Utilisateur:Ruyblas13/Enceinte de Chartres

Enceinte(s) de Chartres
La tour des Jacobins (construite vers 1386-1387)[1]. [2] [3] (tour de la Prêcherie [4],[5]).
Présentation
Type
Envergure
Haut-Empire : 275 ha
Bas-Empire : 2 100 m (cf. Bonnard, et [6] (probable mais non attestée cf. Coulon)
Haut-Moyen-Âge ? : 1 500 m, 11 ha[7]
950 : 20 ha[8],[9]
XIIe siècle : 65 ha[10] ; 3,7 km de circonférence, superficie de 60 ha[11],[12],[9],[8] précision : 3 663 m[13]
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Les enceintes de Chartres sont un ensemble de fortifications ayant défendu Chartres de l'époque gallo-romaine à l'époque contemporaine.

Les fortificatuons de Chartres sont un ensemble d'enceintes ayant défendu Chartres de l'époque gallo-romaine à l'époque contemporaine.

Les fortifications de Chartres sont un ensemble d'ouvrages défensifs construits de l'époque gallo-romaine à l'époque moderne.

Les fortifications de Chartres sont un ensemble d'enceintes construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

Les enceintes de Chartres sont un ensemble de fortifications construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

L'enceinte de Chartres est un ensemble de fortifications construites entre l'époque gallo-romaine et l'époque moderne.

Les fortifications de Chartres sont un ensemble d'ouvrages défensifs construits de l'époque gallo-romaine à l'époque moderne pour protéger la ville de Chartres.

Les enceintes de Chartres sont un ensemble de fortifications construites de l'époque gallo-romaine à l'époque moderne pour protéger la ville de Chartres.

Histoire

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Enceinte gallo-romaine / antique (data)

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Haut-Empire

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Pas de vestiges maçonnés connus. Bonnard, Acheré, Salamagne, Joly 2015, Ben Kaddour [14] https://excerpts.numilog.com/books/9782402650144.pdf (massif chaîné retrouvé dans crypte incorrectement interprété comme un reste de mur d'enceinte Bonnard 36 et Bonnard 1913[15].

Fossé de forme circulaire/octogonale, dont le centre se situe approximativement au niveau de la cathédrale, se développant sur environ 6 km de long pour 10 à 20 m de large, formé de huit segments de 700 à 800 m de long chacun. Le fossé est doublé d'un talus massif. La construction du système/dispositif fortifié/défensif pourrait dater de La Tène D (à minima postérieur à La Tène D1/D2, comme le confirme les fouilles de 2017 : une structure rurale datée de La Tène D1/D2 identifiée dans la partie nord-est de la basse-ville[16]), mais beaucoup plus probablement des premières décénies tout début du Ier siècle, et antérieur aux règnes de Tibère/Claude)[17],[18],[19]. Le dispositif fossoyé fait l'objet d'un comblement à la fin du Haut Empire[19],[18],[17],[20].Anne Ollagnier, Dominique Joly et Daniel Jalmain, « Commune 114 - Chartes », dans Carte archéologique de la Gaule: 28. Eure-et-Loir, Editions de la MSH, (lire en ligne). Les investigations menées en 2017 ont permis de corroborer le tracé du fossé dans sa partie nord-est proposé établi par Pierre Lebrun en 1857[21],[22].

Le « fossé à talus massif », d'abord interprété comme étant les vestiges d'une enceinte de camp romain vers le milieu du XIXe siècle[23],[22],[24] est « incorrectement » impropprement désigné sous le terme de circonvallation[19],[25] cag 28 p. 117 Le talus, ou rempart massif (attribué à des vestiges de camp romain appellé circonvallation dans la seconde moitié du XIXe siècle) fait en argile jaune associée à du silex, de 1,7 km de long en forme de C étiré[19]. Il est constitué de plusieurs segments parallèles au fossé. Une distance de plus de 40 m sépare le fossé du rempart d'argile[24]. Vestiges de 1,30 m de haut encore visibles dans la seconde moitié du XIXe siècle ; au niveau du quartier de la citadelle au XXIe siècle[19]. À l'époque, le fossé enserre la ville d'Autricum sur une superficie/surface d'environ 240 ha[26],[19]. Le talus atteint une hauteur de 4 m ; fossé en forme de V à 45* article Limites d'Autricum archéo Chartres n12. Pour Joly et Sellès, le fossé ne doit pas être considérer/appréhender comme un ouvrage défensif mais plutôt comme la limite/frontière du pomerium d'Autricum[27].

