Lauthiers

commune française du département de la Vienne

Lauthiers
Lauthiers
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Olivier Couradeau
2020-2026
Code postal 86300
Code commune 86122
Démographie
Population
municipale
68 hab. (2021 en augmentation de 1,49 % par rapport à 2015)
Densité 8,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 08″ nord, 0° 44′ 07″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 141 m
Superficie 8,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lauthiers

Lauthiers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Lauthiers est une commune rurale. C'est la commune la moins peuplée de la Vienne.

Pour sa superficie, elle est située au 23 426e rang national et au 260e rang départemental.

Les habitants de Lauthiers sont des Althariens (du latin altare, autel).

La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne à environ 14 km.

Communes limitrophes modifier

Lauthiers est située à 28 km au sud-est de Châtellerault, la plus grande ville aux alentours.

Communes limitrophes de Lauthiers
Sainte-Radégonde La Puye
  Paizay-le-Sec
Chauvigny

Géologie et relief modifier

Le territoire de la commune est occupé à 94 % de territoires agricoles et à 6 % par des forets et des milieux semi-naturels[1].

Les paysages de la commune sont formés de plaines vallonnées et/ou boisées[2].

Les différents types de sols de la commune de Lauthiers sont, selon la direction régionale de l'Agriculture, composés sur les plateaux du seuil du Poitou par du bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 54 % et par des terres fortes pour 46 %[2].

Hydrographie modifier

Périodiquement, la commune subit des inondations avec des coulées de boue et des mouvements de terrain comme en 1982, 1983, 1999 et en 2010.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montmorillon à 22,11 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Les gares ou les haltes ferroviaires les plus proches sont:

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Poitiers-Biard à 32,7 km.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Lauthiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,8 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), forêts (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Lauthiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lauthiers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2011, 2016, 2017, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Risque technologique modifier

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 3]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 4],[21],[22].

Toponymie modifier

Le nom du bourg provient du latin altare qui signifie autel[23].

Histoire modifier

La commune s'est appelée Lauthier en 1793, puis, en 1801, Lanthier.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jacques Genest    
mars 2008   Alain Martin    

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 68 habitants[Note 5], en augmentation de 1,49 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300182178186190186167186181
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
191163165169167167170176166
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
183186171151159156162156142
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
14310388806671906869
2021 - - - - - - - -
68--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 12 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

La répartition par sexe de la population est, selon l'INSEE, la suivante :

  • En 1999 : 55,6 % d'hommes et 44,4 % de femmes.
  • En 2006 : 56,3 % d'hommes et 43,7 % de femmes.
  • En 2007 : 55 % d'hommes et 45 % de femmes.

Le nombre de célibataires, selon l'INSEE, en 2006, était de 31,9 % dans la population.Les couples mariés représentaient 58 % de la population. Les divorcés représentaient 5,8 %. Et le nombre de veuves et veufs était de 4,3 %.

La répartition des naissances et décès de 1999 à 2008 est la suivante selon l'INSEE :

  • en 2008 : 0 naissances et 1 décès.
  • en 2007 : 0 naissances et 0 décès.
  • en 2006 : 0 naissances et 0 décès.
  • en 2005 : 0 naissances et 0 décès.
  • en 2004 : 0 naissances et 0 décès.
  • en 2003 : 2 naissances et 0 décès.
  • en 2002 : 0 naissances et 0 décès.
  • en 2001 : 1 naissances et 1 décès.
  • en 2000 : 1 naissances et 0 décès.
  • en 1999 : 2 naissances et 0 décès.

L'évolution des naissances et décès de 1968 à 2007 est la suivante selon l'INSEE :

  • Entre 1999 et 2007 : 6 naissances et 1 décès.
  • Entre 1990 et 1999 : 7 naissances et 4 décès.
  • Entre 1982 et 1990 : 12 naissances et 7 décès.
  • Entre 1975 et 1982 : 7 naissances et 7 décès.
  • Entre 1968 et 1975 : 10 naissances et 5 décès.

La répartition de la population de Lauthiers par âge en 2007 selon l'INSEE est la suivante :

  • de 0 à 14 ans : 22 habitants (17 en 1999)
  • de 15 à 29 ans : 13 habitants (10 en 1999)
  • de 30 à 44 ans : 22 habitants (14 en 1999)
  • de 45 à 59 ans : 21 habitants (10 en 1999)
  • de 60 à 74 ans : 7 habitants (16 en 1999)
  • de 75 ans ou plus : 10 habitants (4 en 1999)

La répartition de la population par age et par sexe est la suivante, selon l'INSEE,en 2007 :

  • de 0 à 19 ans, hommes: 18 et femmes : 12
  • de 20 à 64 ans, hommes: 27 et femmes : 22
  • de 65 ans et plus, hommes: 8 et femmes : 8

Économie modifier

Agriculture modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 9 exploitations agricoles en 2010 contre 11 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 12 % et sont passées de 99 hectares en 2000 à 1 111 hectares en 2010[29]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[30].

