auteur en particulier ? 77.205.116.21 (discuter) 14 février 2023 à 20:54 (CET)Répondre
Par ailleurs, vous noterez que quantité de pages Wiki d'auteurs francophones citent aussi leurs publications en revue etc. (cf. pour citer un seul exemple Antoine Emaz), ce qui n'est absolument pas le cas ici.
Pour finir, Wikipedia est certes une encyclopédie mais vous sentez-vous légitime à interdire au lecteur de découvrir l'existence de la littérature / poésie contemporaine dans sa pluralité / richesse, alors que les media en général la boudent depuis fort longtemps ?
La bibliographie est certes une liste mais elle a le mérite de recueillir une information qu'il n'est pas évident d'embrasser du regard, lorsque l'on n'a pas l'habitude des sites de référence et/ou spécialisés (Fabula etc.). 77.205.116.21 (discuter) 14 février 2023 à 21:01 (CET)Répondre
Puis-je vous demander pourquoi vous n'avez pas donné suite à l'effort qui a été fait de regrouper la bibliographie par catégories ? (essai, poésie, livres d'art, photographie) Cela aurait donné une plus grande immédiate lisibilité à l'ensemble. 77.205.116.21 (discuter) 14 février 2023 à 21:04 (CET)Répondre
Gosztola est un critique littéraire reconnu, qui oeuvre depuis une vingtaine d'année dans ce domaine, ayant fait ses armes dans la revue universitaire Histoires littéraires (https://histoires-litteraires.fr), avant d'élargir son apport. Pourquoi le bref paragraphe mentionnant l'étendue de ses contributions dans ce domaine a-t-il été supprimé ? Je trouve cela dommageable. 2A02:8440:6341:3A9D:F0A6:5D81:AC0B:A355 (discuter) 14 février 2023 à 21:54 (CET)Répondre
Importance reconnue de son statut de critique littéraire, comme en témoignent - pour ne citer qu'un exemple - ses nombreuses notes de lecture parues dans la revue de référence Europe entre 2011 et 2017 (les listes sont ici : https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/01/tables2011R.pdf, https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/01/tables2012R.pdf, https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/01/tables2013R.pdf, https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/01/tables2014R.pdf, https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/01/tables2015R-.pdf, https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2016/12/Tables-2016-R.pdf et https://www.europe-revue.net/wp-content/uploads/2017/11/Tables-Europe-2017.pdf) 2A02:8440:6340:6FC6:1BD:5461:C7E9:1F0B (discuter) 14 février 2023 à 22:35 (CET)Répondre
Wikipédia est une encyclopédie qui présente de manière synthétique les informations, et surtout (c'est le point le plus important) les informations attestées par des sources secondaires. Une liste de publications sur le site de la Bibliothèque nationale de France, ou sur le site d'un éditeur, c'est une source primaire. Idem pour les notes de lecture dans la revue Europe : elles ne prouvent pas son statut de critique littéraire, ce n'est qu'une liste primaire. Ce qui manque cruellement à cet article, ce sont des sources secondaires de qualité (par exemple : des articles de journaux/magazines centrés sur Matthieu Gosztola, une analyse de son oeuvre dans des articles scientifiques ou livres - et pas seulement des recensions). Wikipédia permet l'accès au savoir, mais elle n'a pas pour but de faire de la publicité aux auteurices peu connu.e.s, et ne se substitue pas aux médias. Et malheureusement, beaucoup de gens prennent encore la page Wiki comme leur page personnelle où iels peuvent faire leur pub et mettre la liste exhaustive de toutes leurs publications : cela ne la rend pas justifiable pour autant (c'est ce qu'on appelle, en jargon wikipédien, une défense Pikachu). Skimel (discuter) 15 février 2023 à 10:15 (CET)Répondre
