Discussion:Gustave Flaubert

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Je constate avec quelle obsession les contributeurs s'obstinnent à nier son aventure avec Louis Bouilhet. C'est bien triste... Comme le débat risque de ne pas se finir de si vite, nous n'avons qu'à la mentionner en la supposant. Ça mettrait tout le monde d'accord. Quand à son aventure avec alexandre Le Poittevin, elle est indéniable. Ce dernier lui envoait une lettre dans laquelle on pouvait lire : «Je t’embrasse le priape en te socratisant. Je viendrai te voir sans faute vers une heure. Bandes-tu ?». C'est sur que c'est vraiment pas clair ça dit donc (ironie). Bref, arrêtons de dire "qu'on en sait rien" car on a, au contraire, toutes le preuves nécéssaires. --TheWandoo123 (discuter) 17 août 2016 à 00:03 (CEST)Répondre



"il se place entre la génération romantique (Stendhal – Balzac) et la génération réaliste et naturaliste (Zola – Maupassant, ce dernier considérant Flaubert comme son maître)" Stendhal et Balzac réalistes: ce serait pas entre les réalistes et les naturalistes ? --Maximb 12 juin 2006 à 21:45 (CEST)Répondre

Déplacé --Mammique 23 décembre 2005 à 10:10 (CET)Répondre

Sa sexualité modifier

Flaubert ne fut pas Lord Byron; il ne fut pas non plus Casanova. Il ne courut jamais beaucoup après les femmes; Jean-Paul Sartre, dans son ouvrage philosophique concernant Flaubert ("L'Idiot de la famille") s'interroge sur l'étrange passivité de ses rapports amoureux et sexuels. L'homme semblait quelque peu indifférent envers le genre féminin, et, même si l'on peut considérer qu'il a toujours été ce "grand désabusé", qui tâchait de ne pas donner trop d'influence aux choses qui le touchaient, l'on peut tout aussi bien remettre en question son identité sexuelle. Peut-être Flaubert, comme nombre de grands artistes, était homosexuel, ou à caractère bisexuel, du moins n'a-t-il jamais, malgré ses aventures avec George Sand et Louise Colet, démontré une attirance particulière envers les femmes (ses récits égyptiens sont saturés de coïts hétérosexuels : vous êtes ignare sur Flaubert). Son caractère névrosé a certainement joué sur son attitude, et l'on peut alors simplement remettre en question le fait qu'il ait un jour réellement éprouvé du plaisir dans le rapport sexuel (n'importe quoi).

On dit que c'était un "ours", et peut-être l'était-il envers les femmes pour une simple raison.

Non NPOV, comme nombre de grands artistes, était homosexuel, ha ? Intéressant comme info encycopédique !
De pus Faubert était aussi connu pour ses lettres porno envers ses conquètes féminines, alors le Il ne courut jamais beaucoup après les femmes... Je propose de supprimer tout le paragraphe --Mammique 23 décembre 2005 à 10:10 (CET)Répondre
Et oser écrire : du moins n'a-t-il jamais, malgré ses aventures avec George Sand et Louise Colet, démontré une attirance particulière envers les femmes. ! c'est à mourir de rire ! Flaubert eut aimé...

Homosexualité de Flaubert modifier

Deuxième lettre de Flaubert à son ami Louis Bouilhet. (Fin décembre 1849 ou début janvier 1850. Selon la Pléiade, 15 janvier 1850)

"Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]

Nous n’avons pas encore eu de danseuses ; elles sont toutes dans la Haute-Égypte, exilées. La partie que nous devions faire sur le Nil la dernière fois que je t’ai écrit a raté. Du reste, il n’y a rien de perdu. Mais nous avons eu les danseurs. Oh ! Oh ! Oh ! [...] Comme danseurs, figure-toi deux drôles passablement laids, mais charmants de corruption, de dégradation intentionnelle dans le regard et de féminité dans les mouvements, ayant les yeux peints avec de l’antimoine et habillés en femmes. Pour costume, de larges pantalons et une veste brodée qui descend jusqu’à l’épigastre, tandis que les pantalons au contraire, retenus par une énorme ceinture de cachemire pliée en plusieurs doubles, ne commencent à peu près qu’au bas ventre, de sorte que tout le ventre, les reins et la naissance des fesses sont à nu à travers une gaze noire collée sur la peau, c’est-à-dire retenue par les vêtements inférieurs et supérieurs. Elle se ride sur les hanches comme une onde ténébreuse et transparente, à tous les mouvements qu’ils font.

[...]C’est trop beau pour que ce soit excitant. Je doute que les femmes vaillent les hommes ; la laideur de ceux-ci ajoute beaucoup comme Art. [...] Puisque nous causons de bardaches, voici ce que j’en sais. Ici, c’est très bien porté. On avoue sa sodomie et on en parle à table d’hôte.

