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Source1: Aire sur la Lys 2009 galerie édition.llkjj

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Les différentes étapes de la construction des fortification d’Aire du Xe au XVIIIe siècle.

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Aire une ville très bien située entre deux entités géographiques à l’ouest marqué par ses vallons et l’est par la plaine aux terres limoneuses face à la forêt de Nieppe.

A cette endroit la Lys grossit et se sépare en de nombreux cours d’eau, ce qui devient navigable et donc très plaisant pour les marchands.

Limoneuse:plain sur laquelle il y a du limon ,dépôt terreux, argileux ou calcaire par accumulation sur le bord.

Xe siècle

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Au Xème siècle Baudouin II, le comte de Flandre établit une motte castrale ,à l’ouest du confluent de la Lys et de la Laquette après la ruine des invasions normandes .Cette Motte servira à surveiller la route d’Arras à Saint-Omer et pour pouvoir défendre la ville plus facilement.

Le castrum: est un bâtiment militaire qui renferme des biens pour les protéger.

Motte castrale:première défense de la ville un rehaussement de terre de forme circulaire

XIe et XIIe siècles

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Le comte de Flandre fait bâtir un château à l’ouest du premier ,pour veiller sur la route de Thérouanne. La ville se développe sur la rive de droite avec les marchand et le passage des pèlerins dans les auberges . Les bourgeois ordonnent des relations avec le seigneur et améliorer les rapports des habitants entre eux ( la charte de l’Amitié ) grâce à cette charte respecter ils reçoivent l’approbation de Philippe d’Alsace comte de Flandre en 1188 pour séparer l'Église et l'État. Lorsque l’église se détache de l’État ,de nouvelles constructions émergent: halle, hôtel de ville, le beffroi. bonjour

XIIIème et XVème siècles
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Entre le XIIIeme et le XVème siècle Aire devient un enjeu entre le roi de France et le comte de Flandre. Le château est reconstruit au début du XIIIe siècle par le comte de Flandre Baudouin IX ainsi que le renforcement des fortification par des briques de gres briques de grès

XVIe et XVIIe siècles
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Aire apparaît comme la principale protection de l’Artois espagnol face à Thérouanne. Le commerce est facilité par le transport des marchandises sur la Lys ce qui aide à développer la ville.

Source 2: Exposition du centenaire du démantèlement de la ville d’Aire, Catalogue de l’exposition présente à l’office du tourisme, 1993-Collection Bibliothèque municipale p 20-26.

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Le démantèlement des fortifications (G5)

Le conseil municipal a autorisé le début du démantèlement des fortifications le 10 février 1893 afin de récupérer des terres car il n’y avait plus de place et pour se développer économiquement, le maire nomme chef des travaux Georges Bloyart, il sera dirigé par l'ingénieur Lefoul. En mai 1893 les travaux commence et un appel d’offres est lancé auprès des entreprises sur la base 411 200 Francs. C’est l’entreprise Bonnet et Thorez qui remporte l’appel d’offre le 15 juin 1893. Le 1er juillet, l’Armée retire les canons et procède au déménagement des fusils. C’est en fait le lundi 17 juillet que les travaux commencent réellement. Pendant ces trois longues années, Aire n’est plus qu’un vaste chantier. La démolitions des remparts se font à coup de pioche et à grand renfort d'explosifs. En même temps que démolir la ville est soumise à une installation des conduites de distributions de gaz d’éclairage La mauvaise manipulation des explosifs ont causé des problèmes comme des inondations qui ont eu lieu en novembre on cause d'autre problèmes tel que l’arrêt des travaux de nombreuses semaines et aussi des accident. La ville se transforme en marché de biens ce qui permet de payer le coût du démantèlement, viabiliser les terrains récupérés les lotir et trouver des acquéreurs. Le conseil municipal et de l’administration se consacrent à ces opérations immobilières. En juin 1897 ce sont 268 000 m² de terrains qui ont été vendus pour un prix global de 249 137 Francs.Le démantèlement des fortifications permet le prolongement des rues tels que les rues: de la Couronne, du château, de Bienne. Aussi celle qui s’arrêtaient aux portes: rues d’Arras, de Saint-Omer, route allant à Isbergues.Ainsi la création de boulevards sur l’emplacement des remparts qui faisaient le tour de la ville. Le 17 Août 1894, le conseil municipal a pris connaissance du coût du démantèlement. Les ressources prévues-emprunt de 500 000 Francs et ventes de terrains s’élèvent à 626 000 Francs. Les recettes s’élèvent à 760 121 Francs. Au total la ville aura dépensé 925 000 Francs et récupéré 280 000 Francs grâces, en particulier, aux ventes de terrains.

Source 3: Le démantèlement des fortifications d’Aire 1893-1897 Le 14 juillet 1893

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Le 20 juillet 1893 dans l’écho de la lys sont apparu les information suivantes:Le jour de la fête national, près d’un milliers de personne ont assisté au début des travaux de Beaulieu. Après 22 ans d’attente entre la décision de principe en décembre 1871 et le début de la démolition des fortification en 1893. Pendant dix sept ans des opposants n'ont cessé de déposer des rapports défavorable au démantèlement des fortifications c'est seulement le premier octobre 1888 que le conseil supérieur de la guerre déclassé la place d'Aire. Laissant tous les frais de démantèlement a la charge de la ville.

Puis ensuite les négociations entre la ville et l'armée avec le général Mendier, directeur du Génie on commencer sur les modalités pratiques de l'opération.Grâce a un appui décisif d'Alexandre Ribot,ministre ou ancien ministre,ces collègues lui présente le dossier. Les accords obtenu:ville,assuré tous les risques de l'opération et supporter tous les coup des travaux

L'armée:remettra gratuitement à la ville les terrains dégagées qui pourront être vendu et louer.

Le coût du démantèlement: Son prix de départ été estimé à 600 000 Francs pour un prix final de 925 000 Francs.