@Azurfrog@Skimel Qu'entendez-vous par "auteurices peu connu.e.s" ? Gosztola n'a certes pas la notoriété de Tintin, lol. Mais si l'on connaît le monde poétique (qui est certes un microcosme), ce qui est mon cas, on n'est pas sans savoir qu'il y est très connu, et reconnu. Les sources secondaires et tertiaires existent en conséquence, mais je n'ai nullement le temps de réécrire cette page Wiki. Quelques-unes (antérieures à 2010) sont répertoriées sur le site de Claude Ber (https://www.claude-ber.org/Matthieu-GOSZTOLA_a351.html) : les revues scientifiques The French Review, Les Cahiers pédagogiques et Cahier critique de poésie, Ouest-France, Le magazine des livres etc etc Et plus récemment un article de Ouest-France lui étant consacré et disponible sur le net reconnaît dans son chapô : "Matthieu Gostzola est l’un des écrivains référence en matière de poésie contemporaine. Un rôle qu’il interprète chaque jour un peu plus ces dernières années." (https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-mans-72000/serie-d-ete-que-sont-devenues-ces-gloires-mancelles-5885769) Je me permets de vous répondre longuement à tous deux ici car vous semblez ne pas tenir compte du contexte. La poésie a aujourd'hui totalement déserté les médias. Même "ça rime à quoi" sur France Culture a disparu. La raison : trop peu d'écoutes ! Aussi est-ce pour le moins évident qu'un poète a moins d'impact sur les médias qu'un romancier (par exemple). Ce n'est pas pour autant que ledit poète n'est pas reconnu, et connu. Mais pour le savoir, il faut se plonger dans le microcosme dans lequel il évolue et connaître celui-ci sinon en profondeur du moins en détail. Ce que vous n'avez ni le temps ni l'envie de faire, ce que je comprends. Mais il me semble opportun de ne pas juger l'impact qu'a un auteur sur son public / l'avant-garde / les critiques sans tenir compte du contexte dans lequel cet auteur évolue.
Extrait du site de Claude Ber :
L'invité du mois
Matthieu GOSZTOLA
BIOBIBLIOGRAPHIE
"Docteur en littérature, pianiste et compositeur de formation, Matthieu Gosztola enseigne [à] Paris la littérature. Il est le plus jeune auteur à avoir été publié dans la revue Caravanes. Dans le septième et avant-dernier numéro de cette revue publiée chez Phébus et dirigée par André Velter, Jean-Pierre Sicre et André Velter comparent Matthieu Gosztola à Rimbaud : « Quel âge avait Rimbaud ? », annonçant qu’il s’inscrit « en faux contre la mort annoncée de la poésie ».
En 2007, Sur la musicalité du vide a été couronné par le Prix des découvreurs. Matthieu Gosztola est le plus jeune poète à recevoir le Prix des découvreurs qui a récompensé nombre de poètes contemporains de renom : Pascal Commère, Gérard Noiret, Valérie Rouzeau, Mohammed Dib, Ludovic Janvier, Eugène Savitzkaya, Olivier Barbarant, Ariane Dreyfus, André Velter… Dans les Cahiers pédagogiques, Sur la musicalité du vide est cité comme étant l'un des quarante livres permettant de « découvrir la poésie d’aujourd’hui ». Des poèmes ont été lus par des comédiens sur France Culture à l’occasion de la parution du premier volume de ce diptyque. Michaël Bishop dans The French Review résume le projet de celui-ci : « Sur la musicalité du vide, premier livre de Matthieu Gosztola s’offre [...] comme un vaste réservoir d'observations et d'évocations, d'aphorismes et de notations inclassables. Fragmentation et accumulation rivalisent tensionnellement ; le continuum qui en résulte, kaléidoscopique, jamais contextualisé, ne véhicule aucune épistémologie stable; seul l’espace du poétique affirme implicitement l’idée d’une cohérence au cœur même d’une implosion textuelle qui s’avère antirationaliste, féerique, spontanément sinueuse, totalement libre, aveuglante. »
Dans le septième numéro de Cahier critique de poésie, Christophe Samarsky résume quant à lui le projet de Sur la musicalité du vide II : « Ce dont les choses sont nées, ce par quoi, une fois nées, elles vivent, ce à quoi elles font retour à la mort, tâche de comprendre », demandent les Upanishads. M. Gosztola y répond singulièrement, nullement amer, nouant ensemble la pleine transparence de l'instant, quelques rides sur l'eau, un hoquet. »
Matthieu Gosztola choisit en 2008 d'explorer la relation passionnelle et tumultueuse entre Auguste Rodin et Camille Claudel en usant de la forme poétique et de la photographie (in Recueil des caresses échangées entre Camille Claudel et Auguste Rodin, Editions de l’Atlantique).