Quelquefois, on nie un petit peu, tout le monde alors vous engueule et cela finit par s’avouer. Voyageant pour notre instruction et chargés d’une mission par le gouvernement, nous avons regardé comme de notre devoir de nous livrer à ce mode d’éjaculation. L’occasion ne s’en est pas encore présentée, nous la cherchons pourtant.

C’est aux bains que cela se pratique. On retient le bain pour soi (cinq francs), y compris les masseurs, la pipe, le café, le linge et on enfile son gamin dans une des salles. Tu sauras du reste que tous les garçons de bain sont bardaches.

[...] Pauvre cher bougre, j’ai bien envie de t’embrasser. Je serai content quand je reverrai ta figure. [...] Adieu, je t’embrasse et suis plus que jamais "Maréchal de Richelieu, juste-au-corps bleu, Mousquetaire gris, régence et cardinal Dubois", sacrebleu !

À toi, mon solide.

Lien externe mort modifier

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 03:57 (CET)Répondre

Flaubert écrits de jeunesse modifier

Amoureux de Flaubert, je découvre l'article qui lui est consacré. Il y est dit qu'il commence à écrire en 1844. C'est oublier les écrits que sont, entre autres car nous ne donnons ici que les plus importants dans la "préhistoire" de l'oeuvre à venir, UN PARFUM A SENTIR de 1836, QUIDQUID VOLUERIS de 1837, SMARH de 1839 et surtout, surtout, MEMOIRES D'UN FOU dont la rédaction remonte sans doute à 1838 et NOVEMBRE dont Gustave achève le manuscrit le 25 octobre 1842. Non Flaubert n'a pas commencé à écrire vers ses vingt-trois ans : il a été un auteur particulièrement précoce qui avait déjà entrepris, à quinze ans, sa "carrière" d'écrivain.

Tout à fait d'accord, je modifie en conséquence. Nguyenld 29 janvier 2007 à 07:45 (CET)Répondre

Remarques modifier

Plusieus incohérences m'apparaissent sur cette page. Il est en effet précié, par exemple, que Balzac est un auteur romantique, tandis qu'on parle bien peu de l'aspect "bourgeois" de Gustave Flaubert. Prière de relire, de revoir l'article.--Schiller 6 juin 2007 à 06:35 (CEST)Répondre

Il est dit (sans doute intervention d'un petit plaisantin) que le père de GF était bucheron en chef à l'Hôtel-Dieu. Il faut lire chirurgien, bien entendu. A rectifier. (21 septembre 2008)

Seconde remarque modifier

Dans la biographie de GF il est écrit: "Gustave Flaubert est le deuxième enfant d’Achille Cléophas Flaubert (1784-1846), chirurgien-chef très occupé à l'Hôtel Dieu (hôpital) de Rouen, et de son épouse, Anne Justine Caroline Fleuriot (1793-1872)" donc si je comprends bien GF a épousé sa mère... Je ne suis pas spécialiste de Flaubert mais je pense qu'il faut supprimer "son épouse".

Le treize? Le douze? modifier

L'acte de naissance de Flaubert indique le 13 Décembre 1821 et non le douze... Qu'en penser?

PS : le (vieux) volume de la pléiade -tome1- mentionne aussi la date du 13...

Seraphin calobarsy 13 juin 2008 à 15:08 (CEST)

EDIT : Magnifique! nous sommes le 13 Juin !

Le (vieux) volume de la pléiade a tort : la lecture complète des documents administratifs fournit une réponse indiscutable : Gustave Flaubert est bien né le 12 décembre 1821.

L'acte de naissance [1] est daté du 13 décembre "Du Jeudi, Treize Décembre, mil huit cent vingt-un" mais il précise que l'enfant est né la veille, donc le 12 ("Lequel m'a déclaré, que le jour d'hier, à quatre heures du matin, est né, en son domicile précité et de son mariage contracté, en cette ville, le dix février, mil huit cent douze, un enfant du sexe masculin, qu'il m'a présenté et auquel il a donné le prénom de Gustave).

L'acte de décès [2] confirme ce 12 décembre ("Du lundi dix mai mil huit cent quatre-vingt à midi acte de décès de Gustave Flaubert, âgé de cinquante-huit ans, homme de lettres, né à Rouen le douze décembre mil huit cent vingt-un ".PRA (d) 22 septembre 2008 à 10:34 (CEST)Répondre

Et le lieu ? modifier

L'acte de naissance [3] indique pour père de Flaubert le chirurgien-chef de l'Hôtel-Dieu de la ville : (...) M. Achille-Cléophas, Flaubert, Chirurgien en chef à l'hôtel-Dieu, de cette ville (...) ... mais le texte de Wp le donne à l'Hôtel-Dieu de Honfleur (puis de Rouen, 2 lignes plus bas)... Qui a tort ? (Y avait-il un Hôtel-Dieu à Honfleur ? A-t-il occupé successivement les deux postes ? Ou s'agit-il d'une erreur grossière ?)