Le tracé du rempart, de type circulaire, épouse celui dessiné par le cours de l'Eure[28].

Bas-Empire

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Aucune trace d'enceinte véritablement pour la période du Bas Empire cf. Cag28 p.162, Maurice Jusselin, « La chapelle Saint-Serge-et-Saint-Bacche ou Saint-Nicolas-au-Cloître à Chartres. », Bulletin Monumental, t. 99, no 2,‎ , p. 134-135 (DOI doi.org/10.3406/bulmo.1940.9274, lire en ligne, consulté le ).</ref> et Abbé J. Clerval, Guide chartrain : Chartres, sa cathédrale, ses monuments, Chartres, (lire en ligne). (en contrepoint à Eugène Lefèvre-Pontalis, « Le puits des Saints-Forts et les cryptes de la cathédrale de Chartres. », Bulletin Monumental, t. 67,‎ , p. 381-402 (DOI doi.org/10.3406/bulmo.1903.11354, lire en ligne, consulté le ).), Roger Joly histo chartres [29]

+ élts : https://www.persee.fr/doc/ecelt_0373-1928_2013_num_39_1_2402?q=L'attirail+d'un+magicien+rangé+dans+une+cave+de+Chartres+... ; https://www.academia.edu/4280768/L_attirail_d_un_magicien_rang%C3%A9_dans_une_cave_de_Chartres_Autricum

Des structures sections maçonnées utilisées en spolia dans la crypte de l'église Saint-Aignan, la crypte[30] de Saint-Lubin ainsi que dans le tertre de Saint-Éman et un mur situé dans ensemble d'habitations, encadré par la rue des Changes et la place de la Poissonerie « peuvent éventuellement faire penser à l'existence d'une structure de défense » cag28 p.162, Jusselin 1940, Clerval 1948, https://books.google.fr/books?id=pcGr1hjOZGkC&pg=PA162&lpg=PA162&dq=enceinte+du+bas+empire+Chartres&source=bl&ots=pMrles0D21&sig=ACfU3U1rdsKuA5nJ_gl-8-8ulf7Hf7UWTw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj48bO5n4jqAhXL6OAKHTYvBhwQ6AEwAnoECAIQAQ#v=onepage&q=enceinte%20du%20bas%20empire%20Chartres&f=false [31]

Lesueur F. Saint-Aignan d'Orléans. L'église de Robert le Pieux. In: Bulletin Monumental, tome 115, n°3, année 1957. pp. 169-206.

DOI : https://doi.org/10.3406/bulmo.1957.3814

www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1957_num_115_3_3814

Premières mentions d'un rempart/mur d'enceinte (existence « probable mais non-attestée » en 836 et 885, puis dans la seconde moitié du XIe siècle, fortifications d'un périmètre de 1,4 km et enserrant une superficie/un espace urbain de 20 ha[32]. L'enceinte, de forme rectangulaire, se développe sur 800 m de long pour 250 m de large[33],[34], cf Lecroere

Une enceinte du Haut Moyen Age hypothétique

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Enceinte dite du IXe siècle

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plan cloître canonial voir porte Saint-Jean ; Chaline p.44 : section enceinte du IXe siècle en réemploi, seul vestige attribuable ?