En 2010, il fait paraître un livre de poèmes sur le génocide qui a eu lieu au Rwanda en 1994, dans lequel il fait, selon Ouest-France, entendre « l’écho inapaisé de[s] paroles suppliciées ». Il répond à cette occasion sur Poezibao à la question « écrire un recueil de poèmes à propos d’un génocide, cela a-t-il un sens ? ». Antoine Emaz (toujours dans Poezibao), après avoir rappelé qu’il n’y a « [a]ucun pathos dans le livre de Gosztola, mais […] du relief, de la rugosité de langue », souligne la « structure très forte du livre » et met en avant « l’impression […] de maîtrise (presque savante, ciselée dans le détail) » qui s’en dégage. Selon lui, cette œuvre va « poétiquement contre l’inhumain, sans concession aucune au voyeurisme morbide ou au goût pervers pour l’horreur. » Le Magazine des Livres résume quant à lui le projet de Matthieu Gosztola : « L’action poétique de Matthieu Gosztola en son livre Débris de tuer est incontestable. […] A la suite d’un Paul Celan reconstruisant une langue en dedans même du génocide des juifs et y cherchant la voie d’un chant praticable, […] Matthieu Gosztola déplie sous nos yeux décillés la carte d’un Verbe violemment démembré, y cherchant les traces d’un vivier humain de l’au-delà de la souffrance, d’un chant donnant accès à la compréhension. […] Gosztola, debout au milieu du charnier verbal, entend les saignements intérieurs qui montent depuis la terre rwandaise jusqu’à l’homme tout entier, il recueille dans sa bouche le souffle de l’agonie, faisant ainsi de sa gorge un passeur […]. »
Il ne se limite pas à des parutions d’ouvrages mais a publié ses poèmes « dans une centaine de revues littéraires », françaises comme Caravanes, Voix d'encre, Phréatique, Encres Vagabondes ou Salmigondis, belges comme L’arbre à paroles, Archipel, ou encore Ecritures, canadiennes comme Moebius ou Art le Sabord… Ses poèmes sont parus dans des anthologies, comme au Cherche Midi ou chez Donner à voir. Des numéros de revues lui ont été consacrés : Soleils et cendre et Verso. Ses poèmes ont été traduits en anglais et publiés dans la revue Silver Visions II Visions-International aux États-Unis.
Il a écrit des articles pour la Comédie-Française, pour les Presses Universitaires de Rennes... : il a fait paraître des articles sur Jarry, Valéry, Reverdy, ou encore sur le lien qui existe entre la littérature et les sciences à la fin du dix-neuvième siècle. Il a participé à l’édition critique des œuvres de Raymond Roussel et à des colloques internationaux à Paris, à Laval, en République Tchèque et en Suisse. Il prépare actuellement une édition critique des œuvres d’Alfred Jarry pour les éditions Classique Garnier. Il a été critique littéraire pour la revue Histoires Littéraires. Il est actuellement critique pour [la revue Europe]. Il publie des proses, en livre ou en revue, depuis 2009. Il est également photographe. Il a publié quelques-unes de ses photographies dans des revues comme Le Jardin d’Essai, Verso ou Contre-allées et a fait paraître un livre de photographies et de poèmes aux éditions de l'Atlantique." (Art Point France, 2010) 2A02:8440:6441:7950:6896:957F:B9B1:1B70 (discuter) 15 février 2023 à 16:39 (CET)Répondre
@Azurfrog@Skimel Chers tous deux, merci pour vos précieuses contributions, MAIS ne vous serait-il pas loisible de faire le ménage sur Wikipedia des pages d'auteurs ou d'autrices publiant à compte d'auteur, avant de vous attaquer à des auteurs reconnus publiant uniquement à compte d'éditeur ? Un seul exemple (il y en a QUANTITE sur Wikipedia) : Jamila Abitar. Il s'agit là de publications à compte d'auteur : "L'Aube sous les dunes, éditions L’Harmattan, Paris, 2000. L'Oracle des fellahs, éditions L’Harmattan, Paris, 2001. Le Bleu infini, éditions L’Harmattan, Paris, 2009. À Marrakech, derrière la Koutoubia (recueil de poèmes), éditions Alfabarre Paris, 2012." A bon entendeur... 2A02:8440:6441:55E0:80A9:282C:ECD2:6760 (discuter) 15 février 2023 à 18:19 (CET)Répondre