49 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi un peu d'orges), 33 % pour les oléagineux (colza majoritairement et tournesol), 9 % pour le fourrage et 2 % reste en herbes[29].

Trois exploitations en 2010 (contre six en 2000) abritent un élevage d'ovins (924 têtes en 2010 contre 1 119 têtes en 2000)[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[31].

L'élevage de volailles est marginal : 15 têtes en 2000 répartis sur trois fermes contre 58 têtes en 2010 répartis sur cinq fermes[29].

Chaque année, Lauthiers vient clore le Festival d’Eté en Pays Chauvinois avec sa fête des Potirons, qui se déroule le 1er dimanche d’octobre.

Emploi et activité modifier

Le taux de chômage en 2006 était de 5,6 % et en 1999 il était de 0 %.

Les retraités et les préretraités représentaient 16,7 % de la population en 2006 et 23,9 % en 1999.

Le taux d'activité était de 67,9 % en 2006 et de 68,4 % en 1999.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine civil modifier

  • Le château de la Mothe ou logis de la Motte date de la deuxième moitié du XVIIIe siècle.

Le logis, ainsi que la cour d'honneur avec les bâtiments des communs, le mur de clôture et le portail, en totalité sont inscrits comme Monument Historique depuis un arrêté du .

Patrimoine religieux modifier

  • La croix de chemin situé le long de la route départementale D 83.
  • La croix de Cimetière.
  • Le presbytère.
  • Le prieuré Saint-Léger. Le nom de l’église du prieuré Saint-Léger, avec sa charpente en carène de navire, apparaît pour la première fois dans les textes en 1093.

Patrimoine naturel modifier

A quelques kilomètres au nord-est de Chauvigny, la forêt de Mareuil est une zone classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[32]. C’est un massif boisé domanial de plus de 600 hectares qui s’étend sur quatre communes : Chauvigny, Lauthiers, Fleix, Paizay-le-Sec. Il couvre 2 % du territoire de la commune de Lauthiers. La forêt recouvre un plateau limoneux à topographie très uniforme. En effet, l’altitude moyenne est de l’ordre de 130 m et la forêt est dépourvu de tout accident de relief significatif.

Le substrat est constitué par des limons profonds sur argile tertiaire remaniée qui ont donné naissance à des sols limoneux ou limono-sableux, acides et hydromorphes. Le peuplement forestier est une chênaie mêlée de quelques hêtres, traitée en futaie et en cours d’artificialisation par l’introduction par l’homme à des fins d’exploitation, de résineux et de chênes américains. Un important réseau de mares et de fossés vient diversifier cet ensemble.

La forêt de Mareuil abrite neuf espèces d’amphibiens, parmi lesquelles 5 sont protégées en France: Le Crapaud calamite, la Rainette verte, le Triton crêté, le Triton marbré et le Triton alpestre. C’est l’unique station pour toute la région Poitou-Charentes de cette dernière espèce. Le Triton alpestre est un amphibien du nord et du centre de l’Europe, qui ne franchit pas, normalement, la vallée de la Loire vers le sud-ouest en France. Le Triton alpestre, dont le mâle est reconnaissable à son ventre orange vif non taché, fréquente toutes sortes de points d’eaux dormantes comme les mares, les étangs, les lacs, les ornières forestières ou les fossés, où son régime alimentaire, très éclectique, s’adapte largement aux proies disponibles (diverses larves et invertébrés aquatiques). En phase terrestre, le Triton alpestre se cache durant la journée sous des pierres, des tas de bois ou dans des souches pourries.

La forêt de Mareuil abrite une avifaune remarquable puisqu’elle comprend une riche collection d’oiseaux sylvicoles, notamment avec la présence simultanée des 4 espèces régionales de pouillots, dont le Pouillot siffleur et le Pouillot fitis ; des 2 roitelets, dont le Roitelet huppé, peu fréquent en tant que nicheur dans les forêts régionales. Mais c’est surtout chez les picidés et les rapaces que se trouvent les éléments les plus originaux : parmi les premiers, on note la présence du Pic mar et du Pic noir, deux espèces inféodées aux vieilles futaies, alors que les seconds comptent l’Autour des palombes, un hôte farouche des grands massifs forestiers et le Busard Saint-Martin.

Il est possible de voir d’autres oiseaux tels que : Alouette lulu, Bouvreuil pivoine, Engoulevent d’Europe, Mésange huppée, Pigeon colombin, Rougequeue à font blanc.

La forêt de Mareuil accueille, aussi, une colonie de martres qui sont des animaux protégés dorénavant en France.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  4. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
  2. a et b Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Lauthiers et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Montmorillon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Montmorillon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lauthiers », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  23. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  30. Agreste – Enquête Structure 2007
  31. Agreste – Bulletin n°12 de mai 2013
  32. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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