En tous cas, il faut régler ça : il ne peut pas naître en même temps à Rouen (1er §) et à Honfleur (2ème §) et son père être à la fois chirurgien-chef à Rouen et à Honfleur (2ème §) ; ça ne fait pas très sérieux   • Chaoborus 11 octobre 2008 à 02:51 (CEST)Répondre

Il suffit de lire le § précédent de cette page discussion pour corriger le vandalisme pervers.PRA (d) 11 octobre 2008 à 09:04 (CEST)Répondre

Caroline modifier

La dernière phrase du premier paragraphe de sa biographie me semble énigmatique : "Elle laisse une petite Caroline dont Gustave assurera l'éducation jusqu'à ce qu'elle se marie." Y a-t-il un événement non précisé ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.28.82.97 (discuter), le 16 janvier 2010 à 9:42 --Floflo (d) 16 janvier 2010 à 12:59 (CET)Répondre

Correspondance modifier

La section est de qualité, mais n'est pas sourcée du tout, je suppose que la personne ayant rédigé cette question est un grand admirateur de Flaubert (comme en témoignent les multiples points d'exclamations qui n'ont pas lieu d'être sur une encyclopédie neutre), et qu'ainsi il pourrait de manière aisée citer ses sources, ce qui contribuerait à rendre l'article de bien meilleure qualité. Whist* (d) 26 avril 2011 à 18:19 (CEST)Répondre

« acquitté » modifier

Ce participe passé apparaît à au moins deux reprises dans l'article (mais aussi dans l'article Madame Bovary) pour évoquer le résultat du procès s'étant déroulé devant le tribunal correctionnel de la Seine, après la publication du roman.

J'ai comme un doute, puisque j'ai toujours entendu dire que le terme « acquitté » était utilisé pour les procès devant une cour d'assises, et le terme « relaxé » pour les procès devant un tribunal correctionnel.

Cette distinction de vocabulaire aurait-elle pu ne pas avoir cours au XIXe siècle ? — Hégésippe (Büro) [opérateur] 29 décembre 2019 à 18:15 (CET)Répondre

Photo de titre modifier

Comment se fait il que le portait de Gustave flaubert en début d’article ait été remplacé par la photo du leader nord-coréen? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB14:78A:9E00:BC03:1609:9D78:642 (discuter), le 15 décembre 2020 à 15:32 (CET)Répondre

Bonjour, le sujet est en cours de traitement ici : Sujet:Vznjcvsmnoz80ru8. RG067 (discuter) 15 décembre 2020 à 15:35 (CET)Répondre

Réception de Salammbô, La tentation de Saint Antoine et le Procès modifier

Deux ou trois choses, seulement. La première, Salammbô. C'est un ouvrage majeur, comme tous les romans de Flaubert, il faut croire. Or voilà que celui-ci clive, du moins dans sa réception. L'ouvrage est reçu comme informe, comme ne convenant pas aux exigences réalistes et naturalistes en vigueur à l'époque. Flaubert de répondre qu'il en va d'un nouveau genre, à savoir le réalisme historique. Des disputes avec des philologues lui valent la plus grande répartie. À un reproche d'un philologue pour manque de rigueur quant à l'étymologie d'un ou de plusieurs mots, Flaubert admet ne pas parler ou maîtriser ni le grec, ni le latin, ni l'anglais, ni l'allemand, ni même - et c'est là son génie - le français. Flaubert aphone ? Flaubert l'écrivain du rien ? Il y a il me semble quelque chose à creuser dans les querelles provoquées par la publication de ce roman. En suite l'omission de La tentation de Saint Antoine me parait aussi injuste puisqu'il s'agit là - et peut-être est-ce ma préférence qui entre en jeu - d'un de ses plus grands romans (une hiérarchie est-elle possible?). Scène fantastique, maintes fois reprise dans les arts, pensons à Dali, mieux, à Bosch! Le roman qui a accompagné Flaubert pour une part importante de sa vie vaudrait, à mes yeux, mieux d'être inséré à la page. Enfin, le procès. Grand moment n'est-ce pas ? Rencontre avec nul autre que Baudelaire... Différence de traitements étant donné les statuts sociaux, etc. Les raisons pour lesquelles ces publications ont étés intentées sont aussi analysables. Il serait bien de retrouver la version originaire de Madame Bovary, un peu plus grivoise. La censure d'alors est encore d'actualité. Un Madame Bovary pré-procès ? Un jour peut-être. Bref, il y a de la matière... sans doute aussi quelques-uns de ces détails se retrouvent déjà sur les micro-pages de Flaubert, accordés à ses ouvrages. C'est à vérifier. Mais du jus, plus d'informations encyclopédiques, etc. Flaubert, quand même. --Younes Belouchi (discuter) 23 février 2021 à 15:36 (CET)Répondre

Bonjour, vous pouvez développer ce point, avec des sources précises, mais effectivement plutôt dans l'article Salammbô. Bonnes contributions, Sijysuis (discuter) 23 février 2021 à 22:00 (CET)Répondre
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