  • « Découverte d'anciens murs de ville et d'un hypocauste gallo-romain à Chartres », Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, t. 9,‎ (lire en ligne, consulté le ). non datés, possible vestiges mur enceinte IXe s, suivant tracé selon Bonnard

Datation de l'enceinte dite du IXe siècle mentionnée par Souchet L1, p.18, vers la fin du IX plutôt qu'au milieu du IX pour Bonnard, comme pour Jules Lair, entre le siège de 858 et celui de 911[35],[36] ; pas de contour de cette enceinte suffisamment acceptable et admissible parmi ceux qui ont été proposés pour Joly et Serrès[37] ; tracé selon Challine (cf. Bonnard), tracé selon Lair, tracé selon Souchet, tracé selon Boisvillette, tracé selon Lépinois, tracé selon Buisson, selon René Merlet

(Travaux de) Fortifications des Xe et XIe siècles

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Enceinte du XIIe siècle

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Les travaux de fortications du XIIe siècle, exécutés par les sujets de la paroisse de Sainte-Foy, , débutent en 1180-1181, sous l'impulsion conjointe de Pierre de Celle et du Thibaut V. Thibaut fait exécuter la construction de murs d'enceinte de la porte Saint-Michel jusqu'à la porte des Épars, tandis que Pierre de Celle fait exécuter la construction de murs d'enceinte de la porte Saint-Michel jusqu'à la porte des Épars Une tour, la tour de Courte-Pinte, est également érigée en 1181[13]. Les Fortifications de l'Abbaye Saint-Père de Chartres sont intégrées à l'enceinte urbaine en 1185[38] (bien que pour Bonnard, cette date puisse être sujette à caution, en raison du document de Dom Bernard qui établit le rattachement/la réunion des dispositifs défensifs vers 1165 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90639853/f9.image), celle-ci reste plausible au regard de l'archéologue[13]. La même année, le pourtour de l'enceinte est finalisé avec la construction de remparts allant de la porte Morard jusqu'à la porte Drouaise[13]. Durant les travaux de 1181, l'église Sainte-Foy est englobée/intégrée au dans le dispositif et une poterne est érigée devant l'édifice religieux[39],[4].

À partir des années 1180, sept des onze paroisses chartraines sont encloses dans le périmètre de l'enceinte (les paroisses de Saint-André, de Sainte-Hilaire, de Sainte-Foy, de Saint-Aignan, de Saint-Michel et de Saint-Martin Le Vandier). La paroisse de Saint-Saturnin, démembrée en 1359, est, après transfert, à son tour incluse dans les murs d'enceinte en 1408[40].

(Travaux de) Fortifications du XIIIe au XVIe siècle

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XIIIe siècle

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XIVe siècle

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La ligne des fortifications du XIVe siècle correspond à celle existante à la veille de la Révolution et concorde avec la promenade de la fin du XIXe siècleappelée "Tour de Ville"[41] Tour de Ville Au XVIe siècle, les portes sont systématiquement renforcées par des ravelins[13]. Entre 1354 et 1360, des tours maçonnées, dont celle de Courte-Pinte défendant notamment les portes, sont construites et viennent flanquer le mur d'enceinte[42],[13],[43],[44]. En 1358, un budget est alloué au renforcement des fortifications. Les travaux comprennent le creusement d'un fossé d'enceinte et la consolidation ou la mise en appareil l'appareillage de la portion du mur d'enceinte situé entre la porte des Épars et la bretèche de l'église Sainte-Foy, ainsi que le pont de la Léthinière, plusieurs portes de ville (porte Drouaise, [42],

Sièges de 1568 et 1591

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Pour Louis Bonnard, « le siège de 1591 marque la fin du rôle militaire de la ville de Chartres »[45].

Reconstructions et entretien

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Désaffectation et destruction progressive

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Fossés comblés au XVIIe siècle[46] Chartres perd son statut de place forte en 1804[47],[48],[49],[13].