Justement... parlons-en des éditions à compte d'auteur. C'est bien la majorité dans le cas qui nous concerne et sans que l'on trouve de sources secondaires démontrant la notabilité de ces publications. Je jette un voile pudique sur la collection Babel Heureuse qui n'est qu'une revue et non un éditeur. Créée en 2017, Gosztola a réussi le tour de force d'y publier en 2015 ? Le délistage des titres non notables est inévitable. Hyméros --}-≽ 15 février 2023 à 18:32 (CET)Répondre
"C'est bien la majorité dans le cas qui nous concerne" Il s'agit là de votre part de paroles diffamatoires. A ma connaissance, et je connais bien le monde des Lettres, aucune des publications recensées ici n'est à compte d'auteur. 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 (discuter) 15 février 2023 à 18:50 (CET)Répondre
Babel heureuse a publié des plaquettes. Il s'agit ici d'une plaquette. Vous n'êtes pas sans savoir que parmi les ouvrages des poésie il existe ce qu'on appelle les plaquettes... ("Une plaquette est un opuscule ou petit ouvrage imprimé dont le nombre de pages est inférieur au minimum de pages attribuées à la brochure. Ainsi, si les brochures comprennent les imprimés partant de 16 pages ou 24 pages à 100 pages ; la plaquette comprendra les imprimés de 1 à 16 ou 24 pages.") 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 (discuter) 15 février 2023 à 18:52 (CET)Répondre
Création en 2017, publication en 2015 ?! C'est ça la question. Ne changez pas de sujet, merci. Hyméros --}-≽ 15 février 2023 à 18:57 (CET)Répondre
Interrogez François Rannou à ce sujet. Ils vous confirmera ce que je vous ai répondu à ce sujet (francoisrannou@live.fr) 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 (discuter) 15 février 2023 à 19:01 (CET)Répondre
Je vois que vous mettez péremptoirement (et sans aucune connaissance du monde de l'édition) en doute l'existence de la plaquette "Incidences". Interrogez François Rannou, il vous apprendra que Babel heureuse fut une collection de plaquettes appartenant à La Rivière échappée avant de devenir la revue que l'on sait, dans laquelle Gosztola a par ailleurs publié (https://velizy.mediatheques.fr/?ln=album&docid=979979) 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 (discuter) 15 février 2023 à 18:59 (CET)Répondre
Conflit d’édition Il me semble que l'on s'égare, 2A02:8440:6440:3B84:82C:A72:E155:B9D9 (u · d · b) : l'article a déjà fait l'objet d'un débat d'admissibilité en 2007, et - pour le moment en tout cas - la notoriété du sujet n'est pas remise en cause dans cette discussion. Alors pourquoi en parler ?
Ce qui est demandé maintenant, c'est un sourçage faisant appel à des sources secondaires centrées sur les oeuvres listées dans la page, de nature à démontrer que les ouvrages mentionnés dans ces listes sont d'un intérêt encyclopédique suffisamment reconnu pour justifier d'en faire mention dans l'article (car je le répète, Wikipédia n'est pas là pour héberger des listes exhaustives des oeuvres de tel ou tel en l'absence des sources secondaires qui en démontreraient la pertinence).
Quant à la page Jamila Abitar, oui, son admissibilité n'est pas suffisamment démontrée ; donc libre à vous de lancer la procédure de débat d'admissibilité si vous le jugez bon. Mais, comme Skimel vous l'a dit plus haut, une défense PIKACHU ne répond en rien aux demandes qui vous sont faites ici.
Ne pas y répondre se traduirait donc par un inévitable délistage. -- — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 15 février 2023 à 19:00 (CET)Répondre
Merci de ces précisions. C'est beaucoup plus clair ainsi. 2A02:8440:6441:2C4D:2CA0:FF10:3F5C:98D3 (discuter) 15 février 2023 à 19:04 (CET)Répondre
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