Fouilles et historiographies du XIXe au XXIe siècle

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Architecture et description

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https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&query=%28gallica%20all%20%22porte%20Chartres%22%29&lang=fr&suggest=0

Remparts

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Les remparts atteignent environ 8 m de haut et se développent sur 2 à 2,5 m d'épaisseur[51]. Il sont, en majeure partie, conçus en silex liés dans du mortier, à l'instar des tours et tourelles[51]. En quelques endroits, ils présentent un appareillage de gros blocs de roche non taillés, intercalés au moyen de pierres de petites taille, de brique, ou encore de d'autres éléments de construction de « qualité médiocre », l'ensemble lié dans du ciment jaune[51]. La plupart des murs défensifs repose sur des fondations conçues au moyen de blocs de grès blanc[51]. La construction du monument aux morts a permis de mettre en évidence que la section de rempart située au niveau de la butte des Charbonniers, ou s'élève la tour dite des Jacobins, le mur défensif prend appui sur des fondations de 1,72 m de haut sur 2 m d'épaisseur et construites en blocs de pierre hourdés maçonnées en Opus caementicium[51]

Un chemin de ronde, protégé par un parapet probablement crénelé sur certaines sections et pratiqué à l'intérieur du massif maçonné/dans la masse des maçonneries, venait couronner le/se déployait au/était aménagé au sommet des remparts[51]. Des postes d'observation (guérites et échauguettes) surmontaient les murs d'enceinte à intervalle régulier[51]. Dans la seconde moitié du XVIe siècle, des bretèches maçonnées ou charpentées disposées en saillie défendaient quelques sections des murs d'enceinte, notamment les abords des portes de la ville[51]. Aménagée entre le périmètre du mur d'enceinte et le pourtour des habitations et jardins chartrains, une voie de 9 pieds de large permettait la circulation du personnel attaché au service des fortifications[51].

Tours, bastions et ravelins

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  • Tour/tourelle de Courte-Pinte, entre les portes des Epars et Châtelet : 36 pieds de hauteur, 12 pieds d'épaisseur à la base, 6 pieds d'épaisseur partie sommitale[52],[53]. Un moulin à vent a été construit sur la tour en 1553[54].. La tour de Courtepinte est démantelée en 1824, lors des travaux d'aménagement des jardins de la préfecture[54].. Établi à proximité, un cavalier bastionné, une sorte de fortin conçu en terre pourvu d'épaulement et appelé « Fort d'Hercule », défendait également la portion d'enceinte comprise entre la porte des Épars et celle du Châtelet[54],[55],[56].
  • Tour de Grouin-Pasteau et tour des Jacobins (ou tour de la Prêcherie)
 
Tour de Grouin-Pasteau, sur la butte des Charbonniers
  • Tour de Saint-Michel
 
Vestige de la tour défendant la porte de Saint-Michel, son massif maçonné et les segments de remparts adjacents intégrés dans des bâtiments modernes[57].

La tour de Saint-Michel, plan circulaire, toiture conique, salle en silex maçonné[13].

Citadelle

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La citadelle, également appelé l'arsenal, Construite en 1591 à la porte Saint-Michel (enserrant/englobant le cimetière[58] le clocher et le portail de l'église Saint-Michel, alors partiellement détruite) sur ordre d'Henri IV après le siège de Chartres par ses troupes[59],[60],[50]. Détruite en février-mars 1600 par les chartrains sous l'impulsion du maire de l'époque{[61].Souchet 188-189 [50][62] R. Joly 1982 p.115

Fossés

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  • Vieux fossés
 
Vieux fossés, au niveau de la porte Guillaume.
  • Fossés neuf

https://www.lhistoire.fr/chartres-au-moyen-age

https://books.google.fr/books?id=J1dYDwAAQBAJ&pg=PT24&lpg=PT24&dq=vieux+foss%C3%A9s+Chartres&source=bl&ots=EcBL3uY3Tv&sig=ACfU3U0WPJXMGdZlZiMB80CXYhUScbTG_A&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiq2beWiJXqAhUlyIUKHQngC9w4ChDoATAGegQIARAB#v=onepage&q=vieux%20foss%C3%A9s%20Chartres&f=false Fossés Neufs, ou fossé Neuf, Dispositif fossoyé aménagé en 1357[63] 1358-1359[64]

Notes et références

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Références

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  1. Lecroère 2014, p. 69.
  2. Lépinois 1858, p. 182.
  3. Bonnard 1915, p. 96.
  4. a b et c Buisson et Bellier 1896, p. 5.
  5. Bonnard 1936, p. 298.
  6. Adrien Blanchet, « Villes de la Gaule romaine aux Ier et IVe siècles de notre ère. », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 50e année, no 3,‎ , p. 192-196 (DOI doi.org/10.3406/crai.1906.71815, https//www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1906_num_50_3_71815, consulté le ).
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Ben-Kaddour
  8. a et b Michel Rouche, « Conclusion », dans Rouche M. (dir.), Millénaire de Fulbert 1006-2006. Fulbert de Chartres, précurseur de l’Europe médiévale ?, Paris, Presses Universitaires de Paris Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales », 255-283 p. (lire en ligne).
  9. a et b Laurent Coulon, « Topographie chartraine 950-1100 », dans Rouche M. (dir.), Millénaire de Fulbert 1006-2006. Fulbert de Chartres, précurseur de l’Europe médiévale ?, Paris, Presses Universitaires de Paris Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales », 255-283 p. (lire en ligne).
  10. Cyrille Ben Kaddour, « Chartres et sa proche campagne au haut Moyen Age (fin Ve – fin Xe siècle). Topographie urbaine et péri-urbaine, analyse de structures et étude du mobilier : un premier bilan », Revue archéologique du Centre de la France, t. 53,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Vincent Acheré, « Une barbacane de la fin du Moyen Âge à Chartres (Eure-et-Loir) », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre (BUCEMA), vol. 19, no 2,‎ (DOI doi.org/10.4000/cem.14214, lire en ligne, consulté le ).
  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Lecchoère
  13. a b c d e f g et h Bonnard 1936, p. ?.
  14. Joly 1982, p. 9.
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  20. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées BenKaddour
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  28. Stephan Fichtl, « Murus et pomerium : réflexions sur la fonction des remparts protohistoriques », Revue archéologique du Centre de la France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  32. Coulon 2008, p. 257-259.
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  34. Blanchet 1907.
  35. Jules Lair, « Le siège de Chartres par les Normands (911) », dans Congrès archéologique de France. 67e session. À Chartres. 1900, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne).
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  40. G. Denos et Abbé Boudet, « Les anciennes paroisses de Chartres - Leur délimitation », Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, t. 16,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Merlet
  42. a et b Sellès, p. 13-14.
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  54. a b et c Buisson et Bellier 1896, p. 70.
  55. Bonnard 1936, p. 292.
  56. Lépinois 1854, p. 312-313.
  57. Lecroère 2014, p. ?.
  58. Maurice Jussellin, « Les peintres verriers à Chartres au XVIe siècle », Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, t. 16,‎ , p. 201 (lire en ligne, consulté le ).
  59. de Bruchère de Lépinois 1858, p. 236.
  60. Bonnard 1936, p. 305.
  61. Bonnard 1936, p. 306.
  62. de Bruchère de Lépinois 1858, p. 216-217.
  63. Buisson et Bellier 1896, p. 2.
  64. a et b Bonnard 1936, p. 294-296.
  65. Nicot 1987, p. 51-52.
  66. Lépinois 1848, p. 319.
  67. Billot 1987, p. 113.
  68. Bonnard 1936, p. 320.
 
Plan de Chartres en 1750 Porte des Epars au nord, porte de Chatelet, au nord-est, porte de Saint-Jean, à l'est, porte Drouaise, au sud-est, porte Guillaume, au sud, porte Morard, au sud-su-ouest, porte Saint-Michel, au nord-ouest.[1]
 
Tour de la Léthinière.
 
Fortifications de Chartres en 1500.
 
Vue des vestiges de la tour nord de la barbacane de la porte Guillaume avec son archère-canonnière.
 
Tour Jehan Pocquet
 
Tour du Massacre (1560)[2].
 
Tour de la Léthinière ou « de la Grande Herse » (1560)[2] reconstruite en 1508[3],[4].
 
Collégiale Saint-André, rempart, pont, traces d'arrachement ancien pont.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Vincent Acheré, « Une barbacane de la fin du Moyen Âge à Chartres (Eure-et-Loir) », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre (BUCEMA), vol. 19, no 2,‎ (DOI doi.org/10.4000/cem.14214, lire en ligne, consulté le ).
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